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Nous avons réuni 20 tests du Dissidia : Final Fantasy. Les experts notent Dissidia : Final Fantasy 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dissidia : Final Fantasy et d'autres Jeux PSP.
Final Fantasy, tout le monde connaît. C'est une de ces vieilles sagas qui sonnent facilement aux oreilles de nos générations médiatisées. Si 2010 sera la sortie tant attendue des épisodes XIII et XIV, les gars de chez Square Enix nous offrent un petit truc à se mettre sous la dent pour patienter de longs mois d'hiver. Et au bout du compte les scénarios de l'aventure RPG fantaisiste s'y prêtent bien, car quoi de mieux que l'éternel combat du bien contre le mal pour un jeu de baston ? Dissidia c'est donc des gentils contre des méchants pris de-ci de-là dans les épisodes un à dix (voir liste ci-?dessous). La déesse de l'harmonie appelée Cosmos et Chaos, le dieu de la discorde se font la guerre depuis si longtemps dans un affrontement d'un tel équilibre que le monde continue d'exister jusqu'au jour où Cosmos essuie une grande défaite qui bouleverse l'ordre établi. Les héros du Chaos s'en prennent alors aux héros de la déesse et les éliminent un par un. Alors qu'il n'en reste plus qu'une maigre dizaine, vous rentrez dans cet ultime combat pour battre un dieu et restaurer la lumière à la dextérité de vos petits doigts musclés de gamer. Tout un programme.
Final Fantasy c’est une série qui compte nombre d’épisodes et un nombre encore plus impressionnant d’inconditionnels. Les développeurs Square-Enix a donc décidé de rendre honneur à l’ensemble en forgeant un cross-over d’anthologie. Autrement dit que vous appréciez Tidus, Cécil, ou même Séphiroth (pour ceux connus) vous apprécierez sûrement encore plus de les voir se battre entre eux. Toutefois produit de consommation n’équivaut pas toujours à produit d’exception… Mais rassurez-vous, le studio japonais a fait du bon boulot ! Malgré l’idée que nous sommes avant tout devant un jeu de combat le mode narration représente une partie importante de l’édifice. L’aventure ajoute alors une dimension épique aux différents affrontements où il s’agit ni plus ni moins de prendre le contrôle des dix guerriers de la Lumière issus des dix premiers épisodes de Final Fantasy. Après un parcours qui leur est propre à chacun et qui les conduit à affronter leurs pires adversaires, ils récupèrent un à un leur cristal de pouvoir. En effet, Cosmos, la déesse de la lumière, en proie à une grande faiblesse dans sa lutte contre Chaos, dieu des enfers, demande à ses fidèles de trouver cette source de puissance.
Square Enix a eu la bonne idée, et sûrement très vendeuse, de lancer une sorte de compilation des personnages les plus mythiques de Final Fantasy dans un seul et unique jeu : Dissidia : Final Fantasy. On peut s’inquiéter au vu de cette intro, le jeu n’est t’il pas présent uniquement pour ravir les fans et avoir un jeu sans fond ? La réponse est dans le test, mais une chose est sur Square Enix a bien travaillé! Créer un jeu de combat avec la licence Final Fantasy est une tentative audacieuse, voir même inquiétante et pourtant quand le jeu tourne sur la PSP on change rapidement d’avis. Je vous le dit tout de suite, le plaisir du jeu “se mérite” car au tout début le jeu est hélas un brin rébarbatif. Vous disposez de personnages avec peu de capacité, les combats sont rapides et bien trop faciles. C’est le mal nécessaire pour atteindre le meilleur. Plus on avance dans le jeu, plus nos personnages évoluent et la on se rend compte que le jeu est jonché de petites finesses. Ainsi il vous faudra bien préparer vos plans de combats afin de battre vos adversaires. Quel grand plaisir de réussir un enchainement ou vous lancez toute une attaque de bravoure sur votre adversaire puis enchainer avec une attaque PV afin de réduire à néant les points de vie de votre adversaire.
