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Nous avons réuni 15 tests du Fallout : New Vegas. Les experts notent Fallout : New Vegas 8.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Fallout : New Vegas et d'autres Jeux PC.
Bien que Fallout 3 a permis à de nombreux joueurs de connaître la série, les fans initiaux ont été quelque peu refroidi par le changement d'orientation que prenait la saga. Certes, l'univers post-apocalyptique demeurait intact, mais le déroulement du scénario principal se voulait bien trop creux et avare en possibilités. Toutefois, l'expérience se voulait immersive, en raison d'une très vaste aire de déplacement, ainsi qu'aux nombreuses quêtes annexes et autres objets cachés. Bethesda Softworks décide de faire intervenir Obsidian Entertainment dans le développement de Fallout New Vegas. L'équipe de développement étant formé d'anciens membres de Black Isle (studio à l'origine des deux premiers Fallout), les adorateurs de la licence reprenaient espoir en un volet digne de l'univers très riche de la série.â?¨â?¨Comme prévu, ce nouvel épisode renoue avec de nombreuses subtilités des premiers épisodes. Aussi, nous évoluerons dans le désert du Mojave, en Californie, avant de fouler les abords de New Vegas, une ville sur-protégée et régie par des casinos et autres affaires louches. Dans cette aventure, vous n'incarnez pas un rescapé d'abri, mais un messager retrouvé mort dans les terres dévastées du Mojave par un étrange robot qui se prend pour un cow-boy.
Le contrat était clair : Obsidian, invité à remettre sur l’établi la série post-apocalyptique, n’avait pas pour mission de renouveler le concept (on ne change pas une formule qui marche). Se glissant scrupuleusement dans le costume de Bethesda, le développeur récite ses gammes sur la franchise en bon élève habitué à l’exercice de la reprise (remember Kotor 2 et Neverwinter Nights 2)... Mais il s'agit également d'un juste retour des choses, puisque ce jeu est le moment des retrouvailles entre la série et certains de ces créateurs passés depuis chez Obsidian. Le scénario est à l’avenant, situant l’action dans la continuité des deux premiers épisodes dans un esprit de retour aux sources. Dès la séquence d’intro, le joueur se retrouve dans la peau d’un « postier » survivant par miracle à son assassinat : il se lance fort logiquement à la poursuite de ses meurtriers dans une quête qui le mènera jusqu’à New Vegas, alors qu’une guerre menace d’éclater à chaque instant entre la Nouvelle République de Californie et la Légion, armée d’esclavagistes menée par un despote en puissance. Au joueur de choisir à qui iront ses faveurs… ? pitch prometteur, promesses tenues ?
Alors qu’il aura fallut attendre 10 ans pour voir Fallout 3 pointer son gros museau sur nos machines, les fans les plus tatillons s’accordaient sur une légère déception sur l’aspect jeu de rôle largement perfectible. Chez Bethesda, on aime la communauté, on la chouchoute, lui propose des DLC pour prolonger l’expérience. On l’aime tellement qu’on va lui offrir un Fallout 3.5 qu’on appellera New Vegas. Alors comme ça notre franchise néglige son coté jeu de rôle ? Pas de soucis, on appelle Obsidian à la rescousse pour développer le tout. Désert radioactif, villes fantômes, saloons, casinos et péripatéticiennes pas trop regardantes sur la gueule du client, pas de doute on est en plein Nevada. C’est dans le petit village de Goodspring qu’on le joueur se réveille avec un sacré mal de crâne, dans le lit du doc’ local. Il faut dire qu’après s’être fait plombé par des inconnus qui nous ont laissés pour mort dans une tombe à moitié enterré, il y a de quoi avoir mal à la tête. Après quelques explications rapides sur la situation et deux ou trois rappels concernant les contrôles du jeu, nous voilà prêts à créer notre avatar. La licence nous a habitués à une création de personnage toujours assez réussie car originale.
