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Nous avons réuni 22 tests du Dead Space 2. Les experts notent Dead Space 2 8.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dead Space 2 et d'autres Jeux Playstation 3.
Après un premier opus acclamé par les joueurs et les critiques, Visceral Games nous propose le second volet des aventures d’Isaac Clarke dans les griffes des nécromorphes... Alors, est-ce toujours aussi gore ? Ou l’appel de l’action a-t-il tué l’ambiance du titre ? On retrouve, deux ans après le premier opus (mais trois ans dans le jeu) l’ingénieur spatial Isaac Clarke. On l’avait laissé quittant l’USG Ishumura, après avoir liquidé tous les nécromorphes, et ayant perdu au passage sa bien-aimée. On le retrouve à son réveil sur une station spatiale orbitant autour de Saturne. Malgré tous ses efforts du premier opus afin de détruire l'artefact nommé le Red Marker, il semblerait que la station soit à son tour infectée par énormément de nécromorphes. Je ne vous en dirai pas plus, si ce n’est que votre bien-aimée reviendra vous hanter de manière régulière dans le titre. Le scénario n’est pas le point fort du titre, mais devrait tout de même vous surprendre, surtout dans les derniers chapitres. Les niveaux sont très linéaires et il y a peu d’exploration. Sur votre chemin, vous trouverez toujours les boutiques, des points de sauvegardes plutôt bien placées et des établis vous permettant d’améliorer vos armes/outils mais aussi votre combinaison.
Sortie il y a un peu plus de deux ans, le premier Dead Space avait su magistralement redorer le blason quelque peu rouillé du genre survival-horror. En effet, à l'heure où les mythiques séries que sont Resident Evil et Silent Hill se détournaient de leurs excellences d'antan, l'un prenant un virage définitif vers l'action, l'autre devant faire face à un réel problème de renouvellement conceptuel ; le titre de Visceral Games nous rappelaient violemment ce que devait réellement nous offrir un vrai bon jeu vidéo d'horreur. Malheureusement, malgré un succès critique incontestable, les ventes n'ont pas été aussi bonne que prévu. Qu'à cela ne tienne, Electronic Arts, désireux de ne pas abandonner une licence de cette importance, nous ressort un deuxième épisode. Mais celui-ci sera t-il à la hauteur ? Verdict. Décidément, il n'aura vraiment pas eu de chance le pauvre Isaac Clarke... Déjà miraculeux rescapé de l'horrible cauchemar que représentait l'USG Ishimura, antre de tous les supplices du premier opus, le bougre se voit contraint de replonger dans les ténèbres.
Sorti en octobre 2008, Dead Space premier du nom avait su conquérir la presse en s'imposant à la grande surprise générale comme l'un des ténors du genre Survival/Horror, au détriment d'un certain Resident Evil, entre autre. Deux ans après, les développeurs de Visceral Games reviennent prolonger l'enfer de notre héros Isaac Clarke avec ce Dead Space 2 forcément attendu au tournant. Reste à savoir si ce second opus surclasse son aîné ? On peut d'ores et déjà vous dire oui ! Ainsi, ce cher Isaac n'en a pas fini avec ces cauchemardesques Necromorph. Après avoir survécu de manière ô combien épique au massacre de l'ISG Ishimura, notre ingénieur s'est retrouvé dans le coma pendant deux longues années. Et à regarder ce qui l'attend dans la station spatiale de La Méduse, le moins que l'on puisse dire est qu'il aurait dû y rester. Car le réveil ne sera pas de tout repos, bien au contraire... Ainsi, le tout début de l'aventure donne déjà le ton. Attaché dans une camisole, vous devez déjà fuir ces monstres immondes qui vous ont tant fait mal par le passé. Sauf que cette fois-ci, c'est carrément un complot qui sera contre vous.
