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Nous avons réuni 22 tests du Forza Motorsport 4. Les experts notent Forza Motorsport 4 8.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Forza Motorsport 4 et d'autres Jeux Xbox 360.
Le problème avec des franchises telles que Forza Motorsport, c'est qu'elles sont particulièrement attendues au tournant, surtout quand le volet précédent a excellé dans ses propositions. Aux développeurs donc de ne pas se reposer sur le succès, de ne pas se contenter de la facilité pour finalement n'offrir aux joueurs qu'un volet digne de l'addon. Aux développeurs plutôt ce travail difficile de la remise en question et cette envie d'aller plus loin, pas seulement pour se garantir encore de bons chiffres de vente, mais pour offrir aux joueurs toujours le même plaisir, sur un titre qui n'a plus vraiment de secrets. A Turn 10 donc ce travail exigeant mais ô combien galvanisant quand il est réussi. Premier point appréciable, le choix a été fait d'espacer les épisodes de deux ans. Pas de précipitation, pas de développement infini non plus, peut-être le juste équilibre entre le retour du public et la germination de nouvelles idées. Toujours est-il que Forza 4 est arrivé en temps et en heure, que le résultat ne semble pas mauvais et que Turn 10 a donc tenu la majorité de ses promesses. Forza 4 ne fera pas honte à ses aïeux. La réputation de la franchise suffit à garantir aux joueurs un contenu de jeu reposant sur des bases solides. Bien sûr, rien ne protège du faux pas, mais un savoir-faire qui a le don de faire mouche à chaque nouvelle itération a de quoi rassurer.
GamePro.fr
Ajouté le : 10/2011
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Exactement comme nous l'avions fait pour Gran Turismo 5, nous n'allons pas vous proposer de véritable critique détaillée de Forza Motorsport 4, et plutôt vous orienter vers le test publié sur JVN.com par Laurent Deheppe, ex-rédacteur en chef de feu Joypad, passionné de courses automobiles et de simulations. Bref, un véritable pro du genre qui – fan de GT de la première heure – avait comme tout le monde été déçu par le jeu de Polyphony Digital, et se résout aujourd'hui à changer de crèmerie. Son test est sans appel, Forza 4 est « LE nouveau titre de référence » et mérite amplement le 19/20 qu'il lui attribue. Il lui pardonne même l'absence de conditions météorologiques changeantes, mais pas une caméra piste perfectible. Bref, si vous voulez lire un très bon test du jeu, n'hésitez pas. En ce qui nous concerne, nous avons bien sûr été en mesure de tester le jeu, mais sans l'habitude suffisante du genre pour être en mesure de livrer un avis d'expert. D'ailleurs, nous n'y avons pas joué avec un volant hors de prix les fesses enfoncées dans un siège baquet, mais à la manette, comme monsieur tout-le-monde.
Forza Motorsport, c'est invariablement un nouvel épisode tous les deux ans. Et comme le précédent datait d'octobre 2009, c'est en toute logique que nous accueillons ce mois-ci le quatrième opus de la franchise de Microsoft et Turn 10. Si Forza 3 jouait encore la carte de l'exhaustivité, Forza Motorsport 4 semble, lui, avoir une autre idée en tête : draguer un public plus large, histoire d'être raccord avec le discours actuel de la Xbox 360 et Kinect. Quitte à donner son âme au Diable ? Non ! Quoique... Forza à la carte Il a beau être réglé comme une horloge, Forza Motorsport parvient toujours autant à capter l'attention. Pas par ses airs de diva et ses retards à la dernière minute comme son rival de toujours, mais grâce à la réputation d'excellence que la saga a acquis au fil des années. Il faut dire que depuis 2005, chaque Forza a su apporter sa pierre à l'édifice bâti par Microsoft et Turn 10. Ce nouvel épisode entend bien en faire de même, à l'aide, tout d'abord, d'une carrière revue. Assez répétitive dans Forza Motorsport 3, elle tient ici à ne surtout pas contraindre le joueur, mais plutôt à l'accompagner dans ses pérégrinations mécaniques. Un objectif sans conteste réussi puisque l'on peut très bien la parcourir avec une poignée de voitures seulement dans son garage.
