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Nous avons réuni 13 tests du Duke Nukem Forever. Les experts notent Duke Nukem Forever 5.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Duke Nukem Forever et d'autres Jeux Playstation 3.
Attendu depuis des années, l’ami Duke est enfin de retour dans nos salons avec la sortie tant attendue de Duke Nukem Forever. Maintenant que la page est tournée, il est grand temps de découvrir ensemble si oui ou non le titre aurait mieux fait de rester terré au fond de sa grotte plutôt que de tenter un comeback inespéré après tant d’années de somnolence. Malheureusement pour nous, la réponse n'arrive que trop vite lorsque nous insérons le jeu dans notre PS3. En effet, après une phase d’installation des données sur notre console plus que laborieuse, nous pouvons enfin nous lancer à corps perdu dans l’aventure. Et là, nous découvrons malheureusement que les graphismes du jeu laissent apparaître au grand jour que le jeu a bien des années de développement derrière lui et qu'elles ne semblent pas avoir été mises à profit. On se retrouve devant un aspect graphique qui date clairement et qui laisse le joueur sur sa faim dès les premiers instants du jeu. Un bien mauvais point donc pour tenter d’embarquer le joueur dans l’aventure qu’il attendait depuis si longtemps. Mais nous le savons tous, ce qui a fait le succès de Duke Nukem auprès des fans, ce n’est pas d’être à la pointe de la réalisation technique, mais bien la conception de son univers avec un humour omniprésent et un côté macho surjoué et assumé de toutes parts.
Sans conteste, Duke Nukem Forever fut LE soft qui réinventa le terme de « vapoware », terrassant sans problème aucun les réputations forgées par les Heart of Darkness, Alan Wake et autres Gran Turismo 5. Pour autant, si son développement fut pour le moins chaotique, son accouchement aura également rencontré quelques soucis de taille. Aie… Pseudo Test flash : Duke Nukem Forever Par Ben, 26 juin 2011 à 19:59 PC, Playstation 3, Tests et Impressions, Xbox 360 2 avis Sans conteste, Duke Nukem Forever fut LE soft qui réinventa le terme de « vapoware », terrassant sans problème aucun les réputations forgées par les Heart of Darkness, Alan Wake et autres Gran Turismo 5. Pour autant, si son développement fut pour le moins chaotique, son accouchement aura également rencontré quelques soucis de taille. Aie… duke nukem forever 03 600x337 Test flash : Duke Nukem Forever Les plus anciens se rapperont sans doute que Duke Nukem Forever devait à la base débarquer en l’an… 1997 ! Quelques années (si peu…) plus tard, après être passé des mains de 3D Realms à celles de Gearbox Software, le jeu est finalement sorti, oubliant en cours de route de s’octroyer un level-design digne de ce nom.
Duke Nukem. Tout un symbole de la culture du jeu vidéo des années 90 est enfin de retour sur le devant de la scène. De nombreux lecteurs de PlayFrance ont probablement connu des heures d'extase vidéoludique sur des parties solo et multijoueurs du mythique Duke Nukem 3D. Humour, armes originales, réalisation soignée, audace, pour moi aussi cet épisode (et Duke Nukem Time to Kill dans une moindre mesure) est un excellent souvenir de joueur. Après avoir boudé la génération PlayStation 2, un personnage aussi culte ne pouvait pas rester éternellement dans son oeuf. L'heure de l'éclosion a sonné, pour une expérience malheureusement trop mitigée. Explications. Afin de comprendre pourquoi nous avons dû attendre 14 ans pour (enfin) avoir cette version de Duke Nukem Forever entre les mains, un petit flashback s'impose.Jusqu'à sa sortie le 10 juin dernier, Duke Nukem Forever était un mythe, une légende urbaine, un rêve de joueur à la hauteur de Resident Evil 1.5 ou de son homologue 3.5 (les fans savent de quoi je parle). Il faut dire que le développement chaotique du jeu chez 3D Realms est l'exemple même d'une gestion de projet médiocre et de l'exploitation abusive d'un éditeur.