Confié à Obsidian Entertainment, dont la réputation auprès des amateurs de jeux de rôle n'est plus vraiment à faire, Fallout New Vegas représente à plus d'un titre une sorte de grand espoir pour les fans des Fallout originaux, puisqu'on trouve dans l'équipe de développement des personnes comme Chris Avellone ou J.E. Sawyer, dont les noms rappelleront des bons souvenirs à ceux qui ont joué aux deux premiers opus à l'époque de leur sortie. Alors que Fallout 3 a divisé, la faute à des choix de gameplay pas toujours heureux, une simplification à outrance, et un bourrinisme exacerbé, New Vegas a-t-il réellement de quoi convaincre les puristes de l'univers post-apocalyptique le plus célèbre du jeu vidéo qu'il y a une vie après Fallout 2 ? Laissé pour mort, une balle dans la tête, enterré en plein désert à quelques kilomètres de feu la plus célèbre cité du jeu au monde, on peut rêver mieux comme début de carrière. Nous ne sommes pourtant pas dans le Casino de Martin Scorsese mais bien dans Fallout : New Vegas, qui commence par l'assassinat programmé du personnage que l'on sera amené à incarner tout au long du jeu, un courrier chargé de transporter un mystérieux jeton de platine dans le désert de ruines de ce qui a, il y a fort longtemps, été Las Vegas et ses environs.
Confié à des anciens de Fallout 1 et 2, ce nouvel opus est éblouissant, comme une brahmine nourrie au foin radioactif. La guerre, toujours la guerre. Deux cents ans se sont écoulés depuis que le feu nucléaire s'est éteint, après avoir rayé une bonne partie de l'humanité de la carte. Le monde, ou ce qu'il en reste, n'est pas en paix pour autant. Malgré ses familles quasi mafieuses et la domination d'un magnat reclus, connu sous le nom de Mister House, New Vegas n'est qu'une oasis de tranquillité au milieu d'un désert d'anarchie. Pour ne rien arranger, deux puissances se disputent la région : la Nouvelle République de Californie, établie à l'ouest, et la Légion de Caesar, un ersatz d'Empire romain, des esclavagistes réactionnaires venus de l'est. C'est dans ce contexte que vous, pauvre messager transportant un jeton de platine dont vous ignorez tout, vous vous retrouvez proprement abattu de deux balles en pleine tête et enterré à la hâte par un voleur aux allures de gigolo. Et ce, dès la cinématique d'ouverture. Miracle : Victor, un étrange robot cow-boy qui passait par là, vous déterre et vous porte jusqu'à un médecin génial.
Egalement disponible sur : Il y a deux ans sortait Fallout 3, le successeur tant attendu de deux jeux de rôle cultes, définitivement installés au panthéon des RPG. Dans son ensemble, la presse s'est fendue de notes faramineuses et de critiques dithyrambiques, tandis que le public a adhéré en masse. Pourtant, nous étions quelques-uns, journalistes comme joueurs, à être moins légèrement moins enthousiastes. Il faut dire qu'avoir connu la grande époque des premiers Fallout aide à la clairvoyance face à ce qui n'était grosso modo qu'un "Oblivion avec des flingues". Mais oublions ces divergences d'opinion car, aujourd'hui, New Vegas est là pour mettre tout le monde d'accord !Contrairement à Fallout 3, Fallout : New Vegas n'a pas été développé directement par Bethesda Softworks (qui reste l'éditeur du jeu) mais par Obsidian Entertainment. C'est peut-être un détail pour vous, mais pour les rôlistes ça veut dire beaucoup. En effet, ce studio abrite quelques grands noms ayant déjà oeuvré sur les deux premiers épisodes de la série. Dès lors, ce nouvel épisode a nettement plus de chances que le précédent de nous faire retrouver la saveur d'antan et de s'inscrire de manière parfaitement cohérente dans la saga.
