Fable : The Journey
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Nous avons réuni 16 tests du Fable : The Journey. Les experts notent Fable : The Journey 5.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Fable : The Journey et d'autres Jeux Xbox 360.
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Test Fable : The Journey
Fable : The Journey
Fable fait partie des licences indissociables de la marque Xbox. On se souvient avec une certaine émotion (et pour certains pas mal de regrets) des premières informations qui ont pu filtrer sur le premier jeu sorti sur Xbox. Fable résonnait comme la promesse d'une expérience de jeu inédite où le joueur ne ferait qu'un avec son personnage. La suite on la connait et, de projet enchanteur, Fable est devenu un excellent Action-RPG. Les deux épisodes suivants sortis sur la Xbox 360 se sont encore éloignés de l'aspect RPG et c'est finalement une très bonne saga d'action-aventure qui a trouvé sa place dans la ludothèque de la Xbox 360. Une exclusivité portée par un univers graphique très particulier qui emprunte autant aux livres d'enfant qu'aux illustrations des contes classiques. Avec Fable The Journey, la saga se permet une petite halte et prend un chemin détournée de la trame principale pour nous emmener dans un épisode dont la particularité est de se jouer essentiellement avec Kinect. Là encore, les promesses sont nombreuses et résonnent comme une invitation au voyage.Vous voilà donc dans le rôle du jeune insouciant, Gabriel de son prénom, qui fait partie d'une communauté de gitans similaire à celles croisées dans les autres épisodes de Fable.
Fable : The Journey
Fable : The Journey semble avoir été inventé pour diviser. Il utilise le nom d'une licence célèbre, mais propose quelque chose de très différent. Il se présente comme un jeu d'action, mais offre une expérience qui en est très éloignée. Enfin, il propose un gameplay bancal dont on dira beaucoup de mal, en oubliant tout ce qu'il a de bien. Plus que la division, ce Fable va surtout attirer les critiques, justifiées pour certaines, exagérées pour bien d'autres. Peut-il également attirer quelques louanges ? Vous êtes Gabriel, jeune caravanier qui est toujours celui qui ferme le convoi. En retard, peu enclin à écouter ce qu'on lui dit, Gabriel est surtout un rêveur. Le rythme régulier de la caravane ne le passionne pas, lui se voit comme un aventurier courageux prêt à affronter tous les dangers. Quand il va se retrouver séparé de ses compagnons de voyage, c'est malgré lui qu'il va devenir ce personnage fantasmé. Obligé de faire un détour considérable pour retrouver les siens, il rencontrera une prophétesse qui l'accompagnera sur la route de l'héroïsme comme témoin (et actrice ?) de sa transformation en un guerrier magicien sauveur d'Albion. Cette histoire de héros malgré lui, on l'a déjà vécue des dizaines de fois.
Test de Fable : The Journey
Les liens qui unissent Kinect à l'équipe de Lionhead Studios sont assez particuliers. Travaillant avec l'accessoire de la Xbox 360 depuis sa révélation il y a maintenant plus de deux ans, via un curieux projet Milo que l'on n'aura cependant jamais la chance de découvrir, les développeurs britanniques entendent imposer leur vision du jeu sans manette avec Fable : The Journey. Un épisode qui veut s'inscrire comme le véritable successeur de la célèbre franchise Fable, mais a-t-il l'étoffe d'un héros ? Les héros des précédents opus Fable ont une caractéristique commune : leur personnalité est celle que les joueurs ont bien voulu leur donner au fil des heures de jeu. Fable : The Journey se démarque d'emblée sur cet aspect-là en introduisant un jeune voyageur du nom de Gabriel qui, avec sa carriole tractée par sa fidèle jument Siren, fait partie d'une caravane de nomades qui parcourent tranquillement l'Albion. Mais alors qu'il se retrouve séparé du reste du convoi, notre ami fait la rencontre de Theresa, la prophétesse bien connue des fans de la franchise qui va lui révéler que le monde est en proie à une terrible menace.