Forza Motorsport 4, c’est d’abord le récit d’une histoire d’amour. Celle d’un homme ou d’une femme, un joueur ou une joueuse en l’occurrence, avec une voiture. Ou pour être plus exact son garage de monstres rutilants, de la Punto ou la 207 la plus basique jusqu’à une 908 où à une monstrueuse Ferrari 599 GTO. Son prédécesseur était déjà fantastique sur bien des plans, mais deux années de développement ont suffi pour faire définitivement de Forza 4 la nouvelle référence de la simulation automobile sur consoles. Un chiffre à mettre en perspective avec les six ans pris par Polyphony Digital pour sortir GT5, un épisode qui malgré ses qualités a du mal à remettre en cause les fondements de la série. Retour en quelques lignes sur ce qui fait de Forza 4 un titre aussi unique, qui va certainement faire date dans l’histoire de l’automobile virtuel. Forza Motorsport 4, pour que l’automobile soit toujours un plaisir Plus que jamais, voilà un titre qui met l’automobile à l’honneur. Quand vous insérez la galette de Forza Motorsport 4 dans votre console pour la première fois, c’est tout de suite la claque. Graphique en premier lieu avec une modélisation des voitures à des années lumières du rendu pourtant déjà très correct de Forza 3.
On l’attendait avec impatience. Impatience car depuis la désillusion de Gran Turismo 5, les fans de simulation que nous sommes pleuraient chaque jour un peu plus le ratage de Polyphony. Certes, il y a quelques semaines, nous avions eu le grand plaisir de découvrir F1 2011, l’excellent titre de Codemasters. Mais voilà, il s’agit là de Formule 1 et forcément, c’est assez restrictif ! Avant même de commencer ce test, nous souhaitons remercier les équipes de Microsoft qui n’ont pas hésité à nous mettre dans les meilleures conditions pour la réalisation de ce papier. En effet, de notre point de vue, Forza a toujours été un excellent titre mais il lui manquait un élément essentiel pour une simulation de pilotage : un volant digne de ce nom ! C’est pourquoi, lorsque le jeu est arrivé à la rédaction accompagné d’un « vrai » volant (Fanatec CSR), nous pouvions enfin comparer Forza à Gran Turismo dans des conditions similaires. Dès le lancement du jeu, Dan Greenawalt, le producteur, vous explique qu’il est aujourd’hui politiquement incorrect d’aimer, voire d’être passionné par des machines qui polluent et qui font du bruit. Finalement, le seul endroit où ces « malades » du volant peuvent se retrouver, c’est ici, dans Forza Motorsport 4 !
La 330 P4 n'a jamais gagné sur le circuit de la Sarthe, mais on a l'impression que cette voiture a été faite pour les virages Porsche du circuit du Mans et que, contrairement à ce qu'indique leur nom, ces longues boucles ont été dessinées et construites dans l'unique but de permettre aux voitures de sport Ferrari à l'assise basse d'exprimer tout leur potentiel. Enchaîner les virages donne une sensation d'apesanteur enivrante, la direction se relâchant sous vos doigts quand vous êtes au milieu d'un dérapage parfait des quatre roues. Réussir cette séquence demande de lancer la voiture dans des dérapages successifs, une danse délicate dont les mouvements sont l'accélération et le braquage et la musique le grondement caverneux de l'un des meilleurs V12 de Maranello. C'est du jeu qui fait grimper la tension en flèche, et c'est un des nombreux moments où Forza Motorsport 4 se révèle avoir une vraie personnalité. C'est une affaire de passion. Au-delà des listes de coefficients de force et des dimensions des roues, c'est l'histoire d'un amour simple entre l'homme et la machine, aussi pur et innocent que le rêve d'un enfant devant le poster de la Ferrari GTO punaisée n'importe comment sur le mur de sa chambre.
