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Nous avons réuni 11 tests du DiRT 3. Les experts notent DiRT 3 8.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du DiRT 3 et d'autres Jeux Xbox 360.
Plébiscité par la critique, Dirt 2 a malgré tout déçu plus d'un joueur avec la quasi-absence d'une discipline qui a donné ses lettres de noblesse à la série Colin McRae : le rallye. Ne voulant pas froisser une seconde fois les fans, Codemasters fait machine arrière et remet cette catégorie au centre de ce troisième DiRT. Un retour gagnant ? A l'instar de Shift 2 : Unleashed, ce nouveau DiRT se débarrasse du patronyme "Colin McRae" pour se détacher définitivement de ce nom connu mais vieillissant. Déjà aperçu dans DiRT 2, c'est maintenant l'américain Ken Block qui reprend le flambeau et remplace petit à petit le regretté pilote écossais. Une occasion rêvée pour Codemasters qui voit là une excellente opportunité de remettre en avant la catégorie reine de sa licence, tout en proposant quelque chose d'inédit avec les X Games et le Gymkhana. Néanmoins, ce troisième opus est loin de repartir à zéro puisqu'il garde en grande partie d'anciennes disciplines avec le Rally Cross, le Land Rush ou bien encore le Trail Blazer. Un grand écart toujours synonyme de diversité. Comportant une ambiance assez électro, le mode carrière se décompose ainsi en quatre saisons, elles-mêmes divisées en quatre triangles.
Avec DiRT 3, à vous une compil assez exhaustive de tous les types de rallye qu'on peut trouver aux quatre coins du monde. Relativement éloigné du WRC, discipline à peine représentée, ce troisième épisode veut être celui de la confirmation : pas de révolution au cahier des charges mais un maximum de soin apporté aux sensations et quelques bonnes surprises en prime. DiRT 3, bien qu'il ne joue pas dans la même cour qu'un WRC, est le seul représentant récent du monde du rallye sur consoles. Discipline bonus dans certains jeux (et souvent bâclée à ce titre), le rallye, un temps relayé par d'innombrables jeux off-road, est enfin de retour. Pas tel que ceux qui suivent les exploits de Sébastien Loeb l'entendent. Non, la série DiRT, pour ceux qui ne le sauraient toujours pas, propose des courses débridées aux règles variables, sans s'enfermer dans un système de championnat rigide. Ici, il est avant tout question de rouler dans des conditions extrêmes, de changer de monture fréquemment, d'alterner entre du contre-la-montre, rallye cross et super spéciales, de s'amuser tout simplement. Très arcade mais pas dénué de subtilités, DiRT 3 met l'accent sur le fun et bien que les développeurs se targuent d'avoir tout fait pour un maximum de réalisme, nos sensations sont tout autres.
Avec la série des DiRT, Codemasters semble avoir trouvé son rythme. Ainsi, depuis 2007, tous les deux ans, voire un peu moins, nous avons droit à un nouvel épisode de ce jeu de courses automobiles tout-terrain. En ce mois de mai 2011, débarque donc dans les bacs un certain DiRT 3. Tout en reprenant ce qui a fait le succès des précédents épisodes, il arrive avec dans ses bagages quelques nouveautés des plus intéressantes. Prêts à en découdre une fois de plus sur les terrains du monde entier, nous découvrons pour le mode DiRT Tour (sorte de mode Carrière) de ce DiRT 3 une toute nouvelle interface, pas forcément moins lourde à utiliser. Adieu donc, le temps perdu dans les paddocks à choisir notre bolide, ainsi que le lieu de nos prochains exploits. Ici, tout s’articule désormais autour de quatre tétraèdres représentant chacun une saison. Faites de différentes compétitions, ces dernières sont là pour mettre à rude épreuve nos talents de pilotage. 53 voitures différentesUne fois sur la piste, nous devons alors tout faire pour essayer de terminer devant nos adversaires du moment (jusqu’à 7 autres pilotes suivant les épreuves).
