20 tests d’experts - 1 avis d'internautes
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Nous avons réuni 20 tests et 1 avis du Final Fantasy XIII. Les experts notent Final Fantasy XIII 8.1/10 et les internautes 7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Final Fantasy XIII et d'autres Jeux Playstation 3.
PlayLipse
Ajouté le : 06/2010
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Franchise à succès depuis la NES, Final Fantasy n?a cessé d?évoluer au fil des années avec des épisodes qui ont conquis la majorité des amateurs de RPG et d?autres qui en ont déçu une bonne partie. Tellement populaire, celle-ci est devenue un véritable produit marketing avec la conception de spin-off exploitant la marque de la licence et tout un tas de produits dérivés. Après un douzième opus qui a divisé les fans, Square Enix avait annoncé un treizième volet exclusif à la PlayStation 3 avec la promesse d?offrir un jeu en HD qui exploiterait au mieux les capacités de la console. Puis, à l?E3 2008, l?exclusivité a été abandonnée et FF13 est devenu multi-supports. Après plusieurs retards, Final Fantasy XIII débarque enfin sur nos consoles de nouvelle génération. Mais après la désillusion des joueurs asiatiques, il y avait de quoi s?inquiéter quant à l?intérêt réel de cet épisode qui risquait plus de faire office de démo technique que de jeu à part entière? Et en effet, c?est le premier mot qui nous vient à la bouche : Final Fantasy XIII ressemble à s?y méprendre à une fabuleuse démo technique. Ses cinématiques sont à couper le souffle, sa mise en scène est magistrale, et les phases in-game sont également très réussies, même si forcément elles sont moins jolies que les cinématiques.
4 ans : c’est à peu près le lap de temps qu’il aura fallu se coltiner entre l’annonce et la sortie de ce Final Fantasy XIII, un RPG qui reprend des bases que ses prédécesseurs ont posées il y a des années pour mieux les détourner. Osé, dans le sens où ces changements annoncés ont de de quoi certainement plus d’un fan de la série. Mais ne dit-on pas que “sans changement, il n’y a pas de progrès possible” ? Autant le dire tout de suite : Final Fantasy XIII est loin de nous avoir fait bonne impression lors des premières heures passées en sa compagnie. Souffrant d’un démarrage poussif, qui donnera plusieurs fois envie de piquer des pois comme dirait l’autre, le jeu traîne une trame plutôt complexe à appréhender, et qui peine à se mettre en place, tant les clichés “déjà vus 1000 fois” érodant le scénario fusent de partout (heureusement, le scénar' fini par décoller et à nous scotcher, plus ou moins...) Car dites vous bien que vous aurez tout de même droit à plus de 3 heures de bla-bla intempestif (entrecoupé de combat bridés, ne laissant pas accès à toutes les possibilités) avant que l’action ne se mette réellement à décoller. C’est long, bien trop long.
Il se sera fait attendre ce treizième Final Fantasy. Depuis les débuts de son développement sur PS2 jusqu’au résultat qui arrive enfin aujourd’hui dans nos consoles HD, que de rumeurs, que d’inquiétudes et de désirs. A tel point qu’avant même sa disponibilité il y avait déjà deux camps, celui des détracteurs, prêts à vouer le titre aux gémonies sous prétexte de progression linéaire, et celui des indécrottables amateurs certains de passer quelques agréables et longues nuits blanches dans un monde lointain, très lointain. Bref, il se révélait donc indispensable de prendre le temps de bien étudier la bête avant de livrer un verdict. FF XIII prend place dans un univers où les humains vivent dans une lune creuse artificielle, Cocoon, elle-même en orbite de la planète Pulse. Il y a 1000 ans une guerre éclata entre Cocoon et Pulse, guerre qui vit la victoire du satellite. Depuis lors, tout ce qui a trait à Pulse est considéré comme impie et dès qu’une relique de la planète est découverte sur Cocoon les habitants qui vivent à proximité sont immédiatement déportés par le Sanctum, le gouvernement de Cocoon, sous prétexte de contamination possible. Et puis il y a les Fal’Cies, des créatures féeriques et mystérieuses.
