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Nous avons réuni 9 tests du F.3.A.R.. Les experts notent F.3.A.R. 6.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du F.3.A.R. et d'autres Jeux Playstation 3.
Le grand retour de F.E.A.R., on le doit aux développeurs de Day 1 Studios qui, avec l'aide de John Carpenter et de Steve Niles, rien que ça, nous proposent depuis peu le bien nommé F.3.A.R.. Un troisième épisode censé nous plonger dans l'univers cauchemardesque généré par l'esprit assez torturé d'Alma, le tout dans une formule qui tente d'allier plaisir solitaire et jeu en coopération. Retour gagnant pour les frangins Point Man et Paxton Fettel ? L'heure est grave. Alma, la fillette terrible de F.E.A.R., s'apprête à donner naissance à un nouvel enfant. L'évènement pourrait presque paraître heureux si Alma n'était pas aussi imprégnée par le mal et si chacune de ses contractions n'était pas synonyme d'autant de vagues de chaos s'abattant sur le monde. Le joueur contrôle alors Point Man, dont le but va être de retrouver celle qui lui sert de mère afin de stopper l'accouchement et ainsi éviter une véritable apocalypse. Paxton Fettel, quant à lui, pense plutôt à réunir la petite famille avec l'idée d'accroître sa puissance et devenir un véritable dieu. Pas étonnant donc que le frangin de notre héros, ou plutôt son esprit, mette à profit ses pouvoirs télékinésiques pour aider son frère tout en lâchant régulièrement quelques répliques salaces dans l'idée de corrompre ses intentions.
Plus dense et complexe qu'il n'y parait, l'histoire de F.E.A.R remonte à 2005, année de sortie de l'excellent premier volet sur PC. On y incarnait à l'époque Point Man, un membre d'une unité secrète chargée de retrouver un certain Paxton Fettel, un homme mystérieux capable de contrôler des soldats par la pensée.La tâche, déjà compliquée, devient carrément mortelle lorsque la jeune Alma, une sorte de spectre de fillette habillée en rouge et dont le visage est couvert par ses longs cheveux noirs, vient cramer ceux qu'elle n'aime pas. Jonglant entre les deux ennemis, vous arrivez tout de même à loger une balle dans la tête de Fettel, le laissant pour mort dans une explosion atomique.Le second jeu, F.E.A.R 2 : Project Origin se déroule dans les rangers d'un autre soldat sans lien avec celui du premier et se termine simplement par le viol de ce dernier par une Alma devenue adulte. Désormais enceinte, celle-ci revient faire des siennes. Pour la contrer, Point Man est de retour, épaulé par le fantôme du défunt Fettel, qui n'est autre que son frère, les deux étant en réalité les enfants d'Alma. Oui, c'est compliqué et assez délirant.
Monolith a du laisser le développement de FEAR 3 à Day 1 Studio. La papa de la franchise a vu ainsi son bébé s'envoler vers d'autres horizons, et le joueur, fan de la première heure, a pu trembler de ce changement. Aussi, c'est Day 1 Studios aujourd'hui qui nous propose de nous plonger dans un nouvel épisode de FEAR. Si les développeurs ont gardé les bases du titre, ils ont également réalisé un peu de ménage et modifier certains aspects du jeu. FEAR 3 vous propose donc cette fois de vivre cette nouvelle expérience aux côtés de Point Man et de son frère Fettel, tué par les soins du joueur dans le premier volet. L'homme revient avec ses pouvoirs télékinésiques et compte bien se faire vengeance. Leur cible principale, les soldats d'Armacham. Pour motiver votre haine contre ces soldats et alimenter votre envie de les tuer les uns après les autres, de mini-cinématiques jalonneront votre parcours, vous révélant comment ont été utilisés les deux jeunes garçons comme cobaye au cours de leur précieuse enfance. Mais ce n'est pas uniquement là le but commun de cette fratrie : Alma est sur le point de donner naissance à un troisième frère.
Après le sympathique F.E.A.R 2 : Project Origin, Monolith a laissé la main sur sa série à Day 1 Studios. Avec ses promesses de coopération et une orientation action accentuée depuis le précédent volet, la série va-t-elle enfin connaître le renouveau qu’elle cherche depuis 2005 ? Avec F.3.A.R, c’est plus que jamais une affaire de goût. La réussite de la recette FEAR tient aussi bien à ses gunfights nerveux qui profitent d’une intelligence artificielle convaincante qu'à la dimension horrifique tant vantée par les punchlines marketing qui entourent la sortie de chaque épisode. L’ambiance, surtout dans le premier volet, profitait de la présence d’Alma pour vous faire regretter d’avoir souhaité un moment de répit après quelque joute acharnée. C’était déjà moins le cas dans le second volet ; F.3.A.R poursuit le travail de sape entamé par Monolith il y a deux ans en réservant à la gamine démoniaque une présence uniquement scénaristique qui tient limite du kaméo. Le joueur incarne Point Man, le héros du premier volet, accompagné de Paxton Fettel, son frère adoré à qui il avait collé une bastos dans le crâne à la fin du premier F.E.A.R.
Pour que l'horreur fonctionne vraiment bien, les joueurs doivent se sentir concernés par les personnages. C'est la différence entre notre empathie avec Sarah dans The Descent et les rires détachés que provoque Freddy quand il massacre des adolescents du Middle West. Heureusement, FEAR 3 a bien d'autres atouts que son héros. Le personnage principal silencieux de FEAR 3, baptisé sans imagination Point Man, compte parmi les protagonistes les plus ternes que l'on puisse imaginer. Après avoir été libéré de sa prison par le fantôme de son frère meurtrier, Paxton Fettel (qu'il avait lui-même assassiné à la fin du premier jeu) il s'associe avec celui-ci pour traquer leur mère morte-vivante, enceinte et psychotique.Le scénariste de comics Steve Niles (30 jours de nuit) et le réalisateur John Carpenter (The Thing, Halloween) ont été appelés en renfort pour épicer le scénario, mais tous leurs efforts restent vains (faut dire que c'était mal parti, non ? ndrc). Cette histoire d'innocence perdue et de macabres secrets de famille aurait pu être intéressante, mais elle est si mal racontée qu'il est difficile de se sentir concerné.