Codemasters a toujours offert tout ce qui est possiblement imaginable dans ses jeux de course. Dans le TOCA Race Driver 3 de 2006, les joueurs concourraient à un moment donné au volant d'une tondeuse gazon et au volant d'une F1 l'instant d'après, tout en restant parfaitement impassibles. Dirt 3 prolonge cette approche fourre-tout, intégrant tous les éléments de la course hors-piste auxquels on pourrait penser. Il y a des événements Land Rush, faisant affronter les plaines kényanes à des monstres à quatre roues, en même temps que des courses de rallye sur des parcours sinueux dans le port de Monaco, et des duels dans un froid glacial entre une voiture et un bobsleigh dans les X-Games de Norvège. Cela dit, la véritable réussite de Dirt 3 et son vrai charme ne viennent pas de sa façon de vous propulser dans la boue, sur les gravillons et sur le goudron. Ce qui le différencie, c'est l'inclusion de deux éléments distincts, et cela contribue à le rendre meilleur que ses prédécesseurs. On retrouve ici un mélange de fidélité à l'héritage de Codemasters avec la série Colin McRae series et au sport lui-même, servit par un esprit d'innovation que le studio a fait sien ces dernières années.
Nouvel épisode et (énième) "nouvelle" approche pour la saga Colin McRae qui, après le virage largement off-road de Colin McRae : DiRT 2, souhaite se re-concentrer un peu sur le rallye traditionnel avec DiRT 3 - tout en s'offrant en parallèle une nouveauté singulière et très à la mode : le gymkhana.Logique en même temps, direz-vous, pour une franchise désormais proche de Ken Block, le maître de cette discipline de frappadingue ; et ce passage de flambeau est d'une certaine manière acté avec la suppression de la mention "Colin McRae" pour ce DiRT 3, et ce, aux Etats-Unis comme en Europe (une première). Mais après une version preview un peu chiche en sensations de pilotage, on était en droit de se poser quelques questions sur ce nouvel opus. Des interrogations toutefois vite balayées par le jeu final, encore une fois particulièrement bien calibré pour une série arcade incontestablement arrivée à maturité. Dirty Money DiRT Tour, choix d'un prénom et d'un nom à l'écrit ainsi que d'un prénom ou d'un surnom à l'oral, les habitués des productions Codemasters se sentiront en terrain conquis aussitôt la partie solo de DiRT 3 lancée.
Quand DiRT 2 est sorti, je l’avais qualifié de « Monsieur plus » par rapport à son prédécesseur. Plus beau, plus complet…Plus tout, comme une suite classique « bigger and louder ». Pour ce troisième opus de la franchise, c’est une voie légèrement différente qui a été choisie. DiRT 3, c’est avant tout « larger ». Le début du jeu est une absolue non-surprise pour les habitués des jeux de voitures Codemasters. On commence par donner son nom, prénom, nationalité et surnom, avant d’écouter religieusement notre manager qui nous explique à quel point on est un quelqu’un de formidable qui va tout déchirer. Le traditionnel mécano fait de même, et ils agrémenteront les résultats des courses de leurs commentaires bienveillants. Cette fois, pas de garage, mais une présentation sobre qui permet de naviguer rapidement dans les menus. On peut essayer dès le départ tous les parcours en épreuve simple, rejoindre le jeu en ligne dont nous allons parler plus loin, et bien entendu attaquer le mode carrière qui est comme toujours le cœur du jeu. Celui-ci se décompose en quatre saisons, des pyramides composées de quatre séries d’épreuves variées.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 05/2011
Plus accessible...
Avec la série des DiRT, Codemasters semble avoir trouvé son rythme. Ainsi, depuis 2007, tous les deux ans, voire un peu moins, nous avons droit à un nouvel épisode de ce jeu de courses automobiles tout-terrain. En ce mois de mai 2011, débarque donc dans les bacs un certain DiRT 3. Tout en reprenant ce qui a fait le succès des précédents épisodes, il arrive avec dans ses bagages quelques nouveautés des plus intéressantes. Prêts à en découdre une fois de plus sur les terrains du monde entier, nous découvrons pour le mode DiRT Tour (sorte de mode Carrière) de ce DiRT 3 une toute nouvelle interface, pas forcément moins lourde à utiliser. Adieu donc, le temps perdu dans les paddocks à choisir notre bolide, ainsi que le lieu de nos prochains exploits. Ici, tout s’articule désormais autour de quatre tétraèdres représentant chacun une saison. Faites de différentes compétitions, ces dernières sont là pour mettre à rude épreuve nos talents de pilotage. 53 voitures différentesUne fois sur la piste, nous devons alors tout faire pour essayer de terminer devant nos adversaires du moment (jusqu’à 7 autres pilotes suivant les épreuves).