Adulée par certains et critiquée par d’autres , la sortie d’un nouvel épisode de la saga Final Fantasy ne passe jamais inaperçue dans le monde du jeu vidéo. C’est donc après avoir suscitée une longue attente auprès des joueurs fans de la licence que Final Fantasy XIII a fini par débarquer le 9 mars dernier en France après de nombreux rebondissements au cours de son développement. En effet, le titre à l’origine prévue sur PS2 a dû subir une refonte totale pour sortir finalement sur consoles next-gen. De même, alors que le jeu n’était attendu que sur PS3, Microsoft réussit le coup d’éclat de faire débarquer le projet sur sa console afin de combler ses joueurs fans de RPG. Mais assez parler des considérations marketing entourant le dernier volet de la licence de Square Enix, nous allons maintenant nous attarder sur ce que nous réserve vraiment ce premier volet HD de la saga que certains avaient déjà pu approcher avec la démo payante fournie dans certains packs vendus pour la sortie du Blu-Ray d'Advent Children. Ce treizième volet de la série nous plonge donc dans un univers de science-fiction où l’élément principal reste centré sur le thème du destin.
Final Fantasy est, à l'heure actuelle, cité comme une référence en matière de jeu de rôle japonais. Ce statut est surtout dû à l'accessibilité de son système de jeu, ainsi que des scénarios riches en émotions, encensés par des scènes cinématiques très grand spectacle. Depuis quelques épisodes, l'univers héroic fantasy frôle allègrement avec la science fiction. Final Fantasy XIII confirme cette tendance car, à l'instar de FFXII, l'opus cale de nombreux éléments futuristes. Néanmoins, l'histoire dispose toujours d'une métaphore à la société actuelle, n'hésitant pas à souligner le conditionnement lié à notre société, ainsi que les exigences à conséquences des dirigeants mondiaux.A contrario des précédents opus de la série, le scénario de FFXIII se veut assez complexe puisqu'il met en évidence un certain nombre de termes mystérieux, mais aussi dans la structure du monde dans lequel les évènements opèrent. Concrètement, l'humanité vit dans un monde nommé Cocoon, une sorte de bulle dans laquelle les habitants sont conditionnés selon les désirs des fal'Cie, une entité à la fois crainte et acceptée. Afin de faire la « liaison » entre cette puissance stellaire et les habitants de Cocoon, un gouvernement (le Sanctum) a été créé avec un dirigeant qui ne sert que de pantin pour contrôler la population.
Depuis la première image dévoilée en 2006, en passant par la démo payante avec le Blu-ray d'Advent Children et les innombrables sets d'images lâchés régulièrement par l'éditeur, peu de gens aujourd'hui ignorent encore à quoi devrait ressembler Final Fantasy XIII. Difficile aussi d'échapper à la polémique qui a enflé sitôt les premières versions de test distribuées aux rédactions nippones dont les fuites ont inondé les forums de l'archipel. Son démarrage surpuissant, ainsi que l'engouement suscité en ligne par les fans du monde entier nous confortent sur un point : la popularité de la série. Mais qu'en est-il de la qualité ludo-numérique de cet épisode très controversé ? Un peu à la manière des classiques de la SF, le scénario de Final Fantasy XIII est entrecoupé de nombreuses "surprises" et autres coups de théâtres plutôt sympathiques qui rendent l'exercice de l'introduction du test plutôt hasardeux. Partons donc d'un début rabâché à chaque preview mais qui aura le mérite de ne gâcher le plaisir de personne. L'histoire se déroule dans un monde futuriste dans lequel l'humanité vit réfugiée dans un gigantesque vaisseau flottant, Cocoon.
Disponible depuis près de trois mois au Japon, Final Fantasy XIII s'apprête déjà à débarquer en Europe : un délai d'attente considérablement réduit par rapport aux précédents épisodes de la série, de quoi satisfaire en théorie les fans de RPG japonais qui l'attendaient comme le messie. Seulement voilà les premiers tests en provenance de nos confrères nippons sont apparus comme très mitigés : linéarité, absence de quêtes annexes ou dirigisme exacerbé ont été presque unanimement reprochés à la dernière production de Square Enix. Le constat est-il vraiment si mauvais ? Réponse dans les lignes qui suivent.L'aventure de Final Fantasy XIII se déroule dans un univers futuriste divisé en deux mondes bien distincts : Cocoon et Pulse (aussi appelé le Bas-Monde). Créé il y a bien longtemps par des entités supérieures appelées fal'Cie, Cocoon est un satellite artificiel de Pulse où les humains vivent en toute sérénité, à l'abri des monstres et autres dangers du Bas-Monde. A vrai dire aucun homme n'a jamais vu Pulse de ses propres yeux, mais le discours alarmiste du Sanctum, l'organe politique de Cocoon, suffit à créer la méfiance envers tout être en provenance du Bas-Monde.
