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Nous avons réuni 14 tests du El Shaddai : Ascension of the Metatron. Les experts notent El Shaddai : Ascension of the Metatron 7.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du El Shaddai : Ascension of the Metatron et d'autres Jeux Playstation 3.
El Shaddai a fait parler de lui pour plusieurs raisons, que ce soit son histoire librement inspirée d'un livre religieux ou son style graphique des plus original. Pour bien cerner le jeu, il faut pouvoir s'y plonger un peu, être ouvert d'esprit et savoir apprécier le monde qui nous entoure. Après Ico HD sur PS3, c'était sans aucun doute le jeu qui tombait à pic pour rester dans un monde qui nous change du quotidien. Pour casser le suspense, je l'ai adoré. Temps de jeu personnel: 13 heures El Shaddai nous emmène au sein d'une aventure un poil complexe mais pas trop en nous mettant aux commandes d'Enoch. Pour ceux qui se le demandent, El Shaddai est le nom donné à Dieu par Abraham, Isaac, et Jacob. Comme quoi rien qu'avec le nom, on peut se douter du coté religieux du jeu. Enoch est un prêtre qui descend du Paradis et qui part à la recherche de 7 anges déchus. Avec l'aide de Lucifer pour vous conseiller, vous allez devoir gravir la tour Metatron où se sont installés les anges et les battre pour pouvoir les capturer. On ne peut pas parler d'El Shaddai sans commencer par parler de son ambiance graphique.
GamePro.fr
Ajouté le : 09/2011
Plus accessible...
El Shaddai n'a qu'un seul problème, on aimerait pouvoir l'adorer mais il est trop limité sur des points aussi cruciaux que le level-design, le combat ou le rythme pour que la passion puisse l'emporter sur la raison. Et pourtant, ce beat'em all avait tout sur le papier pour que les joueurs l'adorent. Une ambiance vraiment originale, une esthétique aussi recherchée que singulière, une quête de la simplicité qui aurait dû le sauver, une bande-son juste terrible(ment barrée) et un gameplay accessible. Bref, un hit en puissance pour tout gamer attiré par les trips arty. Manque de bol, derrière la façade très attirante se cache un repère d'insuffisances ludiques. Car on peut - et on doit ! - reprocher plein de choses à El Shaddai. Déjà de faire appel à un duo de personnages (Enoch et Lucifer) trop improbable pour séduire. Mais aussi de se contenter d'une baston hautement répétitive et équilibrée autour de seulement trois armes (c'est peu, surtout pour un beat'em all). Ou encore de ne pas avoir su enrichir ses niveaux qui sont d'une platitude assez déconcertante à parcourir. A croire qu'il s'agit d'autant d'aspects primordiaux du jeu que les mecs d'Ignition Tokyo ont volontairement relégué au second plan pour se concentrer sur ce qui les faisait vraiment triper, à savoir la mise en place d'une atmosphère de dingue, servie par un graphisme cinglé et des musiques de barjes.
El Shaddai a tout ce qu'on peut désirer d'un jeu japonais. On y trouve un robot « transformer » fait de motos, un maître es Moonwalk qui projette des formes sur le devant de l'écran pendant que l'on essaie désespérément de repousser ses serviteurs, des colombes dont les têtes sont des gants de boxe qui vous envoient valser en l'air gentiment, mais fermement, et bien d'autres choses encore. Tous ceux qui aiment passer du temps à farfouiller à la recherche d'une parle rare espèrent tomber sur quelque chose de ce genre. Mis à part le fait que les vêtements des protagonistes disparaissent au fur et à mesure qu'ils encaissent des dégâts, on n'y trouve absolument aucune de ces nymphettes à la tenue vestimentaire improbable. À la place, il y a des anges blonds sculpturaux au torse nu et des choses humanoïdes caoutchouteuses étrangement nues. N'oublions pas les cochons géants et masqués en armure, ni non plus les Gardiens cyclopes aux têtes pyramidales qui se transforment en chauve-souris géantes, etc. El Shaddai : Ascension of the Metatron est le jeu le plus fou et le plus beau auquel il m'ait été donné de jouer depuis.... je ne m'en souviens même pas. Probablement depuis Space Channel 5.