On le sait, la série des Forza Motorsport n'a plus rien à prouver depuis quelques temps déjà, avec des épisodes toujours plus complets que les précédents. D'autant plus que lorsque l'on sait qu'un nouvel opus de la série sort en moyenne tous les deux ans, sans pour autant oublier d'y mettre la qualité, en plus de la quantité, on peut se demander si la série des Gran Turismo ne serait pas tout doucement en train de s'embourber, surtout après un cinquième épisode longtemps attendu et qui n'a finalement pas satisfait tout le monde. Ce quatrième épisode de la série des Forza n'a pas connu un développement aussi chaotique fort heureusement, et le moment est donc venu de se faire un avis définitif sur ce jeu et ce, en temps et en heure...C'est avec une certaine fébrilité que l'on insère le dvd du jeu dans la Xbox. Ca y'est, la référence des simulations automobiles sur Xbox 360 vient enfin de nous pondre son nouveau né. A nous les joies de l'asphalte et ses traces de freinage (sans mauvais jeu de mot... même si je l'ai fait exprès), les sensations de conduite plus vraies que nature et ces bolides tout droit sortis d'un rêve. D'autant plus que cette fois, les développeurs ont voulu nous faire plaisir en nous permettant de les admirer à loisir dans un tout nouveau mode de jeu : l'Autovista.
Le petit monde des simulations de courses de voitures a un public fidèle à l'affût du dernier jeu en date qui les occupera pendant de longues heures. Forza 3 a été un hit, un jeu très apprécié encore aujourd'hui et considéré par beaucoup comme étant toujours le top de la catégorie, son concurrent Gran Turismo n'ayant convaincu qu'une partie des joueurs. Pas de débat stérile ici pour savoir qui était le meilleur entre les deux, c'est d'autant moins utile que de toute façon Forza Motorsport 4 va mettre tout le monde d'accord. Amis pilotes sur console, préparez vous à ne pas décoller de votre canapé. Une fois la galette insérée, la petite vidéo d'introduction a de quoi surprendre ! Sur des images de véhicules de folie, une voix off nous explique que l'écologie c'est bien gentil, mais qu'on est là pour cramer de l'essence en fonçant sur les pistes ! Une entrée en matière un peu étrange, qu'on va vite oublier pour tout de suite plonger dans le jeu. Comme tout jeu de course qui se respecte, le mode principal est la carrière (nous reviendrons sur tout le reste plus loin !), dans laquelle on va s'engouffrer après avoir fait quelques tours de pistes en course rapide histoire de s'échauffer (tous les circuits sont accessibles dès le début).
Deuxième “grosse” exclusivité Xbox 360 pour cette fin d’année, Forza Motorsport 4 entend bien venir enfoncer le clou après la déferlante Gears of War 3. La Xbox 360 tient là son mètre étalon en matière de course automobile... Peut-être somme nous d'ailleurs face au meilleur jeu de course toutes plate-formes confondues. Verdict ! Depuis la sortie du premier Forza Motorsport, en 2005, la licence s'est forgée la réputation de simulation de course automobile de référence. Au moins sur Xbox 360 ! Ce qui avait fait la force du premier opus sur Xbox (première du nom), c’était son moteur physique, l’aspect réaliste de sa gestion des dégâts, mais aussi un système de personnalisation de son véhicule jamais vu dans un titre de ce genre. Six ans plus tard, nous voici devant Forza Motorsport 4... Il revient avec encore plus de véhicules. Mais aussi une bonne sélection de circuits, pas forcément très imposante, qui mixe plutôt bien tous les styles de courses (sur route). Autant le dire de suite, ce nouvel opus de Forza est, de nouveau, plus beau que son prédécesseur. Pour les fans de gros pixels, sachez que les voitures peuvent compter jusqu'à 800 000 polygones (toutes hein, pas que les premiums).
