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Nous avons réuni 9 tests du Deadpool. Les experts notent Deadpool 4.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Deadpool et d'autres Jeux Playstation 3.
Lorsque les petits gars responsables des derniers jeux Transformers ont décidé de s'attaquer à l'un des personnages les plus délirants de l'univers Marvel, le c?ur des fans a fait un bond. Tout d'abord, parce que l'univers de Deadpool est extrêmement particulier et se situe à 1.000 lieux de celui des méchas mais surtout parce que les jeux à licence sont souvent, à de rares exceptions près, de gros ratages. Est-ce là encore le cas avec cette adaptation made in Activision ? Réponse en quelques paragraphes. S'il y a bien un héros délicieusement débile sur la planète Marvel, c'est bien James Wade Wilson aka Deadpool. Pour ceux qui le connaîtraient pas, il s'agit pour résumer d'un mercenaire, ex-militaire, ex-candidat au Projet Weapon X (dont est issu un certain Wolverine) et ex-détenu d'un docteur fou qui a achevé de le transformer en ce qu'il est maintenant : un mutant au pouvoir régénérant hérité de Logan himself. Rendu un brin fou par son passage à l'Hospice du docteur Killebrew, Deadpool s'est reconverti en mercenaire tantôt gentil, tantôt méchant mais tout le temps déjanté. Balançant vanne sur vanne, insulte sur insulte, vulgaire, dégueulasse et sans moral, Wade vit pour quatre choses : l'argent, les femmes, les armes et être meilleur que son rival Wolverine.
Aaaaah, le symptôme du jeu à licence ! Les années passent mais il ne disparaît pas. Si certains titres tirent leur épingle du jeu grâce à un budget cohérent, à un temps de développement acceptable ou à de véritables cautions d'authenticité vis-à-vis de l'univers d'origine (comme le sont actuellement Matt Stone et Trey Parker pour le prochain jeu South Park), beaucoup demeurent bâclés pour les raisons inverses. Deadpool fait partie de ceux-là, mais se sauve de justesse grâce à son héros hors du commun. Notre verdict.Deadpool ne fait clairement pas partie des personnages les plus connus de Marvel, du moins pas aux yeux du grand public. Et c'est bien dommage. Comme le prouve l'affection que lui portent la plupart des fans, le flingueur créé par Fabian Nicieza et Rob Liefeld mériterait une place au Panthéon des meilleurs héros de Marvel. Au rang de personnage le plus WTF de tous les temps. Wade Wilson de son vrai nom est un mercenaire canadien qui, condamné par de multiples tumeurs, a accepté de devenir le cobaye du projet Weapon X (qui a également injecté l'adamantium dans le corps de Wolverine) dont les expériences l'ont changé en « muté ».
Connu surtout par les amateurs du comic-book, Wade Wilson alias DeadPool est un mercenaire qui a participé au projet Arme X auquel était également affilié Wolverine. De cette expérience, il hérita du pouvoir de régénération de Logan mais perdit sa santé mentale et son apparence physique. Contraint de se cacher sous un costume rouge, il fut d'abord un ennemi des X-Men avant de devenir, petit à petit, un de leurs alliés. Au cinéma, il est campé quelques minutes par Ryan Reynolds dans le film X-Men Origins : Wolverine. Ce personnage à la limite de la schizophrénie possède une personnalité tellement exubérante que des dirigeants d'Activision se sont dit qu'il y aurait de quoi en faire un jeu vidéo. C'est High Moon qui s'y colle et le résultat est à la hauteur de son personnage : délirant.Le jeu démarre dans l'appartement miteux de DeadPool alors que celui-ci est vautré sur son fauteuil à écouter les messages sur son répondeur. L'un d'eux lui apprend qu'un jeu vidéo à sa gloire va être développé, ce qui le rend euphorique, à la limite de l'intenable. Il faut dire que le bonhomme a beaucoup insisté pour devenir une star numérique.
Il suffit de mettre le nez dans le genre pour se rendre compte que toutes les adaptations de comics ne se valent pas. Si les derniers Batman ont prouvé que nos super-héros pouvaient très bien gérer leur reconversion dans le milieu du jeu vidéo, on retrouve encore de nombreux titres médiocres qui se contentent de profiter de la célébrité des licences exploitées. Où situer le curseur dans le cas de Deadpool ? L'adaptation de Deadpool n'a pas été confiée à de parfaits inconnus. On retrouve en effet High Moon Studios aux manettes, le développeur qui s'est plutôt bien débrouillé avec les derniers épisodes en date de Transformers. Exit les robots géants qui se battent pour la domination de leur planète, leur dernier bébé s'attarde sur un personnage Marvel hors du commun : l'inimitable Deadpool. Ceux qui connaissent le bougre savent que l'entreprise était risquée. C'est en effet loin d'être le super-héros le plus lisse qui soit ! On pourrait même se demander s'il s'agit d'un « héros » à proprement parler... Ceux qui ne connaissent pas Deadpool risquent d'être un poil surpris. Ce personnage est un mercenaire survolté et doté d'un pouvoir régénérant qui le rend quasiment indestructible.