Si la Bible est avant tout le texte fondateur du christianisme, elle est aussi un formidable recueil de récits dont certains s'apparentent à de véritables romans d'aventure. Rien d'étonnant donc à ce que Takeyasu Sawaki et son équipe, oeuvrant cette fois pour Ignition Entertainment, aient puisé l'inspiration de leur nouvelle production dans l'Ancien Testament : avec El Shaddai, ils nous proposent en effet une adaptation libre du Livre d'Enoch, à vrai dire peu connu du grand public.L'histoire sur laquelle le jeu est basé est relativement simple : des anges ont été envoyés sur Terre pour veiller sur les humains, mais certains d'entre eux se sont épris des jeunes et jolies filles peuplant la planète. Cédant au plaisir de la chair, ils engendrent des créatures géantes, monstrueuses et belliqueuses, baptisées Nephilims. Fou de rage face à un tel chaos, Dieu envoie l'un de ses messagers, Enoch, pour remettre un peu d'ordre. Son objectif est simple : gravir les étages de la tour abritant les anges déchus, et les éliminer un à un.Surprenant par son inspiration peu commune, El Shaddai l'est tout autant sinon plus par sa présentation aux mille facettes.
Dans notre preview du jeu, nous vous faisions part de notre scepticisme après quatre chapitres passés en compagnie d’Enoch, le héros du jeu. Achevé, El Shaddai laisse encore dubitatif même si c’est sans doute la déception ou l’indifférence qui prime, selon l’attente que l’on peut avoir pour le titre d’Ignition Entertainment. Pourquoi ? Parce qu’aussi inventif, aussi splendide qu’il puisse être visuellement, El Shaddai en oublie avant tout d’être un jeu. Alors forcément, ça coince. Pourtant, avec son histoire librement inspirée de la Bible, où Enoch doit éliminer sept anges déchus qui profitent de leur passage sur Terre pour jouir des plaisirs de la chair, le titre titille notre curiosité. L’univers s’avère totalement fantaisiste, le héros étant guidé par Lucifer (un couple à l’ambiguïté homosexuelle prononcée), ce dernier restant constamment pendu à son téléphone portable afin d’informer Dieu de la situation. On pourra alors s’amuser à repérer les différentes références bibliques même si, ésotérique, El Shaddai ne se laisse pas facilement décrypter. D’un point de vue technique, Battlefield 3 mettra sans doute tout le monde d’accord au sujet de son réalisme et son sens du détail.
Chapeauté par l’une des éminences grises de feu Clover Studio (Okami), El Shaddai fut LA sensation d’un TGS 2010 assez triste au demeurant. Si le maelstr?m médiatique qui a accompagné le jeu sur l’archipel nippon a heureusement épargné nos contrées, nous ne nourrissions pas moins certaines attentes vis-à-vis du titre d’Ignition. Tout en étant bien le délire visuel que les premières entrevues avec le jeu laissaient présager, El Shaddai oublie malheureusement un peu le reste en route. Le joli blond Enoch (pas le roi, mais le grand père de Noé et son radeau tout plein d’animaux) a une mission : emprisonner les anges déchus, qui font régner la terreur sur la Terre, et ce afin d’empêcher un nouveau déluge décidé par les pontes du Paradis. Cette version biblique du Nicolas Cage de The Rock, seul espoir avant la vaporisation, est cependant plus branché jean moulant et rasage intégral que vœu d’abstinence. Sa relation ambigüe avec Lucifer, androgyne (mais brun) comme lui et sans cesse pendu à son portable, n’est d’ailleurs pas loin d’une réinterprétation complète de l’éternel « ceci est mon corps ».
Avouez que l'idée d'adapter des passages de la Bible en jeu vidéo n'est pas très excitante. Il s'agit pourtant bel et bien d'un incroyable réservoir de contes et d'aventures en tout genre. Il faut finalement faire appel à des développeurs japonais pour nous le prouver. El Shaddai n'a rien d'un cours de catéchisme mais il s'appuie pourtant bel et bien sur un texte religieux, plus précisément sur le très mystérieux Livre d'Hénoch. Le nom de Takeyasu Sawaki ne vous dit peut-être rien et pourtant ce gaillard est un ancien de Clover Studio où il a notamment travaillé sur Viewtiful Joe et sur Okami. Un tel CV en impose forcément et aiguise la curiosité des joueurs de tout poil concernant son dernier bébé. Histoire d'ajouter un peu de mystère, le titre en question traite d'un thème plutôt surprenant : il s'agit d'une adaptation libre du Livre d'Hénoch, un passage de la Bible considéré comme apocryphe par la plupart des dogmes chrétiens. Le texte original relate l'aventure d'Hénoch qui est envoyé sur Terre à la poursuite des anges déchus. Ces derniers ont provoqué la colère du Seigneur en ayant la très mauvaise idée de s'acoquiner avec des humains et de donner naissance ainsi aux Nephilim, des créatures contre-nature qui apportent le chaos dans le monde terrestre.