GamePro.fr
Ajouté le : 02/2011
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On pouvait difficilement faire plus sceptique que la rédaction de GamePro.fr au moment de tester Dead Space 2. Pourquoi ? Tout simplement parce que nous étions tombés sous le charme des choix du premier opus (cf. Dead Space : le grand frisson), injustement boudé par une grande partie du public soit dit au passage. Et lorsque nous avons vu tourner le jeu pour la première fois, avec les explications de son producteur, nous ne retrouvions ni l'ambiance, ni les mécaniques de peur, ni la sensation d'impuissance ressenties avec le premier jeu. Malgré le discours rassurant du staff, nous n'arrivions pas à voir autre chose qu'un Isaac désespérément devenu trop mobile, trop à l'aise, bref, trop balaise, venu jouer les Rambo intouchables comme dans tout TPS trop classique. Le volant radicalement tourné vers l'action et les curseurs réglés comme dans un Gears of War avec la promesse d'un rythme « roller-coaster », rien de tout cela ne nous enchantait. Car ce que nous aimions dans Dead Space, c'était justement de se sentir comme cloué au sol par la peur, définitivement dépassé par les événements et uniquement animé par l'instinct de survie.
Étrangement boudé par le public, Dead Space premier du nom a pourtant su redonner ses lettres de noblesse à un genre en perdition : le survival horror. Malgré son ambiance particulièrement soignée et sa réalisation de haute volée, le jeu de Visceral Games n'a pas obtenu le succès escompté. Pas découragé par ce pseudo-échec, le studio américain, qui a su garder le soutient d'Electronic Arts, nous propose aujourd'hui de retrouver l'ingénieur le plus maltraité de l'histoire du jeu vidéo pour poursuivre son épopée spatiale dans un nouvel épisode que l'on nous a promis plus dynamique et plus ambitieux. Le moment est donc venu pour Isaac de reprendre du service et de retourner jouer les bouchers au fin fond de l'espace. Alors qu'il se croyait tiré d'affaire, Isaac Clark reprend donc du service pour une nouvelle aventure. Exit les espaces restreints et exigus de l'USG Ishimura, notre ingénieur se réveille sur Méduse, une métropole spatiale implantée sur Titan, satellite de Saturne, trois ans après les évènements survenus sur le vaisseau fantôme de la CEC. Loin du départ tranquille du premier épisode, l'aventure démarre ici sur les chapeaux de roues alors que les nécromorphes ont envahi la station.
A la fin de Dead Space, premier du nom, il était impossible de deviner quel sort avait été réservé à Isaac. Etait-il en vie ? Mort ? Avait-il sombré dans la folie au point d’avoir des hallucinations ? ce qui ne serait pas impossible étant donné le cauchemar monstrueux qu’il venait de vivre à bord de l’USG Ishimura. La réponse ne tarde pas. Dès le début de Dead Space 2, suite de l’un des jeux les plus enthousiasmants de 2008, on apprend que l’ingénieur Isaac Clarke a survécu à son aventure initiale. Mais il n’en est pas sorti indemne non plus. La culpabilité le ronge, lui qui n’a pas su sauver sa petite amie Nicole dans le premier épisode. Il est en outre hanté par le souvenir des Necromorphs, ces parasites extraterrestres qui ont décimé l’équipage de l’Ishimura et qui lui ont donné tant de fil à retordre. Depuis ces événements, Isaac est interné dans un hôpital psychiatrique basé sur la Méduse, une station spatiale construite sur l’astre Titan. Jusqu’au jour où le cauchemar recommence. Au sortir d’un rêve, Isaac se retrouve au beau milieu des Necromorphs. Comment sont-ils arrivés là ? On l’apprendra plus tard. En attendant, il faut fuir. Juste fuir. Combattre est impossible, la faute à la camisole de force qui entrave les bras du héros.
