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Nous avons réuni 11 tests du Divinity II : Ego Draconis. Les experts notent Divinity II : Ego Draconis 7.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Divinity II : Ego Draconis et d'autres Jeux PC.
Au temps où la 2D isométrique était le fer de lance du jeu de rôle sur PC, Divine Divinity (2002) et son spin- off Beyond Divinity (2004) des belges de Larian Studios avaient lancé le pari de rassembler autour d’un gigantesque banquet les aventuriers stratèges de Baldur’s Gate (1998) et les adorateurs brut de décoffrage de Diablo (1997). Une rencontre des plus audacieuses sur le papier… mais pas des plus novatrices comme en témoignent les Icewind Dale (2000) de feu l’incontournable Ile Noire, ou le méconnu mais tout aussi remarquable Nox (2000) de Westwood. En bref, et avant que nos moutons ne partent battre la campagne, l’assemblage du JdR pur et du hack’n slash dur au sein de Divine Divinity eut pour effet de laisser dans son sillage un souvenir historique : celui d’un parfait équilibre entre deux jeux et univers, pas si éloignés l’un de l’autre, en fin de compte. Et c’est ainsi que les Divinity, à juste titre, furent hissées au rang qui leur incombait, sans pour autant faire vaciller le trône de ses deux principales références. Depuis cette consécration amplement méritée, les vastes Terres de l'Action RPG en ont vu de belles choses. Et des beaucoup moins bonnes.
Plus rapide qu'un Airbus et plus vorace qu'un pitbull boulimique, le dragon impose sa griffe et enflamme Divinity. La guerre fait rage dans le monde du jeu de rôle. Dragon Age : Origins, l'héritier du divin Baldur's Gate, n'est même pas encore tout à fait prêt que déjà les challengers descendent dans l'arène. On a vu ce que valait l'excellent Risen il y a quelques semaines, étudions à présent le cas de cet autre compétiteur, la suite de Divine Divinity. Ce challenger est tellement sûr de lui qu'il va même jusqu'à piquer un bout du nom du maître, en se sous-titrant sans vergogne Ego Dragonis. Pourtant, Divinity II ne boxe pas vraiment dans la même catégorie. Il s'inscrit davantage dans la tradition des hack'n'slash-jeux de rôle, mêlant habilement les avantages des deux mondes. Du hack'n'slash, il retient la chasse à l'item ultime, le système de loot (on ramasse rarement plus d'un objet ou deux à la fois), les combats (on clique comme un forcené, les doigts rivés aux raccourcis clavier, toujours prêts à appeler une potion ou un pouvoir) et une progression relativement linéaire.
L'univers du RPG ne manque probablement pas de titres. Il ne manque pas non plus de références. Et pourtant, c'est un univers où il est difficile d'atteindre le firmament. Pour ce qui est des références, il s'agit avant tout d'Elder Scrolls IV: Oblivion, véritable culte pour nombre de joueurs amoureux du genre et qui reste à notre simple avis un des meilleurs jeux tous types confondus. Et puis quelques autres ont réussi à tirer leur épingle du jeu comme The Witcher qui, c'est amusant, arrivait un peu comme Divinity II à son époque. De nulle part, ou pratiquement, il avait su conquérir de nombreux cœurs alors même qu'il était loin d'être parfait. Divinity II vient de moins loin puisqu'il s'agit du troisième titre d'une équipe belge après les Divine Divinity et Beyond Divinity que nous avait jeté en pâture Larian Studios pour un résultat assez moyen. On ne pouvait donc que lui souhaiter une épopée à la Witcher si on était minimaliste, ou une approche des plus grands, si on était idéaliste. Le pitch de Divinity II: Ego Draconis est, en apparence, assez simple. Vous êtes un jeune apprenti draconis, c'est à dire un chasseur de dragons, qui tente de faire ses armes pour mériter son titre honorifique. Il faut donc aller chasser du dragon pour parvenir à vos fins ?
Quand dans une rédaction on répartit des jeux, cela se fait sur plusieurs critères. Il y a bien entendu les affinités avec le genre du jeu mais également la connaissance de l'univers du titre en question. Inutile de mettre un jeu de foot dans les mains de Laurent, par exemple. En revanche, si vous voulez quelque chose d'un peu pointu à base de sous-marins allemands ou de généraux napoléoniens, il répond présent. Pour ma part, je n'ai pas plus d'affinité avec les univers médiévaux fantastiques que ça, enfin, comme tout le monde, mais j'ai joué aux autres Divinity. Donc, voilà, c'est sur moi que ça tombe, et logiquement, j'allais forcément retrouver des mécanismes des premiers jeux de la série dans cet opus. Or, rien. Rien de rien. Le jeu aurait pu s'appeler n'importe comment, pas à un seul moment un joueur d'un des premiers Divinity ne retrouvera au moins un aspect connu dans Ego Draconis. Attention, cela n'est pas forcément péjoratif, car on garde un excellent souvenir de la franchise : un gameplay à la Diablo, hack'n'slash donc, dans des niveaux absolument gigantesques. Chacun d'entre eux devait effectivement totaliser la superficie de l'ensemble des niveaux de Diablo, justement.