La référence en terme de simulation automobile est de retour sur Xbox 360, et seulement sur la console de Microsoft. Son précédent opus Forza 3 avait déjà tapé fort avec des graphismes poussés et une gestion des dégâts réalistes. C'est donc avec beaucoup de promesses que Forza Motorsport 4 pointe le bout de son capot. Autant vous dire tout de suite que le challenge relevé était dur mais qu'il est amplement réussi. Si vous n'avez pas peur de froisser un peu de tôle, je vous invite à lire ce test. On nous avait promis qu'il ne serait pas dans Forza 4 et il l'est pourtant bel et bien! Kinect est une des nouvelles features du jeu de course développé par Turn10. Heureusement pour nous, son utilisation est limité à 3 façons. La première et la plus casual est pour une conduite à la Joy Ride, allez comprendre que vous faites comme si vous teniez un volant dans vos mains et que tel un conducteur de séries américaines des années 80 vous allez bouger votre volant imaginaire pour déplacer votre bolide. Parfait pour vos enfants, votre père qui ne comprend pas tout à votre manette ou le joueur bordélique qui perd son pad tous les soirs dans sa chambre. Ensuite il y a le « headtracking ».
Cela fait maintenant quelques années que la série des Forza Motorsport s’est fait une place bien au chaud dans le cœur des amateurs de courses automobiles. En ce mois d’octobre 2011, Microsoft et Turn 10 en remettent une couche, deux ans quasiment jour pour jour après la sortie de Forza Motorsport 3. Toujours disponible uniquement sur Xbox 360, ce quatrième opus met une fois encore la barre très haut comme nous allons le voir dans le test qui suit. Forza Motorsport 4 : l’épisode de la consécration… Forza Motorsport 4 est, tout comme ses prédécesseurs, un jeu de courses automobiles proposant toute une panoplie de modes de jeu - solos ou multijoueurs - et autres fonctionnalités. Commençons donc notre petit tour d’horizon par les différents modes disponibles. Comme pour tout jeu du même genre qui se respecte, le titre de Turn10 intègre un mode carrière, une partie jeu libre, une zone communautaire, ou encore un espace « Autovista » entièrement dédié à la gloire de l’automobile. Si certaines zones n’ont que très peu évolué depuis Forza Motorsport 3 comme le jeu libre avec ses courses rapides ou encore son mode écran partagé, d’autres en revanche ont été grandement remaniées, voire sont entièrement nouvelles.
Forza 3 avait déjà tapé un grand coup sur la table de la simulation automobile il y a deux ans, et après la sortie d'un Gran Turismo 5 en demi-teinte l'année dernière, on attendait impatiemment de voir la réponse du berger à la bergère... Ainsi, comme on pouvait s'y attendre, Forza 4 a su capitaliser sur ses forces initiales, se bonifier au passage et transformer l'essai de fort belle manière... façon coup de grâce ?C'est assez difficile de ne pas tomber dans la comparaison Forza/ Gran Turismo... c'est presque un réflexe naturel, tant la saga de Turn 10 a tout fait, dès son premier opus, pour rivaliser avec le maître, en proposant d'office aux joueurs tout ce qu'ils réclamaient à cors et à cris depuis des années (jeu en ligne, dégâts, IA digne de ce nom...). Aujourd'hui, j'ai vraiment l'impression qu'on est dans ce même moment charnière qui a vu FIFA supplanter son rival PES, après qui il courait depuis tant années, tentant sans cesse de se réinventer pendant que le Roi s'endormait sur ses lauriers... Ce n'est probablement toujours pas le cas de quelques irréductibles - comme avec nos amis footeux - mais personnellement je fais désormais partie de ceux qui ont changé de camp pour de bon... Mais trêve de bavardage, penchons-nous sans plus attendre sur ce qui fait de ce nouvel opus une belle réussite !
