22 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
1
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 22 tests du Dead Rising 2. Les experts notent Dead Rising 2 7.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dead Rising 2 et d'autres Jeux Playstation 3.
Paru exclusivement sur Xbox 360 en 2006, avant de connaître un piteux portage Wii, le premier Dead Rising avait agréablement surpris son monde, même si quelques défauts énervants comme sa répétitivité étaient à souligner. Quatre ans plus tard, le second volet paraît aussi sur PlayStation 3 et PC, afin de permettre à un plus grand nombre de joueurs de pouvoir tenter l'aventure suivante : démembrer des zombies avec classe et humour. Dead Rising 2, un jeu qui met tout le monde d'accord ? Réponse dans les lignes suivantes. On recommence à zéro Autant le dire tout de suite, et cela ne peut que réjouir les possesseurs des supports préalablement délaissés, Dead Rising 2 raconte une toute nouvelle histoire, dans un nouveau lieu. Exit Willamette et accueillons avec joie Fortune City, une zone où les centres commerciaux, les casinos et les espaces extérieurs s'étalent (presque) à perte de vue. Ici, vous incarnez Chuck Taylor, un champion de moto-cross devenu l'un des participants d'une émission de télé réalité baptisée Terror is Reality, qui doit dégommer un max de zombies à l'aide d'une moto équipée de tronçonneuses. Loin d'être aussi sanguin que Moundir, notre homme participe à ce show, non pas par plaisir, mais par nécessité.
PlayLipse
Ajouté le : 10/2010
Plus accessible...
Il y a quatre ans, Capcom a réussi à nous surprendre (sur 360) avec un Dead Rising fort jouissif demandant globalement de tuer un maximum de zombies avec un arsenal composé d'armes et d'objets divers. Aujourd'hui, l'éditeur désire nous proposer une suite (qui débarque aussi sur PS3) confiée pour le coup aux petits gars de Blue Castle Games. On pouvait alors espérer que ce Dead Rising 2 corrige les défauts de son aîné tout en en décuplant les sensations? Pari réussi ? Si dans Dead Rising les joueurs avaient à contrôler Franck West, dans cette suite ils se retrouvent dans la peau de Chuck Greene. Sur le papier le changement est bien réel mais, dans les faits, on a surtout affaire à une sorte de modification du skin plus qu'à l'intégration d'un nouveau personnage. Ceci dit, ce dernier permet de découvrir une nouvelle histoire. Chuck a perdu sa femme et se retrouve seul sans pratiquement rien pour élever sa petite fille. Histoire de compliquer un peu les choses, cette dernière a été infectée par un zombie (par morsure). Le virus étant resté à l'état latent, son père doit lui faire une injection de Zombrex toutes les 24 heures pour éviter que sa fille ne se transforme en un monstre mort-vivant.
Après un premier épisode qui n’a pas manqué de marquer les esprits des joueurs, Capcom revient en force avec Dead Rising 2. Nouveau héros, nouveau décor et même nouveaux zombies, ce défouloir sanglant mise sur le fun et le meurtre de masse pour nous amuser. Sans oublier, bien sûr, les fameuses combinaisons d’objets qui font une entrée remarquée dans la série. Tout commence dans les coulisses du TIR, le Terror Is Reality. Un show de téléréalité qui fait fureur depuis quelques temps sur les ondes américaines. Le principe est simple : on lance quatre motards, aux machines équipées de tronçonneuses sur leurs flancs, dans une arène remplie de zombies. Là, en tant que pilote participant au carnage, le but est de faire un maximum de victimes pour engranger des points et espérer ainsi décrocher la timbale. Vous incarnez Chuck Green, ancienne gloire du motocross dont la femme a trouvé la mort durant les événements de Las Vegas. Il est accompagné de Katey, sa petite fille, qui ne peut survivre sans une injection de Zombrex toutes les 24 heures pour ne pas se transformer après avoir été mordue.
Univers Consoles
Ajouté le : 10/2010
Plus accessible...