Voilà maintenant trois ans que les nombreux fans de Final Fantasy attendaient le nouvel opus de la série sur consoles HD. Final Fantasy XIII débarque enfin avec ses graphismes splendides et un gameplay qui fait la synthèse de tous les bons côtés des épisodes précédents. Mais cela suffit-il à convaincre ? Oui. Permettez-moi tout d’abord de faire les présentations. Comme d’habitude, le nouveau Final Fantasy se déroule dans un univers totalement inédit mettant en scène des personnages inconnus. Commençons par le personnage central qui, une fois n’est pas coutume, est une femme. Lightning, de son prénom, est une jeune soldat appartenant à la Garde Civile de Cocoon. Vient ensuite Snow, bellâtre courageux à la crinière blonde se battant à mains nues et accessoirement fiancé à la sœur de Lightning, Serah. Passons maintenant à la juvénile et jolie Vanille qui, sous ses airs innocents cache un secret dangereux pour sa sécurité. Vient ensuite Hope (rassurez-vous, les prénoms pourris s’arrêtent là), adolescent pré-pubère qui se retrouve orphelin au cours d’une bataille et se greffe au petit groupe pour venger sa défunte mère. Sazh, le chevalier black qui cache un bébé chocobo dans sa coupe afro démodée, se bat aux côtés de Lightning dès le début de l’aventure avec ses deux flingues.
Parce qu'il s'est vu confier la lourde tâche d'être le premier Final Fantasy sur consoles HD, le treizième épisode de la série phare de Square Enix est plus que jamais le centre de toutes les attentions. Très différent du RPG à la japonaise tel qu'on le connaissait jusqu'à présent, Final Fantasy XIII met un point d'honneur à bousculer nos habitudes de joueurs en délaissant complètement l'exploration au profit de l'action. Une volonté affichée de séduire les non initiés, quitte à rendre perplexes les inconditionnels de Final Fantasy. Ancrée dans un univers de science-fiction, l'histoire de Final Fantasy XIII tourne essentiellement autour du thème du destin. Ignorant tout de la réalité de Pulse, le Bas-Monde qu'elle a quitté jadis dans la crainte, l'humanité est venue se réfugier sur Cocoon, un astre artificiel créé par des entités supérieures nommées fal'Cie. Exécutant direct de la volonté de ces derniers, le gouvernement de Cocoon, appelé le Sanctum, n'hésite pas à organiser des « Purges » pour déporter tous ceux qui seraient entrés en contact avec un fal'Cie de Pulse. Et l'un d'eux a justement été localisé dans les vestiges situés à proximité de la ville côtière de Bodhum, entraînant l'exil de tous ses habitants.
J'ai certainement entre les mains un des jeux les plus attendus du moment, voire de l'année. Mes petits camarades de la rédaction ne sont sûrement pas aussi agités que moi par la double consonne « FF ». Tans pis pour eux ! Le blu-ray disc que j'ai entre les mains fait briller mes yeux plus fort qu'une luciole devant une ampoule de 300 watts. Et ce n'est pas un petit bug de l'an 2000 bis qui va m'arrêter pour ce test ! Eh oui, il y a des jeux comme ça, que l'on attend toujours avec impatience, voire une certaine excitation mêlée de frustration. Cette frustration, s'est nourrie des images « work in progress » savamment dispensées par Square. Mais enfin ça y est, le Final Fantasy nouveau est arrivé : il devrait surprendre pas mal de monde, mais pas forcément là où on s'y attend. L'histoire Pour les retardataires, ou ceux qui pensaient que la série était maintenant réservée à la Playstation 3, voici un petit retour sur cette saga (les autres peuvent directement passer au paragraphe suivant). Final Fantasy est un RPG japonais créé en 1987 sur Famicom par le studio Squaresoft (aujourd'hui Square Enix). Pour la petite histoire, Final Fantasy premier du nom est le titre qui a sorti le studio d'une faillite annoncée.
