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Nous avons réuni 14 tests du Driver : San Francisco. Les experts notent Driver : San Francisco 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Driver : San Francisco et d'autres Jeux Xbox 360.
Malgré le succès mérité du premier Driver sorti en 2000 sur PlayStation, la série de Reflections a par la suite eu bien du mal à convaincre le public et la critique, la faute à des choix de design discutables, souvent mal assumés. Après le décevant Driv3r et sa suite sans surprise Parallel Lines sur Xbox, nous n'attendions donc plus grand-chose des aventures de Tanner, et avions accueilli avec circonspection l'annonce d'un nouvel épisode sur Xbox 360. La surprise n'en a été que meilleure lorsque nous avons mis la main sur la version review de Driver San Francisco !Lancée en Europe voilà plus de onze ans, la série Driver avait à l'époque redéfini la course automobile vidéoludique en remplaçant les classiques épreuves par des missions aux objectifs variés, en n'oubliant toutefois pas d'offrir un modèle de pilotage pointu et exigeant. Fort d'un succès mérité, le studio Reflections avait par la suite tenté d'élargir le champ des possibilités de son jeu en permettant notamment au joueur de sortir de sa voiture, et de participer à des fusillades malheureusement peu convaincantes. Critiqués pour leurs nombreux bugs et leur gameplay manquant d'identité, les derniers volets semblaient ainsi avoir sonné le glas de la série. C'était sans compter sur la volonté des petits gars de Reflections qui ont pris en compte les retours de leurs fans, et nous offrent avec Driver San Francisco leur meilleure production depuis le premier volet.Première bonne nouvelle, les développeurs ont complètement abandonné les phases à pied et les fusillades, si bien que vous passerez 100% de votre temps (ou presque !) au volant d'une voiture.
Si vous n'avez croisé la franchise Driver que par l'épisode Parallel Lines alors vous ne connaissez pas la qualité première de cette licence. Sympathique jeu de course, Driver a connu un faux pas avec son dernier volet en date qui lui a valu de disparaître quelque temps. Ubisoft n'a pas pour autant décidé d'abandonner son titre et sert un nouveau Driver au style bien trempé et surtout, ne jouant que dans la cour des jeux de course, sans s'essayer à un tout autre genre. Ubisoft tente même de faire oublier Parallel Lines puisque cette suite se déroule avant les évènements de ce quatrième volet. Vous incarnez ici John Tanner, policier de son état et accessoirement très bon pilote dans un milieu urbain. Suite directe de Driv3r, vous retrouvez le même homme à abattre, ou du moins à mettre derrière les barreaux de la prison d'Alcatraz, Charles Jericho. Les joueurs du troisième volet de Driver connaîtront l'homme, John Tanner et l'aventure qui les a déjà confrontée. Mais si vos souvenirs sont flous ou que vous n'avez jamais entendu parler de Dirv3r, vous ne serez pas pour autant perdus dans le scénario de cette nouvelle aventure. Les débuts de ce San Francisco vous place le contexte, les dialogues vous apprennent quelques éléments du passé, les plus utiles pour que vous saisissiez l''enjeu de cette nouvelle aventure.
La série Driver qui a débuté en 1999 avait marquée l'esprit des joueurs par la possibilité de voler les véhicules dans la rue dès Driver 2, à la GTA. La différence ici c'est qu'on incarne un policier et qu'on cherche à résoudre une enquête. On se retrouve en fait à l'opposé moralement d'un GTA. Ce Driver San Francisco est un retour aux sources next gen qui fait du bien. Autant vous dire que le jeu donne un coup d'accélérateur à la franchise qui ne demandait que ça. Temps de jeu personnel: 16 heures John qui roule n'amasse pas mousse Driver SF se dote d'un scénario original, chose rare pour un jeu de course. Vous incarnez toujours John Tanner et l'aventure débute le jour où Jericho (le type que vous avez réussi à envoyer en prison) est transféré en fourgon blindé pour se faire juger. Evidemment le monsieur s'échappe, vous le poursuivez et le jeu commence. A vous de mettre la main sur ce criminel tout en démantelant l'affaire qui se monte petit à petit. Pour cela, vous allez devoir réaliser les activités habituelles de tous pilotes qui se respectent: course de rue, pistage, livraison, sauvetage, poursuite à toute allure et j'en passe.