De Time to Kill sur PSone au récent Critical Mass sur DS, la carrière vidéoludique de Duke Nukem est d'une alternance constante entre parties de jambes en l'air inoubliables et gueules de bois mortelles. Mais ce n'est rien en comparaison de Duke Nukem Forever, titre élevé au rang de mythe à la seule force de son retard monumental de treize ans. Les actionnaires de Take Two ayant finalement décidé de prendre le cochon par le groin, voici que la plus grande blague de l'histoire du jeu vidéo n'en est plus une. Enfin, c'est ce que l'on espérait. On ne refera pas l'histoire. Le destin a voulu que Gearbox Software termine le travail de 3D Realms après douze ans de reports plus ou moins justifiés. On ignore dans quel état était le Duke récupéré par les créateurs de Borderlands mais, vu le résultat final, il devait déjà être sacrément amoché. On passera ainsi rapidement sur le scénario, propre à celui de tout Duke Nukem (des extraterrestres viennent sur Terre pour enlever les Femmes), pour s'attarder sur la première chose qui frappe en jouant à Duke Nukem Forever : le jeu est comme figé dans le temps. Provenant d'une époque où l'on acceptait sans sourcilier d'être bloqué par un obstacle de dix centimètres de haut, le titre ne cherche à aucun moment à bousculer les poncifs du genre.
Nous ne reviendrons pas dans ce test sur les quinze interminables années de galère écoulées depuis le commencement de la gestation de Duke Nukem Forever. Il est inutile de vous rappeler les innombrables péripéties qui l’ont fait changer de mains si souvent, ni la déception des fans de Duke à chaque report. Or en l’an de grâce 2011, un jeu qu’on croyait destiné à ne jamais atterrir dans nos mains est enfin à leur portée. The King is back. Et il nous dirait certainement que « plus c’est long, mieux c’est Baby ». On aimerait bien le croire, pourtant comme d'habitude, son ego surdimensionné l’empêche de prendre conscience de la déception qu’il causera à ses fans, et à plus forte raison aux nouveaux venus. Quelle ville plus adaptée au Duke et à son goût immodéré pour l’argent et les filles que Las Vegas ? C’est donc dans la cité du vice qu’il a bâti son empire, érigé à la seule et unique gloire de lui-même, gravitant autour du Duke Nukem Museum, siège de son QG secret. C’est bien sûr l’endroit qu’ont choisi les aliens pour attaquer la Terre. Vomis d’un vortex apparu dans le ciel de Vegas, leur plan est simple : enlever les femmes de la ville pour quelques sombres desseins. Inacceptable pour Duke, qui part botter le derrière des envahisseurs.
Un an, deux ans, trois ans, cinq ans, quinze ans. Incroyable, encore aujourd’hui, d’imaginer que Duke Nukem Forever ait pu mettre plus d’une décennie à voir le jour. Pourtant, à la base, tout semblait rouler pour le mieux. En 1996, 3DRealms sort Duke Nukem 3D sous les louanges. Succès commercial et critique, le jeu se voit même couronner d’un Player d’Or 97 par Player One, catégorie jeu de l’année. Toute une époque. L’humour trashouille du Duke fait mouche, les tripes des porcoflics éclatent sous les coups de rangers et au milieu de tout ça, le petit Bruno crée ses premières cartes à l’aide du fabuleux Build Engine. Bref, le bonheur. Entre deux coupes de champagne, les développeurs mettent donc en chantier sa suite, Duke Nukem Forever. Le jeu bondit dans le train de la 3D et, propulsé par le Quake Engine, doit sortir fin 98. Confiant qu’il est, le petit Bruno achète un Pentium 2 et une TNT 2 flambant neufs pour ce hit à venir. C’est sûr, Duke Forever sera sien après le brevet. Mais voilà, les mois passent.
