15 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 15 tests du Gears of War Judgment. Les experts notent Gears of War Judgment 7.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Gears of War Judgment et d'autres Jeux Xbox 360.
Bien avant les péripéties de Marcus Fenix dans la trilogie Gears of War, il y eut l'Emergence Day, où les infâmes Locustes, tapis sous terres depuis des lustres, décidèrent de surgir des profondeurs de la planète Sera pour mettre à mort la race humaine. Cette fois, le joueur incarne principalement Baird, l'un des personnages secondaires récurrents de la saga. Accusés, son escouade et lui, de haute trahison, ils vont devoir remonter dans le temps et retracer le fil de leurs aventures pour se disculper auprès d'un tribunal un peu trop pressé de les fusiller. Avec une campagne solo ou en coopération et un mode multijoueur avec plusieurs types de batailles, GoW Judgment reste dans la droite lignée de la série. Pour être honnête, ce nouvel opus prend même le parti de se débarrasser totalement de la dernière once de subtilité qu'il pouvait rester dans la saga pour ne garder qu'un seul credo : le bourrinage total de vagues d'ennemis. Afin d'augmenter le challenge au sein des niveaux, GoW Judgment introduit les "Missions Déclassifiées". Soit des éléments de l'histoire de Baird et Compagnie sciemment rayés des dépositions des soldats, prouvant peu à peu le bien-fondé des protagonistes. Pour les activer, il suffit de trouver les symboles des Gears associés à ces missions (une tête de mort rouge sang), disséminés dans la campagne.
Après God, c'est donc au tour des Gears d'Epic de se trainer une dernière fois sur la génération finissante des consoles de salon. Simple coïncidence des plannings de sortie ou volonté préméditée de nous en enfourner un dernier pour la route, la proximité des sorties des deux jeux permettrait presque de porter un regard rétrospectif sur ce que furent ces deux sagas, exclusivités de leur console respective et pinacle du blockbuster. Difficile en effet de ne pas regarder le destin prométhéen de Kratos, mis en œuvre dans une barbarie hissée au rang d'art en vis-à-vis à l'univers plus moralisateur, la violence plus beauf (les pieds dans les entrailles, on découpe un vers géant) de la communauté virile des Gears. D'un côté décors gigantesques, caractère céleste des ennemis divins, démesure d'un héros refusant d'obéir à son destin d'homme. De l'autre, couloirs terreux et claustro, ennemis souterrains et héros lourds comme du plomb, à la pensée toute patriotique. Dieu contre hommes. Fratrie online et militaire contre destin élitiste Olympien. On trouve quasiment là deux idéologies bien distinctes du gaming : PS3 ou 360.
Quatrième épisode de la série, Gears of War Judgment prend la forme d'un prologue se situant aux premiers jours de l'invasion locuste. L'occasion de découvrir que Baird et Cole n'ont pas toujours été les comiques de service que l'on connaît bien, ainsi que de fournir aux fans un retour un peu trop marqué aux bases du jeu vidéo.Baird commence l'aventure en bien mauvaise posture : accusée de crime de guerre, son escouade doit justifier ses actes sous peine de finir devant le peloton d'exécution. Simple prétexte à étriper du locuste, l'histoire manque clairement de ce côté spectaculaire qu'on appréciait tant dans les anciens volets de la série. Judgment se rapproche en effet d'un jeu d'arcade avec ses missions d'une quinzaine de minutes qui se déroulent toujours de la même manière : on se retrouve projeté dans une arène fermée où on doit éliminer tout ce qui bouge en engrangeant le plus de points possibles.Ce côté arcade est exacerbé par le Smart Spawn System, qui permet aux ennemis d'apparaître de manière aléatoire à chaque essai, à la manière de Left 4 Dead.
Après une trilogie de grande qualité, Epic nous offre une préquelle à sa série phare : Gears Of War. Cet épisode sous-titré Judgment est toutefois un tournant dans la série vu qu'il n'est pas developpé en interne, mais est sous-traité au studio people Can Fly - réputé pour Painkiller et Bulletstorm. L'approche souhaitée par le studio, plus action que d'accoutumée, sierra-t-elle à la licence ?Gears Of War Judgment s'appuie sur un concept simple et bien à la mode : la préquelle. Il faut dire que l'histoire principale s'était clôturée avec le troisième épisode de la trilogie. Il semblait donc naturel de situer l'action de ce nouvel opus durant les guerres pendulaires - dont on fait allègrement référence dans les autres épisodes. Ce qui est plus étonnant est la volonté des scénaristes de propulser Baird comme personnage principal plutôt que Marcus. C'est donc un Baird tout jeunot, accompagné de Cole et de deux nouveaux personnages qui va devoir expliquer lors d'un procès de cour martiale ce qui a réellement conduit à leur acte de désobéissance. Si on déplore un humour du coup très largement en retrait, ce choix scénaristique induit un mode de narration assez intéressant qui bouscule les habitudes de la série.