Série devenue mythique sur PlayStation pour vite retomber dans l'anonymat la génération suivante, Driver est le genre de licence qui a connu autant de hauts que de bas. Mais alors qu'on la pensait morte et enterrée, Ubisoft tente le pari de dépoussiérer cette vieille épave pour la remettre à neuf. Après un changement remarqué de propriétaire, cette restauration vaut-elle le coup d'oeil ? John Tanner est dans de beaux draps. Alors qu'il surveillait le transfert de Charles Jericho, son ennemi juré, depuis sa célèbre Dodge Challenger R/T de 1970, notre valeureux personnage va vite se retrouver dans un guet-apens et tomber dans le coma suite à un grave accident de la route. Obnubilé par cet antagoniste qu'il pourchasse depuis des lustres, Tanner va réécrire le scénario dans sa tête et essayer de déjouer les plans de ce méprisable personnage depuis son lit d'hôpital. L'histoire, s'éloignant quelque peu de l'esprit mafieux et underground des premiers épisodes, au grand dam des anciens, gagne néanmoins en sympathie grâce à de nombreuses cinématiques mettant en scène des personnages souvent bavards et très second degré.
Qui aurait misé un seul euro sur ce Driver, suite improbable d’une licence moribonde ? Et bien un joueur avec le nez fin ! Voilà une suite directe (en termes d’histoire) au Driv3r de sinistre mémoire, mais proposant quelque chose de réellement nouveau, pour ne pas dire novateur. Quoi ? De l’originalité dans un jeu de voiture ? Et oui, c’est possible ! L’histoire commence alors que le criminel Jericho, péniblement arrêté lors de l’épisode précédent par John Tanner, réussit une évasion spectaculaire alors que son futur s’annonçait à l’ombre pour longtemps. Et c’est parti ! Dans la peau de Tanner, vous prenez tout de suite le bad guy en chasse, jusqu’à ce que vous tombiez dans un piège vous laissant dans un état comateux… Et c’est là que le jeu bascule dans un autre univers ! Pendant qu’il est aux fraises, Tanner s’imagine un monde parallèle dans lequel il ne serait pas à l’hôpital, et dans lequel il continuerait de chasser sans relâche Jericho. Sauf que dans ce monde, son esprit pourrait s’envoler dans les airs avec un effet de dé-zoom / zoom saisissant, et il pourrait investir le corps de n’importe quel conducteur, passant ainsi d’une voiture à l’autre. C’est ce songe qu’on va jouer. Est-ce un fantasme ou bien est-ce la réalité ? Difficile à dire…
Tombée aux oubliettes depuis plusieurs années, la série Driver a été ressuscitée par Ubisoft. Depuis Driv3r en 2004 et en omettant le très fade Parallel Lines, John Tanner a longtemps rongé son frein, espérant renaître de ses cendres. C'est chose faite à travers cet épisode qui s'avère être une ode aux courses poursuites typiques des films des années 70. Contrairement au titre dont il est la suite directe - les événements se déroulant six mois plus tard, Driver : San Francisco ne fait pas figure d'hybride entre jeu de courses et TPS. Afin que Driver redevienne ce qu'il fut, il a été demandé aux petits gars de Reflections, développeurs historiques de la licence, de se concentrer sur les courses et uniquement là-dessus. Les phases à pied ont été bannies, à la fois pour éviter la comparaison fortuite avec GTA et pour contenter les amoureux du premier volet dont les poursuites étaient fameuses. Ainsi, dans l'esprit, c'est un véritable retour aux sources qu'opère la franchise, sans pour autant réserver son intérêt aux fans de la première heure. En effet, malgré le lien qui unit Driver : San Francisco à Driv3r, il est tout à fait possible d'apprécier ce nouvel épisode en ignorant tout de son aîné.
Driver est une licence un peu à part dans le monde du jeu vidéo. Connue essentiellement pour son premier épisode qui avait réussi à marquer les esprits en posant les principes du futur GTA 3, on en a à peine retenu le gameplay relativement ouvert pour l’époque, la célèbre Dodge Challenger du héros et sa tenue de route houleuse. Plus de cinq après le dernier épisode (Driver : Parallel Lines), Ubisoft essaye de remettre la franchise sur pied avec un nouvel épisode disposant des dernières modes de gameplay : environnement ouvert, scénario découpé en chapitres et mode multijoueur complet. Virage maîtrisé ou sortie de piste définitive ? Pour ce nouvel épisode de la série Driver les développeurs de Reflections (les créateurs originels de la franchise) ont décidé de placer le scénario de leur jeu quelque mois après les évènements de Driv3r. Pour ceux qui n’auraient pas joué à cet opus sorti en 2005 (vous avez bien fait), il faut rappeler que le joueur incarne toujours John Tanner un gentil flic de la police de San Francisco dont la principale arme est sa bagnole, une rutilante Dodge Challenger des années 70. Dans Driv3r, John avait enfin réussi à faire coffrer Jericho – le grand méchant caïd qui terrorisait la ville - et il semblait que les choses iraient pour le mieux une fois l’ordure jetée en prison.