Test Fable : The Journey
Souvenez-vous, lorsque Microsoft leva pour la première fois le voile sur son périphérique de détection de mouvements, c'est Peter Molyneux qui enfuma la planète avec le talent qu'on lui connaît dans cet exercice : Kinect - Natal à l'époque - allait révolutionner notre approche du jeu vidéo. Trois ans plus tard, le premier jeu dédié à cet accessoire sorti des studios du flegmatique affabulateur est enfin disponible. Avec Fable The Journey, c'est définitivement la fin des lendemains qui chantent. Après un Fable Heroes décevant - pour ne pas dire médiocre - la licence phare de Lionhead Studios se permet une nouvelle incartade avec un titre dédié au périphérique de détection de mouvements Kinect. Une énième tentative de la part de Microsoft de garnir la ludothèque spécifique de son accessoire avec un grand nom. Mais un énième cache-misère incapable de sauver les apparences. Pourtant, on ne peut pas dire que Lionhead ait bâclé le travail. Le titre nous raconte la quête initiatique du jeune Gabriel qui, par la force des choses, sera amené à combattre une entité maléfique traquant la mystérieuse Theresa, rencontrée au début de son périple. Très vite, le jeune homme se verra investi de pouvoirs magiques et se découvrira un courage qu'il ne soupçonnait pas.
Test Fable : The Journey
Quand on vit en Albion, il y a de quoi être rêveur et un peu étourdi. Et ce n'est pas Gabriel qui viendra nous contredire. Alors qu'il prenait la route, le jeune garçon s'est assoupi et laissé distancer par ses compagnons. Une chose qui n'est pas forcément prudente sur ces terres pas toujours bien fréquentées, et qui devient carrément dangereuse lorsqu'un éclair inopportun détruit un pont et le sépare du reste de sa troupe. Contraint de faire tous les détours du monde pour rejoindre sa destination, Gabriel va donc vivre un long périple aux commandes de sa carriole. Un long périple qui l'emmènera à la rencontre la prophétesse Theresa, ce qui n'est évidemment pas bon signe, et fera de lui le nouvel héros en devenir du pays.Très vite, il mettra ensuite la main sur une puissante relique : une paire de gantelets. Ceux-ci lui octroient des dons de magie et posent définitivement les grandes lignes du concept de Fable : The Journey. Globalement, on peut dire qu'il se décompose en deux phases bien distinctes : celles où l'on doit prendre les rênes de son embarcation pour déjouer les pièges posés sur notre chemin, et celles où l'action se fait plus intense et où l'on est obligé de faire appel à la magie.
Fable : The Journey
Paru en 2004, le premier épisode de la série Fable nous invitait à participer à une aventure épique et enchanteresse, en nous permettant d'incarner un héros pour lequel on ressentait de l'empathie. Lionhead Studios nous fournit ensuite deux autres opus de qualité, s'éloignant encore du jeu de rôle et épousant pleinement le genre aventure / action. Mais pour Fable : The Journey, le changement de cap est total : on se trouve face à un épisode bien différent prenant la forme d'un rail-shooter ayant vocation à utiliser pleinement les fonctionnalités de Kinect. Précisons-le dès le début : les comparaisons avec les trois épisodes déjà connus de Fable n'ont pas vraiment lieu d'être. En effet, Fable : The Journey est un opus bien distinct, n'ayant à peu près rien à voir avec ses aînés, si ce n'est qu'il se déroule également dans l'univers d'Albion, et que le joueur y retrouvera donc les mêmes références et le même background. Il ne faut donc pas l'appréhender comme un Fable IV, mais comme un épisode à part, offrant une aventure intimement liée au fameux Kinect, appareil à reconnaissance de mouvements cher à Microsoft.