Le Mal est immortel et revient quand on s'y attend le moins. Alma, elle, mettait déjà les pendules à l'heure en 2006 en affichant sa volonté de réduire le monde à l'état de cendres. Cinq ans plus tard, la turbulente fillette n'a pas lâché un pouce de terrain et se montre même plus véhémente que jamais. L'ambiance devient dès lors apocalyptique tout en étant synonyme de troisième épisode plus énergique. Pour autant, John Carpenter est là pour assurer une certaine respectabilité au scénario mais le résultat est-il finalement à la hauteur ? Les lignes ci-dessous vous livrent quelques clés pour vous permettre d'y voir plus clair. A la base, F.E.A.R. fut pensé comme un juste équilibre entre survival-horror et FPS pur et dur. Sur ce plan, les p'tits gars de Monolith s'en étaient brillamment sortis et ce malgré les quelques défauts émaillant l'oeuvre. Une fois mis en place les protagonistes, l'intrigue et les enjeux, les équipes de production purent faire parler leurs bas instincts via un deuxième épisode bien plus orienté action. Nerveuse, rythmée et s'appuyant sur une mise en scène efficace, la franchise vécut de beaux jours à l'inverse des personnages de l'histoire condamnés à courir encore et encore pour arrêter Alma et les équipes d'Armacham.
Après deux reports de sortie, F.3.A.R (ou Fear 3 pour les non initiés) est enfin dans les starting-blocks. Outre deux campagnes (solo et coop), le jeu compte quatre modes multijoueurs inédits qui viennent de nous être dévoilés. Voici nos impressions à quelques semaines de la sortie. La licence Fear, en tombant dans l'escarcelle de Day 1 Studios, le développeur en charge du portage sur console du premier titre de la saga, semble négocier un virage sans pour autant renier le caractère gore/paranormal qui caractérise le titre. En effet, la campagne solo est doublée d'une campagne en coop inédite mettant en scène deux personnages emblématiques de la série (Paxton Fettel et Point Man). Surtout, les modes multijoueurs sont entièrement repensés. Une remise à plat qui se traduit par quatre modes multijoueurs de deathmatchs, pour quatre joueurs maximum, qui ont le mérite de proposer des expériences très différentes les unes des autres. Le tout est judicieusement placé sous le patronage d'Alma et de ses pouvoirs destructeurs, ce qui permet de faire le lien avec les campagnes solo et coop. Le premier, intitulé “Fu**ing Run !” (non, ça n'est pas une censure de Jeuxvideo.com mais bel et bien le nom du mode), fait appel à la collaboration entre joueurs, et il est un des plus prometteurs.
Bien qu'il a été repoussé à la fin du mois de janvier, F.3.A.R. était au rendez-vous de la gamescom. L'occasion pour l'équipe de développement de nous présenter ce qui fera le charme de ce troisième opus : l'aventure en coopération. Fini l'incarnation d'un soldat effacé ou dont la personnalité n'a aucune incidence sur l'histoire. Dans F.3.A.R., les joueurs auront la chance d'incarner MM. Point Man et Paxton Fettel, deux frères ennemis que tout oppose et dont l'absence totale de confiance ne va pas empêcher de les voir évoluer en coopération. C'est là l'originalité de ce volet : il compte une campagne solo et une autre jouable en coopération, mais uniquement humaine. Comprenez qu'il ne vous sera pas possible de vivre l'aventure à deux avec l'aide de l'IA, les développeurs ayant jugé inopportun que le joueur soit suivi par un allié, ôtant par la même occasion le sentiment de solitude et d'oppression qui émane généralement des F.E.A.R., lorsque l'on progresse isolé. Pourtant, la remarque ne vaut visiblement pas pour la coopération entre deux humains, tout simplement parce qu'il nous a été répété que les deux personnages en question s'opposent et se détestent et qu'il sera tout à fait possible de transformer cette coopération en chacun pour sa poire dans une certaine limite.
On le sait depuis un petit moment maintenant, le troisième épisode de la saga F.E.A.R. n'est plus développé par Monolith Productions mais plutôt par Day 1 Studios, à qui l'on devait le portage console du premier volet de la série. Toujours inquiétant pour les fans de la première heure, ce genre de changement de casting devait impérativement se justifier lors de cette première rencontre avec le FPS à l'E3 2010 de Los Angeles. Ou pas. Qu'on se le dise, les sacrosaintes errances solitaires de la série F.E.A.R. font partie du passé, ce troisième épisode étant ouvertement présenté comme un titre 100% coopératif par ses créateurs. L'idée de jouer à F.3.A.R. en solo semblait presque tenir de l'aberration pour les développeurs présents à l'E3, qui nous ont clairement fait comprendre par un martelage systématique proche de la propagande qu'il fallait absolument jouer à deux pour "exploiter tout le potentiel de F.3.A.R.". Soit. On retrouve du coup un duo composé des fils maudits d'Alma avec d'un côté le très barbu Pointman (héros du premier F.E.A.R.) et de l'autre son charmant frère Paxton Fettel, revenu d'entre les morts pour l'occasion.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour F.3.A.R.. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce F.3.A.R..