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Nous avons réuni 34 tests du Diablo 3. Les experts notent Diablo 3 8.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Diablo 3 et d'autres Jeux PC.
Vingt années après les événements de Diablo 2, alors que les trois démons primordiaux Méphisto, Diablo et Baal ont étés vaincus par le Héro et que le monde de Sanctuaire semble trouver une paix bien méritée, un mauvais présage descend des cieux sous la forme d'une météorite s'abattant sur la cathédrale de Tristram, plus toute jeune et passablement en ruines. Bien évidemment, Deckard Cain (qui commence à accuser son âge) ainsi que sa fille adoptive Leah se trouvent juste à l'endroit de l'impact. Ce bon vieux Cain, fidèle à sa réputation de vieille carne tout bonnement increvable, se prend un peu l'objet céleste sur la gueule et c'est ainsi que le jeu commence, alors que vous devez aider la brave l'innocente Leah à retrouver son grand-père d'adoption, perdu dans les tréfonds de la cathédrale. Pour se faire, il faut commencer par choisir une classe parmi les cinq proposées dans cet opus, à savoir les classiques Barbare et Sorcière, toujours fidèles au poste, et les trois petits nouveaux : le Chasseur de démons (une classe à distance avec un peu de l'Assassin et de l'Amazone de Diablo 2, mais pas que), le Moine (avec un peu de l'Assassin et du Paladin de Diablo 2, mais pas que) et le Féticheur (avec un peu du Nécromancien de Diablo 2, mais pas que).
50 heures de jeu, un barbare en mode cauchemar, une sorcière en mode extrême et une chasseuse de démons qui fait des premiers pas dans l'Acte II, il est à présent temps de vous parler de Diablo III ! Certes, on aurait pu comptabiliser également le nombre de clics nécessaires pour en arriver à ce résultat mais les débuts de crampe à l'index laissent augurer d'un chiffre titanesque. Doit-on pour autant résumer ce Diablo III à une frénésie quasi ininterrompue de clics ? La réponse est bien évidemment négative et le résultat brillant à bien des égards. 20 ans nous séparent donc des événements de Diablo II. La Nouvelle Tristram pourrait vivre en toute quiétude si une nouvelle menace ne se faisait jour. On ne va pas vous narrer par le détail pour la trame de Diablo III mais sachez qu'elle n'est guère passionnante, égrenant de façon un peu trop facile les retours, les trahisons et les poncifs de l'heroic fantasy. La série des Diablo n'a jamais brillé par ses scénarios et ce 3ème épisode ne déroge pas à la règle. On appréciera tout de même les nombreux clins d'œil aux volets précédents ainsi que les traits d'humour distillés dans les dialogues. Pour le reste, on n'est pas loin du recyclage, certes bien amené, mais loin d'être captivant.
Le 30 juin 2000, une date qui a marqué les amateurs de hack'n'slash au plus profond de leur être : Diablo II sortait et avec lui s'éteignait plus de 4 millions de vies sociales. Douze ans après, ce qui s'apparente pour certains au messie du genre revient sur le devant de la scène et s'apprête à inonder les écrans par un flot continu d'ennemis, d'items rares, de sorts et d'explosions de cadavres putréfiés. Que vaut ce Diablo III ? L'attente a-t-elle été récompensée ? Après quelques heures passées à essayer de se connecter aux serveurs de Battlenet puis des nuits blanches à jouer et de nombreux cafés rapidement consommés entre deux clics, le verdict s'impose : Diablo III est un très bon jeu. Oui mais? Comme à l'accoutumée chez Blizzard Entertainment, le jeu débute par une magnifique cinématique mettant en scène un Deckard Cain (très) vieillissant et sa nièce, Léah. Alors que Papy Deckard est en train de compulser des grimoires indiquant un retour prochain des forces des ténèbres, une météorite bleue, qui a échappé à la vigilance de Bruce Willis, traverse le ciel et vient perforer un vitrail à l'effigie de l'archange Imperius avant de défoncer littéralement le sol de la cathédrale dans laquelle nos protagonistes se trouvent.
L’attente est quasiment terminée pour les millions de fans de la première heure ou fraîchement débarqués sur la licence Diablo. Après plus de dix ans d’attente, les joueurs auront l’opportunité de mettre les mains sur le Hacnk n’ Slash ayant marqué des générations. Inutile donc de vous dire à quel point nous sommes impatients ici à la rédaction d’autant plus que nous avons tous peu nous essayés aux différentes phases de bêta test du titre. On y apprend entre autres les origines de la licence, Diablo était initialement conçu autour des mécaniques de jeu au tour par tour, l’action en temps réel a finalement été retenue donnant ainsi naissance au Hack n’ Slash le plus connu à ce jour. Et pour finir de contextualiser l’univers de Diablo, vous trouverez ici un excellent post sur le forum officiel dédié à l’histoire du monde de Sanctuaire et Tristram. On retrouve avec plaisir l’histoire de tous les personnages clés de l’univers ainsi que les interactions qui les lient entre eux. Résolument différent de son ainé, Diablo III introduit de nouvelles fonctionnalités empruntées sans complexe à un autre titre phare de Blizard : World Of Warcraft.