Voilà plus de trois ans qu’Isaac Clarke s’est échappé d’Aegis VII. Trois ans à essuyer interrogatoires musclés et expériences bizarres, des gens mal intentionnés souhaitant en savoir plus sur le méchant monolithe responsable du joyeux bordel survenu sur l’USG Ishimura. Et quand la contagion rattrape la station Titan sur laquelle il est retenu, l’ami Clarke enfile de nouveau combinaison et armes destructrices pour faire enfin taire les voix qui hantent son cortex fragile, et accessoirement éradiquer les Necromorphs qui foutent le « dawa » dans la station géante. Isaac Clarke parle ! L’ex Bernardo du Survival Horror s’est enfin trouvé un avis dans ce second volet, qui tente peu ou prou de recentrer l’intrigue quelconque sur ses quelques personnages principaux, vrais ou faux amis comme héros torturé. Le jeu nous le fait savoir par un tas de dialogues qui rappellent un peu BioShock par moment : on nous dit quoi faire en permanence, et c'est tenu par la main comme un gosse qu'Isaac visitera la station Titan de fond en combles. On perd de fait un peu de la solitude permanente du premier volet, dont le charme oppressant nous avait séduit en 2008. C'est un peu regrettable, mais pas raté pour autant, le travail effectué sur les lumières et le son étant une nouvelle fois proche de la perfection.
S'il n'avait pas signé une nouvelle révolution d'octobre, Dead Space fut une des très bonnes surprises de 2008, rappelant aux ténors du genre la définition du terme survival horror. Deux années et trois mois plus tard, Visceral Games revient avec une suite pour les aventures d'Isaac Clarke, l'ingénieur lambda ayant survécu par la force au carnage de l'USG Ishimura. Après un long coma et un réveil plus que chaotique sur une imposante station spatiale, le héros doit lutter à nouveau contre les Nécromorphes et le monolithe qui les a engendrés, mais aussi contre l'Eglise d'Unitologie, les soldats du gouvernement et ses propres démons. Une mission encore plus périlleuse que la précédente donc, mais encore faut-il qu'elle soit toujours aussi palpitante pour le joueur... Trois années dans le coaltar, c'est le genre d'expérience qui vous change un homme, surtout quand il a eu droit à un sacré aperçu de l'Enfer avant de sombrer dans l'inconscience. Alors, quand Isaac Clarke se réveille en camisole de force, nez à nez avec les créatures ayant décimé ses anciens compagnons et failli l'occire plus d'une fois lors de sa mission sur l'USG Ishimura, il a de quoi péter complètement les plombs.
Deux ans après le premier opus, Dead Space revient dopé à l’action avec un héros marqué par ses épreuves et par les nécromorphes. Isaac Clarke a vécu l'inimaginable à bord de l'Ishimura. Il a connu l'horreur de voir ses compagnons mourir et les nécromorphes prendre le pas sur les vivants. Il a connu l'atroce déchirure de voir celle qu'il aimait disparaître. Par sa faute... Trois ans plus tard, Isaac Clarke revient à lui dans l'hôpital du Sprawl, une base située sur un satellite de Saturne. Les bras entravés par une camisole, à peine conscient, il doit fuir une nouvelle invasion de nécromorphes. Depuis Dead Space, Visceral, le studio également chargé de cet épisode, a réalisé un travail énorme. Vous en aviez assez des niveaux en aller-retour, des ressorts usés jusqu'à la corde pour vous faire sursauter et de l'action répétitive ? Vous avez été entendu. Si l'aventure, globalement bien plus tournée vers l'action, n'est effectivement qu'une suite de trajets d'un point A à un point B, avec divers personnages pour guides, les niveaux sont mieux conçus, plus variés, plus stimulants. De même, les développeurs jouent beaucoup plus sur les éclairages et sur les sons pour installer une atmosphère effrayante : un ballon qui explose par-ci, un néon qui claque par-là, un jet de vapeur qui jaillit tout à coup, obstruant la vue...
