17 tests d’experts - 1 avis d'internautes
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Nous avons réuni 17 tests et 1 avis du Dragon Quest IX : Les Sentinelles du Firmament. Les experts notent Dragon Quest IX : Les Sentinelles du Firmament 8.6/10 et les internautes 10/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dragon Quest IX : Les Sentinelles du Firmament et d'autres Jeux DS.
est sans conteste l'un des jeux les plus attendus sur . Annoncé en 2007, reporté plusieurs fois et subissant des tergiversations au niveau du gameplay, cela a finalement aiguisé encore plus l'intérêt des joueurs quel que soit le continent. Il faut dire que Square Enix a fait un sacré pari, créer un nouvel épisode Dragon Quest sur la console la moins puissante du marché, tout en essayant de bousculer les codes de la licence. Une décision qui a fait hérisser les cheveux de plus d'un puriste de la série. La suite, on la connait, succès retentissant au Japon et ce sera probablement la même chose en Occident.Le début du jeu commence par la création de son avatar, car dans il n'y a pas de héros au nom pompeux et amnésique, non, le joueur est libre de créer le personnage qu'il désire. Il faut avouer cependant qu'au début les choix sont assez limités et que que créer un personnage de la tête au pied n'est pas aussi riche qu'on le pense, surtout avec certains choix proposés, notamment au niveau des yeux ou des cheveux, qui sont assez horribles esthétiquement parlant.Une fois l'avatar créé, le joueur débute l'aventure au royaume des anges.
Univers Consoles
Ajouté le : 08/2010
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Depuis quelques années, la DS s'est forgée une solide réputation de "console à RPG" ; les sorties récentes de titres plus alternatifs (Infinite Space pour probant exemple) entérinant cette réputation. Après les classiques Zelda et autres Final Fantasy, LA véritable institution du genre revient pour un neuvième opus flirtant habillement avec le concept de perfection. Parler de Dragon Quest à un japonais (et un américain à un degré moindre cependant) et vous obtiendrez un discours dithyrambique, teinté d'admiration et nostalgie. En son temps, le soft offrait des aventures inspirées des meilleures productions "micro", dans des univers merveilleux ; autour de protagonistes attachants. Le character design d'Akira Toriyama adjoint aux fils des épisodes et le gameplay sans faille, finissant d'installer la saga au sommet des charts nippons. Les européens désireux de connaitre l'oeuvre de Jùji Horii devant dès lors enchainer les cours Wall Steet English afin de découvrir la saga dans la langue de Shakespeare. Les autres ? De la patience ; en pack de douze ! Et la sortie sur Playstation de Dragon Quest IV, jusqu'aux épisodes VIII (PS2 2006) et le très récent Fiancé Céleste.
Après cinq ans d'attente, Dragon Quest est de retour. Une réalisation au top, mais une aventure qui manque d'audace. On ne touche pas à un monument. Dragon Quest en est un, même s'il est peut-être moins connu chez nous qu'au Japon où il est aussi culte son frère ennemi préféré, Final Fantasy. Le genre de vache sacrée que les développeurs ont bichonné pendant cinq ans avant d'enfin nous permettre de poser nos doigts boudinés (et accessoirement notre stylet) dessus. Vous voici donc propulsé ange-gardien d'un petit village. Ses habitants y vivent une existence simple et paisible, que vous avez à coeur de rendre encore plus douce. Un métier de rêve, tant la petite communauté sur laquelle vous devez veiller est charmante. Merci au travail des graphistes, merci aussi au moteur graphique qui enterre la plupart des autres jeux sur DS. Même s'il triche en affichant les personnages mineurs en 2D, le jeu est quasiment tout en 3D. Une 3D colorée, fluide, et qui nous autorise à faire tourner un peu la caméra, via les gâchettes. Bref, tout ceci est parfaitement délicieux, du moins jusqu'à ce que le Train céleste s'apprête à vous emmener vers le Paradis, en récompense de vos bons et loyaux services.