Pour cet opus, nous retrouvons aux commandes l'équipe de People Can Fly. Ce studio polonais nous avait concocté Painkiller en 2004, et plus récemment en 2011, le très nerveux Bulletstrom. Epic Games leur a donc fait confiance pour relancer, ou plutôt démarrer l'histoire des Gears.Juste après les fratricides Guerres Pendulaires pour le contrôle de l'imulsion (carburant miracle), les Locustes ont émergé des entrailles de Sera. Dès lors, les anciens ennemis s'allient pour lutter contre la menace que représente cette espèce violente. Oubliées les rancœurs, la Coalition des Gouvernements Unis (CGU) et l'Union des Républiques Indépendantes (URI) se battent pour la survie de l'humanité. Ces événements se déroulent une quinzaine d'années avant ceux de la trilogie Gears of War.C'est dans ce contexte que débute Gears of War - Judgement. Un jeu qui porte bien son nom, puisque nos héros comparaissent en cour martiale pour crime de guerre. Au banc des accusés, nous retrouvons l'escouade Kilo, commandée par Baird, le héros principal.
Si la trilogie Gears of War s'est achevée de belle manière il y a un an et demi de cela, Microsoft n'a pas vraiment voulu en rester là puisqu'un nouvel opus, nommé Gears of War Judgment, arrive en ce début de printemps. Co-développée par People Can Fly et Epic Games, cette préquelle tente de ne pas paraître comme une parenthèse facultative aux yeux des joueurs. Reste à savoir si le studio polonais a su insuffler suffisamment de nouveautés et proposer un contenu assez conséquent pour inciter les fans à passer de nouveau à la caisse. Bien que Gears of War n'ait jamais brillé par son histoire, on peut dire que Judgment creuse une fois de plus le trou de la médiocrité. Voyez plutôt : quelque temps après le jour de l'émergence, Baird et son escouade Kilo sont arrêtés et jugés par un tribunal de fortune alors que la guerre contre les locustes fait toujours rage à l'extérieur. La raison de ce jugement express ? Avoir tout simplement désobéi aux ordres. Les quatre personnages qui composent la troupe d'élite vont alors à tour de rôle s'expliquer devant leur hiérarchie, permettant ainsi de comprendre les précédents événements qui ont conduit à cette tribune extraordinaire.
La Xbox 360 ne sera bientôt plus qu'un lointain souvenir et Microsoft se devait de terminer en beauté en proposant un dernier Gears of War sur cette machine. Sans doute trop occupé à travailler sur la Xbox de prochaine génération, Epic Games a confié le développement de ce Judgment à People Can Fly, studio déjà à l'origine d'un certain BulletStorm et de Painkiller. Marcus Fenix ayant rendu les armes dans Gears Of War 3, ce sont donc Baird, Cole, mais aussi deux petits nouveaux (Paduk et Sophia), qui vont être mis en avant dans ce nouvel épisode. Deux campagnes nous sont ainsi proposées. La première, appelée Judgment, va nous faire vivre pendant un peu moins de six heures en Normal (ouch, c'est un peu court !) les évènements qui ont précédés l'arrivée de Marcus Fenix dans Gears of War premier du nom. Ayant pour fil rouge le jugement de l'équipe Kilo, cette campagne est composée plusieurs chapitres (six au total), eux-mêmes découpés en différentes sections (de 6 à 8 par chapitre), toutes jouables dans quatre modes de difficulté différents (de Recrue à Dément).
Avec une Xbox 360 en fin de vie et une licence qui ne semble plus vraiment intéresser Epic Games, Gears of War Judgment débarque sur la console de Microsoft dans une ambiance assez morose. S'il n'y avait définitivement pas de place pour une suite à la fin de Gears of War 3, c'était sous-estimer les producteurs qui n'ont rien trouvé de mieux que de sortir l'excuse de la prequel pour nous faire patienter jusqu'à l'arrivée de la prochaine génération. Marcus ayant déposé les armes, c'est au tour du tandem Baird/Cole de jouer les super héros. Un intérim assuré un peu malgré eux, tout comme la venue inattendue du studio People Can Fly (Painkiller, Bulletstorm), qui s'est occupé cette fois-ci de la totalité du développement en l'absence d'Epic Games. Le vent de renouveau ?Faire un jeu avec trois bouts de ficelle, voilà comment on pourrait résumer Gears of War Judgment de manière assez caricaturale. Car comme chacun sait, ce quatrième épisode n'a pas été développé par Epic Games, le studio à l'origine de la licence, mais par l'équipe B, celle-là même qui se chargeait de faire le portage PC de Gears of War 2 ou de filer un coup de pouce pour le troisième opus.