Monument de connerie subversive et d'irrévérence, comptant parmi les pionniers de ce que l'on appelait à l'époque le "doom-like", parangon de la baston sévèrement burnée et de la réplique culte, plus grosse arlésienne de l'histoire vidéoludique toutes catégories confondues... Entre la genèse de l'une des figures les plus emblématiques du jeu vidéo et la venue de ce Duke Nukem Forever, il se sera passé quinze années durant lesquelles celui que l'on surnomme le Duke aura autant collectionné les étiquettes en tous genres que les babes à la cuisse légère. Maintes fois annoncé, abandonné, oublié puis revenu d'entre les morts, c'est finalement sous la houlette courageuse de Gearbox Software, qui a dû se débrouiller avec les moyens du bord, que revient Duke Nukem sur les plates-formes HD. Treize ans de gestation pour le moins chaotiques, ça laisse forcément des séquelles. Et même si l'esprit est bel et bien là, c'est le retour d'un roi à la peine auquel nous assistons. Analyse et explications. Fail to the King? Inutile de tourner autour du pot : Duke Nukem Forever a beau mettre en scène l'un des héros les plus fédérateurs du jeu vidéo, son esprit rabelaisien, ses répliques bien senties, son avalanche de bastos et de nichons peuvent bien faire l'unanimité, surtout chez les trentenaires amateurs de FPS, cette nouvelle mouture des aventures du plus peroxydé des botteurs de culs extraterrestres sur console HD risque de diviser jusqu'aux plus fervents fans de Duke.
Ça y est, c'est fait. Duke Nukem Forever, le plus grand vaporware de l'histoire vidéoludique, est finalement sorti. Un mythe s'est brisé quand, la larme à l'oeil, nous avons enfin pu poser nos mains sur un Saint-Graal qu'on n'attendait plus. Alors oublions toutes les péripéties qui ont conduit le projet à échoir à Gearbox Software après plus de 13 ans de développement chez 3D Realms, et chaussons nos lunettes noires pour nous plonger dans la suite d'un des plus grands FPS de tous les temps. Come get some ! Sorti début 1996 sur PC, Duke Nukem 3D n'avait rien de la révolution technologique qu'incarnera un certain Quake quelques mois plus tard. Pourvu d'un moteur graphique en 3D mappée, le Build Engine, le FPS de 3D Realms représentait plutôt l'aboutissement d'un genre qu'il portait à son apogée (n'y voyez aucun jeu de mots !). Ses armes originales, son bestiaire décalé, son level design extrêmement travaillé et surtout, cette multitude d'interactions possibles (shake it, baby !) lui ont permis de rentrer dans l'histoire, là où Quake premier du nom, aussi révolutionnaire fut-il, a plutôt fait l'effet d'une grosse démo technique.
Maintes et maintes fois repoussée, la sortie de Duke Nukem Forever n'a jamais semblé aussi proche. Encore un petit mois et les joueurs devraient pouvoir mettre la main sur ce titre tant attendu. Si tout va bien, Gearbox Software doit en ce moment même être en train d'apporter la touche finale à un jeu qui aura su se faire désirer. En attendant la date fatidique, 2K Games avait convié il y a peu la presse pour présenter la partie multijoueur du FPS initialement développé par 3D Realms. Une nouvelle occasion de constater que le Duke se porte plutôt bien avant son grand come-back. Le programme de cette nouvelle présentation de Duke Nukem Forever était relativement simple. 2K Games avait prévu une session de jeu impliquant systématiquement huit joueurs et s'étalant sur une grosse heure. Le temps nécessaire pour essayer plusieurs modes et se faire un petit avis sur la partie multi du titre. Le tout, sur des versions PC bien entendu. Histoire de commencer en douceur, nous avons eu droit à du Deathmatch classique. L'étripage collectif a pris place au sein d'une sorte de village abandonné dans le grand ouest. Ambiance western... ou presque.
Après 14 ans d'attente, le roi sévèrement burné de la castagne tous azimuts et de la vanne décomplexée est de retour ! L'ultra mégalo Duke Nukem revient enfin sur le devant de la scène à travers une aventure techniquement dépassée mais heureusement aussi fun que surréaliste. Impressions à chaud après environ deux heures de jeu... « Come Get Some! » (grosso modo, « Si tu me cherches, tu vas me trouver ! »). C'est avec cette accroche pour le moins rentre-dedans que le studio Gearbox Software a décidé de relancer le personnage de Duke Nukem, militaire blond obsédé par les guns et les jolies pépées, héros d'une bonne quinzaine de jeux depuis son apparition en 1991. Et on peut dire que les développeurs ont tenu leur pari ! Blindé d'action, de bons mots (en fait sacrément grossiers !) et de références multiples, Duke Nukem Forever aligne également les situations délirantes. A commencer par une séquence d'introduction qui met Duke, armé d'une grosse pétoire, face à une monstrueuse bestiole à dessouder au beau milieu d'une arène. Une fois la créature envoyée ad patres, la caméra recule et le joueur découvre alors Duke en train de jouer à son propre jeu vidéo, entouré des jumelles blondes Hilson (clin d'oeil à peine voilé aux jeunes actrices jumelles Olsen) en train de lui faire une petite gâterie ! Pas de doute, tout le long de cette aventure à la première personne, les références vont s'accumuler pour le meilleur et surtout pour le rire...