Aujourd'hui encore, nous avons du mal à le croire : Diablo III est enfin sorti, le mal est de retour. Et après de longues années d'attentes et de longs mois d'une bêta plus frustrante que divertissante, nous sommes en droit d'espérer du lourd. Comme vous n'aurez sûrement pas attendu notre test pour fondre sur le blockbuster de Blizzard, nous avons décidé d'aller découvrir en profondeur Diablo III, de son mode normal à son mode armageddon. Reste à savoir si la qualité et le challenge sont au rendez-vous. Voici notre réponse après quelques milliers de démons pourfendus. L'histoire de Diablo III est tout en continuité avec son aîné et se place une vingtaine d'années après les événements de Lord of Destruction. Mephisto, Diablo et Baal enfin détruits, nous pensions pouvoir prendre un repos bien mérité. C'était sans compter sur les démons inférieurs tapis dans l'ombre, Belial, le Seigneur du Mensonge et Asmodan, le Seigneur du Péché. De l'autre côté, les Archanges trop orgueilleux décident de laisser l'humanité à son sort, permettant ainsi l'émergence d'un nouveau culte démoniaque, et avec lui l'arrivée d'une vague de démons enragés. C'est donc à nous qu'il incombe de sauver le monde à la place de ces feignasses divines, et de looter du gros matos en montant de niveaux comme au bon vieux temps.
L'attente fut longue... Et l'Erreur 37 qui a entaché les premières heures qui ont suivi le lancement de Diablo III était de trop. Preuve que ce troisième volet du hack'n slash de Blizzard qui a posé les bases du genre était incroyablement attendu. Un défi infernal pour Blizzard puisqu'il fallait relancer la série, surprendre sans modifier les codes et s'adresser à tous les types de joueurs. Alors, Diablo III est-il le paradis du hack'n slash ou l'enfer du compromis ?Avant de commencer à critiquer, débutons en expliquant ce qu'est un hack'n slash. Il s'agit d'un jeu vu de dessus dans lequel vous dézinguez des monstres par milliers en profitant des pouvoirs de votre personnage, choisi parmi plusieurs classes aux multiples spécialités. La carotte qui vous motive à avancer aura pour forme les milliers d'objets servant à équiper votre héros pour en faire un véritable nettoyeur de niveaux à l'architecture aléatoire. Alléchant, non ? Passons sur le scénario en résumant ainsi : on retrouve les bases établies de la série Diablo et les fameux démons infernaux commencent leur invasion du Sanctuaire dans la célèbre ville de Tristram, comme il y a vingt ans dans Diablo II. On retrouve donc certains personnages clés dont le nouveau look a peu de chance de déplaire.
A une époque où les suites de grosses franchises sont déployées en quelques mois à peine et où les serveurs en ligne des anciennes versions sont discrètement fermés pour faire place à la nouvelle vague, Diablo II fait un peu office d'énorme exception avec ses douze ans de règne sur la toile. S'il est toujours plus facile de trouver une partie sur le légendaire hack and slash que sur les trois quarts de jeux "triple A" sortis ces dernières années, il était tout de même temps de passer le flambeau avec un nouvel épisode toujours signé Blizzard Entertainment. Tour à tour demandé, conspué, supplié ou critiqué, Diablo III est bel et bien sorti cette semaine et il est temps de vous donner notre avis sur ce troisième épisode de l'une des franchises les plus puissantes du jeu vidéo. Stay a while and listen... Si onze ans nous séparent de la sortie de Diablo II : Lord of Destruction, ce sont en fait vingt années qui se sont écoulées depuis nos dernières aventures dans le monde du Sanctuaire au lancement de Diablo III. Le gros rouge et ses frangins terrassés et la Pierre-Monde démolie, le monde des Hommes semble bien parti pour profiter encore longtemps de la paix dont il profite depuis la dernière tentative d'invasion démoniaque.
Diablo fait partie de ces titres figurant parmi les références quasi fondatrices de bon nombre de joueurs PC en plus d'avoir connu une postérité dont peu de jeux peuvent se targuer. Douze ans après le second volet, Blizzard a donc la lourde tâche de renouer avec le mythe chéri par toute une génération de joueurs aussi enthousiastes qu'inquiets à l'idée de fouler à nouveau les terres de Sanctuary. Car Blizzard North n'est plus et les temps ont changé. Entre respect de son héritage et trahison de nos glorieux souvenirs, Diablo III n'est donc absolument pas ce dont nous avons tant rêvé. Mais comment aurait-il pu l'être ? Au lieu de cela, il se contente humblement de n'être qu'un formidable jeu au cœur duquel épancher notre insatiable soif de puissance ! Avant d'entrer dans le coeur du sujet, autant s'emparer d'emblée du principal motif de discorde entre les fans de la première heure et Blizzard Entertainment : la direction artistique. Elle aura saturé des milliers de threads et votre humble scribouillard s'était d'ailleurs rallié sans hésitation à ses plus farouches détracteurs. C'est vrai, World of Warcraft est passé par là, Le Seigneur des Anneaux de Peter Jackson aussi et cela se ressent du début à la fin du jeu. Surtout à la fin du jeu d'ailleurs.
