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Nous avons réuni 8 tests du Dragon Age 2. Les experts notent Dragon Age 2 6.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dragon Age 2 et d'autres Jeux Playstation 3.
Après un premier épisode très apprécié par une majorité de joueurs, mais peut-être un peu trop typé jeu PC, Dragon Age II pointe déjà le bout de son nez, toujours sur PlayStation 3, Xbox 360 et PC. Electronic Arts et Bioware ont par ailleurs annoncé la refonte du gameplay avec une action plus poussée et des combats améliorés. Dragon Age II va-t-il confirmer un premier essai plus que concluant ? Tout commence par une discussion mouvementée entre une mystérieuse femme brune et un nain au sujet d'un prétendu héros. Vous l'aurez compris, ce héros, c'est vous et au travers du récit de ce nain, c'est toute votre aventure qui va prendre forme. Vous allez donc incarner Hawke, un humain. Cette précision est très importante puisque vous n'allez malheureusement pas pouvoir choisir votre race comme dans le premier opus, mais seulement votre classe (guerrier, mage ou voleur), votre apparence et votre sexe. Si vous souhaitez incarner un nain ou un elfe, passez votre chemin, vous ne pourrez qu'être déçu par l'absence de choix de ce nouvel épisode. Vous allez plonger dans cette aventure qui se déroule en même temps que les évènements de Dragon Age premier du nom avec plaisir et vous pourrez même charger votre sauvegarde du premier opus afin de répercuter vos choix initiaux sur cette nouvelle épopée, modifiant quelques évènements de l'histoire de base.
Quand on sait qu'il aura fallu à Bioware près de cinq ans pour mettre au point Dragon Age : Origins, on ne peut qu'être surpris de voir arriver sa suite moins de dix-huit mois plus tard. D'autant que le studio s'est entre temps attelé à quelques contenus téléchargeables pour le premier volet, sans compter Mass Effect 2 et 3 ! De là à penser que Dragon Age II n'est pas aussi riche que son prédécesseur il n'y a qu'un pas, allègrement franchi après quelques heures de jeu.A vrai dire, le sentiment d'avoir affaire à un Dragon Age « light » apparaît dès les premières minutes, lorsque l'on réalise le peu de choix offerts au joueur quant à la création de son personnage. Ici, vous incarnez obligatoirement Hawke, homme ou femme mais forcément humain : bien sûr Origins était déjà relativement limité de ce point de vue, mais il permettait aux moins de sélectionner deux autres races, nain et elfe. Ici vous n'aurez donc d'influence que sur le sexe de votre héros, ainsi que sur sa classe : guerrier, mage ou voleur. Passée cette première déconvenue, on retrouve d'emblée l'une des forces des jeux signés Bioware, à savoir le scénario évolutif en fonction des choix du joueur : s'il est possible d'importer sa sauvegarde d'Origins pour retrouver Ferelden tel qu'on l'avait laissé, trois autres scénarios prédéfinis par les développeurs vous sont aussi proposés.
Dernière ?uvre de fantasy en date chez BioWare, la licence Dragon Age n'a eu besoin que d'un peu plus d'une année pour enchaîner la sortie de deux épisodes, sans parler des DLC entre-temps. Conçu par les petites mains talentueuses du studio canadien, le bien nommé Dragon Age II arrive tout de même par la grande porte. L'épisode de la confirmation ? Mais qu'est-il donc bien arrivé à l'équipe en charge du développement de Dragon Age II ? Où est donc passé le budget de blockbuster réservé un jeu de cette envergure ? Certainement pas dans la mise en scène ou le scénario en tout cas. Racontée sous la forme d'un flashback bateau entre deux personnages secondaires, l'histoire de notre héros peine sacrément à décoller. Sans spoiler quoi que ce soit, on peut dire que l'histoire de Dragon Age II fait plus penser à une intrigue secondaire dans son déroulement et son intensité, sans réelle menace majeure qui se dessine avant une bonne dizaine d'heures et avec des problématiques économiques et politiques assez rébarbatives. Le constat est assez surprenant lorsqu'on connait les antécédents de BioWare. Or il n'y a pas que l'histoire qui cale à l'allumage dans ce Dragon Age II, c'est malheureusement un tout en termes d'ambiance.
Fin 2009, Dragon Age : Origins est venu enchanter les amateurs de fresques épiques et de combats tactiques. Son succès a entraîné une série de DLC tous plus insignifiants les uns que les autres, ainsi qu'une extension, Awakening, solide mais pas inoubliable. Tous ces contenus additionnels ont vu le jour en 2010, si bien qu'on se demande où Bioware a trouvé le temps de développer ce Dragon Age II. Dragon Age II aura suscité la méfiance des fans dès son annonce officielle au cours de l'été dernier. Les trailers et les informations diffusés laissaient augurer un jeu de rôle tourné vers l'action et amputé d'un bon nombre des fonctionnalités qui avaient fait le succès du précédent volet, à commencer par le système des origines et l'aspect tactique des combats. La durée réduite de son développement (une grosse année) est venue renforcer ces craintes. Pourtant, on ne voulait pas trop y croire : De Baldur's Gate à Mass Effect en passant par Neverwinter Nights et Knight of the Old Republic, le parcours de Bioware est jalonné de titres d'une qualité indiscutable.