J'aime cet article 2 personnes aiment cet articlePremier épisode de la série principale de Square-Enix à arriver sur DS, Dragon Quest IX : Les Sentinelles du Firmament est également celui qui semble apporter avec lui un certain vent de renouveau. Intégrant une grande partie multijoueur, ce dernier casse dès son concept de base les grandes lignes directrices de la saga. Une volonté logique de s'adapter à un public qui a évolué avec les possibilités actuelles et qui cherche peut-être désormais autre chose. Mais jusqu'où Level-5 et Square-Enix peuvent-ils aller dans la nouveauté sans heurter les fans ?Alors que les notes semblent prêtent à s'envoler avant de dévoiler les premiers instants de l'aventure qui commence, c'est par la création d'un nouveau personnage que se dévoile ce nouvel épisode de la série Dragon Quest. Un changement dans les habitudes qui implique donc la disparition claire et nette d'un vrai personnage principal construit, laissé de côté pour des raisons logiques de game design. RPG multijoueur oblige, l'identification prend la place de la narration et le joueur devra donc se plier à définir l'apparence de son avatar en SD en choisissant parmi plusieurs possibilités.
Dragon Quest IX est probablement le jeu le plus paradoxal de ces dernières années : à la fois incarnation parfaite de la vieillerie poussiéreuse et RPG moderne qui prend beaucoup de risques ; notamment s'aliéner une partie de son public qui le jugera sans doute trop simple, trop différent des anciens et ne verra en son mode multi qu'une opération « mercantile ». D'un côté donc, du figé : une interface archaïque, les bons vieux bruitages d'époque, un système de combat qui n'a jamais réellement évolué (les mêmes armes, les mêmes magies) et l'application scrupuleuse du cahier des charges qui a fait de Dragon Quest, le phénomène nippon que l'on connait ; entre autre une vraie aventure avec une histoire bidon (mais mieux que d'habitude) mais qui s'appuie sur des « tranches de vie » qui, bien que classiques, donnent corps à une gamme de personnages aussi attachants que touchants et des situations toujours aussi... magiques. Et que ça fait du bien. D'autant que cela permet de rassurer sur le niveau d'excellence de la série : Dragon Quest dispose véritablement d'une âme qui, en dépit de son écriture « naïve », est capable de réellement toucher et de susciter un grand nombre d'émotions (la joie, la peur, la tristesse, l'empathie, la colère etc.).
Mercredi après-midi, dans le douillet Starbuck du quartier Opéra, à Paris. J'ai rendez-vous avec ma copine Amandine autour d'une boisson caféinée au nom imprononçable. On se pose dans les fauteuils moelleux tout en papotant. Amandine fourrage dans son sac à main, en extirpe sa DS lite, rose. Et sous les yeux atterrés des touristes et des japonaises, nous allumons nos consoles pour tester la fonction multi-joueurs de Dragon Quest IX. On ne va pas passer par quatre chemins, pour deux anciennes joueuses de MMO entrées dans la vie active mais toujours aussi gameuses, l'expérience est totalement réussie. "Good Game", comme on dit chez nous.Pas de code ami, pas de configuration laborieuse, dans Dragon Quest IX on s'adresse à un personnage non joueur qui nous remet une paire d'ailes nécessaire à la déconnexion. Et Pia, ma mage niveau 14 se retrouve dans la taverne de Clafouty, troubadour niveau 17. Je vous préviens tout de suite, je n'ai pas fait aux lecteurs de Gameblog l'injure de jouer moins qu'une amie à un titre que je teste. C'est parce que la possibilité de changer de classe n'apparaît pas si tôt dans le jeu, et que j'ai quand même monté mon troubadour jusqu'au niveau 21 avant de changer de vocation.
Mine de rien, il s’est écoulé cinq ans entre les sorties japonaises de Dragon Quest VIII et Dragon Quest IX. Cinq ans nécessaires à Level-5 pour mettre au monde un nouvel épisode dédié à la machine la plus vendue sur le sol nippon. Rien d’étonnant, vu que . Mais au fait, qu’apporte la portable de Nintendo à une telle franchise? En terme de prise en main, le minimum syndical: l’écran tactile n’a pas grande utilité et on se contente, 99% du temps, de la croix directionnelle. L’apport du double écran reste simple et efficace: l’action se déroule en bas et la carte de la zone s’affiche au dessus. À l’inverse, les combats défilent sur l’écran supérieur alors que l’on choisit ses attaques en dessous. Bref, du classique. Mais nous ne sommes pas là pour parler double écran tactile, les lignes défilent et il y a du boulot. On le sait depuis longtemps, Dragon Quest IX se veut l’épisode de la modernité. Orientation multijoueur oblige, vous êtes désormais obligé de passer par une phase de création d’avatar. Avec Akira Toriyama au design, ne vous attendez pas à une variété de visages affolante cependant. Une dizaine de coupes de cheveux et autant de paires d’yeux sont proposées.