Si le dernier épisode de la série des Final Fantasy est bien arrivé en grande pompe sur les PS3 japonaises, il nous faudra encore attendre jusqu'au mois de mars prochain pour y avoir droit en Occident. Nous avons donc jeté pour vous un coup d'oeil indiscret à cette version nippone histoire de savoir ce que Square Enix nous prépare. Les pontes de Square Enix ont beau nous avoir affirmé qu'ils feraient désormais tout pour réduire le délais entre les sorties occidentales et nippones, les japonais ont tout de même droit au dernier épisode de Final Fantasy avant nous. Ces petits chanceux avaient déjà pu se faire la main sur une démo du titre proposée avec le Blu-ray du film Advent Children. On se souvient que cette dernière ne proposait pas la totalité des fonctionnalités disponibles dans la version finale et qu'elle avait donc laissé plus d'un amateur de la série sur sa faim. La version japonaise nous donne enfin l'occasion de découvrir les nouveautés de cet opus et de nous plonger dans son système de combat qui se veut un peu plus dynamique que celui de ses aînés. Il suffit de lancer le jeu sur sa console pour éprouver un premier choc : si l'on s'attendait à ce que la qualité graphique soit au rendez-vous, on ne peut s'empêcher de rester bouche bée devant la splendeur des décors et des cinématiques.
Vitrine et manne financière de feu Squaresoft depuis ses débuts, la série Final Fantasy fait partie des grandes sagas pouvant à elles seules changer le destin d'une console. Une nouvelle fois, la PS3 un tantinet chancelante a vu ses ventes remonter notablement au Japon grâce à un véritable épisode de ferveur populaire. Une excitation culturelle mais également "entretenue" à son insu par un Square Enix qui n'a cessé de repousser un treizième opus réunissant les espoirs de très nombreux fans traumatisés par Final Fantasy XII. Une chose est certaine, Final Fantasy XIII est effectivement l'antithèse complète de son prédécesseur, mais cela ne suffit pas forcément à en faire une réussite totale. Quittant l'univers teinté d'heroic-fantasy propre à l'Ivalice de Matsuno, Final Fantasy XIII reprend le chemin des derniers épisodes dirigés par Yoshinori Kitase, à savoir une SF tout à la fois lisse et pessimiste. L'action prend place dans la société cloisonnée de Cocoon, refuge des humais après le légendaire "cataclysme" les ayant chassé de ce qui est dorénavant considéré comme l'Enfer, alias Pulse. Une terre désolée où seule vaut la loi de la nature et où la violence est omniprésente.
La plaisanterie en vogue parmi les légions de détracteurs de Final Fantasy, est de dire qu'à part quelques nouvelles ceintures, boucles de ceinturon et laques pour cheveux rien ne change vraiment dans la franchise de RPG japonaise, au nom assez peu approprié vu le nombre de versions. Il est vrai que chaque nouvel opus renvoie au précédent au niveau de la forme et des fonctions, et seules des séquences cinématiques sans cesse plus étonnantes dissimulent les mécanismes vieillots et délabrés de chacun de ces jeux. Selon eux, si l'on jette un oeil derrière le rideau des artifices techniques, il ne reste plus qu'un jeu qui n'a changé que superficiellement par rapport à celui que son créateur avait concocté il y a plus de 20 ans. Même si les mondes et les personnages qui les habitent changent d'un Final Fantasy à l'autre, le reste ne bouge pas d'un poil ; tout change et tout reste pareil. Même si ces sarcasmes recèlent un fond de vérité, leur fausseté exagérée devient manifeste quand on compare Final Fantasy XIII, le grand espoir japonais du RPG pour la PlayStation 3 (et, un peu plus tard dans l'année, pour la Xbox 360), à son prédécesseur immédiat. C'est la carpe et le lapin, car les deux jeux ont une approche presque diamétralement opposée.