Fable : The Journey
Fable, la fameuse licence de Lionhead, est considérée par beaucoup comme une référence sur les consoles Microsoft. Un univers féérique, mais toujours cohérent, niché dans une Albion débordante de vie, des héros charismatiques, des interactions matures et un aspect action-RPG maîtrisé et addictif, voici les composantes de cette série incontournable. Mais alors pourquoi réaliser un épisode jouable exclusivement avec Kinect, la caméra de la Xbox 360 ? Doit-on réellement le considérer comme une trahison (pour les fans) ou, plus simplement, comme une tentative désespérée de proposer une alternative aux jeux casuals, indisociables du motion controller ? Réponse en quelques lignes.Lorsque j'ai pratiqué Kinect pour la première fois, j'ai été sédui par le concept. Pour autant j'attends encore aujourd'hui des titres avec une réelle profondeur, vraiment précis, tout en m'amusant parfois sur Dance Central ou encore Child of Eden. Alors autant vous dire que c'est un peu blasé que j'ai lancé Fable : The Journey, puisque je suis, comme beaucoup, un grand fan de la série. Qu'est-ce qu'ils ont bien pu faire en mélangeant Kinect et Albion ? Me disais-je sottement.
Test Fable : The Journey
Après un Fable Heroes plus que dispensable, Fable s'en revient sur nos XBox avec un second titre hors de la série canonique. Exit donc l'Action-RPGet le beat them all plein de mignoncité, et place à un simili shooter sur rail entièrement jouable grâce à Kinect. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que si ce Fable the Journey n'est pas le jeu du siècle, tout n'est pas à jeter, ce qui n'est pas rien au vu du reste de la ludothèque Kinect. Prenant place quelques années après la fin des événements de Fable 3, ce Fable the Journey nous met aux prises avec Gabriel, un jeune homme appartenant à la tribu des nomades si souvent croisée au cours de la saga. Jeune et tête en l'air, il passe son temps à rêver d'aventure et de destinée épique, au détriment de la bonne conduite de sa carriole. Ce qui, comme l'on peut s'en douter, lui jouera de sacrés tours. A commencer par la séparation d'avec sa tribu consécutivement à un violent orage ayant eut la bonne idée de briser le seul pont disponible à des kilomètres à la ronde. Se retrouvant seul, Gabriel va donc devoir voyager par monts et par vaux pour rejoindre ses bons amis. Mais c'était sans compter sur sa rencontre avec cette bonne vieille Thérésa, prophétesse de la Flèche depuis maintenant trois épisodes, et le retour de la Corruption.
Test de Fable : The Journey
Annoncé en même temps que la caméra Kinect, alors baptisée "Natal", le curieux projet Milo ne verra jamais le jour sur Xbox 360. Ses créateurs, du studio anglais Lionhead, se sont plutôt mis en tête de repartir sur un nouvel épisode de Fable, leur série fétiche, en réutilisant les travaux réalisés sur la technologie Kinect. Ainsi est né Fable The Journey, un spin-off qui se joue intégralement sans manette de jeu, et qui, et c'est peut-être le plus surprenant, espère convaincre qu'il est possible de réussir autre chose que des jeux de danse avec Kinect. Rien que ça. It's an entire fabulation Attention aux malentendus : hormis quelques lettres sur la pochette, ainsi qu'un univers vaguement semblable, Fable The Journey n'a pas grand chose à voir avec la célèbre série de Lionhead Studios. On oublie donc la dominante aventure/RPG, les actions morales, l'atmosphère mature et autres possibilités de gestion (foyer, royaume...), place ici à du pur rail shooter en compagnie de Gabriel, un écuyer orphelin comme on en trouve régulièrement dans les jeux vidéo.
Fable : The Journey (Preview)
Si Peter Molyneux a fini par quitter Lionhead pour voguer vers de nouveaux horizons, le développement de Fable : The Journey n'en a pas moins continué à suivre son cours normal. Comme la plupart des autres gros titres de Microsoft, ce nouveau segment de la saga était évidemment présent à l'E3 et se laissait joyeusement approcher par tous les journalistes de la galaxie. Nous avons donc profité de cet open bar vidéoludique pour reprendre contact avec la bête et faire chauffer le capteur Kinect de démonstration. Si la dernière fois que nous vous avions parlé de The Journey sur le site, nous avions évoqué un titre offrant une structure relativement ouverte, dans la lignée de ses prédécesseurs, eh bien l'heure est venue de rectifier un peu le tir. En effet, le nouveau bébé de Lionhead prendra en fait la forme d'un titre plus linéaire évidemment mâtiné d'éléments de jeux de rôle. Comptez ainsi sur des chemins alternatifs, des quêtes secondaires, des objets et des sorts à découvrir et à booster à coups de points d'expérience, mais le fait est que tout cela s'inscrira dans le contexte d'une progression assez conventionnelle. Fable : The Journey devrait d'ailleurs offrir entre 15 et 20 heures de jeu, selon votre style et votre désir de tout découvrir.