Et de neuf ! Après une série de trois remake, la Nintendo DS accueille donc le neuvième épisode de la saga Dragon Quest, premier volet à voir le jour sur une console portable. Et à l'instar de Dragon Quest VIII, c'est Level 5 qui est aux commandes de ce nouveau chapitre. Que les fans se rassurent, le crew historique de la saga est toujours en place : Yûji Horii au game design, Kôichi Sugiyama aux musiques et l'indétrônable Akira Toriyama au character design. Pour autant, Dragon Quest IX entretient-il à son tour le statu quo si ardemment défendu par les fans de la première heure ? Oui et non. En effet, comme nous allons le voir, ce neuvième opus ose braver quelques commandements sacrés du culte DraQue ... Au premier lancement du jeu, l'une des évolutions majeures de ce neuvième épisode nous est immédiatement lancée en pleine figure : fini le personnage principal imposé, place à la création ex nihilo. Enfin, presque. Car il ne s'agit pas non plus de donner naissance à un avatar et de le façonner dans les moindres détails. Plusieurs séries de caractérisations nous sont proposées à commencer évidemment par le sexe du personnage, puis son visage, sa coiffure, ses yeux, sa taille etc.
S'enfilant dans la brèche ouverte par l'Odyssée du Roi Maudit, les slimes élevés au riz collant prennent à nouveau d'assaut l'Hexagone, reprenant avec fierté leur patronyme de « gluants ». Ayant déjà fait la joie des possesseurs de DS par le biais des remakes et des épisodes Monsters Joker, la grande famille des Dragon Quest a choisi la portable de Nintendo pour lancer son neuvième épisode numéroté. Fort de son expérience en matière de développements de qualité sur DS (Professeur Layton, Ninokuni...), le studio Level-5 avait, rappelons-le, signé l'inoubliable huitième épisode de Dragon Quest sur PS2. L'Odyssée du Roi Maudit avait d'ailleurs servi d'ambassadeur pour faire connaître cette immense saga au public européen qui ne demandait qu'à rejoindre lui aussi les contrées magiques d'une série encore plus populaire que Final Fantasy au Japon. Fruit de la collaboration providentielle entre Yuji Horii (concepteur de la série), Akira Toriyama (character designer) et Koichi Sugiyama (compositeur), Dragon Quest IX s'offre en plus les talents de Level-5 pour nous prouver que, même sur une console portable, la saga n'a rien perdu de ses ambitions.
Jusqu'à il y a peu de temps, la série Dragon Quest n'était pas vraiment un modèle d'implantation sur notre beau continent européen, l'arrivée de ce neuvième opus nous montre que les choses évoluent lentement mais sûrement dans le petit monde du jeu vidéo, Dragon Quest IX marque un tournant dans la série, la direction prise par la série est-elle la bonne ? Réponse dans ce test !Un aspect graphique quasi exemplaireUn point sur lequel on pouvait avoir des doutes sur la pertinence de proposer un tel projet sur Nintendo DS était le côté graphique du titre, les capacités de la Nintendo DS en terme de performance brute n'étant pas spécialement impressionnantes nous étions devant une certaine inquiétude à ce sujet.Pourtant le style graphique choisit, alternant entre un effet cell-shading et manga, avec pour style principal le travail d'Akira Toriyama, s'avère très bien utilisé et la DS fait merveille, avec des textures très jolies et relativement fines, des personnages qui ont une personnalité forte, dû à leur modèle 3D très soigné.Les personnages ont en effet une silhouette bien faite, leurs proportions sont celles de héros de mangas, cela est voulu bien entendu, donc il n'y a que peu de choses à redire sur le style graphique du jeu, si ce n'est que la plupart des PNJ ne sont pas fait en 3D mais ont des avatars en 2D, un bien mince défaut en somme car ce point ne fait absolument pas tâche dans le paysage.