Le voilà enfin, le fameux Final Fantasy XIII. Le retour tant attendu aux traditions pour certains, l'ambassadeur des nouveaux standards du jeu de rôle japonais pour d'autres. Une référence en somme dont l'aura ne fait aucun doute tant les joueurs fantasment dessus depuis plusieurs années maintenant. Mais finalement, une telle attente n'est elle pas dangereuse quant on propose un Final Fantasy qui brise les fondements même de ses aînés ?Testé à partir d'une version import japonaise. Vous l'aurez compris, ce volet de la célèbre saga se doit de toucher tous les publics, et l'histoire propose un tel mélange d'idées et de clichés aux antipodes les uns des autres, qu'on se demande si beaucoup n'en sortiront pas avec un goût étrange. Mais résumons-nous : cet univers est composé d'une planète nommée Pulse et d'une sorte de gigantesque monde artificiel, planant dans les airs à l'abri des dangers naturels, répondant au nom poupon de Cocoon. Ce lieu autarcique fait figure de véritable paradis pour les humains qui sont dirigés par un gouvernement protectionniste, le Sanctum. C'est alors que le pire se produit : un Fal'cie, une sorte de dieu cristallin de la planète Pulse, fait son apparition sur Cocoon. L'occasion pour le Sanctum de lancer une sorte de purge ciblant les humains ayant le moindre lien avec l'extérieur.
Gamekult
Ajouté le : 12/2009
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Depuis la première image dévoilée en 2006, en passant par la démo payante avec le Blu-ray d'Advent Children et les innombrables sets d'images lâchés régulièrement par l'éditeur, peu de gens aujourd'hui ignorent encore à quoi devrait ressembler Final Fantasy XIII. Difficile aussi d'échapper à la polémique qui a enflé sitôt les premières versions de test distribuées aux rédactions nippones dont les fuites ont inondé les forums de l'archipel. Son démarrage surpuissant, ainsi que l'engouement suscité en ligne par les fans du monde entier nous confortent sur un point : la popularité de la série. Mais qu'en est-il de la qualité ludo-numérique de cet épisode très controversé ? Un peu à la manière des classiques de la SF, le scénario de Final Fantasy XIII est entrecoupé de nombreuses "surprises" et autres coups de théâtres plutôt sympathiques qui rendent l'exercice de l'introduction du test plutôt hasardeux. Partons donc d'un début rabâché à chaque preview mais qui aura le mérite de ne gâcher le plaisir de personne. L'histoire se déroule dans un monde futuriste dans lequel l'humanité vit réfugiée dans un gigantesque vaisseau flottant, Cocoon.
Pour cette série culte, un rituel immuable s'impose, tous les trois ans. On pose ses vacances ou on sèche les cours. On a fait le plein de céréales et de trucs à grignoter. Sa famille, sa copine, les contacts sont prévenus, on ne sera pas vraiment disponible durant les prochains jours. Le téléphone est mis en veille et on file sous la couette. Le show Final Fantasy peut commencer. Séquence d'introduction ultra travaillée, doublage convaincant, feu d'artifice hollywoodien, le début de Final Fantasy XIII scotche et frappe comme un coup de pied en pleine poire. Un train qui file à toute allure, une cité futuriste aux néons verdâtres, un groupe de résistance contre l'oppression, tout cela sent le clin d'?il à Final Fantasy VII. C'est un peu la manière de Square Enix de nous prendre par la main pour nous rassurer. Le jeu qui va suivre, malgré ses multiples inspirations, est iconoclaste. Sa gestation, aussi longue que suspecte, défie même Final Fantasy XII, son génialissime prédécesseur avec son développement pourtant terminé aux forceps. Final Fantasy XIII donnera probablement aux connaisseurs l'impression d'avoir été ultra réfléchi, à tel point qu'on le croirait issu d'une séance de brainstorming du « XII » mythique.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 10/2009
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À l'heure où le RPG japonais semble toujours éprouver des difficultés sur consoles PS3 et Xbox 360 (avec des titres globalement mitigés autant dans le fond que dans la forme), beaucoup attendent Final Fantasy XIII comme le messie, celui qui arrivera à combler la plupart des amateurs de jeux de rôle nippon tout en proposant une technique vraiment à la hauteur des supports précédemment énoncés. Après une démo japonaise assez bridée (le jeu de mots était facile), incluse avec le Blu-Ray d'Advent Children, nous avons pu enfin essayer une version plus avancée du titre de Square Enix lors du Tokyo Game Show 09. Voici nos impressions... Avant de partir directement dans le vif du sujet, une petite piqûre de rappel s'impose. En effet, pour ceux qui n'auraient pas suivi les nombreuses informations/rumeurs diffusées au rythme du développement du jeu, Final Fantasy XIII (prévu tout d'abord seulement sur PS3, puis annoncé sur le support de Microsoft uniquement pour l'Occident) ne reprend pas les concepts de gameplay de son aîné, Final Fantasy XII. Là où son ancêtre prônait des combats en temps réel dans de grandes étendues, FFXIII refait appel au tour par tour... tout en prenant bien soin de ne pas couper le temps lorsque le joueur navigue dans le menu de commandes.