Fable : The Journey (Preview)
Ce gland était aussi la métaphore de la fantaisie de Peter Molyneux, le fondateur de Lionhead Studios et la figure de proue de toute la série Fable jusqu'à maintenant. Quand ce gland échoua à se matérialiser en quelque chose de concret dans le tout premier Fable, des voix s'élevèrent avec un bel ensemble pour lui faire symboliser ce qu'elles pensaient de Molyneux, à savoir qu'il n'était qu'un beau parleur, un vendeur de promesses vides et de rhétorique creuse. Si vous avez un jour eu la chance de voir de vos yeux Molyneux faire son show, vous savez qu'il est difficile de ne pas le considérer comme un des meilleurs cabotins de toute l'industrie, le genre de personnage que l'on s'attend à croiser sur l'une des avenues d'Albion en train d'hypnotiser un petit public avec ses tours de passe-passe et son charisme débordant. A San Francisco, au début de ce mois, c'est une magie à laquelle il a recouru pour la dernière fois en temps que tête créative de Microsoft Studios Europe. Quelques jours après sa dernière performance, il annonçait qu'il démissionnait pour poursuivre une aventure plus petite et plus indépendante au sein du studio débutant de Guildford, 22 Cans.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 03/2012
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Fable : The Journey (Preview)
Le grand magicien Peter Molyneux a tenté de nous ensorceler avec Fable : The Journey, son tout nouveau projet qui exploite pour la première fois les capacités de Kinect. Et forcément, une invitation dans le monde merveilleux de Sir Molyneux, ça ne se refuse pas. Le temps d'une présentation de vingt minutes, le papa de Populous s'est également improvisé VRP de luxe pour tenter de nous convaincre que le périphérique de Microsoft peut également séduire les joueurs les plus exigeants. Mais avant de retourner flâner dans le royaume d'Albion, Peter Molyneux nous prévient : inutile de faire des grands gestes ou de gigoter comme un gymnaste devant son écran. Fable : The Journey se joue tranquillement, posé dans son canapé. Il faut donc nécessairement laisser tomber ses anciens réflexes de grands sportifs, se relaxer, et privilégier une gestuelle plus simple, plus naturelle. La session de jeu commence au moment où le joueur contrôle le cheval de sa diligence. Ce moyen de transport est essentiel : il permet de parcourir tout le monde de Journey. De surcroît, le cheval représente aussi un vrai rapport émotionnel pour le joueur. On doit en effet prendre constamment soin de l'animal en veillant sur sa santé et son bien-être.
Fable : The Journey (Preview)
Après avoir testé lors d’une soirée Microsoft le très bon Fruit Ninja Kinect, je me devais de m'intéresser au nouveau titre de Peter Molyneux, Fable : The Journey. Du coup, je me suis penché un peu plus sur ce titre... Bon, vous vous en doutez, il s’agit d’un jeu assez orienté casual. Malgré tout, on retrouve tout ce qui existe dans les jeux Fable en terme de levelling, mais aussi en terme d'exploration. En effet, si les phases de combats arborent grossièrement forme d’un shooter sur rail, les phases de conduite du chariot sont plutôt libres (enfin, pas durant cette démo, donc on verra ça lors du test). Pour l'anecdote, Molyneux, conscient que son titre a dans un premier temps été pris pour un vulgaire shooter sur rails, avait apposé sur la porte nous permettant d'accéder à la salle de présentation du soft une feuille arborant la phrase Ce n'est pas un shooter sur rails !, qu'il a d'ailleurs faite signer à chaque journaliste passant devant... Mais revenons en à Kinect, le titre, à en croire Molyneux, utilisera d'une part la reconnaissance de mouvements, mais également la reconnaissance vocale ainsi qu'une technologie autorisant le scan d’objets.