Initialement prévu pour fêter les 20 ans de la franchise, Dissidia : Final Fantasy arrive enfin en Europe avec un peu de retard. Ce jeu de combat survitaminé réuni une belle brochette de protagonistes pour l'éternelle bataille du bien contre le mal. Test express. L'éternel combat entre le bien et le mal. Un sujet maintes fois abordé dans le monde vidéoludique. Profitant de l'anniversaire des vingts ans de sa franchise à succès, Square-Enix profite du créneau pour y glisser un jeu de combat destiné aux fans de Final Fantasy sur la PlayStation Portable de Sony. Ainsi vingt combattants, dix héros, dix vilains, s'affrontent pour l'équilibre des forces dans le monde. Du côté du Cosmos on retrouve dans l'ordre : le Guerrier de la Lumière, Firion, le Chevalier Oignon, Cecil, Butz, Terra, Cloud, Squall, Djidane et Tidus. Le Chaos est quant à lui composé de Garland, l'Empereur de Palamecia, le Nuage des Ténèbres, Golbez, Exdeath, Kefka, Sephiroth, Ultimécia, Kuja et Jecht. Un casting de star pour un jeu de combat qui ne veut pas être cantonné au rôle de jeu sans âme uniquement destiné aux fans. Heureusement pour nous, Square-Enix a fait les choses bien et le gameplay est aussi intéressant que l'habillage.
Annoncé en mai 2007 par Square Enix, Dissidia Final Fantasy se présentait alors comme une semence, une gerbe d'idées diverses et variées sans beaucoup de consistances. De là, la rumeur s'en est allée grossissante, tantôt action-RPG, tantôt RPG innovant, tantôt jeu de combat à la Tekken ou à la Ready to Rumble à l'instar d'Eirgheiz, le premier spin off de combat basé sur l'univers des Final Fantasy, le VII pour être plus précise. Tout était permis et dire que l'imagination qui a fusé dans tous les sens était un euphémisme : l'euphorie était là et n'allait plus se dissiper. Une dizaine de jours plus tard, nous apprenions que Dissidia serait finalement un jeu de baston pur jus, avec cependant, un mode de progression digne d'un RPG. Il faudra attendre le 18 décembre pour que les Japonais s'en fassent une première idée, puis encore huit mois pour que les Américains passent à la casserole, nous précédant ainsi de deux semaines. Alors, cela valait-il la peine d'attendre ? Une galerie de 268 images, treize vidéos et 34 news plus tard, c'est ce que nous allons découvrir ensemble.
Décidément, les jeux de combat se bousculent en ce moment sur PSP. En effet, après un Soul Calibur : Broken Destiny archi-convaincant, la console portable de Sony accueille Dissidia : Final Fantasy qui ne manque pas d'ambition non plus. Bien plus que sa capacité à réunir toutes les stars de la saga, on se demande surtout comment le titre de Square Enix va faire pour tirer son épingle du jeu face aux cadors habituels du genre. Une question qui mérite d'être posée, d'autant plus que le moindre coup donné au pif se paie cash. Lorsque l'on est habitué à évoquer les notions de just frame, mind game ou bien encore de guard crush, il est quelque peu normal d'être dérouté par Dissidia : Final Fantasy au moment de le prendre en main. Pas de shoryuken à exécuter ici, et encore moins de 3B à placer. Les développeurs ont opté pour un système de combat beaucoup plus simple, mais qui recèle toutefois quelques subtilités pour rendre les affrontements suffisamment profonds. Deux éléments essentiels sont à retenir dans Dissidia : Final Fantasy : les points de vie qui représentent l'état de santé du personnage, et les points de Bravoure qui permettent de définir la puissance de ses attaques.