En septembre 2002, Divine Divinity avait su créer la surprise en ralliant de nombreux amateurs de jeux de rôle, les Belges de Larian Studios avaient réussi à se forger une jolie petite réputation. Hélas, les choses se sont ensuite un peu gâté avec un Beyond Divinity sans doute trop sage. Du coup, pour le nouvel opus de sa franchise, la jeune équipe a décidé de revoir complètement sa copie : passage à la 3D, changement de gameplay et mimétisme de rigueur ! Sans surprise, Divinity 2 s'ouvre sur la classique phase de création de personnage qui permet de sélectionner certaines des caractéristiques principales de son futur meilleur ami. Là où les choses sont déjà plus surprenantes, c'est lorsque l'on voit le nombre finalement assez réduit de caractéristiques, de compétences et d'aptitudes, mais nous y reviendrons. Une fois que l'on a définit la silhouette de notre avatar, l'aventure peut débuter et, avec elle, la quête de notre apprenti-Draconis dont le seul but est de devenir un membre à part entière de l'ordre des chasseurs de dragons. Sur le point de terminer sa formation, notre héros n'est toutefois pas encore assez considéré par ses condisciples pour se lancer à l'assaut du chevalier-dragon aperçu dans la région.
Deuxième opus de la saga (si l'on omet le "spin-off" Beyond Divinity), suite directe de Divine Divinity, ce nouveau titre des petits belges de Larian Studios a, sur le papier, tout pour séduire l'amateur de RPG en manque de course à l'XP : de la jolie 3D pleine de couleurs, un scénario original et assez loin des concepts éculés du genre et surtout, la possibilité de se transformer en dragon pour exprimer en toute liberté sa passion pour les barbecues. Alors, quête épique ou aventure en toc ? Le méchant Damian est de retour et, pour utiliser la formule consacrée, il n'est pas très content. Banni du royaume de Rivellon à l'issue du premier épisode, le fils du Démon entend bien retrouver sa place, aidé de ses fidèles dragons assoiffés de sang. Seul rempart face à cette armée des ténèbres : vous, aspirant chevalier-dragon. Dit comme ça, il faut bien avouer que le récit ne semble guère briller par son originalité. Pourtant, le scénario est sans conteste l'un des points forts du jeu. Sans vouloir vous ruiner son développement, sachez que dans l'univers d'Ego Draconis, tout n'est jamais véritablement blanc ou noir et que les retournements de situation seront légion.
Avec Divine Divinity en 2002, puis le spin-off Beyond Divinity en 2004, le studio belge Larian s'est fait une petite place dans le cœur des rôlistes avides d'action. Après une longue gestation, la suite arrive enfin sur nos machines, précédée d'une promesse alléchante : celle d'incarner un dragon. De quoi enflammer les joueurs ou carboniser leurs espoirs ? Le jeu va-t-il se brûler les ailes ou s'envoler vers des sommets ? Les rédacteurs arrêteront-ils un jour de faire des jeux de mots foireux ou persisteront-ils ad vitam æternam ? Réponses. Rivellon est un monde ravagé par les guerres. La plus terrible opposa Damian, le Damné à la tête de l'Alliance des Ténèbres, à Lucian, l'Élu Divin. A cette époque existaient des chevaliers dragons, capables de se transformer à loisir en créatures ailées cracheuses de feu. Dans le terrible conflit qui ravageait Rivellon, les chevaliers dragons combattaient du côté de la lumière. Jusqu'à ce que l'un d'eux commette l'irréparable en tuant l'Élu Divin ! Son adversaire vaincu, Damian se retira pour se consacrer à d'autres noirs desseins. L'humanité pansa ses plaies et mit en place l'ordre des Draconis, soldats d'élite chargés de traquer et d'éliminer les chevaliers dragons, désormais considérés comme des traîtres.
