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Nous avons réuni 9 tests du Dead Rising 2. Les experts notent Dead Rising 2 7.5/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dead Rising 2 et d'autres Jeux PC.
Les licences japonaises confiées à des studios occidentaux, d'expérience, ce n'est pas forcément une idée lumineuse, surtout si l'on se concentre sur le passif de Capcom en la matière. Heureusement, dans le cas de Dead Rising 2, on peut logiquement être optimiste. Tout d'abord, Blue Castle Games, le studio canadien choisi par l'éditeur nippon pour le développement, hérite tout de même d'un titre aux bases plus que solides. Ensuite, son expérience dans le monde du baseball ne peut que lui servir pour nous aider à éclater dignement du zombie à la batte. Il y en a qui n'ont vraiment pas de pot dans la vie. Prenez Chuck Greene, par exemple. En plus d'avoir tragiquement perdu sa femme lors de l'épidémie qui ravagea Las Vegas, il doit désormais se saigner aux quatre veines pour payer le Zombrex de sa petite fille de sept ans, un médicament aussi cher qu'indispensable s'il veut éviter qu'elle ne se transforme en zombie depuis qu'elle a été contaminée. Ruiné, au sens propre comme au sens figuré, cet ex-champion de motocross n'a donc eu d'autre choix que de se rendre à Fortune City pour s'inscrire à un jeu télévisé que même l'esprit tordu d'Alexia Laroche-Joubert n'aurait pu imaginer.
Après que Capcom nous ait prouvé en 2006 qu'il était possible de concilier horreur et grand guignol, la société japonaise revient en force cette année avec un second Dead Rising. Pour le coup, on a droit à une toute nouvelle aire de jeu toujours aussi malfamée mais où l'humour et le second degré règnent une fois encore en maîtres. Récit d'un jeu de zombies pas comme les autres... Si George A. Romero a depuis longtemps clamé son amour pour le cinéma de genre et plus particulièrement les films de zombies, les tas de chair fraîche ambulante ont depuis quelque temps retrouvé les faveurs du tout Hollywood mais aussi et surtout celles du jeu vidéo. Pour autant, Capcom conserve son statut de vétéran vidéoludique dans le domaine. Se retrouver face à Dead Rising 2 n'a rien de surprenant puisque le titre reste un excellent complément à d'autres séries de l'éditeur, Resident Evil en tête, de par son orientation second degré totalement assumée. De fait, si l'histoire de Dead Rising 2 nous narre le destin brisé de Chuck Green qui va devoir composer avec sa fille infectée et la perte de sa femme, le synopsis lorgne rapidement vers la série B saupoudrée d'une grosse louche d'humour.
Hommage aux films de zombies et leurs policières lesbiennes obèses, leurs clowns jonglant avec des tronçonneuses, Dead Rising était un des jeux les plus étonnants de sa génération. Il semblait être en permanence à la limite de la parodie. La séquence d'ouverture de Dead Rising 2 marque un évident changement de rythme. Au lieu de courir comme un fou dans un centre commercial rempli de morts-vivants, vous participez à une émission de jeux avec des zombies appelée « la terreur est la réalité» et vous déchiquetez des hordes de zombies dans une arène en fonçant à travers au volant d'une moto équipée de tronçonneuses. Avec la précédente preview de Dead Rising 2, nous avions pu nous faire une bonne idée de ces mini jeux à l'humour très noir, mais de nombreuses questions sur le jeu en solo restaient en suspens - par exemple la manière d'intégrer à l'histoire une émission de jeux avec des zombies. En fait, vous ne passez qu'un round dans « la terreur est la réalité» avant que tout ne tourne au vinaigre. Le troupeau de zombies est libéré pour infecter et dévorer les habitants de Fortune City, le Las Vegas fictif du jeu.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
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On pensait franchement avoir fait le tour de la question Dead Rising 2 au fil des nombreuses previews qui nous ont été accordées depuis près d'un an. Mais après avoir parcouru plusieurs fois le globe pour plusieurs séries de présentations, c'est à Paris que nous avions cette fois l'opportunité d'essayer une version quasi-définitive du jeu de Capcom. Les fans ont-il eu raison d'attendre fébrilement une suite, quatre ans après l'original ? Premiers éléments de réponse. Les développeurs de Blue Castle Games ont longtemps souhaité entretenir le mystère autour du scénario de Dead Rising 2, à croire qu'il était en lice pour l'Oscar. Ce ne sera peut-être pas forcément le cas au final, mais le studio a manifestement fait des efforts pour nous épargner un script aussi décérébré que les zombies chargés de l'animer. Pour avoir les moyens de payer la dose quotidienne de Zombrex à sa fille, mordue par un zombie et menacée de dégénérescence en cas de manque, Chuck Greene est devenu malgré lui la vedette d'un jeu macabre, Terror is Reality. Le show, animé par un MC aussi pimp que P. Diddy et Jay-Z réunis, rassemble des centaines de milliers de spectateurs trop heureux de prendre leur revanche sur ces dégénérés, élevés en batterie dans les sous-sols de Fortune City.