En mai 2007, Square Enix a créé la surprise. En effet, au lieu d'annoncer un énième RPG japonais de sa production, la firme nippone dévoile un jeu de combat, exclusif à la PSP, nommé Dissidia : Final Fantasy et reprenant une bonne partie des protagonistes de la série. Avec pas moins de 85 millions d'exemplaires vendues (tous jeux et pays confondus), on comprend que Square Enix a cédé à la tentation de faire un cross-over (titre regroupant des personnages dont les aventures se déroulent dans des œuvres différentes). Cela dit, ce pari osé n'était-il pas trop risqué (surtout quand on se rappelle l'expérience mitigée Ergheiz sur Playstation) ? Y a-t-il vraiment un contenu de qualité derrière l'évident attrait commercial ? Toutes les réponses dans notre test. Alors qu'en général, les cross-over proposent des rencontres entre des personnages de séries différentes (ex : Mortal Kombat Vs. DC Universe, Capcom Vs. SNK, Marvel Vs. Street Fighter), c'est bel et bien avec tous les principaux protagonistes de la saga Final Fantasy que nous allons pouvoir batailler. Comme souvent pour ce genre de jeu, le scénario est assez prétexte : deux entités régissant le monde de nos héros s'affrontent, à savoir Cosmos (représentant le bien) et Chaos (représentant le mal).
Mélange de jeu de rôle de heroic fantasy et de baston, Dissidia plaira aux fans et peut-être aux autres. Si je vous parle d'un preux chevalier qui se fait arroser la tête à grands coups de tatanes, qui casse les colonnes des temples grecs avec sa mâchoire, qui se bat pour l'amour et l'amitié et qui veut protéger sa déesse bienfaisante en détresse, vous me répondez Les Chevaliers du Zodiaque. Bien, vous êtes cultivé mais vous avez tout faux. Cette scène est directement tirée de Dissidia, un jeu tiré de l'univers des « Final Fantasy », à mi-chemin du jeu de rôle, du jeu de baston et du tactical RPG (« jeu de rôle tactique »). Au premier coup d'œil, Dissidia affiche ses ambitions : les graphistes ont été soit bien payés soit torturés. Dans tous les cas, ils ont donné le meilleur d'eux-mêmes puisque le résultat est l'un des plus beaux jeux sortis sur PSP. Non seulement un gros travail de direction artistique a été fourni, afin d'harmoniser les différents protagonistes issus de jeux qui ont jusqu'à vingt ans d'écart, mais l'interface, les vidéos, l'animation ou encore les décors ont fait l'objet d'une grande attention. Du point de vue graphique, ça tape.
Regrouper la quasi-intégralité des personnages marquants de la (longue) saga Final Fantasy au sein d’un jeu de baston teinté d’éléments RPG, c’est le défi qu’a voulu relever Square Enix sur PSP. Défi ô combien prétentieux, mais qui a au moins le mérite de faire tomber quelques unes des barrières du genre… Regrouper des personnages qui a priori n’ont rien en commun si ce n’est leur appartenance à la saga FF, c’est donc ce qu’a tenté de faire Square Enix avec ce Dissidia : Final Fantasy un peu sorti de nul part. Et pour se dépatouiller et tenter d’offrir un semblant de cohérence au scénar’, les développeurs ont opté pour la mise en exergue de la rivalité bien/mal (Cosmos/Chaos pour le coup), chère à la série. Vague prétexte pour permettre en fait le regroupement improbable des héros des Final Fantasy I à X. Et des méchants aussi, histoire d’équilibrer la balance (et accessoirement de vous permettre de régler quelques comptes peut-être laissés en suspend depuis des années ?) Quoi qu’il en soit, ça pourra paraître surprenant, mais la fine équipe en charge de développer le jeu a réussi à asseoir une certaine cohésion lors des phases de dialogues entre les différents protagonistes. Du coup, on se retrouve face à une trame plausible.
Conçu comme un hommage destiné à célébrer les deux décennies de la saga Final Fantasy, Dissidia tente le pari fou de réunir les principaux héros de la série dans un jeu de combat unique en son genre. Démesurément ambitieux, le soft fourmille d'idées étonnantes et sa profondeur de jeu abyssale lui assure une longévité qui défie l'entendement ! Et pourtant, il y avait de quoi être sceptique à l'annonce de ce projet opportuniste en lequel personne ne croyait au début. Mais avec la sortie du jeu en version japonaise, il a fallu se rendre à l'évidence : Dissidia n'a rien d'un jeu de baston simpliste et pompeux destiné aux seuls inconditionnels de la saga Final Fantasy. Il s'agirait plutôt d'un Graal aux dehors austères renfermant quelque chose de réellement fascinant pour peu qu'on lui laisse le temps de s'exprimer. Long à apprivoiser et réticent à se laisser dompter, le titre ne manquera certainement pas de diviser son public, mais même les plus réticents loueront son audace d'aller là où personne ne s'était jamais risqué. Car qualifier Dissidia de simple jeu de combat serait d'autant plus dégradant que ce titre renferme une telle profusion d'idées qu'on ne peut décemment le comparer à rien de déjà connu.
