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Nous avons réuni 12 tests du Dead to Rights : Retribution. Les experts notent Dead to Rights : Retribution 6.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dead to Rights : Retribution et d'autres Jeux Playstation 3.
A l'heure actuelle, on ne peut pas dire que ce sont les jeux d'action qui manquent pour votre ludothèque. Ainsi, pour se démarquer, les développeurs cherchent des solutions, qui se font surtout sentir au niveau du gameplay. C'est le cas de qui, en plus de proposer du cassage de méchants par les yeux de Jack, nous donne aussi l'occasion de contrôler Shadow, son chien. Mais cet aspect intéressant qui s'ajoute à des sources d'inspiration telles que ou suffit-il à placer à leurs côtés ?Jack est un flic honnête qui se voit plongé dans un combat face à un mystérieux syndicat, une organisation qui a décidé de semer le trouble dans Grant City, comme si les membres de la Triade ne suffisaient pas à embêter les honnêtes policiers de la ville. Accompagné par Shadow, un molosses über intelligent (ou très bête, en fonction du joueur qui le contrôle), notre héros va devoir user des poings et des armes pour pouvoir récolter des indices sur cette organisation qui lui veut tant de mal. Son but est aussi de la coincer afin d'en mettre les membres sous les verrous et rétablir un semblant de paix dans Grant City, dont la criminalité égale presque celle de Gotham City (premier clin d'oeil à ).
Max Payne-like qui a su se démarquer du lot tout en se forgeant une communauté, Dead To Rights a eu le droit à 3 opus dont deux sur Playstation 2 et un sur Playstation Portable. Avec 3 développeurs différents en 3 épisodes et une qualité de moins en moins élevée, on ne s'imaginait pas revoir Jack et son fidèle compagnon revenir un jour. C'était sans compter sur Namco qui a confié le projet à Volatile Games (Reservoir Dogs). Reste à savoir si nos deux compères ont les moyens de se faire une place au soleil dans le monde du jeu d'action à la 3e personne. Dans Dead To Rights Retribution, on découvre comment Jack et Shadow sont devenus coéquipiers. Cela donne ainsi lieu a une préquelle qui nous en apprend plus sur les personnages de la série et sur le passé de Jack. Le jeu va nous faire vivre les quelques heures qui vont faire basculer la vie de Jack Slate, un policier totalement dévoué à son métier dans une ville détruite par le crime. Tout commence avec une prise d'otages où Jack, excédé par la passivité de ses collègues, décide d'aller régler les problèmes lui même. Après avoir fait le ménage, Jack et son père décident de mieux comprendre ce qui a amené un petit gang local aussi inoffensif qu'un roquet, à prendre le siège de la TV de Grant City en otage.
Dans le jeu vidéo comme au cinéma, il y a les blockbusters et il y a les titres moins mis en avant, souffrant pour certains d'un cruel déficit de réputation. Annoncé en début d'année dernière, Dead to Rights : Retribution fait partie de ceux-là. La faute à une licence souillée par deux opus médiocres, l'un sur la génération précédente de consoles et l'autre sur PSP. Du sang a cependant coulé dans les caniveaux depuis les dernières nuques brisées par Jack Slate, il y a plus de quatre ans. Mais le temps suffit-il à bonifier une licence qui n'a jamais réussi à s'imposer ? Même quand l'équipe ne gagne pas, on ne la change pas chez Namco. Dead to Rights : Retribution est donc un épisode dans la droite lignée des trois précédents opus, à fond dans l'action à la troisième personne. Ce qui le distingue avant tout de la concurrence, c'est le duo formé par Jack Slate et son chien de combat Shadow, qui tiendrait presque du loup. Tandis que Jack a le droit à un gameplay convenu fait de gunfights, Shadow quant à lui possède pour la première fois ses propres séquences, plus teintées d'infiltration, avec notamment la possibilité de voir les ennemis à travers les murs façon Batmam : Arkham Asylum.
Quand le studio Volatile Games a annoncé travailler sur un nouvel épisode de la série Dead to Rights, il y avait de quoi être sceptique. Il faut dire que cette saga n’a jamais vraiment brillé, à l’exception d’un premier épisode sympa mais sans plus. Les deux suites, qu’elles soient sur PS2 ou sur PSP, étaient elles franchement médiocres. C’est donc sans déborder d’enthousiasme que l’on a refait connaissance avec Jack Slate et son chien Shadow, un malamute taillé comme un grizzly. Sans rapport avec les épisodes précédents, l’intrigue nous emmène dans la ville fictive de Grant City, une sorte de Gotham bien cradingue où les triades donnent du fil à retordre à la police. Jack est ce qu’on appelle communément un bon flic. Il ne supporte plus de voir sa ville à feu et à sang. Il préfère même rendre sa plaque et son arme quand son supérieur se montre trop laxiste avec une bande de preneurs d’otages. A partir de cet instant, Jack et Shadow vont se retrouver seuls face aux mafieux du coin et face à une milice para-militaire tout droit sortie de F.E.A.R. Si le scénario est très prévisible (le méchant se promène avec une étiquette « traître » tout au long du jeu), Dead to Rights : Retribution se laisse suivre.