Depuis son annonce et jusqu'à aujourd'hui, mes attentes et impressions au sujet de Driver San Francisco ont un peu fait le grand-8. Comme tout le monde, j'ai d'abord regardé ce principe de "shift", au coeur du gameplay, de manière fort dubitative, inquiète même... avant que les récents hands-on sur les modes solo et multi me retournent finalement comme un crêpe ! Bref, j'étais plein d'espoir et d'envie au moment de commencer ce test, et je n'ai pas été déçu !L'idée directrice de Driver San Francisco, c'était de revenir aux sources tout en s'appuyant sur une vraie nouveauté centrale : le "shift". Ainsi, la "GTA-isation" du gameplay (permettant à Tanner de sortir de sa caisse pour flinguer à tout va) a été purement et simplement abandonnée. "Ouf", diront les vieux fans, car on revient ainsi à la bonne vieille formule 100% conduite du premier opus. Retour aux sources toujours, avec le terrain de jeu, San Francisco, qui est simplement gigantesque et propose comme chacun sait tout ce qu'il faut pour faire décoller sa bagnole au dessus du sol et exploser quelques piles de cartons dans des petites allées.
Au regard de la qualité des derniers Driver, la disparition de la série depuis plus de quatre années n'avait pas vraiment de quoi nous attrister. Ne serait-ce que pour le pathétique DRIV3R et sa cargaison de bugs, on avait de bonnes raisons d'en vouloir à Reflections pendant plusieurs générations. Toutefois, au fil de nos rencontres avec ce cinquième épisode, de jolies choses se laissaient entrevoir au point de nous faire espérer une vraie renaissance de la série, prête à rouler sur les traces de l'illustre épisode originel. Alors, Driver : San Francisco, l'épisode de la réconciliation ? Jericho m'une baleine ! Sans rien renier ouvertement, Driver : San Francisco s'inscrit totalement dans la lignée de la série et reprend l'histoire du célèbre John Tanner quasiment là où on l'avait laissée à la fin de DRIV3R. Une simple poignée de mois s'est écoulée depuis lors et le mafieux Charles Jericho, Némésis officielle de notre flic, s'apprête à répondre de ses actes devant la justice américaine. Des circonstances bien trop positives évidemment, et notre homme va trouver moyen de prendre la poudre d'escampette durant son transfert de la prison. Heureusement, Tanner est là pour veiller au grain et une course-poursuite va nous jeter immédiatement aux trousses de Jericho.
Nous étions six. Cinq journalistes et un développeur, prêts à en découdre dans les locaux parisiens d'Ubisoft. Six PS3 branchées en LAN, prêtes à faire tourner le prochain gros jeux de course de l'éditeur. Le multi de Driver San Francisco s'est offert à nos yeux, pour notre plus grand bonheur. Driver San Francisco propose 19 modes de jeu multijoueurs, dont 11 en ligne, et jusqu'à 8 joueurs peuvent s'affronter. En local, 8 modes de jeux compétitifs, et 3 modes coopération. Toutes les voitures du jeu existent et sont toutes sous licences de marques réelles. De plus, les 128 véhicules sont sujets aux dégâts. Avant chaque épreuve en ligne, une petite course détermine votre position sur la ligne de départ et vous permet d'obtenir quelques bonus en début de partie. Le Shift est la vraie nouveauté de ce Driver San Francisco. Il vous permet de prendre le contrôle de n'importe quel véhicule (voitures, camionnettes ou même camions) dans San Francisco d'une simple pression sur un bouton de la manette. Il n'y a pas de conditions météo, ni de cycle jour/nuit. En revanche, les courses se déroulent à différentes heures de la journéeL'avis de BernoSi nous n'avons pas eu la chance de tester le mode solo de Driver San Francisco, nous avons pu essayer pour vous le mode multi du titre.