Un an. C'est la durée que les joueurs européens se sont vus imposer avant de pouvoir mettre la main sur Dragon Quest IX : Les sentinelles du Firmament, un épisode Nintendo DS qui s'est octroyé sans aucun mal le titre du jeu le plus vendu de la franchise Dragon Quest au Japon. À défaut d'avoir une date de sortie du remake du sixième opus, c'est donc avec ce nouvel épisode que les fans de la licence sur le Vieux Continent vont passer leur été que ce soit en solitaire ou à plusieurs, grâce à l'arrivée d'un mode multijoueur local pour quatre personnes. Dragon Quest IX : Les sentinelles du Firmament a t-il vraiment de quoi nous transporter au septième ciel ? Une cinématique plus tard, le monde de Dragon Quest IX : Les sentinelles du Firmament s'ouvre au joueur en lui proposant tout d'abord de créer son personnage. Un espace de création qui laisse place à quelques options basiques d'aspect physique (couleur des yeux, coupe de cheveux, taille, etc.) mais qui suffit à donner une apparence un tant soit peu personnalisée à celui qui sera le héros principal de l'aventure. Ce héros, on le retrouve sous la forme d'un Célestin en plein apprentissage du métier d'ange protecteur auprès de Aquila, un mentor pleinement dévoué à sa tâche.
La sortie d’un Dragon Quest est toujours un évènement pour les amateurs de RPG. Particulièrement attendu depuis la performance de son prédécesseur sur Wii, ce nouvel opus destiné à la petite portable de Nintendo et développé par Level-5 offre une nouvelle vision de la saga à travers le multijoueur. Après avoir été maintes fois retardé, nous pouvons enfin toucher à Dragon Quest IX : Les Sentinelles du Firmament. Ce monstre du RPG a-t-il réussi son pari de se lancer à la conquête du multijoueur ? Une fois encore, monsieur Yuji Horii est aux commandes de la bête. Le jeu nous place dans la peau d’un Celestellien, plus simplement ange gardien, vivant avec le reste de ses semblables dans une cité volante au sommet de laquelle se trouve l’arbre du monde. Ces anges, cherchant à rejoindre le royaume du Tout-Puissant, passent leur vie à aider les pauvres mortels dans leurs basses besognes quotidiennes (comme ramasser le crottin de cheval) afin de recueillir leur gratitude. Celle-ci nourrira l’arbre du monde jusqu’au jour où il donnera ses fruits, ouvrant la porte vers le royaume des cieux. Tout se déroulait comme sur des roulettes, jusqu’à ce qu’un incident arrive le fameux jour de la maturation des fruits.
Dragon Quest en multijoueur. Ce vieux rêve longtemps caressé par le chef d'orchestre de la série, Yûji Horii, est désormais une réalité pour les possesseurs de DS. Après quatre longues années de développement jalonnées de retards, une constante, ce sont d'innombrables questions qui trouvent enfin des éléments de réponse. Comment un tel monolithe du RPG japonais allait-il assurer la transition au multi sans sacrifier son équilibre de jeu (rythme, difficulté), tout en touchant le public le plus large possible, de l'intégriste qui exige son speech de dix lignes avant de sauvegarder, au joueur occasionnel peu au fait de ce genre de tradition ? Comme tout bon RPG multijoueur, Dragon Quest IX s'ouvre sur la création d'un petit avatar, une phase qu'il vaut mieux ne pas négliger sous peine de regretter trop vite l'absence de plusieurs slots de sauvegarde. Les choix sont hélas bien limités, qu'il s'agisse des faciès - hideux pour la plupart - ou de la couleur des cheveux, homme comme femme. Mais la crainte de guider le même héros que le voisin se dissipe assez vite, dans la mesure où l'équipement, apparent, diffère selon l'occupation de votre personnage. Aussitôt né, votre personnage sera transporté au royaume des anges, chargés de veiller sur le monde des humains à leur insu.
