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Nous avons réuni 6 tests du DeathSpank. Les experts notent DeathSpank 7.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du DeathSpank et d'autres Jeux Playstation 3.
Quand on évoque le nom de Ron Gilbert, difficile de ne pas faire allusion aux deux premiers épisodes de Monkey Island et au succès qu'on leur associe. Alors quand l'homme et le studio de Hothead Games (qu'il a depuis quitté) présentent leur dernier projet, c'est une certaine attente qui se forme autour du titre en question. Baptisé DeathSpank, le jeu a atterri il y a peu sur les services online de la PS3 et de la Xbox 360. Tient-il toutes ses promesses ? Parce que c'est un héros et parce qu'il est prêt à tout pour aider la veuve et l'orphelin, le personnage principal de DeathSpank n'hésite pas une seconde quand on lui apprend que sa destinée est de mettre la main sur The Artefact. Bien évidemment, la tâche n'est pas si aisée et pour mener à bien sa mission, notre ami va devoir aider une mystérieuse Demon Witch à mettre la main sur des ingrédients précis qui lui ouvriront la voie vers le précieux objet. Une quête qui va permettre de découvrir un monde aussi étrange qu'intriguant où une pléiade de PNJ n'hésiteront pas à confier au héros des missions toutes aussi improbables et débiles les unes que les autres. Débiles certes, mais dans le bon sens du terme.
On n’a pas souvent l’occasion de rire dans un jeu vidéo. Le médium a certes encore beaucoup de mal à nous faire ressentir de fortes émotions (les choses s’améliorent depuis quelques années) mais le rire reste certainement l’une des plus rares. Bien entendu, on peut sourire lors de parties en multijoueur face à certaines situations (devant un Mario Kart, un Left4Dead) ou encore s’amuser des bugs d’un jeu. . Spontanément, on pense essentiellement aux jeux d’aventure LucasArts tels que Day of the Tentacle ou encore Monkey Island. Ce n’est évidemment pas un hasard si l’on retrouve le créateur de ce dernier, Ron Gilbert, en tant que game designer sur DeathSpank. Et encore une fois, l’humour est au rendez-vous et alimente l’aventure tout du long. Le comique de DeathSpank passe en grande partie par des dialogues merveilleusement écrits, jouant notamment sur le caractère un peu benêt du héros qui débute chaque conversation par un «Greetings» hilarant (salutations, en français), y compris lorsqu’il s’adresse à une vache avec laquelle il peut avoir un réel dialogue, évidemment complètement absurde. Dans la seconde partie du jeu, le héros se voit recruté pour retrouver des orphelins disparus.
Fans de quêtes héroïques se déroulant dans des mondes grouillant de créatures dangereuses et agressives, réjouissez-vous : Hothead Games vous a concocté un action-RPG plein de surprises et d'humour, téléchargeable sur le PSN pour moins de 15 euros ! Vous incarnez DeathSpank, un héros improbable lancé à la recherche d'un artefact aux pouvoirs immenses. Seul petit hic, le bonhomme n'a aucune idée du lieu où se trouve l'objet, ne sait pas à quoi il ressemble, et ignore jusqu'à son nom : il l'appellera donc « L'Artefact » du début à la fin de l'aventure ! Curieux ? Pas lorsque l'on sait que l'homme à l'origine du jeu se nomme Ron Gilbert, et qu'il a fait ses armes chez LucasArts sur des perles vidéoludiques telles que Maniac Mansion, Zak McKracken ou The Secret of the Monkey Island. On comprend alors mieux l'omniprésence d'un humour déjanté dans DeathSpank, depuis le scénario jusqu'aux armes et ennemis en passant par les quêtes proposées au joueur.Car malgré ses nombreux aspects décalés, DeathSpank se déroule comme un action-RPG classique, les quêtes principales ou facultatives se déverrouillant au fil de dialogues avec des personnages non jouables.