Calquée sur un rythme régulier d'une sortie tous les deux ans, la série Forza Motorsport accouche d'un quatrième volet. Placé sous le signe de la continuité mais pas dénué d'exotisme (compatibilité Kinect), cet opus a toutes les cartes en main pour devenir la simulation auto de référence sur consoles, après le couac Gran Turismo et face à une concurrence insipide. Alors, Forza 4 est-il le meilleur jeu de courses de l'année ? Forza Motorsport 4 assume la totalité de son héritage et, malgré Kinect, il n'est pas l'épisode qui révolutionnera la franchise, simplement parce que Turn 10, le développeur, ne le souhaite pas et n'a rien fait pour. Des menus toujours très classe et épurés à la prise en main, hyper-adaptable, on retrouve cette élégance et cette accessibilité qui font tout le sel de la série depuis ses débuts sur Xbox première du nom. Ainsi, le plébiscite des fans de Forza est déjà acquis et entre la déception GT 5 et le foisonnement de titres hybrides (PGR 4, GRID, NFS Shift...), celui des autres devrait logiquement suivre. En effet, sur consoles, aucun jeu de courses n'offre autant de garanties en termes de réalisme, de plaisir de conduite et d'exhaustivité.
Gamekult
Ajouté le : 09/2011
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Réglé comme une horloge, Turn 10 lâchera son quatrième Forza Motorsport en huit ans le 14 octobre prochain. D'outsider, la saga de Microsoft s'est petit à petit imposée dans le paysage automobile vidéoludique comme étant la simulation de référence sur consoles, aux dépens de Gran Turismo, plus poussif sur cette génération de machines. Si nous avions déjà aperçu le titre lors de plusieurs salons cette année (E3, IDEF et gamescom), il s'est payé une présentation la semaine dernière à Paris afin de se livrer dans une version jouable plusieurs heures d'affilée. Nous ne pouvions évidemment pas manquer le rendez-vous. Nouvelles impressions à moins de trois semaines de sa sortie. Kinectmania Déjà bien installé auprès des joueurs de courses automobiles sur Xbox 360, Forza Motorsport va avec ce quatrième épisode tenter d'approfondir encore un peu plus les choses, mais aussi et surtout de chasser un public plus large. C'est notamment l'objectif de la compatibilité Kinect de Forza Motorsport 4, qui sera jouable grâce à la reconnaissance de mouvements de la caméra.
Cela fait quelques mois que l'on évoque le renouvellement des consoles. Plus si l'on prend en compte des déclarations hors-normes de gens de chez Microsoft qui expliquaient que le développement de la troisième Xbox avait commencé le jour de la sortie de la 360. Mais c'est vrai qu'en ce moment, les déclarations concernant un renouvellement des machines se multiplient. Si Sony nous explique que la durée de vie d'une console, c'est 10 ans, ce n'est pas le cas de Microsoft. Et ces temps-ci, les développeurs, même s'ils restent très prudents sur leurs clauses de confidentialité, les fameux NDA, semblent nous dire qu'ils travaillent déjà sur de nouvelles machines. Mais d'une façon bien moins factuelle, j'ai un peu l'impression qu'il n'est pas possible de faire mieux que ce qui sort en cette fin d'année sur Xbox 360. Gears of War est une petite merveille graphique. Et ce que je viens de voir la semaine dernière avec Forza 4, c'est une petite merveille aussi. Je ne pensais même pas que la Xbox puisse faire cela. Ce qui m'a le plus frappé, ce n'est même pas le jeu, c'est le garage. Dans ce menu, on regarde les voitures, sous toutes les coutures. Jamais des voitures n'ont été aussi bien représentées virtuellement.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 09/2011
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Pour ce quatrième volet, les développeurs de Turn 10 se sont lancé le défi suivant : séduire à la fois les amoureux de belles mécaniques et les joueurs occasionnels. Pour la première tranche de joueurs, la réponse se trouve dans le cœur du jeu : un gameplay quelque peu remanié, de nouvelles courses, une pléthore de véhicules (malgré l'absence de Porsche), un mode carrière revu, des graphismes améliorés et enfin une véritable authenticité dans les sensations de conduite. Si techniquement parlant, Forza 4 peut paraitre à première vue moins clinquant que Gran Turismo 5 par exemple, il s’avère par contre beaucoup plus abouti que son prédécesseur (Forza 3). Il offre en effet un nouveau procédé au niveau des effets de lumière qui fait toute la différence. Les équipes de Turn 10 ont carrément consulté Disney et Pixar pour proposer un rendu dynamique des jeux de lumière. Le résultat, qui apparaît comme vraiment saisissant, apporte aussi un véritable effet de relief à la voiture. Quant à la modélisation des véhicules, elle reste soignée, même si l’on peut déjà regretter que l’ensemble des habitacles soit moins réussi. Concernant les modes de jeu, et plus particulièrement la carrière, Dan Greenwalt affirme que celle-ci sera moins contraignante pour le joueur.
