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Nous avons réuni 8 tests du Dishonored. Les experts notent Dishonored 8.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dishonored et d'autres Jeux Xbox 360.
Quand on parle de FPS (jeu à la première personne), on pense avant tout aux blockbusters gavés de testostérone et de soldats en treillis comme Call of Duty, Battlefield et, dans une moindre mesure à la légende Counter Strike pour les plus anciens. Counter Strike qui est à l'origine un mod développé d'après le moteur du FPS tout aussi mythique Half-life. Ce dernier partage d'ailleurs de nombreux points communs avec Dishonored qui débarque comme un trouble fête avant la future parade militaire de fin d'année. Un anti-héros qui utilise autant sa tête que son arsenal, une direction artistique de haute volée et un game design qui ne se contente pas de faire du rentre dedans, pas de doute Dishonored marche dans les pas des plus grands et parvient à nous embarquer pour une aventure inoubliable.Un jeu ne se résume pas à son gameplay et si un bon scénario peut accompagner et même servir le tout, le joueur n'en sera que plus facilement embarqué. Le scénario de Dishonored vous met dans la peau de Corvo, le garde du corps de l'impératrice. Vous rentrez tout juste d'une mission dans une île voisine et les premières minutes du jeu vous plongent déjà dans une ambiance inimitable. Architecture audacieuse et costumes d'inspiration victorienne donnent le ton. L'univers décrit ne se contente pas de dupliquer un thème déjà vu puisque la direction artistique est l'un des nombreux points forts du jeu.
Lorsqu'on est un jeu extrêmement attendu, quelle que soit la raison, les risques de décevoir les joueurs deviennent d'autant plus importants. Cela est encore plus vrai pour les jeux qui tentent de se démarquer de la concurrence par leur gameplay, et la chute n'en devient que plus douloureuse. C'est ainsi que Dishonored tente sa chance afin de convaincre les plus farouches des vierges, sacrifiées sur l'autel du no-life. Dishonored prend place dans une époque imaginaire, où Renaissance et technologie Steam Punk se mélangeraient un peu. Nous sommes donc sur une île dont l'impératrice vient d'être sauvagement poignardée sous vos yeux, et sa fille kidnappée dans la foulée par ces mêmes individus aux pouvoirs étranges. Ca la fout mal, surtout quand vous êtes censé être son garde du corps et que vous vous êtes non seulement fait rétamer en un coup. Mais en plus de cela, on vous accuse du meurtre et du kidnapping et vous finissez en prison, attendant votre mise à mort tel un bouc émissaire. C'est dans cette ambiance de rêve que vous allez avoir un léger coup de pouce pour vous évader, retrouver Emily, l'héritière de l'Empire et mettre hors d'état de nuire les responsables de ce complot.
On l'avait couvert d'éloges lors de notre première rencontre en avril dernier aux Invalides à Paris, puis fait de même durant le salon de Los Angeles, Dishonored arrive enfin dans les rayons avec une aura le plaçant directement comme l'un des prétendants au meilleur jeu de l'année. Alors a-t-on eu raison de placer le soft d'Arkane Studios dans cette position ? Voici notre verdict. Dunwall, la capitale de l'empire de Gristol, est touchée par une épidémie sans précédent qui touche tous les habitants de la cité. Pour trouver une solution à ce fléau, le garde du corps de l'impératrice est envoyé en expédition afin d'identifier un remède. Le jeu démarre lorsque l'on revient de ce petit voyage, malheureusement annonciateur de mauvaises nouvelles. Mais les malheurs ne s'arrêtent pas là. Alors que l'on est au côté de l'impératrice et de sa fille, des assassins apparaissent et tuent celle qui essayait tant bien que mal de sauver les habitants de la ville. Se retrouvant au mauvais endroit au mauvais moment, notre personnage, Corvo, est accusé et emprisonné pour avoir tué l'impératrice et fait disparaître l'enfant qui s'est faite capturer.
Disons-le tout net, afin d'éviter une quelconque méprise, Dishonored est excellent. Il est le fer de lance de ce qu'on aimerait voir plus souvent, c'est-à-dire une nouvelle licence de qualité et qui pourrait s'imposer rapidement comme un standard. Cependant, le jeu d'Arkane Studios à généré un débat à la rédaction. Il prend certainement naissance dans le fait qu'il ait été testé sur PC et sur Xbox 360. En effet, les consoles sont très loin d'offrir les capacités des derniers PC ainsi qu'une ergonomie comparable, surtout pour ce genre de jeu. On pourra tout d'abord reprocher à Dishonored sa durée de vie trop courte. Même si cet argument a été d'ores et déjà réfuté lors du test PC, il n'en demeure pas moins que si l'on est un peu moins contemplatif et plus axé sur l'action, une grosse dizaine d'heures de jeu suffiront à en venir à bout. Cela reste une bonne moyenne et surtout 2 fois plus que la valeur sûre actuelle : Call of Duty. Cependant, on ne peut s'empêcher d'être déçu de terminer l'aventure en si peu de temps.