Devenu grand à force de poignets tranchés (les siens ou ceux des autres) et de vannes bien (dé)placées, l'insupportable ou / et hilarant Deadpool, c'est au choix, est désormais assez estimé pour avoir son propre jeu sur console, développé par High Moon Studios, dans ce hangar californien que j'ai déjà visité avec l'ami Mimic et où sont nés les derniers jeux Transformers. Mais s'il est vrai que le mercenaire a dans cette adaptation toujours sa grande gueule, en jeu, il m'a surtout bien cassé les cou$#les.Et pourtant, dans ce jeu édité par Activision, la première rencontre avec ce déglingo de Wade Wilson est plutôt engageante, originale en tout cas, le psychopathe nous recevant dans son appart dégueu, au moment de feuilleter le script que lui a fourni High Moon pour les quelques heures que l'on va passer avec lui. Ou pas. Car une fois franchie la porte de la maison, tout devient moins marrant. T'es sûr que tu veux sortir ? Parce qu'encore une fois, entre un quatrième mur atomisé comme la cervelle d'un festivalier au mois de juin et un humour super potache, l'appart de l'ex-membre de X-Force est en terme de folie aussi cosy que celui de Travis Touchdown dans No More Heroes.
L'adaptation du héros déjanté de Marvel est fidèle au personnage. Hilarant, mais pas réfléchi pour un sou.En lançant Deadpool, franchement, j'avais un a priori ultra négatif. Je m'attendais à un jeu basique dont la seule ambition était de surfer sur l'attrait de la licence. Hé bien, vous savez quoi ? Deadpool est un jeu basique dont la seule ambition est de surfer sur l'attrait de la licence.Nous avons là un beat them all mou avec quelques phases de TPS molles dans des environnements moches, des musiques oubliables et à la durée de vie passable. Le tout est d'un ennui mortel. On martèle les boutons de coup fort, coup faible pour faire des combos sur des ennemis affables.Et pourtant, on s'inflige ces mauvaises phases de jeu. Presque exclusivement pour ses cutscenes rigolotes qui les entrecoupent. Et dans un sens, pour un jeu vidéo, c'est extrêmement triste.Le jeu en lui-même est l'archétype du jeu moyen, sans vision, et pourtant le résultat n'est pas si catastrophique que ça. Parce que c'est Deadpool. Parce que Deadpool, il brise à longueur de temps le quatrième mur. Parce que Deadpool, il fait des blagues potaches tout le temps.
Pour un Naughty Dog ou deux Blizzard, combien de studios obligés d'enchaîner les jeux de commande, avec le seul objectif, modeste, de rentrer dans les frais et éventuellement de tirer son épingle du jeu. Rocksteady y était parvenu avec ses Batman, et c'est à présent au tour de High Moon Studios, connu pour ses TransFormers, de se frotter au monde des super héros avec l'un des "maîtres étalons" de l'écurie Marvel, ce brave Deadpool. Pool ! Deadpool au potIl rote, il pète, il prend son nez pour une trompette ; et encore, s'il s'agit de son nez, vous avez échappé au pire. "Il", c'est Deadpool, le super héros le plus crétin de la galaxie Marvel, mais pas le moins manchot, sauf quand il pratique l'automutilation et qu'il se retrouve un bras en moins et la tête à 180°. Auquel cas il faudra maîtriser les commandes inversées pour retrouver le clébard qui joue avec son appendice. S'il y a bien une qualité que l'on peut reconnaître à Deadpool, le jeu (on verra ensuite "les" défauts), c'est qu'il ne se prend pas au sérieux du tout.On ne brise pas le fameux Quatrième mur, chez High Moon, on le défonce au pain de C4, avant de le ronger avec les dents, brique par brique.
Révélé lors de la dernière Comic Con, Deadpool le jeu vidéo a taillé la route jusqu'à Cologne pour nous faire l'honneur d'une rapide présentation dont on retiendra le côté délicieusement irrévérencieux du personnage principal. Un individu aussi délirant que décalé, qui fait souffler un vent de fraîcheur sur le monde du jeu d'action et ses héros sérieusement... chiants. Depuis maintenant six ans, Daniel Way scénarise les aventures de Deadpool pour le compte de Marvel. Logiquement, l'auteur a été contacté par High Moon Studios afin de prendre en charge l'écriture du jeu vidéo. Une écriture qui - de ce que nous avons pu en voir - semble donc conserver l'atmosphère si particulière des aventures de celui que l'on peut voir comme un anti-héros. Il faut dire qu'au contraire des autres super-héros, Deadpool sait qu'il n'est qu'un personnage de comic... De fait, le héros de High Moon Studios est conscient qu'il évolue dans un jeu vidéo. Ainsi, le personnage ne se prend jamais au sérieux et n'hésite pas à interpeller un joueur qui prendrait un peu trop son temps ou qui raterait un combat.
Dans la grande famille Marvel, il existe un outsider, un mec qui ne rentre pas dans les cases. Ni héros, ni super-vilain, il est juste un marginal complètement dingue, violent, la bouche pleine de vannes et complètement schizophrène par dessus le marché. Et c'est pourtant le plus lucide des personnages Marvel, le seul à savoir qu'il est le protagoniste d'un Comics. Dites bonjour à Deadpool. Même si vous ne le connaissez pas à travers ses apparitions dans les comics Marvel, vous avez peut-être croisé la route de Deadpool dans le film Wolverine. Si c'est le cas, oubliez-le, le vrai Deadpool n'ayant pas grand rapport avec le muet en forme de best of des gènes mutants. Mercenaire rendu complètement dingue par un projet proche de l'Arme X, Deadpool est un athlète adepte des armes à feu et des lames, doté du même pouvoir d'auto-guérison que Wolverine. Il est aussi un véritable anti-héros, capable de massacrer n'importe qui, tentant parfois de se racheter une conduite avant de replonger dans ce qu'il fait de mieux : vendre ses services sans se soucier des conséquences. Et pour cause : sa "Comic awareness" fait de lui le seul personnage qui sait qu'il n'est rien d'autre qu'un personnage.
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