Prologue aux trois précédents épisodes, Dead to Rights Retribution se présente comme une sorte de résurgence sortie d'un passé lointain. Bien qu'auréolé d'une atmosphère couillue synonyme de gunfights musclés et de dialogues bien sentis, il n'en reste pas moins que nous n'attendions pas nécessairement un nouvel épisode de la saga sur consoles HD. Toutefois, les développeurs de Volatile se sont pliés en quatre pour ressusciter cette franchise en maximisant à outrance sur l'aspect rentre-dedans. Pari gagné ? Les lignes ci-dessous vous offrent un début de réponse. Jack Slate n'est pas du type à réfléchir avant d'ouvrir le feu, ce serait même plutôt le contraire. Pourtant, c'est comme ça qu'on l'aime. Alors forcément, lorsqu'il se retrouve confronté à un drame familial, le bonhomme voit rouge et fonce dans le tas. Mine de rien, en l'espace de quelque lignes, je viens de vous décrire le pitch de départ de Dead to Rights Retribution. Vous l'aurez deviné, le titre de Namco Bandai n'entend pas nous offrir l'Apocalypse Now du jeu d'action, ce qui en soit n'est pas si étonnant vu que ses aïeuls ne brillaient pas vraiment non plus de ce point de vue-là. Mais finalement, on s'en fout pas mal car le plus honnêtement du monde, ce qui nous intéresse dans un Dead to Rights tient aux balles qui fusent et aux cabrioles du héros.
Cela vous paraîtra sans doute l'une de ces anecdotes plaisantes qu'inventent les journalistes pour les besoins d'une entrée en matière alerte, mais je peux jurer sur ce que j'ai de plus sacré : ma collection de jeux, que mes parents possédaient un berger allemand appelé Shadow, et qu'il était complètement dingue. Un jour il a tellement mal pris le fait d'être caressé qu'il décida de me massacrer le visage, ratant mon oeil gauche d'un demi centimètre. Si vous ne me croyez pas, venez voir ma cicatrice! Cela ne veut pas dire que j'ai un problème quelconque avec la race canine, ni avec le fait que Namco Bandai ait choisi de faire d'un mangeur d'hommes sociopathe la co-vedette de son dernier jeu d'action-aventure. Ayez seulement une pensée émue pour le petit garçon de quatre ans hurlant et en larmes que j'étais, quand vous serez occupé à ordonner à la réincarnation de Shadow de Dead to Rights de s'attaquer aux organes vitaux de quelqu'un.Dead To Rights : Retribution, qui arrive plus de quatre ans après le premier titre de la franchise mettant en scène un homme et son chien psychopathe sournois, est probablement le jeu d'action le plus désinvolte auquel vous jouerez cette année.
Après nous avoir offert une palanquée indécente de chefs-d'oeuvre sur les ordinateurs 16 bits, quelques anciens des Bitmap Brothers s'attaquaient au jeu d'action sévèrement burné en 2003. Sorte d'hommage au cinéma de John Woo, Dead to Rights fut une agréable surprise, peu originale mais suffisamment solide pour contenter l'amateur. La suite de la série fut moins glorieuse entre un deuxième épisode catastrophique et un opus PSP mou du genou. De fait, retrouver la franchise en 2010 a de quoi étonner. Pourtant, Jack Slate est de retour, tout comme son toutounet aux dents longues, Shadow. Toi qui te passes en boucle Hard Boiled et Piège de Cristal, arrête-toi quelques instants. Nous allons en effet te parler de Dead to Rights Retribution. Défouloir vidéoludique devant autant aux films d'action des années 80 qu'à l'ultra violence popularisée par le cinéma de genre depuis quelques années, le titre de Volatile entend bien remettre au goût du jour une série quelque peu passée de mode. En tout premier lieu, sachez que cet épisode se situe avant les événements des deux précédents segments, ce qui est toujours classe même si on n'a pas vraiment grand-chose à raconter.
Vous aimez les chiens ? Oui, cette interrogation nous fait rire nous aussi depuis qu'elle a été attribuée au vétéran des présentateurs de la télé française comme l'exemple-type de la question creuse appelant une réponse consensuelle. Pourtant, quand on aborde Dead to Rights : Retribution, elle se pose et ce jeu va vous apprendre à les aimer. Ou tout du moins à les craindre... Le prochain Dead to Rights sera le troisième de la série sur consoles de salon. Pour autant, il sera inutile de chercher le chiffre 3 sur sa jaquette. C'est la grande mode dans les services marketing depuis maintenant quelques mois voire quelques années : pas d'incrément numéraire afin de passer le message voulant qu'on se renouvelle à chaque opus. Mais, en l'occurrence, cette remise à plat ira au-delà d'un simple artifice. En effet, le côté "nouveau départ" passera par la narration de la rencontre entre les deux protagonistes : le bouillant Jack Slate et son compagnon à quatre pattes, Shadow. C'est surtout autour de ce dernier que s'est articulée la présentation menée par Emre Jele, le directeur de projet. Ce bon toutou à son pépère - Shadow, pas M. Jele... - est un élément tactique important puisqu'il peut attirer les ennemis en aboyant, les pousser à sortir de leur cachette d'où ils arrosent Jack tout en restant à l'abri et même attaquer les adversaires en transformant leurs derniers instants en un enfer de griffes et de crocs.