GamePro.fr
Ajouté le : 09/2009
Plus accessible...
On s'attendait à un spin-off développé à la va-vite pour caresser le fan dans le sens du poil, mais Dissidia : Final Fantasy assure côtés idées et contenu. Un bon jeu, tout simplement... Square Enix assume complètement le statut de jeu « Fan Service » de Dissidia : Final Fantasy qui, forcément, parlera essentiellement aux adeptes de la série. D'ailleurs, alors que cette notion est très souvent utilisée à des fins péjoratives par la critique, il n'en est rien ici tant Dissidia FF se révèle être une expérience certes déroutante, mais surtout extrêmement complète et parfaitement réalisée. Dès le pitch, les amateurs de l'univers Final Fantasy seront aux anges, apprenant que les protagonistes d'un ultime duel entre le bien et le mal – ici le Cosmos et le Chaos – ne sont autres que les dix héros des dix premiers Final Fantasy qui affronteront leurs pires démons, à savoir les dix méchants de ces mêmes jeux. L'heure de la revanche a sonné pour Tidus, Squall, Cloud, Le Chevalier Oignion, Sephiroth, Ultimécia, et tous les autres, le jeu promettant dès lors l'organisation d'affrontements mythiques voire incongrus... pour le plus grand plaisir des fans.
C'est par un matin de décembre 2008 que Square Enix, abandonnant le traditionnel Itadaki Street, propose une toute nouvelle forme à ses cross over pour l'instant assez timides. Entre un Final Fantasy XIII qui se fait attendre et une PSP qui n'en finit plus de régaler ses investisseurs au Japon tout en accumulant les nouveaux titres, il n'en fallait pas beaucoup plus pour que l'éditeur s'empresse de fêter avec un talent certain le vingt-et-unième anniversaire de sa saga phare avec un Dissidia : Final Fantasy désormais accessible à tous. Au départ, il y avait le néant. Dans un essai de cosmologie divinisée que l'on a plutôt l'habitude de voir traîner au rayon comics de sa librairie, Dissidia nous explique donc de manière assez succincte la guerre absolue et continue entre deux entités cosmiques et divines du nom de Cosmos et Chaos. La première est une belle jeune femme à la robe vaporeuse et virginale, et la seconde est un minotaure rougeaud aux crocs abondants et au regard peu avenant. Comme n'importe quelle personne douée de bon sens, vous aurez aussitôt reconnu en Cosmos l'incarnation du Bien, et en Chaos, celle du Mal.
On ne réunit pas sans raison les héros d'une dizaine de RPG parmi les plus mythiques de l'histoire du jeu vidéo. C'est donc sur fond de fin du monde et dans un titre résolument tourné vers l'action que le Chevalier de Lumière, Djidane, ou encore Terra font leur retour sur console. Ils sont partis chercher leurs cristaux personnels, et malheur à ceux qui se dresseront sur leur chemin (au hasard leurs ennemis de toujours). Mêlant différents styles de jeu, du RPG au combat, en passant même par le casse-tête, Dissidia : Final Fantasy est si riche qu'il a de quoi se monter généreux envers les fans. Il faut dire qu'avec un héritage aussi conséquent, ce rejeton de la grande famille Final Fantasy aurait tort de faire le pingre. Dissidia a pour lui la richesse de ses histoires, et ses dix héros qui ont chacun un vrai background et une psychée propre. Il emprunte aussi beaucoup au RPG, avec en tête cette obsession de l'optimisation si chère au genre. Accessoires qui améliorent votre personnage de quelque pour cents dans une catégorie précise, gains d'expérience et de niveaux qui vous rapportent des compétences, mais aussi de nombreux clins d'œil au patrimoine de la série.