Quand Bethesda Softworks a annoncé son intention de donner une suite rapide à Fallout 3, basée sur le même gameplay et sur le même moteur hérité du dernier Elder Scrolls, les détracteurs du jeu commençaient déjà à ironiser. A un détail près : Fallout New Vegas serait développé par Obsidian Entertainment, un studio fondé sur les cendres de Black Isle, et chapeauté par Chris Avellone, connu pour son travail sur Fallout 2. Et là, tous les sarcasmes ont cessé pour laisser la place à une religieuse attente. Fallout New Vegas a été conçu dans une optique des plus louables : réconcilier les fans historiques de la franchise, qui restent fermement attachés aux deux premiers épisodes, avec l'orientation qu'elle a prise dans Fallout 3. Autant dire que l'entreprise relevait de la gageure, et s'il n'était pas question de modifier les fondements d'un gameplay qui lui a attiré un nouveau public, quelques retouches pouvaient suffire à maquiller cet excellent Elder Scrolls post apocalyptique en un digne rejeton de la saga. Avec son système de réputation, son mode Hardcore et ses perks tous les 2 niveaux, Fallout New Vegas y va donc de son élitisme flatteur saupoudré de fan-service : les retrouvailles avec la République de Nouvelle Californie, le retour des Geckos et - cerise sur le gâteau - l'utilisation de quelques thèmes musicaux composés par Mark Morgan pour Fallout 1 & 2, provoqueront l'érection des plus blasés.
Certes, Alpha Protocol a été un ratage quasi total, la faute à une technique à la ramasse et un système de jeu mou du bulbe. Mais derrière cette vilaine peau, on sentait que le jeune homme aurait dû être diablement plus sexy. La qualité d’écriture était là et on percevait clairement de la part des développeurs une volonté d’offrir une expérience rôliste intéressante. En y réfléchissant bien, les causes de l’échec d’Alpha Protocol apparaissent pourtant évidentes : les petites mains habiles du studio étaient bien trop occupées à créer un chef-d'oeuvre : Fallout New Vegas. Ça y est, l’adjectif pompeux est lâché, avant même le premier intertitre. Maintenant que j’ai vendu la mèche, autant tout avouer : New Vegas est un jeu de rôle exceptionnel, bien meilleur que Fallout 3, et puise directement son talent dans les mythiques épisodes en 2D de la série. Avant de poursuivre dans le superlatif, commençons par pitcher le synopsis, comme on dit dans les magazines arty et bobos : vous débutez votre histoire en assistant à votre mort. Une bande de malfrats vous tient en joue, avec en son centre une espèce de réplique de Joe Pesci sapée d’un costard blanc à carreaux. Vous possédez apparemment quelque chose que ces mafieux post-nuke convoitent.
Le poids de la licence Fallout. Le moteur bancal de Bethesda. L'écriture réputée inégale d'Obsidian. Avec une telle combinaison, Fallout : New Vegas s'annonçait quelque part entre la catastrophe ambulante et le digne successeur d'une légende. Alors pile ou face ? Ou sur la tranche ?Les versions étant similaires, les tests le sont également. Le cerveau est un outil étonnant au fonctionnement mystérieux. Je suis toujours surpris de voir comment il peut "oublier" certains aspects négatifs pour se concentrer sur les bons souvenirs d'une expérience. Prenez Fallout 1 et Fallout 2 par exemple, il y avait pas mal de problèmes avec et on souffrait en y jouant. Si, soyez honnêtes, un peu. Mais au final, la souffrance était contrebalancée par le génie de l'ensemble. On se souvient de la fin Fallout 1, mais on oublie que le temps limité pour la première partie de la quête a fait s'arracher les cheveux à de nombreux joueurs. On se remémore l'humour de Fallout 2, mais on ne se rappelle plus trop bien de l'histoire principale, qui franchement ne casse pas cinq pattes à un canard mutant. C'est comme ça, le cerveau pardonne ce qui est mauvais et les bons moments ressurgissent plus facilement. Et un jeu comme Fallout 3 a dû se construire par-dessus ce genre de légende. Difficile. Le problème de Fallout 3, c'est son côté "mouais".