Quand les créateurs d'Okami ont carte blanche pour faire leur propre jeu d'action, ça donne un délire mystico-cosmique. Mais l'exercice est difficile : à trop jouer au gourou apocalyptique du beat'em all, El Shaddai risque à tout moment de sombrer dans la fadaise intergalactique. Au pire, cela fera un jeu d'action nébuleux... Un truc imparable pour se faire des amis au Japon, c'est d'apprendre par coeur cette réplique : "Es-tu sûr que ton armure suffira ?". Votre interlocuteur répondra aussitôt : "Pas de problème, tout est normal", sourire maléfique et oeil connivent à la clé. Ces lignes de dialogues viennent à jamais d'être gravées dans la net culture du Japon après avoir été élues MEME 2010 du pays, avec à la clé, des dizaines de vidéos parodiques absolument sidérantes. Ce MER IL ET FOU nippon nous est assené avec audace par le très blond Enoch et son accompagnateur Lucifer, le duo d'enfer d'El Shaddai, dont l'ambigüité sexuelle n'est masquée à aucun moment. Avec son armure "nombril apparent" se déchirant jusqu'à son denim de hipster, Enoch se retrouve régulièrement torse nu. Et son ange-gardien ne fait pas dans la dentelle : moins bronzé, certes, mais chemise bien ouverte et surtout la voix suave de celui qui propose de se faire un petit caprice au fond d'un bar thématique.
Après un reportage en octobre dernier (à voir dans l'Hebdo 65), El Shaddai refait enfin parler de lui. Une démonstration du jeu a été faite dans nos locaux récemment et... le résultat est surprenant, mais dans le mauvais sens du terme. Mais revenons d'abord sur les origines du jeu. Développé par des anciens de chez Capcom et Clover, El Shaddai possède des ancêtres aussi prestigieux que Devil May Cry, Okami ou Resident Evil. On retrouve même dans l'équipe des gens ayant travaillé sur Bayonetta, Final Fantasy ou Monster Hunter, bref, la crème du gratin. Leur objectif était de créer un jeu accessible, élégant et au gameplay profond. Comme pour Dante's Inferno, les développeurs ont eu l'idée de taper dans les vieux textes pour trouver l'inspiration. El Shaddai remonte à l'Ancien Testament, avant Noé et son arche, pour interpréter à sa manière l'histoire d'Enoch, missionné par Dieu pour éliminer 7 anges déchus. Pour lui venir en aide, Enoch sera en contact permanent avec Lucifel (alias Lucifer avant qu'il ne descende en enfer). Ce dernier se balade dans les niveaux et vous donne des conseils, tout en envoyant quelques SMS à Dieu!
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 03/2011
Plus accessible...
Il y a des rencontres qui marquent plus que d'autres. El Shaddai fait parti de ces présentations qui ne s'oublient pas. Dans ce nouvel aperçu, nous ne reviendrons pas sur le scénario et les éléments basiques du jeu : Virgile s'en est déjà chargé lors de sa première rencontre avec le jeu en septembre dernier. On se contentera donc ici de vous transmettre notre ressenti sur la bonne demi-heure passée en compagnie d'Enoch, le héros atypique de cette nouvelle épopée astrale. Comme vous allez le voir, El Shaddai, c'est un peu la rencontre improbable entre Okami et Devil May Cry. Dès les premiers instants de jeu, on se retrouve comme propulsé dans une toile de maître qui ne cesse de nous émerveiller. Pour moi, El Shaddai représente avant tout une véritable œuvre artistique. Tantôt envoûtant, tantôt dérangeant, son univers complètement fou rend l'expérience extrêmement contemplative. Après une journée de travail bien remplie, El Shaddai dégage un côté apaisant et relaxant... En tout cas, sa patte graphique ne peut laisser indifférent. Pourtant, El Shaddai n'est pas un simple délire psychotique né de l'esprit de Takeyasu Sawaki (designer sur Okami). Le titre d'Ignition offre un gameplay simple, mais avec des mécanismes exigeants.
Lorsque Sawaki Takeyasu et Masato Kimura, ayant notamment participé au développement de Devil May Cry, Okami ou encore Viewtiful Joe, se sont vu remettre une carte blanche pour concevoir leur nouveau jeu, nous pouvions nous attendre à accueillir un jeu singulier. El Shaddai est une sorte de mix entre Devil May Cry avec Okami. Mais c'est avant tout une œuvre artistique éblouissante dont la beauté va en subjuguer plus d'un... Comme vous avez pu le découvrir dans notre précédent aperçu, l'histoire du jeu El Shaddai : Ascension of the Metatron puise son inspiration dans la bible, et plus précisément l'ancien testament. Si les mots Genèse, manuscrits de la mer morte ou encore tour de Babel ne vous parlent pas, le contexte du jeu ne vous passionnera pas des masses. Pour résumer, disons que Dieu est moyennement satisfait de sa création et s'apprête à tout détruire pour recommencer, mais un certain Lucifel (votre guide dans le jeu) le convainc de vous laisser une ultime chance de corriger le tir en purifiant les sept anges déchus responsables de ce capharnaüm. Vous incarnerez donc Enoch, être humain et scribe de son état, choisi par le tout puissant pour sa force et sa pureté d'âme.