A l'image de Ripley, Isaac Clarke semble voué à affronter une menace venue d'ailleurs et ce jusqu'à son dernier souffle. En 2008, Visceral Games nous avait prouvé qu'on pouvait bel et bien nous entendre crier dans l'espace. Deux ans plus tard, le résultat est encore pire puisque les cris ont cédé leur place à des hurlements. Récit d'une aventure tétanisante aux confins du système solaire. Le doute, la colère, la peur, la culpabilité. Tous ces sentiments habitèrent Isaac avant que le vide glacial de l'espace ne le happe pour l'offrir aux ténèbres échappées de l'Ishimura... Station de la Méduse, en orbite autour de Saturne, quelques années plus tard. Rescapé miraculeux d'un massacre sans nom, l'ingénieur muet revient à la vie et s'il récupère en passant l'usage de la parole, il n'en aura pas moins le souffle coupé en découvrant ce qui l'attend à nouveau. Vous l'aurez certainement compris, Isaac Clarke fait partie de ces héros maudits, de ceux qui vivent par la souffrance en cherchant désespérément un moyen d'en éliminer la cause. Malheureusement, avec des pères comme ceux de Visceral Games, l'homme ne semble pas près de trouver le repos mérité. Mais ne brûlons pas les étapes et revenons quelque temps en arrière.
Le rachat de BioWare par Electronic Arts en 2007 ne laissait que peu de doutes au sujet du destin réservé à la licence Mass Effect. Après une idylle de quatre ans avec Microsoft, le capitaine Shepard démarre l'année 2011 tambours battants en débarquant sur PlayStation 3. A un détail près, les joueurs PS3 vont devoir découvrir la trilogie par le deuxième épisode... Un gâchis ? On l'imagine quelque peu pantois, le joueur néophyte qui découvre l'univers de Mass Effect et qui entend parler pour la première fois de Moissonneurs et de Collecteurs. Non, le jeu de BioWare n'a rien à voir avec une simulation agricole et la première heure ô combien épique est là pour le faire savoir. Mass Effect 2 débute ainsi quelques temps après que le joueur ait mis en échec Sovereign et son sbire Saren dans leur tentative de faire renaître les Moissonneurs (Reapers en VO, ce qui sonne quand même mieux). Shepard se retrouve à bord du Normandy lorsque celui-ci est attaqué par un autre vaisseau disposant d'une technologie très avancée. Les Collecteurs, que beaucoup pensaient tenir du mythe, sont de retour dans la galaxie pour tenter un nouveau come back des grands méchants : les Moissonneurs.
Apparu sur nos consoles en octobre 2008 alors que personne ne l'attendait, Dead Space a marqué un tournant du genre survival-horror en transposant l'habituelle cohorte de monstres et autres zombies dans le vide intersidéral. Fort du succès de ce galop d'essai plébiscité par la critique et le public, les développeurs de Visceral Games nous en proposent aujourd'hui une suite tout aussi réussie.Rappelons en deux mots les évènements narrés dans le premier volet : vous y incarniez Isaac Clarke, un ingénieur envoyé sur le vaisseau USG Ishimura dont le personnel, et notamment sa petite amie Nicole, ne donnait plus signe de vie depuis quelques temps. A peine arrivé, notre héros se retrouvait face à des monstres baptisés Nécromorphes, dont on découvrait après quelques heures de jeu qu'il s'agissait pour la plupart de cadavres humains infectés par un organisme inconnu. Ce dernier émanait d'un mystérieux monolithe récupéré lors d'opérations de prospection, monolithe remis en place par Isaac à la fin du jeu.Dead Space 2 débute trois ans après l'aventure vécue dans le premier opus : Isaac se réveille dans l'hôpital de Sprawl, une ville située sur Titan, l'une des lunes de Saturne.