Après avoir répandu des hectolitres de sang et de tripaille jusqu'à aboutir à une conclusion qui ne laissait guère de place à une suite, il fallait bien que Gears of War adopte une toute nouvelle optique. Epic Games a donc choisi de solliciter People Can Fly, le développeur de Painkiller et de Bulletstorm afin d'offrir un nouveau souffle à sa série. Et le résultat, c'est un Gears of War Judgment presque totalement axé sur le scoring, le challenge et le coop avec les débuts de l'invasion Locuste vaguement esquissés en trame de fond. Aussi, si vous n'êtes pas abonné au Xbox Live ou ne comptez pas jouer avec des potes, peut-être devriez-vous tout simplement passer votre chemin. Vous le savez sans doute déjà, mais pour les quatre ou cinq dans le fond de la salle qui n'ont pas suivi, rappelons que Gears of War Judgment nous entraîne dans le passé, quinze ans avant le premier épisode de la série et précisément trente jours après l'Emergence Day, jour maudit qui a vu les Locustes sortir des entrailles de la planète Sera pour entamer leur petit génocide des familles sur l'espèce humaine.
Voici une très bonne nouvelle pour les mordus de fusil-tronçonneuse : Gears Of War n'aura pas sacrifié sa précieuse notion de qualité sur l'autel de l'argent facile. En confiant leur bébé à leurs amis polonais de People Can Fly, on peut dire que les dévs d'Epic Games, désormais orphelins de Cliff Bleszinsky, ont eu le nez creux. Pourtant, narrer les aventures de Damon Baird et Cole Train juste après l'Emergence Day (le jour où les Locustes ont envahit la surface) avait de quoi faire tomber l'épisode dans de la redite pure et simple, un exercice casse gueule en diable. C'est donc une belle performance réussie par le studio européen, qui donne à la licence démarrée en 2006 un second souffle basé sur un duo qui fait toujours merveille dans le jeu vidéo : du rythme, avec une narration enlevée et un level design qui va à l'essentiel sans pour autant paraître basique, et du challenge pour tous, avec un ingénieux système de nivellement qui séduira les fans hardcores de la CGU autant que les premiers bleus (ou plutôt Carmine) venus. Pour les meilleures soupes, il faut peut-être un vieux pot, pour les meilleurs jeux à licence, il faut croire qu'innover à tout prix n'est pas non plus forcément la règle d'or.
Comment donner suite à Gears of War maintenant que Marcus Fenix a déposé les armes ? En charpentant un prologue situé une dizaine d'années avant les événements de la trilogie, qui place Damon Baird et Augustus Cole, l'autre duo emblématique de la série, au coeur des débats. Comme son nom ne l'indique pas forcément, Gears of War : Judgment relate les déboires des deux personnages et de leurs acolytes devant un tribunal de guerre. Tenus responsables d'un bombardement particulièrement désastreux, l'escouade Kilo devra justifier ses actes. Et accessoirement envoyer du lourd. C'pas moi madame la jugeOn ne peut plus être pris en traître en fin de génération. Gears of War Judgment est bâti sur le même schéma que ses prédécesseurs, avec d'un côté de faux airs d'add-on, de l'autre l'assurance de redécouvrir un jeu hyper léché techniquement, aux mécaniques de jeu archi rodées. Pour qui a déjà incorporé la CGU une fois dans sa vie, ce nouveau Gears n'apporte rien de fondamentalement nouveau, mais il domine totalement le sujet dans son genre, celui du TPS bourrin, violent et sans pitié.
Bien qu'il s'agisse d'un multijoueur, un match à mort opposant des humains peut paraître un changement radical par rapport au combat traditionnel Humains-contre-Locustes dans lequel baignait la série Gears. Pourtant, le directeur conception Cliff Bleszinski dit que plutôt qu'un virage à 90° par rapport à la philosophie de base, le mode Gears of War : Judgment gratuit a été créé comme une commodité pour les joueurs. « Quand vous rejoignez un serveur dans le multijoueur traditionnel de Gears, vous ne savez pas si vous allez au final incarner des COG ou des Locustes», déclare-t-il en soulignant le désir fréquent des joueurs de jouer avec des personnages spécialement déverrouillés ou des skins pré-commandés. « Dès lors que nous proposons le combat humain-contre-humain, pouvons affirmer à la base que si vous voulez jouer Baird dans le multijoueur quand vous vous connectez à un serveur, vous pourrez toujours incarner le Baird que vous jouez toujours et que vous débloquez. » Salut les têtes de noeuds - nous espérons retrouver beaucoup de jurons dans Judgement. « Si vous avez envie de faire monter un personnage, il y a quelques Locustes sympathiques, mais en règle générale vous préférez un humain identifiable », ajoute Bleszinski.