Fable : The Journey (Preview)
C’est toujours un vrai plaisir de discuter avec Peter Molyneux. À l’écoute, loquace et enthousiaste, l’homme reste un excellent client et, bonne nouvelle, ne fait (presque) plus de promesses intenables. Mais il parvient surtout à capter immédiatement notre attention grâce à quelques concepts intéressants. Ici, il s’agit d’émotion et d’immersion, transmise à travers la caméra de Microsoft. Peter et son équipe souhaitent en effet nous investir davantage dans l’univers de Fable, via des gestes simples et naturels. Exemple : vous êtes sur votre cheval, rênes à la main. Tirez vers l’arrière pour ralentir le canasson, donner quelques coups pour accélérer ou pour tourner. Tranquillement assis sur sa chaise, le joueur devient cavalier sans même s’en rendre compte. Vue à la première personne, le monde d’Albion semble en tout cas splendide et la balade nocturne sur une petite route de campagne aperçue ici est saisissante de réalisme. Peter Molyneux insiste bien sur ce point : Fable : the Journey n’est pas un jeu d’action sur rails et il offre une réelle liberté de mouvements. On va, pour le moment, se contenter de le croire, à défaut d’avoir pu essayer le titre.
Fable : The Journey (Preview)
La licence Fable se porte bien et s'apprête à accueillir un nouvel épisode. Contre toute attente, il ne s'agira pas de Fable IV mais de Fable : The Journey, un titre spécialement développé pour fonctionner avec Kinect sur Xbox 360. La mission du titre est simple : prouver que les gamers peuvent aussi s'amuser avec la reconnaissance de mouvements. Peter Molyneux a un souci. En présentant Fable : The Journey lors de la conférence Microsoft précédant l'E3 2011, le patron du studio Lionhead ne s'attendait pas à ce que les joueurs perçoivent son nouveau bébé comme un jeu de tir sur rails. C'est pourtant bien comme ça que le titre est apparu au monde. Durant le petit rendez-vous qu'il nous a ensuite accordé, Molyneux a donc du s'exercer à un exercice de style dont il n'est pas spécialement habitué : prouver qu'un titre n'est pas ce qu'il semble être. Connu pour promettre monts et merveilles, le créatif tient habituellement le discours diamétralement opposé pour nous faire croire qu'un jeu est comme ci ou comme ça et même bien plus encore. Aujourd'hui, les propos de Peter Molyneux étaient plutôt du type "Non, le jeu n'est pas comme ça" et on sentait le game designer vraiment ennuyé par la situation.
Gamekult
Ajouté le : 06/2011
Plus accessible...
Fable The Journey (Preview)
Confirmé par Peter Molyneux himself et rapidement montré durant la conférence Microsoft, Fable : The Journey intrigue. Cette espèce de Fable Kinect, noyé dans les autres annonces motion gaming du constructeur, semble en effet avoir un peu plus à offrir que des moulinets de bras au milieu du salon. Après une longue présentation du titre par son développeur, dans une petite salle à l'abri du regard, on ne sait toujours pas quoi penser de ce titre ambitieux - mais on sait au moins à peu près de quoi il retourne. De l'aveu même de Lionhead, les titres Kinect ne sont conçus pour l'instant que pour de brèves sessions de jeu, debout devant sa télé, sans vraiment beaucoup d'ambition côté scénario. Fable : The Journey s'écarte de cette approche en espérant proposer une vraie expérience narrative et une aventure s'étalant sur plusieurs heures. Il bénéficie pour cela d'un argument de poids : la possibilité de jouer assis. Bien installé dans un fauteuil, ou dans son canapé, le joueur va pouvoir prendre sereinement les rênes de sa destinée, et plus concrètement les rênes de la charrette dont il est le chauffeur. La séquence de jeu montrée durant la conférence Microsoft ne nous trompait pas : une bonne partie du jeu s'effectuera en effet aux commandes d'un cheval tirant une cariole.
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Fable : The Journey : (5.9/10)
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