Deux ans. Deux années de silence assourdissant. L'espace étouffe les sons, avale les peurs. Dead Space m'aura fait hurler... de peur, comme de bonheur. La renaissance d'un genre qui se cherchait depuis quelques années. Le survival/horror dans tout ce qu'il possède de nerveux, d'instinctif, de viscéral, d'effrayant, de gore, d'efficace. Une démonstration qui n'aura pourtant pas connu le succès commercial qu'il aurait mérité. Deux ans se sont écoulés. Aujourd'hui, l'océan d'horreur effectue son grand retour. Les Nécromorphs, l'Uniotologie, le Monolithe, Isaac Clarke... ils sont de retour. Pour le pire pour eux, le meilleur pour nous !Les versions étant similaires, les tests le sont aussi. La passion étourdit parfois les sens. Les souvenirs du passé, lorsqu'ils sont placés face à une nouvelle itération, peuvent parfois déformer la réalité. Combien souffrent du syndrome "c'était mieux avant" ? Combien ne parviennent à s'extraire de leurs (bons) souvenirs passés pour appréhender avec honnêteté la nouveauté ? Dead Space avait saisi et séduit les joueurs par sa fraîcheur, son cadre spatial inédit pour le Survival, son gameplay rôdé, nerveux et sa science du rythme.
Véritable surprise de 2008, Dead Space avait redonné au survival-horror ses lettres de noblesse alors qu'un certain Resident Evil, autrefois porte-drapeau du genre, semblait avoir délaissé les frissons pour s'orienter plus résolument vers l'action. Aujourd'hui Isaac Clarke est de retour et avec lui un cortège toujours aussi effrayant de Necromorphs. Les développeurs de Visceral Games ont-ils prévu suffisamment de nouveautés pour éviter la simple redite ? Premiers éléments de réponse.Trois ans après les évènements narrés dans Dead Space premier du nom, Isaac se réveille dans un hôpital de Titan, l'une des lunes de Saturne, plus précisément dans la ville de Sprawl. Hanté par ses souvenirs, il navigue entre rêve et réalité, et ne parvient pas à oublier sa fiancée Nicole. Mais alors que tout semble paisible autour de lui, les choses ne vont pas tarder à se gâter avec le retour en fanfare des Necromorphs.Le savoureux gameplay découvert il y a plus de deux ans fait ici son grand retour : à l'aide d'armes déjà vues dans le premier épisode et de nouveaux outils spécialement conçus pour cette suite, vous devrez démembrer les innombrables Necromorphs qui se dresseront sur votre route.
Avec Dead Space, Visceral Games avait délivré en 2008 l'une des aventures solos les plus terrifiantes de ces dernières années. Pour le retour aux affaires d'Isaac Clarke, le studio américain a cette fois décidé d'ajouter un atout supplémentaire dans la manche de sa série phare : un mode multijoueur. Et c'est ce dernier qui a récemment mis nos nerfs à rude épreuve lors de quelques parties intenses au cours desquelles nous avons tour à tour incarné humain et Nécromorphe. Difficile de concevoir de nos jours un jeu sans y implémenter un aspect multijoueur. En plus de diversifier le contenu de leur titre, les développeurs augmentent également sensiblement sa durée de vie. Un choix que n'avait pourtant pas fait Visceral Games pour Dead Space premier du nom. Ce qui ne l'avait pas empêché de remporter un franc succès auprès de la critique. Pour le deuxième épisode de la série, la donne a changé puisqu'un mode multi fait son apparition. Il vous propose d'incarner à la fois les forces de sécurité de The Sprawl, la station minière sur laquelle se déroulent les évènements de Dead Space 2, et les répugnants Nécromorphes.