Oui oui, il est très bien ce Fallout New Vegas. Si vous avez aimé Fallout 3, vous l'aimerez autant. Si vous l'avez détesté... je ne vous parle plus. C'est bon, je peux retourner jouer ? Comment ça « Pourquoi ? ». Ah OK, je vois, vous voulez tout savoir... Bon très bien, je développe.Autant l'avouer tout de go, j'étais un peu inquiet à l'annonce de New Vegas. Ce qu'on apprécie dans Fallout, ce sont les zones désertiques, l'ambiance déglinguée d'un monde qui se remet avec peine d'une guerre totale. Bref, le côté clinquant de Las Vegas ne semblait pas cadrer avec l'univers. Heureusement, je me trompais, il y a toujours autant de poussière et de zones désertiques à explorer. Perdu au millieu du désert, il y a bien sûr New Vegas. Je n'en parlerai pas pour deux raisons : d'une part, je n'y suis pas encore arrivé après 30 heures de jeu et surtout, il serait dommage de trop en dire puisqu'il s'agit d'un des gros buts du jeu. Si vous voulez vraiment en savoir plus, regardez notre vidéo consacrée à « The Strip ». Fallout New Vegas se passe 3 années après les événements relatés dans Fallout 3. De l'aveu d'Obsidian, qui a repris le flambeau des mains de Bethesda Softworks, il ne s'agit pas d'une suite.
Un changement dans la continuité. Voilà comment apparaît ce nouvel épisode de Fallout qui continue d'explorer un univers post-apocalyptique particulièrement dense. Découvrez nos premières impressions après une heure de jeu. Bienvenu à New Vegas... les pieds devant ou presque ! En effet, c'est presque mort que vous vous réveillez dans ce monde aussi violent que désespéré, sujet à tous les excès. On a tenté de vous tuer et vous voulez coûte que coûte trouver le coupable. Une fois la manette en main, nous voilà déjà face à un dilemme (ceux-ci ne manquent pas dans l'univers de Fallout) : explorer le quartier dévasté dans lequel le personnage débute l'aventure et aller à la rencontre de quelques gangs, ou bien tenter de pénétrer dans New Vegas dont l'accès, ultra surveillé, se situe tout au bout de la rue. Finalement, il nous a été possible de faire les deux ! D'abord, pour le premier acte, direction un immeuble proche gardé par des individus louches. Après un court échange verbal nécessitant de sélectionner la réponse la plus adéquate parmi la dizaine disponible (de la plus simple à la plus ironique en passant par la plus décomplexée), on peut entrer dans le quartier général des Kings, un des gangs qui tentent de régner sur la ville.
Si de nos jours Las Vegas est considérée comme la cité du vice, il ne faut pas s'étonner qu'elle devienne carrément une ville de pécheurs absolus après l'apocalypse nucléaire. Si Fallout New Vegas avait déjà livré nombre de ses secrets dans notre premier aperçu, il a su profiter de l'E3 pour dévoiler encore quelques menus détails, essentiellement liés à une refonte des combats rapprochés. Pour les endormis du fond, prenons la peine de rappeler un peu le pourquoi du comment de ce Fallout qui nous entraîne dans les restes de Las Vegas, zone supposée avoir été relativement épargnée par la catastrophe nucléaire et qui fait plus ou moins office d'oasis opulente. Evidemment, à côté des Wastelands, il en faut peu pour se donner des grands airs et en guise d'oasis, on parlera plutôt de désert un peu moins sec que les autres. D'autant que la zone est loin d'être particulièrement pacifique, diverses factions se la disputant. Point central de tout ce joyeux bazar fait de casinos, le Strip est un lieu de vie dans lequel les habitants tentent d'oublier la misère et la guerre. En dehors des rencontres habituelles qui vous conduiront à remplir moultes quêtes, le Strip vous donnera l'opportunité de vous adonner aux jeux d'argent, qu'ils soient réels ou qu'ils aient été inventés par Obsidian.