Risen à peine sorti, voilà que les amateurs de RPG voient débarquer un autre titre de qualité : Divinity 2 : Ego Draconis. Plus orienté action que son concurrent, il pourrait bien ravir un grand nombre de joueurs grâce à ses multiples qualités indéniables. Dommage que le titre de Larian Studios n’aille pas au fond des choses. Tout commence alors que vous êtes en passe de terminer votre initiation. Jeune combattant ayant traversé les épreuves de la formation de chevalier Draconis, vous êtes près à devenir un tueur de dragons éminent. Les quelques dernières étapes ne sont que formalités et on vous accueille au village du Vallon Brisé avec espoir. Un dragon, le dernier de sa race sans aucun doute, plane dans les environs et c’est à vous et vos confrères que revient la tâche de l’occire. Pourtant, ce dragon, qui n’est autre qu’un chevalier dragon capable de prendre la forme de cette bête mythique, vous apprend que vous êtes de même nature. C’est à vous que reviennent les souvenirs de la race éteinte des dragons. En tant que dernier représentant au monde, il vous faut rétablir la vérité dans la grande guerre qui dure depuis des siècles.
Selon l'horoscope chinois, 2009 est l'année du bœuf. Cette assertion, qui a l'avantage de la vérité et de la rime, pourrait à l'occasion être mise en doute car en matière de jeux vidéo, ce serait plutôt l'année du dragon. Sans même parler des sempiternels Dragon Quest et autres Dragon Ball, nous avons déjà eu droit à un Operation Flashpoint sous-titré Dragon Rising, et attendons avec impatience la sortie de Dragon Age : Origins. Mais Divinity II : Ego Draconis va encore plus loin que la simple évocation de ces créatures mythiques, puisqu'il nous propose carrément d'en incarner une. Comme son nom ne l'indique pas forcément, Divinity II : Ego Draconis prend la relève de Divine Divinity et Beyond Divinity. Si l'on retrouve le même univers médiéval fantastique et quelques clins d'oeil à ces deux aventures, il n'est heureusement pas nécessaire de les avoir parcourues pour apprécier à sa juste valeur ce nouveau jeu de rôle. Le scénario nous donne le contrôle d'un tout nouveau héros, apprenti Draconis. Ce terme désigne les guerriers destinés à combattre les dragons et Chevaliers dragons du monde de Rivellon.
Avec Divine Divinity et Beyond Divinity, sortis il y a déjà plusieurs années, les Belges de Larian Studios n'ont pas vraiment réussi à imposer leur franchise dans le coeur des fans de jeux de rôle. Alors pour cette troisième tentative, les développeurs du plat pays sortent l'artillerie lourde : un passage à la 3D, un gameplay remanié pour s'adapter à ce nouvel environnement, et surtout du dragon à gogo. Est-ce assez pour se faire une place au milieu des poids lourds du RPG médiéval-fantastique que sont Risen, Oblivion et Gothic 3 ? La vie n'est certes pas facile en France, avec l'éclatement de la bulle immobilière, le chômage et les radars sur les autoroutes, mais ça pourrait être bien pire. Tenez, à Rivellon par exemple, le gros souci, ce sont les dragons. Ils arrivent sans prévenir en trois battements d'ailes et vous boulottent un village entier dans la nuit. C'est pour cela que les autorités locales ont créé les Draconis, sorte de Men In Black anti-dragons qui sillonnent le pays à la recherche d'une bestiole à occire. Et c'est dans la peau d'un jeune initié de cette confrérie qu'on va commencer Divinity II. L'histoire ne se résume tout de même pas à bastonner les dragons les uns après les autres, le scénario est beaucoup plus complexe que cela.
Il est vrai que nous n'avons pas beaucoup parlé de Divinity II: Ego Draconis ces derniers temps. Pourtant, un jeu qui permet de se transformer en dragon, ça ne court pas les rues (et Blue Dragon ne compte pas, car là, c'est l'ombre qui a une forme de dragon). Afin d'agrémenter la preview de l'année dernière, et pour vous faire patienter à un mois de la sortie du jeu chez nous, voici un petit aperçu de ce qui se trame à Rivellon, basé sur la version allemande du jeu. Développé par l'équipe belge de Larian Studios, Divinity II: Ego Draconis se déroule une cinquantaine d'années après les événements de Divine Divinity. Suite à la traîtrise des dragons à la fin du premier jeu, l'ordre des "Tueurs de Dragons" a été créé par la population qui n'a pas pu supporter l'assassinat du Divin. Lorsque Divinity II démarre, nous incarnons une jeune recrue en passe de devenir Tueur de Dragon. Au cours du rituel d'initiation, on reçoit la capacité de dialoguer avec les esprits, ainsi que de lire dans les esprits. Malheureusement, avant que le rituel ne touche à sa fin, on nous apprend que le dernier dragon vivant a été aperçu dans le secteur, et nous sommes réquisitionnés pour surveiller le village pendant que les ainés partent à la chasse.
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