Dead Space était l'une des belles surprises d'Electronic Arts et de son envie de laisser leur chance à des projets originaux en lançant de nouvelles licences. Dès son premier épisode, la série obtient un succès critique et public le propulsant comme la nouvelle référence du Survival Horror. Ce titre nous narrait l’histoire d’Isaac Clarke, un ingénieur devant rétablir le contact avec un croiseur spatial. Le problème est qu’une fois arrivé sur place, il se rend compte que tout l’équipage a été décimé par des monstres, et qu’ils sont toujours présents. Bien qu’il ait fui, il semble que Isaac ne soit pas encore débarrassé des nécromorphes. Un deuxième épisode donnant l’occasion à Visceral Games de confirmer l'essai. Présent au centre du stand Electronic Arts de la Paris Games Week, Dead Space 2 accueillait les nombreux amateurs de frissons dans une petite salle sombre autour de cette suite très attendue. Précisons tout de suite que, étant donné le bruit du salon, nous ne pouvions pas profiter au mieux de la bande-son du titre, élément à part entière de l'ambiance. Heureusement que les animateurs n'hésitaient pas à venir nous faire sursauter grâce à quelques cris alors que nous étions plongés dans l'aventure.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
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Détenteurs du record de la présentation la plus courte de la gamescom 2010, les développeurs de Dead Space 2 nous ont invités à découvrir très brièvement le côté spectaculaire des nouvelles aventures d'Isaac Clarke à la surface de The Sprawl. Ne clignez pas des yeux, ça va aller très vite. Perché à plusieurs kilomètres au-dessus de The Sprawl au début de cette présentation, ce bon vieux Isaac cherchait à rétablir le courant dans la colonie minière qui servira de théâtre principal aux évènements de Dead Space 2. On retrouvait du coup notre héros en scaphandre alors qu'il se dirigeait dans le vide de l'espace à l'aide d'une poignée de petits propulseurs placés aux endroits stratégiques de sa combinaison et qu'il se chargeait d'aligner les panneaux solaires de la station grâce à ses capacités télékinétiques avant d'arriver à cours d'oxygène. Cette petite opération de réparation sauvage en apesanteur se retrouvait évidemment interrompue par l'intervention d'un des éminents membres du bestiaire de Dead Space 2, à savoir un gros furoncle convulsé qui crachait des projectiles particulièrement dangereux.
Loin des entrailles glacées de l'Ishimura, Isaac poursuit bien malgré lui son chemin sanglant à travers l'espace. Son talent inné pour s'attirer des ennuis le conduit en effet dans une gigantesque station minière située sur Titan, l'une des lunes de Saturne. L'endroit est vaste, sinistre et peuplé de vieilles connaissances qu'Isaac se serait volontiers passer de retrouver. Ainsi, si comme Ripley en son temps, le bougre plonge une nouvelle fis en plein cauchemar, l'amateur éclairé de survival-horror peut d'ores et déjà se frotter les mains... Dead Space 2, vous l'avez compris, compte jouer à plein de son nouvel environnement. Plus vaste, le jeu paraît déjà bien plus varié que son aîné, sans pour autant se départir de l'ambiance poisseuse et oppressante qui fit de ce dernier une telle réussite. Cela dit, la présentation à laquelle nous avons eu le privilège d'assister s'évertuait davantage à nous montrer les progrès effectués dans le domaine de la mise en scène. Calquée sur la démonstration du jeu effectuée lors de la conférence d'Electronic Arts, la démo voyait effectivement Isaac tenter de rétablir le courant dans toute la station.
Le pauvre Isaac Clarke n'est pas tout à fait sorti indemne de l'épave de l'Ishimura. Ce qu'il y a vu continuera certainement de le hanter jusqu'à la fin de ses jours. Mais cette expérience lui permettra peut-être aussi de savoir un peu mieux se défendre face aux dangereux nécromorphes. Le soudeur le plus intrépide de l'espace va en effet reprendre du service dans Dead Space 2. On se souvient que le premier Dead Space avait bousculé le petit monde du survival-horror lors de sa sortie il y a un peu moins de deux ans. Il n'était plus question d'explorer une bonne vieille maison hantée ou de lutter contre des araignées géante : le frisson était cette fois-ci accommodé à la sauce spatiale. La résultat était tout simplement grandiose. Dans la foulée, la licence a même donné naissance à un rail-shooter exclusif à la Wii qui était lui aussi particulièrement soigné. Le studio Visceral Games s'apprête à revenir à l'attaque en mettant une nouvelle fois en selle Isaac Clarke, le héros du premier volet. Trois ans se sont écoulés depuis son aventure à bord de l'Ishimura, il tente désormais tant bien que mal de reprendre une vie normale et d'oublier les horreurs dont il a été témoin.