Il y a des instants qui restent gravés dans la mémoire d'une femme (ou d'un homme, ne soyons pas sexiste). Je ne parle pas de la première fois que la jupe se soulève malencontreusement en passant sur une bouche d'aération. Je veux parler de la première séance en live de démembrement de zombies. En même temps, il faut dire que Capcom a mis le paquet pour que personne ne ressorte de ce jeu sans brailler des "Oh my god" vers le ciel, ou autres onomatopées et jurons venus de divers pays Imaginez, une horde de sept mille zombies affichés simultanément à l'écran et un héros balèze qui fonce dans le tas à moto une tronçonneuse à la main. Forcément, ça croustille. Parlons-en de ce système de démembrement. Cette technique "moteur" permet de s'assurer que chaque attaque portée avec une épée ou autre arme tranchante coupe bien le bon membre de la façon la plus crédible possible. Ainsi lorsque notre héros, Chuck Greene, agite son katana en direction d'un zombie de haut en bas à la manière de Bud Spencer, il le coupe carrément en deux. Ces morts ambulants ont beau être agressifs, ils n'en demeurent pas moins aussi faciles à trancher qu'une barre de tofu.
Faisant parti des rares titres de Capcom développés par un studio non japonais, voici que Dead Rising 2 revient en force sur nos consoles pour nous proposer de tout démonter. En effet, alors que le premier opus avait été développé en interne, c’est le studio canadien Blue Castle Games qui a la lourde tâche de développer ce second opus pour faire aussi bien que le volet précédent. Nous allons donc nous plonger ensemble dans la peau de Chuck Greene afin de voir ce que donne le résultat final disponible depuis le 24 septembre dernier. Vous l’avez donc compris, ce second opus vous propose d’incarner le héros de Las Vegas qui n’en a donc pas fini avec les soucis. Après avoir perdu sa femme durant la fameuse épidémie qui s’est déroulée dans la ville du vice, il doit maintenant prendre soin de sa fille qui risque de se transformer du jour au lendemain. Pour éviter ça, il doit donc lui administrer une dose de zombrex à intervalles réguliers. C’est donc dans le but de se procurer de l’argent pour ce médicament que notre héros se rend à Fortune City pour participer à une émission de télé-réalité d’un nouveau genre. Vous voilà donc devenu un participant du show Terror is Reality qui vous propose de dégommer du zombie à tour de bras au volant de votre moto.
4 ans : c'est approximativement le temps qu'il aura fallu à Blue Castle Games, nouvel héritier de la licence Dead Rising, pour nous offrir ce second volet, qui il faut le dire, a suscité énormément d'attente. Pour autant, s'il fait évoluer le principe du jeu, il ne devrait pour autant pas franchement perturber les adeptes du premier volet, tant il lui ressemble sur bien des points... Exit Frank West, Dead Rising 2, vous place cette fois dans la peau de Chuck Greene, un motard dont la fille est infectée par un virus qui la transformera en zombie si elle ne prend pas régulièrement son antidote. Glauque et défaitiste au possible, évidemment, le scénario du jeu vous amènera cette fois au sein d'un Las Vegas dévasté et infesté par des zombies en proie de chair fraîche, et, par extension de vos petites fesses. Si Blue Castle Games aura mis 4 ans à pondre ce second volet, on ne pourra pas vraiment dire qu'ils ont fait le choix de révolutionner le concept posé par Dead Rising premier du nom. En fait, vous démarrez le jeu cloitré avec quelques survivants dans une planque, et devrez gérer à la fois une trame scénaristique principale ainsi que de nombreuses quêtes annexes, malheureusement en étant soumis à un contrainte de temps inflexible.