Une attente de douze années vient de prendre fin. Entré dans sa phase de pré-conception en 2001, soit un an après la sortie de son prédécesseur, Diablo III aura connu un développement interminable, comme seul pouvait se le permettre Blizzard. Tout au long de cette genèse, Jay Wilson et son équipe se sont attachés à maintenir le projet en constante évolution. Mais à l'heure du lancement, alors que la décision a été prise de reporter le PvP - non finalisé - pour ne pas jouer davantage avec la patience des fans, Blizzard apparaît comme un artiste ayant du mal à mettre un point final à une œuvre trop longuement couvée. Est-ce un bon, ou un mauvais présage ? Il est toujours difficile de succéder à un chef-d'oeuvre. De même que Starcraft était le pire ennemi de Starcraft II, les deux premiers Diablo, qui ont posé les bases du hack'n slash moderne, restent les plus gros concurrents de Diablo III. Voilà une vérité dont on a pris conscience tout au long de la promotion du jeu. Cela a démarré avec la "polémique des couleurs" qui a suivi la divulgation des premières images ; cela a continué à mesure que les fans prenaient connaissance des fonctionnalités de ce troisième opus et s'inquiétaient de leur proximité avec celles d'un certain World of Warcraft.
LaRuche
Ajouté le : 05/2012
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Désigné par tous, comme LE jeu le plus attendu de l'année, Diablo III méritait un traitement en conséquence. Voici donc pour l'occasion notre test au long court d'un genre un peu spécial... Pour vous dire la vérité, on a beaucoup réfléchi (oui, ça nous arrive parfois) à la manière de traiter correctement ce jeu. Si l'on avait adopté le format de test habituel, il est clair qu'on se serait dirigé vers un texte fleuve de 25000 signes, agrémenté d'une avalanche de captures, avec un résultat final qui n'aurait pas forcément été aussi exhaustif que nous l'aurions souhaité, mais qui en revanche, aurait probablement fini par être chiant comme la pluie, même pour les plus assidus de nos lecteurs. Aussi avons nous fait le choix d'un format un peu particulier pour l'occasion, qui va consister à diluer notre test dans le temps, en vous faisant profiter de nos impressions au jour le jour, et ce jusqu'à samedi, moment où nous délivrerons nos conclusions et notre note finale. Un exercice qui devrait nous permettre d'aborder les principaux sujets, tout en offrant une lecture plus reposante pour ceux qui sortiront d'une dure journée de labeur. Bien entendu, si vous veniez à réagir en masse contre cette idée saugrenue, sachez que l'on pourra toujours faire machine arrière, et pendre l'odieux journaliste qui nous aura suggérer tout ça. Ready ?
Le multi de Diablo III, c'est la même expérience de jeu, enrichie. Pas besoin de longs discours pour exposer les bases. C'est la même chose que le solo, du hack'n'slash à la puissance quatre. Pourquoi refaire un autre article alors ? Parce que si les fondamentaux restent les mêmes, il y a tout de même quelques contraintes, nécessaires, et quelques intérêts supplémentaires à pratiquer le bashage à plusieurs. Mais avant toute chose, revenons sur un aspect de Diablo III que je n'ai pas exposé hier, je me le réservais justement pour ce texte ; ça me paraissait plus approprié d'en parler aujourd'hui. La connexion permanente. On a probablement tous vu le problème que cela posait : l'erreur 37. La connexion permanente, c'est l'obligation d'être connecté pour un jeu qui pourrait n'être que solo. Les deux premiers Diablo et leurs add-on respectifs furent des chefs d'oeuvre sans que l'on ne soit sur Battle.net une seule seconde, sans être en Wi-fi ou relié au reste du monde par un RJ45. Techniquement, on peut plier Diablo III seul. Et les joueurs asociaux qui ne jurent que par des gameplays exclusivement solo sont encore nombreux. Ils doivent vraiment être agacés par l'erreur 37.
Comme vous le savez, on sera le plus complet possible sur Diablo III. Ça commence évidemment avec le test. On n'a évidemment pas dormi, on est vrac, mais - et c'est là la chose la plus importante - comblés. Comblé parce que oui, j'assume mon côté fan de Blizzard et c'est toujours un événement joyeux, la sortie d'un jeu de l'éditeur. Comblé parce que j'ai recroisé tous mes confrères journalistes qui aiment aussi les jeux Blizzard, ceux de la première heure. Comblé parce qu'il a fait beau. Comblé parce l'event sur les Champs était en lui-même était une réussite. Je crois qu'à Cataclysm, il n'y avait pas autant de monde au final qu'il n'y en avait pour Diablo 3 à 16 heures. Comblé parce que c'était vraiment positif. Comblé parce qu'il y avait des jolis cosplays avec des filles tout aussi jolies dessous. Surtout la mage aux yeux gris verts. Mais comblé aussi par Diablo III, évidemment. Comblé parce que les classes sont toutes aussi géniales les unes que les autres. Comblé parce que je suis enfin passé niveau 14 après avoir plié la bêta une bonne cinquantaine de fois. Comblé parce qu'on peut parler de génie à tous les niveaux : des graphismes, des animations, du rythme... Revenons là-dessus un court instant.