Difficile d’offrir une suite au fantastique Dead Space et son odyssée horrifique à bord de l’USG Ishimura. Pourtant, prêt à relever le défi de faire vivre son fantastique univers, Visceral Games a décidé de remettre le couvert. Pour notre plus grand plaisir. Trois ans après les évènements de Dead Space, Ia propagation des Nécromorphes. Fini les couloirs sans fin de l’Ishimura, l’action prend cette fois place sur Titan, une des lunes de Saturne. Une colonie minière, the Sprawl (l’Etendue en français), s’est agrandie au fil des années pour devenir une gigantesque cité hermétique, cernée par le vide spatial. C’est dans ce contexte qu’on incarnera à nouveau Isaac, bien décidé à en découdre avec les monstres qui ont décimé son vaisseau. Alors qu’une simple suite nous aurait déjà ravi, Visceral semble avoir travaillé dur pour nous en offrir davantage. A commencer par les environnements. En écumant le premier Dead Space, beaucoup de joueurs avaient fini par sentir une –légère- lassitude à force de longer des couloirs et de tomber sur des nécros qui jaillissent derrière chaque porte. Cette fois, avec une immense ville/mine à parcourir, on nous promet une variété de décors excellente. S’il est dur de confirmer pour l’instant, les quelques scènes que l’on a pu voir laissent effectivement présager d’un level design prometteur.
Trois ans se sont écoulés depuis les funestes événements décrits dans le premier Dead Space. Trois longues années pendant lesquelles Isaac, le survivant de cette rencontre avec les nécromorphes, a sans doute fait son possible pour effacer de sa mémoire les horreurs dont il a été témoin. Mais on le sait, les cauchemars sont tenaces et plus on tente de les oublier, plus ces ce derniers semblent nous poursuivre avec acharnement. Isaac pourrait bien faire figure d'homme le plus malchanceux de l'univers, car après s'être extirpé à grand peine des entrailles glacées de l'Ishimura, le bougre va une nouvelle fois se retrouver plongé en enfer. Maintenant doté d'une voix et d'un visage (même s'il ne nous a pas été donné de les découvrir lors de la présentation), le technicien de charme et de choc est cette fois chargé d'aller remettre en état les installations d'une station minière située sur Titan, l'une des lunes de Saturne. The Sprawl, puisque c'est là le nom de l'installation, est effectivement confronté à quelques petits soucis divers et variés suite à une mystérieuse explosion peut-être causée par une des opérations de forage, peut-être par autre chose. Mais cette mission en apparence classique va bien évidemment tourner à la foire au pâté lorsqu'au détour d'un couloir, on apercevra l'ombre difforme d'un de nos chers nécromorphes...
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
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Bonne surprise de la fin 2008, Dead Space nous reviendra l'année prochaine dans un nouvel épisode toujours placé sous le signe de la terreur au fin fond de l'espace. Pour mieux faire grimper la tension jusqu'à cette sortie tout de même assez lointaine, Electronic Arts a tenu à nous présenter la nouvelle aventure d'Isaac Clarke pour la toute première fois. Trois ans après les évènements de Dead Space premier du nom, Visceral Games nous invite sur The Sprawl, une colonie minière fondée sur les restes de Titan à laquelle s'est progressivement greffée une gigantesque mégalopole sur fond d'espace étoilé. Pas le temps de faire du tourisme, puisque l'on retrouve notre cher Isaac Clarke pour un plongeon littéral dans les entrailles de l'endroit afin de faire face à une armada de sale bestioles pas spécialement bien intentionnées. Notre héros-malgré-lui a d'ailleurs bien évolué depuis 2008 avec l'arrivée notable de nouvelles combinaisons, de contrôles beaucoup plus souples pour toutes ses capacités (kinesis, stasis, etc.) et de l'intégration d'une voix et d'un visage destinés à lui donner un peu plus de personnalité.
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