Deux ans après la sortie de Colin McRae Dirt 2, la série de Codemasters abandonne le nom du grand champion et va à l’essentiel. Dorénavant, elle s’appellera Dirt tout court ou ne s’appellera pas. Un changement de nom qui signifie une modification totale de l’idée de base des différents jeux ? Oui et non. Même si elle délaisse le nom de Colin McRae, la série n’abandonne pas la discipline dans laquelle le champion s’est jadis illustré : le rally. Dirt 3 est donc, à l’instar de ses ainés, une simulation de course automobile type WRC mais qui lorgne également sur des genres bien plus atypiques comme le rally-cross, le Landrush ou le Trailblazer. On retrouve donc sans surprise ce qui avait fait aussi la gloire des précédents épisodes. A savoir des courses vives dans des paysages variés. En revanche, si le nom Colin McRae a disparu, c’est que la série a trouvé un nouvel ambassadeur en la personne de Ken Block, un coureur automobile spécialisé dans les sports extrêmes. Son nom n’est pas là que pour faire joli puisque le bougre introduit une toute nouvelle épreuve à laquelle il a participé et ô combien délirante : la bien nommée gymkhana.
Codemasters sait que certains joueurs n'ont pas apprécié la tentative de DiRT 2 de plaire à un public plus large. L'éditeur est conscient des reproches concernant le côté tape-à-l'oeil du jeu et sa tendance à privilégier le fun aux dépens du réalisme. Il admet l'argument selon lequel DIRT 2 avait tellement réduit l'élément rallye central qu'il était un peu en décalage avec les titres Colin McRae. Il est intéressant de souligner qu'on ne voit nulle part le nom de McRae dans DIRT 3. Pas la peine de vous affoler cependant - même si ces décisions semblent indiquer que la série emprunte une nouvelle direction, le contenu de DIRT 3 suggère le contraire. C'est vrai que l'implication de Ken Block est plus manifeste (à la fois dans le jeu et dans la réalité, le pilote de rallye se rendant apparemment dans les bureaux de Codemasters presque tous les mois pour donner ses impressions). Cela dit, le fait que Block continue à faire faire la grimace aux actionnaires de Pirelli avec ses dérapages tous azimuts ne signifie pas qu'il n'est pas passionné et sérieux dans la pratique de son sport. On retrouve cette passion dans l'équipe de Racing Studio qui met actuellement au point le troisième volet de DIRT.
Après un premier volet inégal et un second épisode un peu trop américanisé dans l'âme, DIRT est enfin de retour à pleine puissance ! A travers ce nouveau chapitre, cette simulation de courses de rallye entend bien mettre les petits plats dans les grands et offrir aux joueurs un maximum de contenu et d'émotions. 3, 2, 1, Partez ! Parrainée aujourd'hui par le pilote de rallye Ken Block, qui succède ainsi officiellement au regretté Colin Mc Rae disparu en septembre 2007, la série DIRT semble résolue à faire un grand pas en avant avec ce troisième volet. Techniquement d'abord avec une grosse mise à jour de l'EGO Engine, moteur qui avait déjà fait ses preuves lors des précédents jeux. Les effets lumineux se retrouvent beaucoup plus travaillés qu'auparavant, et les véhicules s'intègrent mieux dans l'environnement en s'y immergeant à merveille à travers une multitude de détails, comme les ombres des arbres sur le capot, la boue sur les pneus ou la poussière sur les vitres. De même, les conditions météo sont désormais poussées visuellement au maximum. Neige (une première dans la série), glace ou pluie marquent de leur empreinte les décors et véhicules, rendent évidemment la chaussée plus difficile à pratiquer et influencent donc directement le pilotage des automobiles.
Gamekult
Ajouté le : 11/2010
Plus accessible...
Revenue en 2007 après trois longues années d'absence, la franchise de jeux de rallye automobile Colin McRae continue depuis lors d'occuper régulièrement le terrain avec les épisodes DiRT, dont le troisième opus est actuellement en préparation chez Codemasters. Et si l'éditeur anglais était jusqu'alors resté relativement discret sur le contenu de ce DiRT 3 - qui laisse désormais de côté son patronyme Colin McRae sur tous les territoires -, c'était pour mieux le dévoiler à la presse la semaine dernière à Cardiff au Royaume-Uni, alors que le rallye WRC de Grande-Bretagne battait son plein. En voici donc nos premières impressions après quelques sessions de jeu forcément instructives. Visiblement à l'écoute des joueurs et des remarques formulées après la sortie de Colin McRae : DiRT 2 qui avait notamment marqué un virage vers une certaine américanisation de son contenu, Codemasters cherche d'emblée à rassurer quant à l'orientation de ce nouvel épisode. Il marque en effet un "retour du rallye au premier plan" comme le souligne Paul Coleman, le Senior Game Designer du jeu, et pour preuve, près de 60% de sa carrière solo sera consacrée au rallye.
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