Dix années se sont écoulées depuis les événements narrés dans Dead Rising. Le virus s’est propagé, implacable, emportant de nombreuses vies humaines, notamment celle de la femme de Chuck. Chuck est le héros de Dead Rising 2. C’est un ancien champion de moto-cross qui se retrouve contraint de participer à des jeux de Télé-Réalité débiles (pléonasme ?) dans le but de gagner beaucoup d’argent. En effet, pour soigner sa petite fille Katey, mordue par un zombie des années auparavant, Chuck doit dépenser une fortune pour se ravitailler en Zombrex. Il s’agit du seul médicament à même de repousser l’inéluctable de 24 heures. Cette course contre-la-mort quotidienne est bouleversée le jour où Fortune City, sorte de mini-Vegas avec ses casinos et ses galeries commerciales, est soudainement envahi par les zombies. Une vidéo tend même à prouver que c’est Chuck lui-même qui a ouvert les portes ! Et qui a donc laissé entrer les morts-vivants dans ce qui était un havre de paix jusqu’à présent. Vous l’aurez compris, Dead Rising 2 force à mener de front plusieurs objectifs : soigner sa fille, secourir les survivants, prouver l’innocence du héros. Et, bien entendu, massacrer des dizaines de milliers de zombies.
Révélation de 2006 pour bien des fans de George A. Romero, Dead Rising premier du nom avait aussi marqué le grand retour aux affaires de Capcom du côté du beat'em all. Quatre ans plus tard, voici que débarque Dead Rising 2 sur PC, PS3 et Xbox 360. S'il est toujours question de masses de zombies, le développement de cette suite a en revanche été confié aux canadiens de Blue Castle Games. Un choix judicieux ? Adieu Willamette et Frank West, Dead Rising 2 a fait le choix d'un nouveau héros, Chuck Green, et d'une nouvelle ville, Fortune City. Si certains joueurs Xbox 360 ont déjà pu découvrir Chuck dans Dead Rising 2 : Case 0, les autres feront connaissance avec un père sans cesse à la recherche de Zombrex pour empêcher la transformation en zombie de sa fille contaminée. Fortune City porte quant à elle bien son nom puisqu'il s'agit du nouveau Las Vegas américain, avec casinos à perte de vue et billets verts qui coulent à flot, surtout depuis que la célèbre cité du vice est devenue une victime de l'invasion mort-vivante. Hélas pour ce bon vieux Chuck, l'appât du gain subsiste même après la mort et c'est une véritable marrée de zombies qui va s'emparer de Fortune City suite à une attaque terroriste.
GamePro.fr
Ajouté le : 09/2010
Plus accessible...
Capcom a confié à un studio canadien le développement de la suite de son beat'em all Dead Rising. Un sous-traitant a priori bien trouvé puisque sa spécialité, c'est la batte de baseball. Ça ne s'invente pas, Blue Castle Game a fait ses classes sur la série The BIGS et maîtrise donc le maniement du gourdin en bois. Reste que même laissé aux mains d'un développeur nord-américain, on sent le jeu avoir été entièrement supervisé par l'éditeur nippon et son producteur star Keiji Inafune. Le même Inafune qui expliquait il y a quelques jours au Tokyo Game Show que les japonais ne savent plus faire de beaux et bons jeux. L'externalisation à l'Ouest était-elle donc la bonne solution pour imposer Dead Rising comme une licence phare avec ce second opus ? Pas forcément ! Déjà parce qu'on ne peut pas dire que Dead Rising 2 soit un canon de beauté en plus d'imposer un nombre de chargements à s'arracher les cheveux. Et puis il faut se rendre à l'évidence, même conçu au Canada, le jeu conserve les lourdeurs typiques d'une production nippone qui peine définitivement à mettre ses mauvaises habitudes au placard. Car Dead Rising 2 est un jeu terriblement rigide dans sa construction et le gameplay qu'il propose.