Présente sur le marché depuis 2005, Forza Motorsport, la série exclusive aux machines de Microsoft, continue de tracer sa route avec une impressionnante régularité. Son développeur, Turn 10, parvient pour le moment à tenir le rythme soutenu d'un épisode tous les deux ans sans tomber dans la fainéantise. Après un troisième volet d'excellente facture, paru en 2009, 2011 voit donc arriver en toute logique Forza Motorsport 4. Voilà qui tranche avec l'attitude de Polyphony Digital qui accumule systématiquement retard sur retard pour chaque Gran Turismo. A un peu moins d'un mois de sa sortie, il nous a enfin été possible il y a quelques jours d'essayer Forza 4. L'occasion de se rendre compte qu'à défaut de révolution, Turn 10 nous prépare une nouvelle fois une mouture solide s'adressant à un public de plus en plus large. Aller chercher un nouveau public, voilà un combat que Turn 10 et Microsoft sont loin d'être les seuls à mener. C'est toute l'industrie du jeu vidéo qui essaye actuellement de rallier à sa cause ces joueurs plus occasionnels qui représentent une manne financière non négligeable. Aussi, il n'est pas étonnant de constater que l'une des plus grosses nouveautés de Forza Motorsport 4 - ou tout du moins celle que les développeurs mettent en avant - demeure la compatibilité avec Kinect.
Gamekult
Ajouté le : 07/2011
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Star de l'E3 dernier sur le stand Microsoft, Forza Motorsport 4 s'est, presque aussitôt l'évènement californien terminé, envolé vers la France et plus particulièrement Cannes. C'est en effet à l'IDEF, la semaine dernière, que nous avons retrouvé la simulation automobile de Turn 10, prête à se dévoiler dans une ambiance plus détendue qu'à Los Angeles. En voici donc nos premières impressions par écrit, après une petite présentation suivie de quelques (trop courtes) minutes de jeu. "Forza" "Race" Débutée sur Xbox première du nom en 2005, la franchise Forza Motorsport s'est petit à petit installée dans le paysage vidéoludique et dans le coeur des joueurs comme étant la seule réelle alternative à Gran Turismo sur consoles. Plus régulière, mais aussi plus ponctuelle que son éternelle rivale, elle s'apprête donc déjà à passer la quatrième avec un nouvel épisode a priori pas vraiment révolutionnaire. Pourtant, il nous promet d'emblée une compatibilité Kinect forcément très à la mode dans les jeux first party de la Xbox 360. Elle se déclinera d'abord avec un mode dédié visiblement proche du Forza Kinect que nous avions pu découvrir à l'E3 2010, mais aussi avec de la reconnaissance vocale (qui fera normalement son entrée en France cet automne).
C'est la fête officielle donnée pour Forza Motorsport 4 à l'E3 et au milieu de quelques voitures exotiques - une Gumpert Apollo côtoie une Aston Martin LMP1, tandis qu'une Koenigsegg CCX est timidement rangée dans un coin - Rampage Jackson se contorsionne sur un morceau de Mixmaster Mike. À peine 36 heures auparavant, c'est Dan Greenawalt de Turn 10 qui avait pris sa place en première ligne pour évangéliser le Kinect de Microsoft lors de sa conférence de l'E3. Forza Motorsport 4, nous a-t-on dit, transformera le genre du jeu de course. Une bande-annonce bien chorégraphiée présentait des voitures modélisées avec le niveau de détail sans précédent. Au milieu de cette publicité tapageuse et de tout ce bruit, il est difficile de se faire une idée précise de ce que Forza 4 propose de vraiment excitant- et au-delà de quelques slogans bateaux (de meilleurs graphismes ! Le contrôle de mouvements !) il est tout aussi difficile de décrypter quels changements significatifs ont été apportés à la formule de Turn 10. Quand on en vient à une véritable session de jeu, il est également facile d'être un peu complaisant. Le pilotage de Forza était passé de la simulation austère du second opus aux voitures plus maniables du troisième, mais la mansuétude envers le joueur était restée une constante.