Dead to Rights, c'est l'histoire d'une série sortie après Max Payne. Les deux premiers épisodes, développés sur génération précédente, avaient dès leur apparition été comparés à la coqueluche de l'époque, notamment du fait de leur reprise du principe du bullet time, devenu la signature de l'ami Max. Un premier jeu sympathique à jouer mais complètement à la ramasse techniquement, puis un second un poil moins moche, mais à oublier pour tout le reste, n'avaient pas posé les fondations d'une légende vidéoludique. Qu'à cela ne tienne, Namco-Bandai semble croire en sa licence et retire de leur retraite Jack Slate et son pote canin Shadow, en confiant cette fois-ci le développement à Volatile Games, précédemment responsable de l'adaptation console de Reservoir Dogs. Le but de ce Dead to Rights nouveau n'est pas tant d'enterrer ses aînés que de réussir, enfin, à faire un jeu à la hauteur des bonnes idées qu'ils contenaient. Parmi celles-ci, on retrouve l'utilisation de son chien pour les combats, avec possibilité de lui désigner des cibles à attaquer, un mélange dynamique entre combats aux flingues et à mains nues, avec possibilité de désarmer les ennemis et de retourner leurs armes contre eux en direct.
Vieille licence datant de la bonne vieille époque de la PS2, Namco a trouvé bon de ressusciter Dead to Rights dans un épisode spin off. Nous avons pu voir quelques minutes de jeu de ce TPS sympathique, mais pas vraiment révolutionnaire. Dans un futur pas si lointain que ça mais fort peu réjouissant, la ville américaine de Grant City se désagrège lentement dans le crime et la corruption. Ne supportant plus de voir sa cité plonger dans le chaos, Jack Slate décide de plaquer son boulot de flic et de faire le boulot selon ses propres manières : armé d’un flingue, de ses compétences de karateka et de son adorable molosse, Shadow. Traqué par la mafia, poursuivit par ses anciens collègues, il ne pourra compter que sur lui-même et le joueur pour éradiquer. Dead to Rights Retribution est un jeu de tir à la troisième personne comme on en voit sortir 15 à l’année. Les développeurs, bien conscients que la concurrence est rude ont toutefois pensé à inclure quelques idées fraîches pour renouveler un peu l’expérience. La principale caractéristique de Dead to Rights Retribution tient aux capacités de son héros.
Mis entre parenthèses pendant plusieurs années, Dead to Rights s'apprête à revenir sur le devant de la scène avec un Dead to Rights : Retribution annoncé sur consoles HD pour 2010. Afin de nous préparer à ce retour, Namco Bandai organisait des sessions de présentation de son prochain jeu d'action à la gamescom 2009. L'occasion de partager avec vous nos dernières impressions. Selon ses concepteurs, le but de Dead to Rights : Retribution est de constituer l'alliance parfaite entre jeu de tir à la troisième personne et beat'em all avec un système de combat riche au corps à corps. Un objectif louable qui se concrétise par un mélange de Gears of War et de SpikeOut censé laisser une totale liberté au joueur dans ses envies de violence. Cette base garantit un titre au punch indéniable, et violent sous bien des aspects, notamment avec des attaques visant directement les parties intimes des pauvres ennemis. Les bastons s'appuient sur des combos classiques qui évolueront au fil des niveaux, et surtout un système de choppe permettant pas mal de variations, comme le fait de désarmer son agresseur ou d'utiliser un otage comme bouclier tout en se déplaçant.
La série de beat them all signée Namco qui nous place aux commandes d’un flic et de son compagnon canin est de retour. Et ça va faire mal ! Jack Slate et Shadow sont décidément inséparables. Ensemble, ils vont nettoyer Grant City de ses raclures de bidet de façon vigilante. Aux commandes de Jack, c’est le feu d’artifice des armes de poing et autres fusils mitrailleurs. Lorsque l’on contrôle Shadow, on fonce sur ses proies pour leur sauter à la gorge et les immobiliser, voire les égorger. Plus radical, plus brutal, ce nouvel opus de Dead to Rights ne fait pas dans la dentelle. Afin d’illustrer cette maxime, sachez que Jack s’est mis au combat au corps-à-corps. Combos de deux, quatre ou six coups successifs, les gangsters vont manger chaud. Mais Jack peut aussi faire dans la finesse en prenant par exemple un ennemi pour s’en servir de bouclier humain. Une option qui lui permettra d’économiser ses munitions qui ont l’air d’être en quantité ultra limitée.
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