Dire que le stand consacré à El Shaddai détonnait dans le paysage coloré du TGS est bien peu dire. Entre deux babes criardes et la 3D tape à l’œil du voisin Sony, la blancheur immaculée de cet ovni faisait presque tâche. Un effet voulu pour montrer au public que El Shaddai n’est pas un jeu comme les autres. Car si God of War et bien d’autres jeux du genre exploitent à foison les mythologies grecques et romaines, El Shaddai nous renvoie au livre d’Enoch, en pleine religion juive et chrétienne. Le jeu nous place dans la peau d’Enoch lui-même, le futur Metatron. Et l’envoyé suprême de dieu (les fans de Dogma apprécieront) va devoir éliminer des anges rebelles pour empêcher la destruction de l’humanité. Durant son aventure, il sera guidé par Lucifer lui-même, l’ange chargé de veiller sur le monde… et le futur roi des enfers. Serait-il derrière tout ça ? Mystère. Ce qui frappe avec El Shaddai, c’est l’audace graphique dans laquelle le jeu baigne. Le directeur du jeu, Sawaki Takeyasu, n’en est pas à son coup d’essai puisqu’il a déjà œuvré en tant qu’artiste sur Okami et Devil May Cry. Takeyasu a voulu aller à contre-courant des tendances et proposer une esthétique très éthérée, innovante et qui se renouvelle constamment.
Egalement disponible sur : Lorsque celui qui a oeuvré en qualité de character designer sur Okami et Devil May Cry prend la parole pour annoncer un nouveau jeu, on tend l'oreille, forcément. Sawaki Takeyasu, ex-Capcom et Clover Studio, dirige le développement d'El Shaddai : Ascension of the Metatron qui fut dévoilé au mois de mai dernier, et qui était présent aujourd'hui en version jouable sur le stand d'Ignition Entertainment. Si la campagne promotionnelle du jeu se réduisait jusqu'à présent à quelques images accompagnées de courts trailers, c'était le moment ou jamais de savoir s'il faudra compter avec Enoch, le héros du jeu, en 2011. Nos premières impressions. Autant jouer franc jeu dès le départ : El Shaddai : Ascension of the Metatron divise déjà l'opinion de la presse vidéoludique. Entre ceux qui s'attendaient à beaucoup mieux, et ceux qui sont déjà sous le charme de l'univers et de la direction artistique du titre, il y a de quoi être invité à Levallois pour débattre. Le point sur lequel tout le monde est d'accord en tout cas, c'est que le scénario d'El Shaddai : Ascension of the Metatron s'inspire du fameux Livre d'Hénoch et raconte l'histoire d'Enoch - notez la nuance orthographique -, un envoyé des Dieux, qui va devoir s'occuper des anges déchus décidés à semer le chaos sur Terre.
Dévoilé en mai dernier dans les pages du magazine japonais Famitsu, El Shaddai fait partie de ces jeux qui sont capables, en seulement quelques screens et vidéos, d'intriguer le public sans s'appuyer sur des moyens techniques démesurés. Le studio Ignition Entertainment en est bien conscient et a mis le paquet sur ce TGS 2010 pour offrir une place d'honneur à ce nouvel ovni du jeu vidéo. Les nombreuses bornes consacrées à El Shaddai : Ascension of the Metatron étaient donc impossibles à manquer sur le salon, le soft étant présenté aussi bien sur PS3 que sur Xbox 360. La démo jouable était d'ailleurs suffisamment intrigante pour inciter les visiteurs à tenter l'expérience. Une expérience aussi courte que déconcertante et qui ne permet évidemment pas d'évaluer tout le potentiel du titre, mais qui nous aura tout de même permis de nous faire une idée un peu plus précise de ses ambitions. Précisons également que, parmi les instigateurs du projet, on trouve messieurs Sawaki Takeyasu et Masato Kimura qui ont travaillé sur Devil May Cry et Okami. Mais revenons déjà sur le sens du titre qui ne parlera qu'aux passionnés d'histoire biblique. El Shaddai est le nom sous lequel Dieu s'est révélé à Abraham, l'ancêtre du peuple hébreux.
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