Après un premier épisode longtemps attendu comme le digne successeur de Baldur's Gate et qui s'est avéré être un excellent RPG héroïc/fantasy comme Bioware sait si bien les faire, voici que Dragon Age remet le couvert pour une seconde aventure.Les joueurs qui s'étaient essayés, il y a quelques années déjà, à Baldur's Gate, ont l'habitude du niveau d'exigence que Bioware a su insuffler à ses RPG, tant en terme de finition que de difficulté. Chaque combat mal négocié peut en effet être synonyme d'une mort douloureuse et prématurée, ainsi que d'un retour forcé dans le passé. Dragon Age premier du nom ne dérogeait pas à la règle et mettait le joueur sous pression à chaque affrontement. Notre entrevue avec le second épisode ne s'est à vrai dire pas réellement passée comme nous le souhaitions, et ce pour plusieurs raisons. La première survient dès les premières minutes de jeu, puisque les choix de personnages sont très limités. Il existe certes toujours trois classes bien distinctes, que sont les guerriers, les mages et les voleurs, mais aucune arborescence de classes ne vient compléter cela. Le choix souvent cornélien d'une spécialisation avant de débuter l'aventure disparaît donc ici, contentant très certainement les joueurs occasionnels ainsi que ceux ne désirant pas s'investir plus que cela dans un premier temps.
BioWare figure assurément parmi les studios les plus doués de sa génération. Depuis sa création en 1995, le développeur canadien a livré un grand nombre de jeux de rôle de très haute qualité. Au panthéon de ses plus belles réussites, Dragon Age : Origins tient une place de choix. Avec ses mécaniques de gameplay efficaces et sa narration soignée, le titre a en plus fort logiquement rencontré un joli succès commercial. Forcément, sa suite cristallise les espoirs mais aussi les craintes d'un nombre important de joueurs. Toutefois, au regard de la nouvelle présentation faite par BioWare, sur une version console uniquement, il paraît évident que Dragon Age II ne devrait pas décevoir grand monde. Etant donné les excellentes ventes du premier épisode, Dragon Age II représente potentiellement pour BioWare une manne financière conséquente. Le studio a donc dû penser et repenser chaque modification apportée à cette suite. Le premier gros changement concerne le déroulement du scénario. Ce deuxième volet propose en effet une mise en abîme assez osée. Le jeu conte l'ascension au pouvoir de Hawke, un humain originaire de la ville de Lothering, à travers le récit de plusieurs protagonistes.
Dragon Age : Origins fut en 2009 la nouvelle franchise la mieux vendue pour BioWare. On ne s'étonne donc pas vraiment de voir arriver une suite, même si les développeurs canadiens ont décidé de ne pas reprendre l'histoire de Ferelden là où ils l'avaient laissée mais plutôt de nous conter l'ascension au pouvoir d'un certain Hawke. L'enjeu pour BioWare est simple : donner naissance à un jeu heroic fantasy non-générique et "occuper un espace dans le milieu de l'action-RPG". Pour comprendre le parti pris narratif de Dragon Age 2 : Rise to Power, il faut avant tout savoir que l'on ne vivra pas l'héroïque épopée de Hawke en temps réel mais que l'on jouera plutôt des passages de sa vie (étalés sur plusieurs années), racontés par certaines des personnes ayant croisé son chemin ou entendu sa légende. Cette mise en abyme aura d'ailleurs une influence sur les éléments que l'on jouera, puisque certains conteurs auront une fâcheuse tendance à embellir et/ou à altérer les faits afin de les rendre un peu plus dignes de celui qui est depuis devenu le champion d'un pays tout entier. On a pu découvrir cet intéressant procédé lorsque Hawke et sa soeur Bethany se retrouvaient face à un large groupe d'Engeances lors de leur fuite de Lothering (ce moment de l'histoire se passant à peu près en même temps que les évènements de Dragon Age premier du nom).
C'est en effet l'un des problèmes auxquels se heurtent bien des développeurs de jeux multi-plates-formes : comment retranscrire au mieux les contrôles du clavier et de la souris du PC sur un pad console ? Dans le premier Dragon Age, les contrôles sur consoles étaient quelques peu alambiqués et Bioware a donc décidé de changer ça en optant pour une approche bien moins tactique et plus action. Le but est de faire en sorte que le joueur console soit au coeur du combat avec un gameplay plus direct, plus réactif. Ainsi, il vous sera possible de prendre le contrôle d'un personnage et de lui faire faire telle ou telle action par une simple pression sur une touche du pad, sans qu'il y ait besoin de faire appel à un menu radial compliqué. Mais attention, que ceux qui aiment l'aspect tactique de Dragon Age Origins se rassurent, il y a toujours plusieurs personnages à contrôler et il sera toujours possible de leur donner des ordres en utilisant la pause active. Pour mieux expliquer le gameplay de Dragon Age Origins, les développeurs utilisent la formule suivante : "penser comme un général, se battre comme un spartiate".
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