Mais avant toute chose, avant de rentrer dans le dur du gameplay de Diablo III, j'aimerais attirer votre attention sur un petit quelque chose d'assez prodigieux, quelque chose que l'on n'avait jamais vu dans les jeux vidéo. Pendant six mois, les heureux invités de la bêta qui ont suivi de près chaque patch ont vécu quelque chose qui ne se reproduira probablement jamais. En parcourant la cathédrale des centaines de fois, Ils se sont retrouvés dans la peau d'une petite souris qui a pu voir l'avancement d'un projet chez Blizzard, ces milliers d'ajustements qui font passer un jeu de fabuleux à unique. Ce fut un making-of en direct. La bêta de Diablo III a connu des changements en profondeur, des revirements de situation incroyables et lorsque l'on a rejoué régulièrement à toutes les classes, que l'on a pu apprécier chaque changement, on en revient à peine, mais chaque changement a été bénéfique. C'est un sans faute absolu dans les choix de gameplay. J'étais sceptique sur la disparition du cube et du chaudron. Au final, la décision est incroyablement pertinente. Oui, ça fait du bien de revenir à New Tristam pour vendre les objets sans bonus et désenchanter les autres ; ça fait une pause salutaire.
C'est l'ensemble des game designers de Diablo III qui sont venus parler du jeu, Jay Wilson en tête. La conférence a été particulièrement intéressante, oscillant entre les réglages des trucs qui n'ont pas tellement plu dans la bêta et des nouveaux mécanismes du jeu. Les développeurs ont répondu à pas mal de questions qu'on se posait, ou pas.La conférence a commencé par une présentation des Hauts Faits. Jason Bender a expliqué les grands principes, comment les déverrouiller ; en progressant, tout simplement, c'est-à-dire en allant buter le roi squelette par exemple. En passant des caps assez marquants, comme des niveaux assez ronds. Et puis il y aura aussi la réalisation de trucs absurdes comme tuer des boss sans porter d'armes à la main ! Bref, on n'est pas loin de ce que l'on connait dans WOW.Et Bender nous a appris quelque chose de très cool : la bannière du joueur dépend directement de ses Hauts Faits ! Plus il en a, plus il peut créer une bannière sophistiquée et élaborée. Ce que le joueur aura fait en PVP permettra de modifier la pointe de la bannière. Les Hauts Faits impacteront le motif sur le tissu et la qualité de celui-ci. Et si vous vous lancez dans le mode hardcore, vous pourrez améliorer la base de la bannière.
La bêta bat son plein, de nombreux joueurs ont déjà changé trois fois la touche F5 de leur clavier et je termine pour ma part mon 54ème Leoric run. Il est temps de faire le bilan de cette beta et de voir ce que nous propose Blizzard avec Diablo 3, attendu par la plupart des joueurs comme le Messie et la référence ultime des Hack’n Slash. En annonçant le jeu en 2008 à Paris lors de la Blizzard Worldwide Invitational, le studio mettait fin à dix ans d'attente fébrile de la communauté, de rumeurs, de pétitions. Pourtant, certains fans intégristes et couleurophobes sont immédiatement montés au créneau. La faute, paraît-il, à un design trop "cartoon", qu'ils ont immédiatement assimilés à une volonté de casualisation (Ô insulte suprême) de la licence. Avec cet avant goût du jeu final, on va pouvoir vérifier si ils ont eu raison de s'inquiéter... La beta débute à New Tristram 20 ans après les événements de Diablo 2 et la chute des trois démons primordiaux Diablo, Mephisto et Baal, et tandis que Deckard Cain se rend dans la cathédrale en ruine du premier épisode, une comète s’abat sur celle-ci, apportant avec elle son lot de mauvais présages.
Diablo III est jouable et pas uniquement du côté de la presse et des employés de Blizzard. La beta est certes fermée pour le moment, mais elle s'adresse aux joueurs de tous les horizons. La nouvelle est énorme pour les grands fans qui attendaient depuis onze ans maintenant de retrouver à nouveau l'univers Diablo après un deuxième volet très marquant. Qu'on se le dise, cette beta se révèle assez courte, il ne vous faudra pas dix heures pour venir à bout de ce premier objectif. Vous filerez rapidement sur une partie du premier chapitre, d'autant plus que le niveau de difficulté n'est pas très élevé. C'est une volonté de Blizzard assumée, rendre accessible cette beta pour séduire le plus grand nombre. On sait déjà que la difficulté gagnera le jeu dans sa version finale, et ce plus vous avancerez dans l'aventure. Aujourd'hui, c'est donc une petite démonstration que livre Blizzard, comme un petit cadeau, une façon de patienter avant enfin, de recevoir le jeu. Ou au moins une date de sortie. Car, la conclusion finale de cette beta, c'est bien de mettre votre esprit en éveil, de susciter l'impatience auprès des joueurs et l'envie d'en avoir encore plus, en solo et à plusieurs.
Référence incontournable et mètre-étalon du genre hack'n'slash, Diablo a été souvent imité mais jamais égalé. Quinze ans après un premier épisode définitivement culte, qui aura connu une suite non moins célèbre en l'an 2000, le démon cornu revient enfin hanter nos nuits. Pour l'heure, le jeu en est encore au stade de la "bêta fermée". Si vous n'avez pas eu la chance de faire partie des premiers sélectionnés, rassurez-vous : nous avons joué pour vous, et nous vous livrons tout de go nos impressions à chaud !Premier contact inévitable avec le jeu : le choix du personnage. On dénombre cinq classes, chacune étant déclinable en version masculine ou féminine. Le barbare privilégie les attaques physiques et le combat rapproché, le chasseur de démons excelle dans la pose de pièges et les attaques à distance, le moine maîtrise les arts martiaux et les sorts de guérison, le féticheur (witch doctor dans la version originale) aiment les sorts offensifs et d'invocation, tandis que le sorcier se destine aux amateurs de boules de feu et autres sorts à effets de zone. Rien que du classique, pensez-vous ? Et bien, pas tant que ça puisque tous n'utilisent pas l'habituelle mana.