Perdu depuis quelque temps au fond d’un tiroir et maintenant recouverte d’une fine pellicule de poussière, la PSP était restée là tel un vieux coffre aux trésors oublié au fond des eaux. Le dernier gros titre resté coincé au coeur de la PSP est Final Fantasy VII : Crisis Core. Et… fait étrange, c’est une nouvelle fois un jeu tiré de la licence Final Fantasy qui va réanimer la belle endormie depuis plusieurs mois. Le réveil sera-t-il doux ou brutal ? Square Enix maîtrise parfaitement la technique du cross over ultime et nous le démontre ici en mélangeant avec brio les dix premiers épisodes de sa saga la plus célèbre et fête du même coup sa vingtaine d’années de bons et loyaux services. De chacun de ces chapitres, l’éditeur n’en a gardé qu’un point très précis : le conflit entre le héros et son ennemi juré. Un rapide petit calcul mental nous indique que vingt personnages garnissent donc ce jeu de combat mâtiné de RPG. Oui mais, où sont passés les personnages du XI et XII ? Le onzième opus est un MMORPG, et est donc naturellement dépourvu d’un personnage principal commun à tous les joueurs et d’un Boss final. Mais alors, où est passé Vaan, le douzième héro de la saga ?
Au cœur de la fin de l'été nous avons reçus par courrier une petite enveloppe dont l'exploration des méandres nous permit de trouver le mystérieux bonheur d'une petite démo du futur titre de Square Enix qui sort dans quelques jours. Histoire de partager nos premières impressions sur cet événement de la rentrée du JV, voici une petite preview de ce grand mélimélo de baston dans l'univers de Final Fantasy. Dans cette charmante démo nous avons accès à quelques personnages de la série qui devrait quant à elle être composée d'une vingtaine de têtes empruntées à l'ensemble de la saga. Pour le moment les arènes vont se remplir de combats opposant nos quatre personnages disponibles à savoir : Le Chevalier Oignon (Escrimeur mystique de FFII), Cecil le Polymophe androgyne de FFIV mais aussi Terra la Maitraisse de la magie version FFVI et pour notre plus grand bonheur Cloud et Sephiroth de FFVII respectivement frappeur puissant et maître des lames. Le principe est simple, baston à gogo dans les ruines, les temples, la calotte glacière voire même l'antre des volcans, bref, partout pourvu que ça cogne fort, vite, bien ou les trois en même temps.
On sait Square Enix friand de cross over et de clins d’œil en tous genres dans ses jeux (il suffit de voir la série des Kingdom Hearts). Avec Dissidia : Final Fantasy, les développeurs japonais vont plus loin et parviennent à entremêler les protagonistes principaux des dix premiers Final Fantasy. En découle un jeu de combat de toute beauté, long et surtout difficile. Dans Dissidia, les héros de Final Fantasy 1 à 10 s’allient pour former le groupe des combattants de la lumière, défenseurs de Cosmos, leur déesse. Dans l’autre coin du ring nous retrouvons autant de méchants qui ne sont autre que les Némésis de chacun. Cloud (FF7) devra affronter Sephiroth, Squall se retrouve face à Ultimécia (FF8), Le chevalier de la lumière de FF1 rencontre à nouveau Garland tandis que Tidus court toujours après son paternel Jecht (FF10). Chacun des héros dispose de son chapitre de l’histoire. Ils doivent tous parvenir au bout et vaincre leur ennemi juré pour mettre la main sur un cristal. Rassemblez les dix, et vous mettrez fin à la guerre entre Chaos et Cosmos, ténèbres et lumière. Un scénario un peu mince au premier abord mais qui réserve son lot de surprises.