L'un des futurs piliers de la Xbox 360 était évidemment de la fête à Los Angeles, et en a profité pour se dévoiler à nous d'une manière assez complète pour que nous ayons largement de quoi écrire à son sujet. Après un Gran Turismo 5 efficace mais loin d'avoir comblé toutes les attentes qu'il avait nourri, on pourrait presque dire que la production de Turn10 dispose d'un boulevard pour s'imposer d'ici les fêtes de fin d'année ! Imaginez un peu le topo : au volant d'une Ferrari dernier cri, vous voilà en train de dévaler en trombes une pistes nichées sur les hauteurs, et enchaînant les épingles jusqu'à mettre vos reflexes à rude épreuve. A peu de choses près, voici le tableau (de rêve) avec lequel il nous a été proposé d'interagir lors de l'E3 2011. Et si le fameux head tracking, nécessitant Kinect et permettant au joueur de voir la tête du pilote suivre les mouvements de sa caboche en temps réel, n'avait pas encore été implanté, sachez qu'au niveau du gameplay et des mécanismes de jeu, tout ou presque semblait déjà fonctionnel. Toujours aussi agréable à prendre en main (une fois les aides, bien trop intrusives à un certain niveau, partiellement désactivées !), le soft dégage un plaisir de jeu immédiat, nous poussant à arborer une conduite agressive, qu'importe la monture sélectionnée.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 06/2011
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En matière de simulation automobile, GT5 avait tenu le haut du pavé l’hiver dernier, s’attirant une cohorte de détracteurs pour les raisons que l’on sait. n matière de simulation automobile, cette année appartiendra sans conteste à Forza Motorsport 4, désormais le concurrent direct du jeu de Sony dans une confrontation qui pourrait bien changer de champion. Le développeur nous a présenté son nouvel épisode behind closed doors à l’E3, pour nous présenter quelques unes des nouveautés notoires de son nouvel opus. Conçu comme une pure déclaration d’amour au sport automobile, ce nouveau Forza implémentera une sorte d’encyclopédie interactive de la voiture et permettra de consulter des informations fournies par Top Gear sur chaque pièce de chaque voiture dans un environnement graphique en full 3D d’une élégance rare. De quoi donner envie de s’attarder même aux néophytes tant l’esthétique des modèles est mise en avant par cette interface racée. Bande-annonce #2 - les nouveautés L’un des plus gros arguments de ce nouveau Forza, c’est l’amélioration de sa gestion des lumières et des réflexions sur la carrosserie.
Annoncé il y a un an lors de l'E3 2010, Forza 4, pourtant simulation phare de la machine de Microsoft, est resté jusqu'à ce jour assez discret dans l'actualité. C'est donc pleins de questions en tête que nous nous sommes rendus sur le lieu de présentation du quatrième volet du jeu de Turn10. L'occasion d'établir enfin un premier contact avec la bête. Quid du réalisme, quid du contenu, quid de Kinect ? Qu'on se le dise, Forza Motorsport 4 ne devrait pas bouleverser outre mesure les habitudes des fans de la série ! Si Kinect va jouer un petit rôle, si tout un tas d'aspects vont être améliorés dans cet opus, il ressemblera d'assez près à son aîné, pour le meilleur comme pour le pire (si on peut vraiment parler de "pire" dans le cas de l'excellente série de Turn10). En effet, il n'est pas vraiment l'heure d'une remise en question, mais plutôt d'une recherche perpétuelle de perfection couplée à l'idée d'inclure Kinect dans la simulation auto. D'un côté, un maximum d'efforts est consenti pour remettre à jour le moteur et le contenu du jeu et de l'autre, tout est mis en œuvre pour que les joueurs occasionnels aient envie de s'essayer à la course auto, sans que cela n'impacte l'expérience des initiés.
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