Fort de son succès sur Xbox 360 voilà déjà quatre ans, Dead Rising nous revient avec un second opus cette fois disponible sur PS3. On y retrouve tous les ingrédients si appréciés de son prédécesseur, à savoir des cohortes de zombies et une multitude d'armes pour s'en défaire, ainsi que quelques améliorations bien senties. De quoi passer un bon bout de temps à Fortune City, d'autant que la structure du jeu vous obligera à enchaîner les parties pour tout connaître de l'intrigue.Au cas où vous n'auriez pas eu l'occasion de jouer à Dead Rising premier du nom, un rapide résumé s'impose : vous y incarniez Frank West, un photographe pris au piège dans le centre commercial de Willamette infesté de zombies. L'aventure consistait à comprendre comment ces créatures étaient apparues en sauvant au passage les humains encore présents dans les environs, le tout avant l'arrivée des forces militaires appelées pour tout nettoyer.Le scénario de Dead Rising 2 se déroule cinq ans plus tard, alors que l'invasion des zombies s'est étendue à l'ensemble des Etats-Unis. Vous êtes Chuck Greene, un ancien champion de moto-cross fraîchement débarqué à Fortune City, ville fictive largement inspirée de Las Vegas, pour participer au show « Terror is Reality ».
Après que Capcom nous ait prouvé en 2006 qu'il était possible de concilier horreur et grand guignol, la société japonaise revient en force cette année avec un second Dead Rising. Pour le coup, on a droit à une toute nouvelle aire de jeu toujours aussi malfamée mais où l'humour et le second degré règnent une fois encore en maîtres. Récit d'un jeu de zombies pas comme les autres... Si George A. Romero a depuis longtemps clamé son amour pour le cinéma de genre et plus particulièrement les films de zombies, les tas de chair fraîche ambulante ont depuis quelque temps retrouvé les faveurs du tout Hollywood mais aussi et surtout celles du jeu vidéo. Pour autant, Capcom conserve son statut de vétéran vidéoludique dans le domaine. Se retrouver face à Dead Rising 2 n'a rien de surprenant puisque le titre reste un excellent complément à d'autres séries de l'éditeur, Resident Evil en tête, de par son orientation second degré totalement assumée. De fait, si l'histoire de Dead Rising 2 nous narre le destin brisé de Chuck Green qui va devoir composer avec sa fille infectée et la perte de sa femme, le synopsis lorgne rapidement vers la série B saupoudrée d'une grosse louche d'humour.
Egalement disponible sur : Comment ne pas évoquer Dead Rising au moment de repenser aux débuts de la Xbox 360 ? Avec sa plastique de fou, son côté défouloir et ses hordes de zombies à canarder, le titre de Capcom avait clairement retourné la tête à plus d'un joueur. Quatre ans plus tard, voilà que débarque sa suite. Sobrement intitulée Dead Rising 2, ce jeu a pour ambition de conserver tout ce qui a fait le charme du premier opus, tout en apportant un peu de renouveau avec ses modes multijoueurs. Après une mise en bouche réussie le mois dernier avec le DLC Case Zero, vous allez voir que Dead Rising 2 a tout pour faire partie des jeux de la rentrée à retenir, et ce malgré quelques petites frustrations. Les explications complètes se trouvent à Fortune City, alors mettons-nous en route !Ce n'est un scoop pour personne, le scénario de Dead Rising 2 met dorénavant en scène l'ancien cascadeur Chuck Greene. La première rencontre avec le motard au blouson jaune se fait d'ailleurs d'une manière assez radicale. Enfourché sur une moto affublée de deux tronçonneuses, dont les lames dépassent sur les côtés, Chuck doit foncer dans une arène façon Rollerball et découper du zombie à outrance. Le but de la manoeuvre ?
Les licences japonaises confiées à des studios occidentaux, d'expérience, ce n'est pas forcément une idée lumineuse, surtout si l'on se concentre sur le passif de Capcom en la matière. Heureusement, dans le cas de Dead Rising 2, on peut logiquement être optimiste. Tout d'abord, Blue Castle Games, le studio canadien choisi par l'éditeur nippon pour le développement, hérite tout de même d'un titre aux bases plus que solides. Ensuite, son expérience dans le monde du baseball ne peut que lui servir pour nous aider à éclater dignement du zombie à la batte. Il y en a qui n'ont vraiment pas de pot dans la vie. Prenez Chuck Greene, par exemple. En plus d'avoir tragiquement perdu sa femme lors de l'épidémie qui ravagea Las Vegas, il doit désormais se saigner aux quatre veines pour payer le Zombrex de sa petite fille de sept ans, un médicament aussi cher qu'indispensable s'il veut éviter qu'elle ne se transforme en zombie depuis qu'elle a été contaminée. Ruiné, au sens propre comme au sens figuré, cet ex-champion de motocross n'a donc eu d'autre choix que de se rendre à Fortune City pour s'inscrire à un jeu télévisé que même l'esprit tordu d'Alexia Laroche-Joubert n'aurait pu imaginer.