Après une trilogie bien mouvementée et dont le final ne laissait guère de place à une suite, que faire pour poursuivre l'exploitation de la série ? Revenir en arrière, tout simplement et explorer les débuts de l'invasion Locust. C'est donc quelques mois après le fameux E-Day, alias le jour de l'émergence, que se déroule Judgement, titre accordé au jeu pour une raison toute simple : ces héros sont jugés pour trahison et désertion par les leaders du COG. Pourquoi, comment, c'est tout l'objet de la campagne solo qui est en fait un flashback, chaque chapitre correspondant à un témoignage des membres de la nouvelle équipe, soit Baird et Cole, de vieilles connaissances 10 ans plus jeunes, et Garron, et Sofia, de nouveaux venus. Tous sévèrement en froid avec leur hiérarchie. Une sale habitude chez les héros de la série. Malheureusement, la présentation de ce nouvel opus développé par People Can Fly (Bulletstorm) et Epic fut passablement maigre en gameplay. L'objectif étant surtout d'apporter quelques éclairages sur l'approche générale, à savoir se concentrer sur l'action et en finir avec l'alternance « couloirs, cinématiques, couloirs, cinématiques », selon les propres mots de Cliff Bleszinsky qui semble mettre dans le lot ses propres productions passées.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 06/2012
Plus accessible...
Visiblement occupé sur des projets destinés à la prochaine génération de consoles, Epic Games a laissé les commandes du prochain Gears Of War aux polonais de People Can Fly, le studio déjà responsable de Bulletstorm. Comme prévu, il s'agit bien d'un prequel, où l'on pourra notamment retrouver Cole et Bird, alors encore adolescents. C'est le début de l'invasion, les humains ne sont pas encore aussi bien organisés. Il règne alors un sentiment de peur et de terreur sur la planète face à ces créatures sanguinaires. Epic Games assure en tout cas que le scénario restera cohérent par rapport à l'ensemble de la série. Il en va de sa crédibilité. Comme vous allez le constater, ce Gears Of War Judgment s'annonce comme un épisode à part, avec un gameplay renouvelé. Plus spectaculaire, plus explosif, plus intense, le nouvel opus est annoncé par ses créateurs comme étant le plus féroce de la série. Une promesse qui se traduit par une jouabilité repensée pour correspondre aux besoins d'un gameplay plus brutal. Une petite prise de risque cautionnée par Epic, du moment que cela reste dans l'optique de proposer une action sans relâche. On annonce aussi un nouveau système supposé analyser les performances du joueur en solo dans le but d'adapter les situations de jeu à son niveau. Un excellent joueur enchaînera ainsi le stage suivant avec des dizaines de Locust aux fesses. Les adversaires n'ont jamais été aussi nombreux que dans cet épisode, prévient People Can Fly.
Gamekult
Ajouté le : 06/2012
Plus accessible...
Durant la conférence Microsoft, on pouvait légitimement s'étonner de ne voir Gears of War : Judgment qu'à l'occasion d'un court trailer, coincé entre une longue démo de Nike+ Kinect Training et la présentation sur scène du palpitant Wrecketeer. Comment Microsoft, qui offre généralement les conférences les plus rythmées et sait mettre en avant ses plus gros titres, a pu faire un tel affront à l'une de ses licences phares ? Après une présentation du jeu dans un salon privé, sur le stand du constructeur, la réponse tombe d'elle-même : Epic n'avait simplement pas grand-chose à montrer cette année. Mais le studio avait cependant pas mal de choses à dire. Première info, ce Gears of War : Judgment se veut plus rapide, plus brutal et plus dur que les précédents épisodes. A croire qu'on ne peut décemment pas développer un jeu en coopération avec People Can Fly (Painkiller, Bulletstorm) sans ressentir le besoin de mettre un peu d'amphétamines dans son gameplay. Le studio polonais, racheté par Epic, a dans cette optique ajouté pas mal de ses idées dans l'équation. Il en est ainsi du Smart Spawn System, censé booster la rejouabilité du titre. Concrètement, le jeu analysera sommairement le parcours du joueur à chaque niveau terminé : s'il s'est baladé, éventrant les Locustes par paquets de douze, il affrontera des ennemis beaucoup plus nombreux, et quelques variétés plus puissantes également, pour retrouver ce plaisir simple d'en baver.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Gears of War Judgment. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Gears of War Judgment.