Diablo III est jouable et pas uniquement du côté de la presse et des employés de Blizzard. La beta est certes fermée pour le moment, mais elle s'adresse aux joueurs de tous les horizons. La nouvelle est énorme pour les grands fans qui attendaient depuis onze ans maintenant de retrouver à nouveau l'univers Diablo après un deuxième volet très marquant. Qu'on se le dise, cette beta se révèle assez courte, il ne vous faudra pas dix heures pour venir à bout de ce premier objectif. Vous filerez rapidement sur une partie du premier chapitre, d'autant plus que le niveau de difficulté n'est pas très élevé. C'est une volonté de Blizzard assumée, rendre accessible cette beta pour séduire le plus grand nombre. On sait déjà que la difficulté gagnera le jeu dans sa version finale, et ce plus vous avancerez dans l'aventure. Aujourd'hui, c'est donc une petite démonstration que livre Blizzard, comme un petit cadeau, une façon de patienter avant enfin, de recevoir le jeu. Ou au moins une date de sortie. Car, la conclusion finale de cette beta, c'est bien de mettre votre esprit en éveil, de susciter l'impatience auprès des joueurs et l'envie d'en avoir encore plus, en solo et à plusieurs.
Je crois que je n'ai jamais autant parlé d'un jeu avant sa sortie. Diablo III, je pensais le connaître sur le bout des doigts, j'avais parlé des classes, des différents gameplays, des donjons, des ennemis. Récemment, on avait été jusqu'à vous parler de la façon dont les différents personnages de votre compte réussissaient à s'échanger des objets trouvés dans les combats. Normalement, cette bêta à laquelle nous avons eu accès hier devait vraiment être sans surprise ; on savait même qu'on ne pourrait aller au-delà du niveau 13.Oui mais voilà, c'est compter sans le génie - si si - de Blizzard. Mais avant de se pencher sur cette bêta de Diablo III, un petit détour par la case World of Warcraft s'impose. Comme vous le savez, j'adore WOW, à tel point que spontanément, là, tout de suite, je ne sais plus combien j'ai de niveaux 85 sur mon compte. J'ai un petit grief cependant. On a dix classes de personnages avec chacune trois spécialisations possibles. Trente façons de jouer, sur le papier, en somme. Pourtant, bien que les sorts soient très différents, il est difficile de ne pas voir d'incroyables similitudes de rythme entre le mage feu et le druide équilibre, entre le prêtre sacré et le druide restauration, entre le paladin protection et le chevalier de la mort givre.
Gamekult
Ajouté le : 09/2011
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Onze ans de ladder, onze ans de "pp", dix ans de Baal run et la succession de Diablo II : Lord of Destruction semble enfin pointer le bout de sa soulstone. Si Blizzard Entertainment reste toujours aussi silencieux vis à vis de la date de sortie visée par le troisième épisode de la fameuse saga commencée en 1996, le développeur mythique a enfin dévoilé qu'une version complète de Diablo III tournait d'ores et déjà en alpha interne, redonnant l'espoir à toute une génération de joueurs élevés au massacre du bouton gauche de leur souris. En visite sur le campus Blizzard à Irvine en Californie, nous avons pu reprendre le titre en main pendant des heures, poser toutes les questions qui ont pu nous passer par la tête et surtout en apprendre un peu plus sur quelques nouveautés et changements majeurs apportés depuis notre dernière rencontre avec le hack and slash. Stay a while and listen, comme on dit.Cet article est une mise à jour de notre article publié le 1er août dernier. La bêta fermée de Diablo III propose en effet le même contenu que celui découvert cet été chez Blizzard. Au fait, je ne suis pas l'archange Tyrael...
Gamekult
Ajouté le : 08/2011
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Croisé très brièvement le mois dernier, Diablo III lui aussi présent à la gamescom cette année. Si la version jouable sur le showfloor ne dévoilait pas grand chose de neuf sur le prochain épisode de la fameuse franchise, une petite rencontre avec l'équipe du jeu lors d'une conférence de presse de Blizzard Entertainment nous a tout de même permis d'en apprendre (encore) un peu plus sur le jeu. Highway to Hell Normal, Cauchemar, Enfer : une progression historique à travers trois modes de difficulté qui débloquaient chacun des monstres de plus en plus puissants, des objets de plus en plus abusés et des boss immunisés à tout ou presque. Si l'on nous a promis le mois dernier que l'accès à ces modes de difficulté ne changera pas pour Diablo III, il faut toutefois savoir que le troisième épisode de la fameuse franchise signera aussi l'arrivée d'un nouveau mode de difficulté ultime : le mode Inferno. Ce nouveau graal des sadomasochistes du hack and slash composera le end game du futur jeu de Blizzard Entertainment, et sera destiné aux joueurs ayant d'ores et déjà atteint le niveau maximal (fixé à 60) de Diablo III en proposant un bestiaire de base composé de monstres tous calés au niveau 61 afin de toujours représenter un challenge, même pour les joueurs les mieux équipés.