Il y a quasiment un an, Jika rentrait du TGS avec une légère frustration, à peine atténuée par toutes ces photos prises en compagnie de babes dévêtues. Rendez-vous compte, il n’avait pas pu goûter au mode solo de Dead Rising 2! Non que le multijoueur soit dénué d’intérêt, mais l’absence d’infos sur la campagne principale, son scénario, ses possibilités de gameplay enthousiasmantes, tout cela lui avait laissé un goût d’inachevé. Près de douze mois plus tard donc, l’erreur est réparée puisque Capcom nous a permis de découvrir la première heure du solo. On y incarne Chuck, avec tout ce que ce prénom suggère en matière de virilité et de pilosité. Chuck fût en son temps un champion de motocross mais il a quasiment tout perdu lorsque l’invasion zombie a débuté. C’était il y a près de dix ans. Sa femme a rejoint le camp des putréfiés et sa petite fille a été mordue. Depuis, elle doit recevoir des doses quotidiennes de Zombrex, seul médicament à même de repousser l’inéluctable de 24 heures à chaque injection. Seul hic, le Zombrex coûte une fortune. Pour se remplir les poches, . Mais un jour, tout s’effondre. La ville de Fortune City, clone de Las Vegas et rare bastion des non-contaminés, est à son tour envahie.
J'aime cet article 4 personnes aiment cet articleEgalement disponible sur : Avec l'annonce fracassante de Street Fighter X Tekken qui a encore fait parler de lui la semaine dernière lors de la gamescom de Cologne, on a tendance à oublier que Dead Rising 2 sera bientôt une réalité, puisque la date de sortie du jeu a été avancée au 24 septembre prochain sur Xbox 360 et PS3, et au 28 du même mois sur PC. Capcom a décidé d'attaquer la dernière ligne droite de la campagne promotionnelle du titre en nous offrant presque deux heures en compagnie du héros Chuck Greene, ce qui nous a permis de nous familiariser avec Fortune City, le nouveau terrain de jeu des zombies de Blue Castle Games. Les fans de la première heure vont-ils être comblés par cette suite ? Nos impressions.Ce qui est clair, c'est qu'il ne faudra pas s'attendre à un scénario révolutionnaire de la part de Dead Rising 2, avec lequel il sera naturellement question de crocs pourris, de virus et d'antidote. En clair, Chuck Greene devra administrer quotidiennement une dose de Zombrex à sa fille Katey qui a été mordue par un zombie, afin de ne pas la voir rejoindre le camp d'en face.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
On pensait franchement avoir fait le tour de la question Dead Rising 2 au fil des nombreuses previews qui nous ont été accordées depuis près d'un an. Mais après avoir parcouru plusieurs fois le globe pour plusieurs séries de présentations, c'est à Paris que nous avions cette fois l'opportunité d'essayer une version quasi-définitive du jeu de Capcom. Les fans ont-il eu raison d'attendre fébrilement une suite, quatre ans après l'original ? Premiers éléments de réponse. Les développeurs de Blue Castle Games ont longtemps souhaité entretenir le mystère autour du scénario de Dead Rising 2, à croire qu'il était en lice pour l'Oscar. Ce ne sera peut-être pas forcément le cas au final, mais le studio a manifestement fait des efforts pour nous épargner un script aussi décérébré que les zombies chargés de l'animer. Pour avoir les moyens de payer la dose quotidienne de Zombrex à sa fille, mordue par un zombie et menacée de dégénérescence en cas de manque, Chuck Greene est devenu malgré lui la vedette d'un jeu macabre, Terror is Reality. Le show, animé par un MC aussi pimp que P. Diddy et Jay-Z réunis, rassemble des centaines de milliers de spectateurs trop heureux de prendre leur revanche sur ces dégénérés, élevés en batterie dans les sous-sols de Fortune City.