Duke Nukem Forever, c'est un peu l'histoire de la plus grosse Arlésienne du jeu vidéo. Annoncé initialement en 1997, le projet a été reporté un nombre incalculable de fois pour diverses raisons jusqu'à la mort l'an dernier de son développeur, 3D Realms. On croyait alors le jeu mort et enterré. Mais c'était sans compter sur Gearbox Software, acclamé récemment pour Borderlands, qui a annoncé il y a quelques semaines le rachat de la licence. Et voilà comment nous nous sommes retrouvés en octobre 2010, une version de Duke Nukem Forever entre les mains. Enfin... Hail to the king baby ! Qu'il était fier Randy Pitchford, le patron de Gearbox Software, de pouvoir présenter Duke Nukem Forever à la presse. Lui qui avait bossé en tant que designer sur Duke Nukem 3D il y a plus de quinze ans, peut maintenant se targuer de mener à bien sa suite, l'un des projets les plus rocambolesques de l'histoire du jeu vidéo. Pourtant, ce n'était pas gagné. Avec la fermeture de 3D Realms en mai 2009, tout espoir semblait avoir disparu. Mais c'était sans compter sur la motivation de Pitchford et de son studio, prêts à investir pour ramener Duke à la vie.
Duke Nukem Forever ou la plus célèbre arlésienne du jeu vidéo… Annoncé il y a 12 ans, annulé, ressuscité, le soft aura vécu maintes péripéties. Mais l'attente touche peut être à sa fin avec la prise en main du développement par Gearbox Software, déjà responsable de Borderlands. Et pour montrer leur bonne foi, les gars de l'équipe nous ont permis d'essayer deux niveaux du jeu. Ceux-ci nous ont fait découvrir un jeu assez varié, respectant l'univers de Duke en alliant le tout à un gameplay classique mais efficace. Ainsi, à peine le jeu commencé, le Duke nous met directement dans l'ambiance en faisant un tour par l'urinoir, avant de partir à l'assaut. Ce n'est que le début du come-back de cet humour gras et potache continu. Que ce soit dans les vannes que balance notre héros musclé, dans les actions qu'il peut faire (j'avoue que prendre en main un étron avant de le jeter contre un mur en entendant des débilités lâchées par notre protagoniste fétiche, ça me fait rire), ou dans les personnages tiers qui nous entourent, la production de Gearbox Software ne cesse de faire sourire le joueur.
Gamekult
Ajouté le : 10/2010
Plus accessible...
Revenu d'entre les morts le mois dernier à la Penny Arcade Expo 2010, Duke Nukem Forever est maintenant en tournée autour du monde pour achever de convaincre des journalistes et joueurs incrédules que le grand blond aux lunettes noires est bel et bien de retour. Arrêté l'espace d'un après-midi à deux pas des Champs Élysées, le FPS créé à l'origine par 3D Realms s'est laissé essayer pendant une petite quinzaine de minutes. Commencée directement dans les toilettes d'un stade, la démo de Duke Nukem Forever que nous avons pu essayer nous demandait avant tout de vider la vessie de l'ami Duke, qui ne manquait pas de commenter l'acte avec sa finesse habituelle. Sans trop prendre le temps de passer par la case chasse d'eau ou lavabo (bien que tout fût bien interactif), on entrait alors dans le coeur de l'action pour assister une bande de bidasses pas spécialement doués de leurs mains dans nos premières rencontres avec l'ennemi. L'ensemble était très scripté et ne nous demandait finalement que de servir de figurant au milieu d'escarmouches auxquelles on ne pouvait pas encore réellement participer.
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