6 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 6 tests du DmC Devil May Cry. Les experts notent DmC Devil May Cry 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du DmC Devil May Cry et d'autres Jeux PC.
Ayant fait renaître tout un genre à l'époque de la PlayStation 2, la série Devil May Cry est l'une des licences les plus admirées des core gamers grâce à un gameplay pointu et un héros charismatique. Coup de tonnerre donc lorsque Ninja Theory a été annoncé comme développeur du prochain DmC Devil May Cry, faisant passer le sulfureux Dante chez le coiffeur. Mais cette première aventure réalisée par les développeurs anglais est-elle aussi irritante que sa coupe de cheveux ? Verdict. Ninja Theory n'est pas passé par quatre chemins pour rebooter la série. Changement d'ambiance, changement d'univers, tout ou presque est passé à la trappe avec ce nouvel épisode. Enfin pas totalement puisque le développeur anglais a repris certains personnages apparus dans le tout premier Devil May Cry, à savoir Dante bien évidemment, mais aussi son frère jumeau Vergil et l'antagoniste de l'histoire : Mundus. Le scénario demande bien évidemment de botter les fesses de ce dernier, qui règne sur le monde des humains en les manipulant comme des marionnettes.
Après s'être vu ravir sa couronne par l'impitoyable Bayonetta, il était temps pour Dante de se remettre un peu en question. Et pour cela, il fallait un œil nouveau sur le personnage. Cet œil, Capcom l'a trouvé chez Ninja Theory qui, en trahissant - pour le meilleur - l'identité visuelle de la série tout réformant en partie le gameplay séculaire de la série, accouche d'un opus plein de rage, d'audace, de violence, de vannes et d'insultes. Fuck yeah ! Quand Ninja Theory a eu l'outrecuidance de se pointer avec son nouveau design de Dante, ses cheveux noirs, son look et son arrogance de petit merdeux, l'indignation s'est saisie d'à peu près tous les fans de la planète. Fallait-il être un peu obtus pour s'insurger de cette volonté - de Capcom - de revisiter un personnage resté égal à lui-même depuis quatre épisodes. Oui, nous l'affirmons sans trembler des genoux : le look Catherine Lara en trench coat rouge ça commençait à bien faire. On a aussi pu entendre quelques réactions ulcérées face à la vulgarité et le côté crâneur de ce nouveau Dante. C'est oublier un peu vite que ce DmC, outre le fait qu'il s'agit d'un reboot trafiquant allègrement le background de la série, met en scène une espèce de Dante adolescent, provocateur, auto-destructeur et fornicateur de première. Ce n'est que bien plus tard qu'il deviendra le héros que nous connaissons tous.
Alors que le reboot a le vent en poupe depuis de nombreuses années dans le milieu du septième art, cette tendance a depuis peu fait son bonhomme de chemin dans le jeu vidéo. Du coup, les noms restent, les icônes tiennent bon mais sous couvert d'une refonte graphique et / ou de gameplay. Ainsi, les grandes franchises semblent braver le temps avec une grâce insolente. Cette fois, c'est Devil May Cry qui s'y colle et si le beau ténébreux aux cheveux argentés fait place à un petit minet surexcité, la formule reste la même : on frappe et on avance. Problématique ? Pas vraiment... Surtout sur PC. Devil May Cry est une série qui s'est toujours remise en question, toutes proportions gardées. Désireuse de ne pas stagner, elle a ainsi au fil du temps repensé son héros avec plus ou moins d'efficacité. Monolithique, impérial, foufou ou bien encore moqueur, Dante aura tenu le rôle de pilier central de la saga qui l'a vu naître jusqu'à ce qu'il partage la vedette avec Nero dans le quatrième épisode. Si ce dernier volet s'était avéré de qualité, il était néanmoins nécessaire d'évoluer à nouveau, d'autant que la concurrence dans le domaine du beat'em all se fait de plus en plus rude.
C'est peu dire que DmC Devil May Cry a été la cible de quolibets depuis son annonce au TGS 2010. Héros jouvenceau décrié, affichage à 30 images/seconde moqué, développeur pas reconnu pour sa science du gameplay ou élans gratuits de grossièreté, le nouveau jeu de Ninja Theory partait avec quelques handicaps. Pourtant, le studio britannique épaulé par Capcom n'a pas baissé les bras et accouche d'un reboot qui n'a pas (trop) à rougir devant ses aînés. Version PC : C'est désormais une habitude, mais la version PC de DmC met sans effort la misère aux moutures consoles, même sans posséder une machine de compétition. La plus grosse amélioration tient au frame rate désormais bloqué à 60 images/seconde en toutes circonstances (ou presque) avec la qualité graphique poussée en Ultra et la V-Sync activée, ce qui rend évidemment les combats bien plus beaux et dynamiques pour peu qu'on dispose d'un minimum de matos. S'il est fortement conseillé de jouer à la manette pour profiter d'un confort optimal, les joueurs-poulpes pourront néanmoins tenter l'expérience au clavier.
Reboot. Redémarrer. Quoi de mieux pour ça que de commencer par changer la dégaine de son personnage phare, à plus forte raison quand celui-ci se voit confié à des développeurs anglais. Capcom a donc fait appel à Ninja Theory, les petits gars derrière les très moyens Heavenly Sword et Enslaved : Odyssey to the West, afin de redonner un petit coup de jeune à une série qu'ils jugeaient à bout de souffle, et d'attirer au passage un nouveau public. Notre jeune chasseur de démons, arborant fièrement son nouveau look plus dépravé et agressif, mène une vie de débauche entre filles faciles, alcool et pizza. Fils d'une mère ange et d'un père démon (le fameux Sparda), Dante est un nephilim. Derrière son attitude de rebelle et un langage pour le moins fleuri, ce petit con a de quoi agacer son monde. L'histoire démarre alors que Dante roupille dans sa caravane et se fait réveiller par une mystérieuse jeune fille. Kat -c'est son nom- le met en garde contre un démon envoyé à ses trousses par Mundus, l'antagoniste principal, régnant sur Limbo City et ses habitants à leur insu. S'ensuit une cinématique déjà culte dans laquelle le jeune fou enfile ses habits au ralenti, puis récupère ses armes et part botter des culs et prendre des noms.
Après pas moins de quatre épisodes plus savoureux les uns que les autres, Devil May Cry cherche enfin à se renouveler. Et quelle meilleure façon de rafraîchir une licence que de lui offrir un reboot ? Une pratique de plus en plus répandue, pas toujours concluante, qui s'applique dorénavant aux aventures de notre cher Dante. Un nouveau volet dont le développement est contre toute attente confié aux soins du studio anglais Ninja Theory, connus pour leur travail sur Heavenly Swords et Enslaved. Un risque qui paie ? C'est ce que nous découvrons dans ce test. En bon reboot, ce DMC nous propose de redécouvrir le conflit opposant Dante à son ennemi de toujours, le démon Mundus. Exit les décors gothiques et sombres propres au premier volet, ici notre héros évoluera dans une agglomération où l'humanité est contrôlée par des démons déguisés. Banquiers, journalistes ou encore patron de night club et de grande marque de boissons, les forces de l'enfer occupent les postes idéaux pour manipuler les humains. De son côté, Dante n'est pas dupe, et il s'acharne à combattre les démons depuis sa plus tendre enfance en se contentant de passer un maximum de bon temps avec de charmantes demoiselles.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour DmC Devil May Cry. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce DmC Devil May Cry.