Parfois, pour progresser, il faut revenir en arrière. Au cours de ces dernières semaines, Bethesda Softworks a présenté aux journalistes de jeux du monde entier ce qu'il pense être la meilleure gamme de son histoire : Rage, un jeu qui fait son retour, développé par son nouveau partenaire d'écurie id Software ; Brink de Splash Damage, une vision très différente du futur des FPS ; Hunted de InXile, un jeu d'exploration de donjon se déroulant à l'époque actuelle ; et bien entendu Fallout : New Vegas, la suite du fabuleux succès de 2008, Fallout 3.Pourtant Bethesda, en tant que développeur, est absent de son propre défilé de stars. C'est Obsidian Entertainment, un sous-traitant chevronné et spécialiste du RPG, qui a par le passé travaillé pour BioWare (sur Knights of the Old Republic II et Neverwinter Nights 2), qui dirige New Vegas à sa place. Il y a des années-lumière de différence entre le style de BioWare et celui de Bethesda, et encore un autre gouffre entre ce dernier et les racines Black Isle d'Obsidian. Cela dit, si vous désiriez une approche radicalement différente de Fallout 3 avec New Vegas, vous serez déçu.
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Ajouté le : 05/2010
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Afin de célébrer comme il se doit les deux ans de Fallout 3, Bethesda et Obsidian préparent le lancement d'une sorte de suite / extension. Fallout : New Vegas devrait arriver en fin d'année, pile-poil pour l'anniversaire d'un grand frère qui aura certes permis de retrouver avec bonheur un univers post-apocalyptique riche et passionnant, mais qui n'est pas parvenu à réconcilier les amateurs des deux premiers opus avec le jeu de rôle à la Bethesda. Au travers d'une longue présentation non-jouable, Chris Avellone a tenté de nous convaincre que son New Vegas est capable de faire mieux, et ce, à tous les niveaux. Impressions. Scénariste d'abord d'Interplay puis d'Obsidian, Chris Avellone est une sorte d'incontournable pour l'amateur de « jeux de rôle assistés par ordinateur ». Pensez effectivement que le curriculum vitae du bonhomme est jalonné de titres aussi prestigieux qu'IceWind Dale 2 et NeverWinter Nights 2. Mieux, Chris Avellone était responsable du projet Planescape Torment et il a participé à la conception de Fallout 2. Voilà le genre de références capables de mettre en confiance le plus aigri des testeurs. Hélas, la curiosité des premières minutes de la présentation New Vegas a rapidement laissé la place à une relative déception.
Si Fallout 3 et sa ribambelle de contenus téléchargeables aussi malodorants qu'un tas de brahmines mortes n'ont pas encore réussi à étancher votre soif d'eau contaminée et plus généralement de post-apo, alors sans doute chercherez-vous à prendre une nouvelle dose par l'intermédiaire de Fallout : New Vegas. Développé cette fois par les petits gars d'Obsidian, ce nouveau volet s'annonce d'ores et déjà comme un épisode 3 bis, mais avec des morceaux de côte Ouest dedans. Si Fallout 3 avait le bon goût tout relatif de nous faire littéralement vivre la naissance de notre personnage, New Vegas, lui, choisit de commencer par sa "mort". Dégommé par on ne sait trop qui pour on ne sait trop quelles raisons, le personnage que vous choisirez d'incarner, ou plutôt sa dépouille, est en fait récupérée dans une décharge par un robot avant d'être confiée à un chirurgien local. Aussi étonnant que cela puisse paraître, le bougre parvient à reboucher les trous qui n'étaient pas là à l'origine tout en vous concoctant un nouvel anus avec un tuyau d'arrosage et une bouteille de Nuka-Cola. Du coup, c'est dans le doux logis du médecin que vous procéderez à la (re)création progressive de votre avatar.
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