C'est au beau milieu de l'été que Blizzard a choisi de nous faire essayer en avant-première la version bêta de Diablo III qui sera jetée prochainement en pâture aux joueurs avides de retrouver l'univers de Sanctuaire. Nouvelles fonctionnalités, détails sur une portion du premier acte et impressions à chaud, on vous dit tout ! Après dix longues années d'attente, les amateurs de hack & slash n'auront jamais été aussi près de mettre la main sur le Saint-Graal, la suite de la référence ultime en la matière : Diablo III. Avant de rentrer dans le vif du sujet, nous allons vous communiquer une information qui risque de faire grand bruit dans la communauté des joueurs, mais qui risque aussi de faire débat dans notre société. En effet, sous couvert de faciliter la vie aux joueurs en rendant l'échange d'objets plus accessible dans le jeu, Blizzard proposera avec Diablo III une salle des enchères fonctionnant sur le modèle d'Ebay avec de l'argent bien réel. Intégré à Battle.net, cette dernière permettra à tout un chacun d'acheter et de vendre des objets (armes, armures, mais aussi pièces d'or etc...) vidant ou remplissant son compte avec de vrais Euros. Coexistant avec une version plus traditionnelle utilisant la monnaie du jeu comme moyen de paiement, cette dernière devrait, selon l'éditeur, permettre aux joueurs les plus actifs de « rentabiliser » leur investissement.
Depuis son annonce à Paris il y a trois ans, Diablo III a été protégé comme un secret d'état. On a pu y jouer aux différentes Blizzcons mais c'est tout. Blizzard semble cependant d'humeur à nous faire partager bien d'autres choses en ayant convié quelques journalistes à une présentation complète.La semaine dernière, ce fut la première fois que le studio effectuait un press tour sur le campus d'Orange County pour quelque chose de très complet sur le jeu, des principes de base jusqu'aux derniers développements. Ceci incluait une prise en main de la bêta qui sera bientôt disponible. Malgré la connaissance que nous avons déjà de Diablo III, nous sommes sortis de la présentation de 100 minutes avec le tournis, tant Blizzard n'a pas été avare en détails sur ce jeu qui parait pourtant simple mais qui suscite pourtant une montagne de réflexion.Le gros choc, celui qui ne manquera pas de faire parler de lui, c'est l'hôtel des ventes (les enchères si vous préférez) dans lequel on pourra acheter des objets avec de vrais dollars ou de vrais euros, comme sur eBay. Les joueurs pourront évidemment acheter mais évidemment vendre. L'idée est tellement énorme, complexe, sujette à controverse que nous en parlerons dans un article séparé.
Gamekult
Ajouté le : 08/2011
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Onze ans de ladder, onze ans de "pp", dix ans de Baal run et la succession de Diablo II : Lord of Destruction semble enfin pointer le bout de sa soulstone. Si Blizzard Entertainment reste toujours aussi silencieux vis à vis de la date de sortie visée par le troisième épisode de la fameuse saga commencée en 1996, le développeur mythique a enfin dévoilé qu'une version complète de Diablo III tournait d'ores et déjà en alpha interne, redonnant l'espoir à toute une génération de joueurs élevés au massacre du bouton gauche de leur souris. En visite sur le campus Blizzard à Irvine en Californie, nous avons pu reprendre le titre en main pendant des heures, poser toutes les questions qui ont pu nous passer par la tête et surtout en apprendre un peu plus sur quelques nouveautés et changements majeurs apportés depuis notre dernière rencontre avec le hack and slash. Stay a while and listen, comme on dit. Au fait, je ne suis pas l'archange Tyrael... Les trois Démons Primordiaux ayant été vaincus et la Pierre-Monde détruite, le monde de Diablo connait enfin la paix pendant une vingtaine d'années. Si la population des régions ravagées par les démons ne se plaint sûrement pas de ce répit tardif, un certain Deckard Cain cherche lui à comprendre pourquoi le conflit final entre les anges du ciel et les démons des Enfers n'a pas eu lieu comme annoncé par la prophétie de la fin des temps.
Le défi pour l'équipe qui réalise Diablo III est de trouver un moyen de rendre cette expérience - qui, dans Diablo II, était irrésistiblement accrocheuse, mais, il faut l'avouer un peu fruste - plus sophistiquée, plus immersive et mieux équilibrée sans rien perdre de cette prodigalité démesurée. Nous aimerions bien entendu que Diablo soit meilleur, mais pas si cela suppose d'en venir à plus de modération.L'équipe a tout ce qu'il faut pour relever le défi. Le directeur du jeu, Jay Wilson, nous a récemment entretenus de sa théorie sur le caractère aléatoire des choses et de son irritation vis-à-vis des « aides-ballons » d'une taille autre que démesurée. Au BlizzCon, j'ai rencontré quatre autres développeurs - le dessinateur technique en chef Julian Love, le chef programmeur Jason Regier, le responsable de la conception du monde Leonard Boyarsky et le concepteur technique du jeu Wyatt Cheng - qui affichaient une propension à l'excès tout aussi impressionnante. Plus important encore, j'ai eu l'occasion de jouer chacune des cinq classes, dont la Chasseuse de Démons récemment dévoilée, à la fois dans des scénarii de la campagne en solo et multijoueurs et dans les nouvelles arènes de combat en PvP.