Débutée en 1999, la saga Driver a été adaptée, au fil de ses épisodes, sur quasiment toutes les plates-formes du marché vidéo ludique. Aujourd'hui, c'est au tour des consoles next-gen (sans oublier le PC) d'accueillir ce nouveau volet dont l'action prend place dans la ville de San Francisco. Bonne nouvelle : après un mode solo prometteur, nous avons enfin pu essayer quelques-uns des nombreux modes disponibles en multi. Voici donc nos premières impressions... D'abord, il faut noter que pas moins de 128 véhicules sous licence (Lamborghini, Mac Laren, Ford GT...) se retrouvent au casting de ce jeu de course/poursuite. Si ceux-ci peuvent être endommagés visuellement, en revanche les dégâts qui apparaissent sur la carrosserie n'influencent pas du tout la conduite. Et c'est probablement une bonne chose dans la mesure où la circulation se fait parfois très dense et les occasions de heurter les autres véhicules sont donc légion. Ainsi, grâce à cette conduite de type arcade, le fun demeure plus immédiatement perceptible. Même si le bolide que vous conduisez réagit parfois comme une savonnette, le pilotage avec le stick étant plutôt sensible. Attention toutefois, ce dernier point dépend non seulement du type de véhicule emprunté mais aussi des critères qui caractérisent chaque voiture.
Driver, c'est l'histoire d'une série qui avait débuté sur les chapeaux de roue en 1999 avant de littéralement se perdre en chemin dès sa deuxième apparition en 2000. Depuis cette lointaine époque, la licence a connu quelques épisodes baignant tous plus ou moins dans la médiocrité et a plusieurs fois changé de mains, pour finalement atterrir entre celles d'Ubisoft en 2006. Pour relancer une machine grippée depuis de trop nombreuses années, l'éditeur a décidé de revenir aux sources avec Driver : San Francisco. Une opération reconquête qui semblait avoir pris du plomb dans l'aile depuis quelques mois puisque ce nouveau volet devait à l'origine sortir fin 2010 avant d'être repoussé. Rassurez-vous toutefois, après avoir passé une bonne heure sur la version PS3 du jeu, on est en mesure de dire que le laps de temps supplémentaire accordé aux développeurs semble avoir été salutaire. Nul besoin d'avoir fait de nombreuses études de marché pour comprendre que la popularité de Driver repose exclusivement sur la qualité du premier épisode. Les quelques suites globalement ratées n'ont fait qu'enfoncer une licence dont le potentiel commercial apparaissait pourtant immense au premier abord. Tout cela, Ubisoft l'a bien sûr intégré.
Licence culte parmi les licences cultes, la série Driver s'est malgré tout quelque peu fourvoyée ces dernières années. Rachetée par Ubisoft à un Atari moribond, la voilà prête à faire son come-back en misant sur... un état comateux. Comme son titre l'indique assez clairement, ce nouvel opus se déroule donc à San Francisco, charmante bourgade partiellement reproduite et qui offre pas moins de 320 kilomètres de bitume à parcourir, du speedway aux collines qui ont fait le succès de nombreux films. D'ailleurs, les développeurs ne cachent pas que des films comme Bullit ou French Connection comptent parmi leurs influences directes. En dehors de son design et de son ambiance très 70's, qui suffisent déjà à lui attirer une certaine sympathie, Driver San Francisco se distingue surtout pour une feature qui fut le principale objet de sa présentation à l'E3 : le shift. Pour comprendre de quoi il retourne, il faut avant tout préciser une chose : suite à un accident, ce bon vieux Tanner est plongé dans le coma, sauf que lui, il en sait rien et qu'il a l'imagination qui tourne, ce qui explique qu'il soit capable de changer de voiture sans avoir à se garer sur le trottoir pour ensuite aller en voler une.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
Avec Driver : San Francisco, Ubisoft nous fait également le coup du reboot. Retour donc à la case départ ou presque pour Driver, propriété de l'éditeur français depuis mi-2006, et pour Tanner, son protagoniste qui repart aux trousses de son ennemi juré : Jericho. Et cette fois-ci, le théâtre des poursuites sera San Francisco, comme on pouvait s'en douter avec un tel titre. Premières impressions à chaud après quelques minutes de jeu. Concocté par Reflections, le studio anglais à l'origine de la saga, ce cinquième épisode de Driver a donc choisi la ville californienne de San Francisco comme point de départ aux nouvelles aventures motorisées de Tanner, un lieu qui fait évidemment office de clin d'oeil au tout premier Driver. Si l'on continuera d'ailleurs de lorgner vers les années 60 et 70 avec des voitures à la conduite très survireuse (mais facile d'accès) en hommage à cette époque et aux films de poursuites automobiles Bullit ou French Connection, le scénario se situera néanmoins à notre époque, dans une ville non pas reproduite à l'identique, mais adaptée. On retrouvera en tout cas dans un monde entièrement ouvert le centre-ville et ses immenses buildings, co-habitant notamment avec une zone moins urbaine et propice à un peu de tout-terrain ou encore une autre où s'enchevêtrent les autoroutes pour des courses à haute vitesse en supercar.
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