L'une des bonnes surprises de l'année 2006 pour Capcom, fut incontestablement Dead Rising. Une nouvelle série brillamment introduite par un épisode de haute volée. Et pour une fois, la firme japonaise a décidé de ne pas exploiter ce succès initial jusqu'à plus soif. Les fans auront dû attendre quatre ans pour voir des hordes de zombies venir à nouveau infester leurs consoles. Après avoir mis la main sur la partie solo du jeu, on peut d'ores et déjà affirmer que l'attente n'aura pas été vaine. C'est un fait, la sortie de Dead Rising 2 constitue pour Capcom l'évènement majeur de cette fin d'année. La nouvelle politique de l'éditeur japonais voudrait donc que ce projet soit développé en interne, les récents échecs commerciaux de Dark Void ou encore Bionic Commando l'ayant vacciné contre les développeurs occidentaux. Pour autant, ce n'est pas le cas ici puisque c'est à Vancouver, chez Blue Castle Games, que ce deuxième Dead Rising est actuellement en développement. Une manière pour Capcom et Keiji Inafune d'apporter de nouvelles idées à leur création et de corriger les lacunes du premier volet. Cela passait notamment par un scénario plus développé.
Parmi les poids lourds de la version 2010 du Captivate, on trouvait Dead Rising qui, en plus de bénéficier d'une présentation axée sur le mode Coopération, était disponible en version jouable. Nous n'avons pas résisté à nous jeter sur les manettes pour démastiquer des tas de zombies de manières plus délirantes les unes que les autres. Petite précision avant d'entrer dans le vif du sujet : Dead Rising 2 se déroulera cinq ans après le premier volet. Et, en annexe à cette information, sachez que Capcom nous prépare Dead Rising Case Zero, un DLC qui fera le pont entre les deux opus principaux mais qui servira surtout à introduire l'intrigue du deuxième. Ce ne sera pas une étape superflue dans la mesure où les producteurs et les développeurs de Dead Rising 2 nous ont promis qu'il lèvera un peu le voile sur le coeur de l'intrigue. Fin de l'intermède, revenons-en à ce que nous avons pu voir durant le Captivate 2010. Cette fois-ci, on dirigera Chuck Greene, un survivant apparemment très doué en matière de pilotage de deux-roues. Et c'est sans doute grâce à cette activité mécanique que Chuck a développé un incroyable sens pratique qui lui permet de bricoler des armes redoutables avec des objets apparemment sans aucun rapport les uns avec les autres.
Gamekult
Ajouté le : 04/2010
Plus accessible...
Jeu-clé dans l'histoire de Capcom, Dead Rising signait l'entrée fracassante de l'éditeur dans la génération actuelle. Quatre ans plus tard, le robot bleu s'est imposé comme une valeur sûre dans un milieu du jeu vidéo japonais en plein désarroi. Signe des temps, c'est à un studio canadien, Blue Castle Games, que revient la tâche de réinjecter du sang neuf dans une série qui n'a pas été exploitée jusqu'à la moelle, aussi inhabituel que cela puisse paraître. Rendez-vous était pris au sein des studios pour découvrir ce que nous réserve Dead Rising 2, une suite qui promet de laisser des traces. Une chouette salle avec des bornes Xbox 360 / PlayStation 3 disposées de part et d'autre, quatre démos à se mettre sous la dent : les retrouvailles avec nos amis zombies promettaient d'être chargées. Pour tout dire, deux des démos nous étaient déjà familières ; nous avions pu tâter longuement du Versus en multijoueur à l'occasion du Tokyo Game Show, et la démo du CES, de nouveau croisée au X10, n'avait quasiment plus aucun secret pour personne. Mais c'est la première fois que nous mettions les pieds au Royal Flush Plaza, la galerie marchande principale de Fortune City, ce Vegas de pacotille qui sera le théâtre des aventures de Chuck Greene.