La Blizzcon est l'événement rêvé pour prendre des nouvelles de Diablo III. Chaque année, la convention Blizzard sert à faire le point sur les titres en développement. Et avec cette Blizzcon 2010, nous avons été gâtés ! Annonce de la nouvelle classe de personnage, d'un mode multijoueur, ainsi que la présentation d'un nombre incroyable d'éléments du jeu, sans oublier une nouvelle démo à essayer, il y avait de quoi faire. Bienvenue dans Diablo land... Pour ceux qui auraient loupé les épisodes précédents, et l'on parle ici autant des jeux Diablo et Diablo II que des aperçus réguliers rédigés sur ce titre par vos dévoués rédacteurs du site, Diablo change complètement d'habillage, sans vraiment toucher à ses fondamentaux de gameplay. Le principe de jeu n'a que très peu évolué en trois opus, puisque l'on dirige toujours son personnage à la souris grâce au clic gauche, que l'on attaque un ennemi aussi à laide de ce bouton en plaçant le curseur dessus, alors que le clic droit sert à l'attaque secondaire. Finalement, il n'y a que la barre de raccourcis de sorts et compétences inspirée des MMORPG qui constitue un élément de gameplay nouveau dans la série.
Cette année encore, Diablo 3 était présent à la GamesCom en version jouable dans le stand public. Deux heures de file étaient nécessaires pour pouvoir y jouer, mais c'est fou ce qu'un badge de presse peut ouvrir comme portes de nos jours. La session de jeu nous emmène dans un désert rempli de créatures à exterminer. Pour démarrer, on choisit le Witch Doctor, une partie en ligne et on y va. Ce personnage dispose d'une bonne palette de sorts à sa disposition, comme la possibilité d'invoquer un chien démoniaque ou quelques araignées. De plus, il est capable de terrifier ses ennemis et de leur lancer des projectiles de feu. Premier constat, n'en déplaise aux équipes de Diablo 3 How it Should Be, on se trouve bel et bien devant un Diablo, pas un Torchlight. Désert oblige, la palette de couleurs tendait vers des couleurs sable, et les modèles et environnements sont semi-réalistes. Notre Witch Doctor est rapide et efficace, et rapidement, le sable fin vire au rouge sous les litres de sang chaud versés par nos ennemis. La première mission nous demande de rejoindre la ville d'à côté, en suivant le chemin à travers les dunes. On aurait pu le faire, mais c'est bien connu qu'il y a bien plus de gibier à hacker et à slasher dans les chemins détournés que dans les villes.
Blizzard dit qu'il se concentre sur la présentation des classes de personnages de Diablo III – comme la récente présentation du Moine à la BlizzCon – parce que « voir un mec courir dans tous les sens et exploser des gens » en dit plus qu'un long discours, et évite d'en dévoiler trop de l'histoire. C'est logique – mais il est difficile de ne pas penser qu'il s'agit de bien plus que cela. Bien qu'on nous ait promis un monde plus abouti et détaillé, des quêtes et une histoire plus riches, il est évident que d'une certaine manière, dans les jeux Diablo, les classes sont le contenu. Des maxima de niveaux d'une hauteur vertigineuse et une latitude de personnalisation démentielle font de chaque classe un voyage épique en elle-même. Les donjons aléatoires servent de cadre à la façon de massacrer propre à chacune d'elles; les monstres de faire-valoir à leurs compétences spectaculaires; le multijoueurs de laboratoire pour expérimenter leurs interactions; l'échelle et les niveaux de difficulté faisant office de test de stress pour leur conception. Les jeux Diablo sont en surface des action-RPG simples et immédiats, mais les classes en font des puits sans fond à sonder, ce qui a incité de très nombreux joueurs de Diablo II à le rejouer d'innombrables fois.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2009
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Annoncé à l'occasion du Worldwide Invitational 2008 à Paris, Diablo III a déjà fait couler beaucoup d'encre. Certains joueurs, souvent étrangers au concept, avaient tendance à critiquer l'absence de nouveautés alors que les fans de la série s'offusquaient pour leur part de l'orientation très « World Of WarCraftienne » adoptée par Blizzard. Dans les faits, il s'agissait surtout de juger un jeu que pour ainsi dire personne n'avait eu la possibilité de tester ! Tenues simultanément, les BlizzCon et GamesCom 2009 ont justement permis d'approcher la bête. Un stand imposant, une trentaine de bornes, Blizzard n'avait pas fait les choses à moitié pour son déplacement à Cologne et, s'il leur fallait faire la queue durant deux à trois bonnes heures, les visiteurs avaient ainsi la possibilité de tester Diablo III durant vingt minutes. Presse oblige, nous avons bénéficié de bien plus de temps que cela pour essayer les quatre classes de personnages disponibles (barbare, féticheur, moine, sorcier) au travers de cette démo limitée au seul niveau du désert. Un niveau qui nous a cependant rassuré sur la qualité du gameplay et des innovations apportées par Blizzard.