Sur Playstation Network, il y a des jeux qui marqueront durablement les joueurs et d'autres moins. Par chance, DeathSpank : Episode 1 : Orphans of Justice appartient justement à la première catégorie. Bénéficiant d'un design unique et d'un gameplay accessible, ce hack'n slash délirant signé Ron Gilbert (le créateur des Monkey Island) mérite vraiment le détour comme nous allons le voir sans tarder. Depuis les deux premiers épisodes de l'excellente série Monkey Island, Ron Gilbert n'avait guère fait parler de lui. Début 2008 cependant, le génial game designer annonçait son intention de se lancer dans un nouveau jeu d'aventure inspiré à la fois de Monkey Island et de Diablo. Se heurtant au refus incompréhensible de nombreux éditeurs, Ron Gilbert a dû batailler ferme pour mener son projet à bien et on ne peut que l'en féliciter car le résultat, aujourd'hui disponible sur Xbox Live Arcade et PSN, est tout simplement fantastique. Pourfendeur du mal, défenseur des opprimés, DeathSpank (fessée de la mort en français) est un héros à l'ancienne. Pourtant, dès les premiers dialogues du jeu doublés par des acteurs en grande forme, on remarquera que c'est bien l'humour et non l'idéal chevaleresque qui va caractériser sa longue quête pour retrouver un puissant artefact nommé avec beaucoup d'à-propos... l'Artefact.
Avec le prestigieux Ron Gilbert pour papa, et donc Monkey Island pour grand frère, DeathSpank part avec un capital sympathie très élevé. Ses dialogues parodiques et son univers débile seront-ils pour autant suffisants à en faire un aussi grand jeu ? Pas sûr...Les versions étant similaires, les tests le sont également. Indubitablement, DeathSpank, héros idiot qui part à la recherche de l'artefact qu'on appelle L'Artefact, est né de Maman Parodie et de Papa caca. Car contrairement au ton subversif et affûté de Monkey Island, l'humour de DeathSpank incorpore nettement plus de blagues scatologiques et de détournements de la culture populaire de ces 5 dernières années. Un style un tantinet différent, donc, mais qui ne manquera certainement pas, tout au long de la dizaine d'heures de l'aventure, de faire rire les amateurs d'anachronismes et de créations loufoques, à la fois dans les dialogues, ou les journaux de quête, les indices, les objets, et tout le reste. Mais tout en parodiant le genre de l'Action / RPG, en relevant certains des écueils courants du genre, il y tombe un peu trop... Pasticher un genre, c'est bien, et souvent drôle dans le cas présent, malheureusement, la formule reste un peu trop fidèle à ce qu'elle parodie pour qu'on ne le lui reproche pas.
Dernière production de Hothead Games à voir le jour sous la direction de Ron Gilbert, DeathSpank revisite le hack and slash en y injectant une bonne dose d'humour et en emballant le tout dans un paquet cadeau coloré et franchement singulier. La direction artistique du jeu ne fera sans doute pas l'unanimité, mais elle reste réussie avec son style pétillant et rondelet qui n'hésite pas à mélanger 2D et 3D. Toutefois, c'est surtout l'humour omniprésent qui illumine littéralement DeathSpank avec son héros d'une idiote grandiloquence et les nombreux PNJ qui nous offrent de croustillants dialogues, bourrés de clins d'oeil pour nerd et de blagues potaches. Face à cette légèreté ambiante, le gameplay réussit à se montrer suffisamment profond pour donner envie de filer dans une aventure parsemée de quêtes assez basiques. Après avoir dédié les quatre boutons de façade aux armes de son choix (épée, hache, arbalète...), on fonce vers des poignées d'ennemis en se protégeant grâce au bouclier (gâchette droite) et en utilisant les objets assignés à la croix directionnelle (pour se soigner ou faire quelques feux d'artifice qui nettoient bien).
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour DeathSpank. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce DeathSpank.