Sans aucun doute l’attraction numéro un de ce TGS 2009, Final Fantasy XIII occupe une part importante dans le salon tokyoïte. Présent à la fois sur le stand de Square Enix, son éditeur, mais aussi de Sony Computer Entertainment qui en a fait aussi son atout charme, le jeu a été aussitôt pris d’assaut par les journalistes, pressés de jouer à cette nouvelle démo. Alors, satisfaction ou déception ? S’il a fallu se contenter de simples images et de quelques trailers pendant plusieurs années, l’édition 2009 du Tokyo Game Show nous aura prouvé que Square Enix sait se montrer généreux quand il le veut. Un stand bâti autour de Final Fantasy XIII, pas moins de 30 bornes dédiées au RPG pour des sessions de jeu durant près de 15 min, il ne fait plus aucun doute quand au statut de star qu’affichait le jeu lors du salon tokyoïte. Cerise sur le cake, ce n’est pas une mais deux démos qui nous sont offertes, étant donné que le joueur aura le choix entre le personnage de Lightning et celui de Snow. Deux protagonistes à l’approche différente puisque Lightning favorise davantage la furtivité au rentre-dedans, un art que maîtrise notre jeune éphèbe.
Gamekult
Ajouté le : 09/2009
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Il faut remonter jusqu'au mois d'avril et la sortie de la démo d'Advent Children Complete pour se rappeler la dernière fois que l'on a pu "jouer" à Final Fantasy XIII. Une démo pleine de promesses mais un peu étriquée, à l'image des couloirs interminables qui (télé)guidaient Lightning et sa troupe. Celui que l'on présente comme le sauveur du RPG japonais sur Next Gen fait aujourd'hui l'événement au TGS, à trois mois seulement de la sortie japonaise, fixée au 19 décembre. Comme une ultime répétition ou presque, avec non pas une mais deux démos. Déjà présentée à l'issue de la Premiere Party mi-septembre, cette version TGS 2009 se décomposait en deux parties distinctes. La première, celle de Lightning, jouait la carte de l'infiltration, comme un pied de nez à ceux qui accusaient FF XIII d'être monté sur rails. Certes, infiltration et jeu de rôles n'ont jamais fait bon ménage, et ce ne sont pas les rondes scriptées des soldats de PSICOM, l'organisation chargée de protéger la Terre Sainte des envahisseurs de Pulse, qui devraient mettre les nerfs des joueurs à l'épreuve. Accompagnée de Hope, un jeune adolescent orphelin qui combat au boomerang, Lightning n'avait finalement besoin que de guetter les conduits d'aération pour passer les obstacles sans encombre.
Après nous avoir sérieusement aguichés avec une démo très incomplète mais néanmoins suffisante pour nous laisser découvrir les bases de Final Fantasy XIII, Square Enix se décide enfin à nous en apprendre un petit peu plus sur son gros bébé. Assoiffés de connaissances, littéralement frétillants d'impatience à l'idée d'obtenir de nouvelles informations sur Final Fantasy XIII, nous avons finalement été récompensés par une brève présentation de la bête. L'occasion de découvrir un tout nouvel environnement tout en répondant à de nombreuses questions. La démo mettait effectivement en valeur une vaste caverne gelée remplie d'ennemis, les fameux soldats de Cocoon, la cité céleste dans laquelle nous débuterons l'aventure. Comme vous le savez effectivement, le joueur évoluera dans un monde peuplé de créatures errantes, il pourra choisir de les éviter, de fuir ou d'entrer en contact avec elles ce qui aura pour effet de le propulser directement dans la phase de combat. Nous avons pu d'ailleurs noter qu'une petite icône apparaissait au-dessus de la tête des adversaires lorsque ceux-ci apercevaient le joueur.
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