Lors de la Blizzcon des 21 et 22 août dernier, nous avons pu essayer de nouveau Diablo III et plus particulièrement la nouvelle classe de personnage fraîchement annoncée : le moine. Petite revue de détail du jeu le plus attendu des amateurs du hack & slash. Après le barbare, le féticheur et le sorcier, le moine est donc la quatrième classe de personnage dévoilée sur les cinq que comportera Diablo III. La promesse de Blizzard de créer un personnage habile à la dextérité sans égal avec pour avantages sa vélocité, sa ferveur sacrée et sa quête pour la perfection physique et spirituelle, est remplie. Trop rapide pour être suivi à l’œil nu, il déchaîne sur ses ennemis un déluge de coups à la vitesse de l’éclair. Aux commandes du moine, on se sent extrêmement puissant, et presque invincible. Ses deux coups principaux lui confèrent une jouabilité agréable et combinés ensemble, le rendent intouchable. Le premier n’est autre qu’un coup simple, qui lorsqu’il est assené trois fois à un adversaire, place au-dessus de la tête de celui-ci une icône de cœur. A la manière de Ken le survivant, le monstre ainsi mortellement touché est déjà mort et ce n’est qu’une question de temps avant qu’il ne succombe de ses blessures.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
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Souhaitant créer la surprise, Blizzard a, aussitôt la conférence d'ouverture de la BlizzCon 2009 terminée et l'annonce du Moine en tant que quatrième classe de personnages de Diablo III réalisée, mis à jour la démo jouable de la gamescom pour permettre à tout un chacun de s'essayer aux joies de la castagne à mains nues. Une occasion que nous n'avons bien évidemment pas manqué, et le moins que l'on puisse dire, c'est que le bougre ne nous a pas déçu. Disponible uniquement au masculin, le Moine était proposé sur le salon au même niveau (12) que les autres classes de personnages, et dans la même zone de jeu que celle décrite dans nos récentes premières impressions du titre. Une zone entière pour se familiariser avec les cinq compétences disponibles. Exploding Palm incarnait ainsi l'attaque au corps à corps de base et ne nécessitait pas de mana, tandis que Seven-Sided Strike permettait de rouer nos malheureux assaillants de coups de pieds dans un ballet des plus classes, et ce, dans une zone donnée tout en chargeant nos cibles. Imparable, mais dangereux, le Moine étant assez fragile.
Il aura fallu l’attendre ce Diablo III. Huit ans ou presque après la sortie de l’unique extension de Diablo II, il semblait que le hack and slash n’était plus en odeur de sainteté chez le développeur star du PC. Après son annonce, l’année dernière, il nous tardait pourtant de pouvoir y poser nos pattes un jour où l’autre. La GamesCom 09 nous a exaucés et après une petite demi-heure de jeu, nous pouvons enfin livrer nos premières impressions. S’il y a bien une chose admirable dans les jeux de Blizzard, c’est cette fantastique façon d’allier les éléments qui font le succès d’un genre et dans le même temps de les moderniser. Diablo III est indubitablement la preuve de cette constante du développeur américain. La démo à laquelle nous avons pu jouer se situait vraisemblablement dans le deuxième acte du jeu, non encore complètement dévoilé par Blizzard. Se déroulant dans le désert, les anciens joueurs de Diablo 2 vont vite faire le rapprochement : sable jaune, tas d’os un peu partout, des cadavres éparpillés le long de la route. Mais cette fois-ci tous se déroule dans un univers en 3D, et le moins qu’on puisse dire c’est que ce désert est tout sauf… désert.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
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Annoncé - guitariste à l'appui jouant le célèbre thème de Tristam - lors du Blizzard Worldwide Invitational de Paris en 2008, Diablo III n'avait jusqu'alors jamais foulé le sol européen en version jouable. C'est désormais chose faite avec une petite démo du titre accessible à tout un chacun sur le stand de Blizzard de la gamescom en échange de longues minutes d'attente menant au précieux. 20 minutes en compagnie de Diablo III, ça se mérite, même si dans notre cas, la bête avait bien davantage de temps à nous accorder. Après une tonne d'or lootée, une vingtaine d'objets identifiés et une armée entière de Rakanishu exterminée, voici nos impressions sur l'un des titres PC les plus attendus du moment. Deux modes de jeu (solo ou multijoueur en coopération jusqu'à quatre), une zone et trois classes de personnages jouables (les seules annoncées pour le moment, à savoir le Barbare, le Sorcier et le Féticheur), voilà ce que réserve la démo de Diablo III proposée à la gamescom - identique à celle accessible cette année à la BlizzCon. Après avoir opté pour l'un des héros sus-mentionnés (déclinés au masculin comme au féminin), on entrera immédiatement dans le vif du sujet avec une première quête nous incitant à aller explorer les environs, et surtout, à fendre quelques crânes.
Gamekult
Ajouté le : 06/2008
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Il aura fallu attendre le huitième anniversaire de la sortie de Diablo II, à célébrer aujourd'hui même, pour que Blizzard daigne enfin lever le voile sur son successeur : Diablo III. L'annonce, pressentie depuis quelques jours, s'est donc bien déroulée lors de la cérémonie d'ouverture du Blizzard Worldwide Invitational, un événement réunissant pendant tout ce week-end joueurs et développeurs au Parc des Expositions de la Porte de Versailles à Paris. Autant dire qu'un petit teaser tout en cinématique et une longue séquence de gameplay commentée par Jay Wilson, le Lead Designer du titre, n'ont pas été de trop pour tenter de rattraper toutes ces années d'attente et répondre à quelques-unes des interrogations suscitées par ce nouvel épisode, prévu uniquement sur PC et MAC. En voici donc les premiers détails, ainsi que les premières images. L'action de Diablo III prendra donc place vingt ans après les faits de Lord of Destruction, l'extension de Diablo II.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Diablo 3. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Diablo 3.