Quelques mois après nos premières impressions sur Dissidia : Final Fantasy, Square Enix nous gratifie enfin d’une version preview de son atypique jeu de combat. L’occasion pour nous de jauger la qualité de la localisation et d’éprouver plus tranquillement le gameplay original de ce méga cross-over. Les RPG japonais ont pendant longtemps été un modèle de qualité dans l’industrie vidéoludique. Et si les choses ont bien changées depuis quelques années, certaines séries ont réussies à maintenir leur superbe jusqu’à aujourd’hui. Parmi elles, la saga des Final Fantasy est un exemple de choix. Développée par Square-Enix c’est l’une des dernières grosses franchises nippone à bien s’exporter, et pour cause, voilà 20 ans que la série existe et que la qualité de chaque épisode est plus qu’honorable. Résultat, la série des FF, jouit de millions de fans à travers le monde. Des fans qui à l’occasion du vingtième anniversaire de la saga (en 2008) ont droit à un splendide cadeau, Dissidia : Final Fantasy. Déjà sortit il y a plusieurs mois au Japon, le jeu a profité d’une localisation française qui semble correcte. Nous sommes en revanche beaucoup moins convaincus du doublage.
Vingt ans… Voilà maintenant vingt belles années que la saga Final Fantasy nous extasie chaque fois un peu plus. Pour marquer le coup, Square Enix décide de faire hommage au plus grand RPG de l’Histoire en réunissant les personnages marquants de la série. Et ce n’est autre que l’équipe de l’excellent Kingdom Hearts qui se charge de développer le titre anniversaire Dissidia : Final Fantasy. En compagnie du Director, Takeshi Arakawa, et du Producer, Yoshinori Kitase, nous avons pu tâter de la bête et se faire une idée de son potentiel. Il est hors de question pour la team Square Enix de créer un Final Fantasy sans un scénario digne de ce nom. Ainsi Dissidia, qui rappelons-le est un jeu de combat, profite d’une trame toute aussi palpitante que les opus majeurs de la franchise. Cosmos, la déesse de l'harmonie et Chaos, le dieu de la discorde se livrent bataille depuis d’innombrables années.
Gamekult
Ajouté le : 02/2009
Plus accessible...
C'est par un matin de décembre 2008 que Square Enix, abandonnant le traditionnel Itadaki Street, propose une toute nouvelle forme à ses cross over pour l'instant assez timides. Entre un Final Fantasy XIII qui se fait attendre et une PSP qui n'en finit plus de régaler ses investisseurs au Japon, il n'en fallait pas beaucoup plus pour que l'éditeur s'empresse de fêter avec un talent certain le vingt-et-unième anniversaire de sa saga phare. Au départ, il y avait le néant. Dans un essai de cosmologie divinisée que l'on a plutôt l'habitude de voir traîner au rayon comics de sa librairie, Dissidia nous explique donc de manière assez succincte la guerre absolue et continue entre deux entités cosmiques et divines du nom de Cosmos et Chaos. La première est une belle jeune femme à la robe vaporeuse et virginale, et la seconde est un minotaure rougeaud aux crocs abondants et au regard peu avenant. Comme n'importe quelle personne douée de bon sens, vous aurez aussitôt reconnu en Cosmos l'incarnation du Bien, et en Chaos, celle du Mal.
Gamekult
Ajouté le : 10/2008
Plus accessible...
Bien décidé à ne rien faire comme tout le monde, Square Enix tente de révolutionner le jeu de baston. Entre Psychic Force, Dragon Ball Z : Budokai Tenkaichi et les QTE de Shenmue, Dissidia : Final Fantasy et son casting de rêve se plaît à mélanger les genres, quitte à décevoir les joueurs classiques pour séduire une frange plus casual de la population. Cliquez sur l'image pour l'agrandir C'est après une queue inexistante d'un stand Square Enix pas encore pris d'assaut par une horde de fidèles déguisés en chauve-souris que nous passons enfin derrière les petits rideaux noirs dissimulant les bornes d'essai du mystérieux Dissidia : Final Fantasy. Après avoir choisi son personnage parmi le héros de Final Fantasy 1, 2, 3, 8, 9 ou 10, le joueur se lance dans une suite de duels plus acharnés les uns que les autres. Il suffira en effet de donner de minuscules impulsions aux directions pour faire de gigantesques bonds, et parcourir plusieurs mètres en quelques foulées. L'ambiance sera donc plus celle d'un combat de super-héros que d'artistes martiaux.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Dissidia : Final Fantasy. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Dissidia : Final Fantasy.