Malgré quelques imperfections, Dead Rising faisait partie des bonnes surprises de la première génération de jeux Xbox 360. La série n'est désormais plus une exclusivité Microsoft puisque la suite s'apprête à sortir sur PS3 et PC. Et après tout, on ne voit pas pourquoi le massacre de zombies serait réservé à certains joueurs, car Dead Rising 2 s'annonce jouissif ! Pour cette petite séance de prise en main cependant, c'est bien sur 360 que le jeu tournait, en présence de Rob Barrett en personne (le boss de Blue Castle Games, pas le guitariste de Cannibal Corpse). Au passage, signalons d'ailleurs que la console de Microsoft bénéficiera tout de même d'un contenu exclusif baptisé Case Zero, qui fera office de pont entre Dead Rising 1 et 2 (cinq années séparant les deux titres). Ces considérations étant faites, voyons plus concrètement ce que le titre a à nous offrir : de l'action, de l'action et encore de l'action ! En effet, pour cette démo, le studio ne s'est pas encombré d'un scénario, même si la version finale proposera bien une histoire avec des survivants à sauver. Au lieu de ça, les développeurs avaient préféré mettre l'accent sur le côté bac à sable du titre, en nous permettant d'exterminer des centaines de zombies dans les rues de Fortune City (la grosse ville de jeu qui sert de cadre à cet opus).
Certainement l’éditeur le plus prolixe de ce Tokyo Game Show 2009, aux côtés peut-être de Square Enix et de Bandai Namco Games, Capcom avait gardé quelques surprises sous le coude afin de faire sensation pendant le salon. Absent pourtant du showfloor, Dead Rising 2 était en réalité bel et bien présent lors du salon mais par procuration, puisqu’il fallait montrer patte blanche lors d’une soirée privée qui s’est déroulée dans le quartier de Ebisu vendredi 25 septembre aux alentours de 20 heures. Au programme de cette soirée mouvementée : session de free play du mode multijoueur, concours pour tenter de remporter la véritable veste en cuir jaune et noire de Chuck, junk food et interview exclusive en compagnie de Keiji Inafune. La classe en quelque sorte. Il aura donc fallu attendre la mise en route du Tokyo Game Show pour que Capcom officialise la présence d’un mode multijoueur pour Dead Rising 2. Un mode visiblement pensé et étudié dès le début de la production pour garder une certaine cohérence avec le concept assez atypique de la série. Quelques brainstormings plus tard, Capcom s’est enfin mis d’accord sur l’approche que proposera ce mode multijoueur.
Présenté exclusivement dans le cadre d'une soirée Capcom, en parallèle du Tokyo Game Show, Dead Rising 2 aura pu passer entre nos minimes. Un moyen comme un autre de toucher à quatre challenges multijoueurs et un mode solo. Pour tout vous dire, c'est à l'occasion d'un concours entre les Etats-Unis, le Japon et l'Europe, que Capcom nous a permis de voir de quoi était fait Dead Rising 2. Si officiellement, nous n'avions pas droit de toucher au seul mode solo réservé à la presse US (arigato Capcom Japon, très classe !!), nous nous sommes quand même débrouillés pour pouvoir y jouer. Ce dernier n'était cependant pas le plus intéressant dans le sens où il s'agissait d'un simple mode Survival nous demandant de tenir 10 minutes dans un casino infesté de zombies tout en éliminant au minimum une centaine de cibles. Toutefois, on aura malgré tout pu utiliser certaines armes bien délirantes comme le baton customisé avec une double tronçonneuse, le fauteuil roulant ou des classiques à l'image du katana, les bidons d'essence, etc. Dans tous les cas, le jeu semble plus que jamais tenir la route, le nombre de zombies à l'écran ne suscitant que de très rares ralentissements, un peu plus présents il est vrai dans un des modes multi.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Dead Rising 2. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Dead Rising 2.