Commencer un Dragon Quest, c’est à la fois arpenter des chemins bien balisés et partir à l’inconnu. Ce paradoxe est d’autant plus vrai pour ce Dragon Quest IX : Les sentinelles du firmament qu’il est le premier épisode de la série à voir le jour sur DS, les cinquième et sixième volets n’étant que des remakes. Sitôt le jeu lancé, on comprend qu’il ne sera pas une longue promenade de santé, le parti pris de n’offrir qu’une seule sauvegarde sonnant comme un premier avertissement. Comme d’habitude, on commence avec un héros qu’il conviendra de nommer, la petite originalité provenant cette fois de la possibilité de le personnaliser. Ne vous attendez pas à un système poussé, vous n’aurez le choix que pour le sexe, le corps, les cheveux et leur couleur, le visage et la couleur de la peau et des yeux. Certains modèles étant véritablement horribles, notamment les regards, que vous n’aurez finalement pas trop de choix. Bref, vous voici fin prêt à vous lancer dans une nouvelle aventure qui vous place dans la peau de l’ange gardien de la race des Celestians, en charge de la protection d’un village humain : Angel Falls.
J'aime cet article 5 personnes aiment cet articleVéritable pan de la culture japonaise, la série Dragon Quest était la licence de RPG de feu Enix et depuis quelques années de Square Enix. Un changement de « propriétaire » qui n'empêche pas les fans de se ruer littéralement sur chaque épisode de la saga. Avec une recette qui a du mal à bouger d'un iota depuis sa création, conservant ses menus d'une rare sobriété sur les terres japonaises, Dragon Quest est une sorte de statue à laquelle même ses créateurs semblent avoir du mal à toucher. Les choses sont un peu différentes avec ce Dragon Quest IX, et ce dès les premières minutes de jeu...Pensé au départ comme un Action-RPG avant que les fans rejettent en masse ce projet obligeant Square Enix à rejeter ce système jugé peu viable, Dragon Quest IX : Les Sentinelles du Firmament a tout de même conservé son concept du jeu en ligne, lui permettant d'être plus ouvert que les précédents épisodes. Autres révolutions notables : le joueur japonais pourra pour la première fois bénéficier d'une interface graphique, un peu plus colorée et détaillée que les habituels "tableaux noirs", et surtout se heurter au principe des ennemis visibles sur le terrain, grande première pour la saga.
La sortie de Dragon Quest IX au Japon est venue ensoleiller l'été des joueurs nippons en dépit des angoisses de certains d'accueillir le neuvième volet de la série sur DS. Episode inédit et particulièrement attendu depuis la belle performance réalisée par le huitième opus partout dans le monde, Dragon Quest IX se révèle plutôt à l'aise sur portable, d'autant qu'il amène avec lui une nouveauté de taille dans la saga : le multijoueur. Après quelques jolis remakes qui ont contribué à faire connaître la saga Dragon Quest au public européen par l'intermédiaire des épisodes IV et V, Square Enix a confié à l'équipe de Level-5 la lourde responsabilité de développer de A à Z le tant attendu neuvième opus de la série. Une mission à la hauteur de la réputation du studio nippon qui avait déjà brillé en réalisant avec beaucoup de réussite L'Odyssée du Roi Maudit, le huitième volet de la série. Avec Dragon Quest IX, le défi résidait principalement dans le fait de devoir se cantonner aux limites techniques de la portable de Nintendo tout en proposant une réalisation suffisamment moderne pour plaire au jeune public.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
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Dragon Quest en multijoueur. Ce vieux rêve longtemps caressé par le chef d'orchestre de la série, Yûji Horii, est désormais une réalité pour les possesseurs de DS. Après quatre longues années de développement jalonnées de retards, une constante, ce sont d'innombrables questions qui trouvent enfin des éléments de réponse. Comment un tel monolithe du RPG japonais allait-il assurer la transition au multi sans sacrifier son équilibre de jeu (rythme, difficulté), tout en touchant le public le plus large possible, de l'intégriste qui exige son speech de dix lignes avant de sauvegarder, au joueur occasionnel peu au fait de ce genre de tradition ? Comme tout bon RPG multijoueur, Dragon Quest IX s'ouvre sur la création de son petit avatar, une phase qu'il vaut mieux ne pas négliger sous peine de regretter trop vite l'absence de plusieurs slots de sauvegarde. Les choix sont hélas bien limités, qu'il s'agisse des faciès - hideux pour la plupart - ou de la couleur des cheveux, homme comme femme. Mais la crainte de guider le même héros que le voisin se dissipe assez vite, dans la mesure où l'équipement, apparent, diffère selon l'occupation de votre personnage.
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