Interminable, c'est ce qui qualifie le mieux l'attente qui a précédé l'arrivée sur nos écrans de Dishonored. Héritier d'une lignée prestigieuse du jeu vidéo, ce bébé franco-américain fait un gigantesque bras d'honneur aux tendances ludiques actuelles et choisit de revenir à des mécaniques dont on n'espérait plus le retour. Incontournable. Si on veut retracer le pedigree de Dishonored, il y a du boulot. Développé par Arkane Studio à qui on doit déjà des perles comme Arx Fatalis et Dark Messiah, sur PC du moins, en collaboration avec Harvey Smith (qui a officié sur Deus Ex) et le génial directeur artistique Viktor Antonov passé maître dans l'art des villes imaginaires, Dishonored a dans son ADN des titres majeurs tels que System Shock, Deus Ex ou Thief. Comme un musicien qui revendique des inspirations qui sautent aux yeux, il sait les digérer et créer son propre style. Dishonored, c'est avant tout un univers fort et qui ne ressemble à rien de connu dans le jeu vidéo, un monde insulaire inspiré par l'Angleterre victorienne, marqué par sa propre version de la révolution industrielle. Sorte de variation du steam punk, le monde de Dishonored tourne à l'huile de baleine devenue source d'électricité mais il est également baigné de conceptions mystiques que les Superviseurs, tenants de la religion officielle, imposent face au culte impie de l'Outsider, personnage étrange source de magie et qui semble jouer une drôle de partie d'échecs avec les humains.
Enfin ! Enfin, il a été possible de prendre en main cette aventure exceptionnelle à la première personne qui semble bien partie pour être un des chocs vidéoludiques de l'année ! Voici donc nos premières impressions doublées d'infos complémentaires sur le gameplay... Cette nouvelle démo, désormais jouable, se situe après la séquence se déroulant dans la maison close The Golden Cat Bath House (voir Aperçu précédent). Dans la peau de l'assassin Corvo, votre mission est ici de vous infiltrer dans l'appartement très protégé du scientifique Sokolov, responsable de la technologie en vigueur dans la cité de Dunwall, dans le but de le kidnapper. Gare néanmoins à ne pas le tuer par erreur, y compris lorsque vous l'emmenez avec vous, car sinon c'est le game over assuré. A ce titre, il existe plusieurs façons de l'étourdir, avant de le transporter inconscient sur vos épaules : tirer sur lui un carreau soporifique, se placer derrière lui et maintenir une touche pour l'étrangler jusqu'à l'évanouissement... D'entrée, le joueur peut se rendre compte de la grande liberté d'action qu'offre le titre. En effet, il y a de nombreuses manières de progresser et d'évoluer dans le niveau.
Cela fait déjà presque un an qu'on vous a parlé de cette ambitieuse production française. Suite à la présentation récente d'une nouvelle démo du jeu, on peut vous assurer que les espoirs placés dans cette nouvelle licence vont être largement récompensés ! Dishonored est développé par le studio français Arkane (Arx Fatalis, Dark Messiah of Might & Magic) et bénéficie du savoir-faire des directeurs artistiques Sebastien Mitton et Viktor Antonov. Ce dernier a acquis une jolie renommée grâce à ses travaux, notamment sur l'aspect visuel de Half-Life 2. Pas étonnant donc de retrouver ici un univers steampunk au croisement de jeux ou longs-métrages comme Bioshock, Blade Runner et Metropolis. Il aura fallu d'ailleurs quasiment trois ans de pré-production et une quantité astronomique de dessins et photographies pour créer cet univers dans lequel la cité de Dunwall est le théâtre principal des évènements. Cette allégorie des villes de Londres et Edimbourg paraît à la fois dater des années 40 et issue d'un passé alternatif rétrofuturiste. Ici, l'huile de baleine représente l'énergie de base et une étrange peste sévit en faisant de plus en plus de victimes...
Quand les développeurs français d'Arx Fatalis et de Dark Messiah of Might & Magic rencontrent le directeur artistique de Half-Life 2 et du long-métrage d'animation The Prodigies, le résultat prend la forme d'une aventure à la première personne sombre et ambitieuse, mélangeant à la fois action, RPG et infiltration. Premier contact avec ce titre prometteur... D'abord, une petite précision : en réalité, il y a deux équipes qui se chargent du développement de Dishonored, celle du studio lyonnais Arkane et celle de son antenne américaine à Austin (qui vient d'ailleurs d'accueillir récemment cinq personnes ayant travaillé sur le premier Deus Ex sorti en 2000). A cela, il faut ajouter Viktor Antonov, génial créateur de l'univers de Half-Life 2, qui est ici responsable de la direction visuelle du titre, aux côtés de Sébastien Mitton, lead artist sur la version PC de Dark Messiah. Tout ce petit monde réuni est évidemment un gage de qualité, surtout quand on pénètre dans l'univers du jeu et qu'on s'aperçoit de sa richesse, autant au niveau du gameplay que d'un point de vue purement visuel. Clairement influencé par le background personnel d'Antonov (qui a connu la dictature bulgare avant d'immigrer en France à l'âge de 17 ans), le monde de Dishonored présente un relent très réussi de régime policier d'Europe de l'est.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Dishonored. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Dishonored.