L'une des bonnes surprises de l'année 2006 pour Capcom, fut incontestablement Dead Rising. Une nouvelle série brillamment introduite par un épisode de haute volée. Et pour une fois, la firme japonaise a décidé de ne pas exploiter ce succès initial jusqu'à plus soif. Les fans auront dû attendre quatre ans pour voir des hordes de zombies venir à nouveau infester leurs consoles. Après avoir mis la main sur la partie solo du jeu, on peut d'ores et déjà affirmer que l'attente n'aura pas été vaine. C'est un fait, la sortie de Dead Rising 2 constitue pour Capcom l'évènement majeur de cette fin d'année. La nouvelle politique de l'éditeur japonais voudrait donc que ce projet soit développé en interne, les récents échecs commerciaux de Dark Void ou encore Bionic Commando l'ayant vacciné contre les développeurs occidentaux. Pour autant, ce n'est pas le cas ici puisque c'est à Vancouver, chez Blue Castle Games, que ce deuxième Dead Rising est actuellement en développement. Une manière pour Capcom et Keiji Inafune d'apporter de nouvelles idées à leur création et de corriger les lacunes du premier volet. Cela passait notamment par un scénario plus développé.
Parmi les poids lourds de la version 2010 du Captivate, on trouvait Dead Rising qui, en plus de bénéficier d'une présentation axée sur le mode Coopération, était disponible en version jouable. Nous n'avons pas résisté à nous jeter sur les manettes pour démastiquer des tas de zombies de manières plus délirantes les unes que les autres. Petite précision avant d'entrer dans le vif du sujet : Dead Rising 2 se déroulera cinq ans après le premier volet. Et, en annexe à cette information, sachez que Capcom nous prépare Dead Rising Case Zero, un DLC qui fera le pont entre les deux opus principaux mais qui servira surtout à introduire l'intrigue du deuxième. Ce ne sera pas une étape superflue dans la mesure où les producteurs et les développeurs de Dead Rising 2 nous ont promis qu'il lèvera un peu le voile sur le coeur de l'intrigue. Fin de l'intermède, revenons-en à ce que nous avons pu voir durant le Captivate 2010. Cette fois-ci, on dirigera Chuck Greene, un survivant apparemment très doué en matière de pilotage de deux-roues. Et c'est sans doute grâce à cette activité mécanique que Chuck a développé un incroyable sens pratique qui lui permet de bricoler des armes redoutables avec des objets apparemment sans aucun rapport les uns avec les autres.
Gamekult
Ajouté le : 04/2010
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Jeu-clé dans l'histoire de Capcom, Dead Rising signait l'entrée fracassante de l'éditeur dans la génération actuelle. Quatre ans plus tard, le robot bleu s'est imposé comme une valeur sûre dans un milieu du jeu vidéo japonais en plein désarroi. Signe des temps, c'est à un studio canadien, Blue Castle Games, que revient la tâche de réinjecter du sang neuf dans une série qui n'a pas été exploitée jusqu'à la moelle, aussi inhabituel que cela puisse paraître. Rendez-vous était pris au sein des studios pour découvrir ce que nous réserve Dead Rising 2, une suite qui promet de laisser des traces. Une chouette salle avec des bornes Xbox 360 / PlayStation 3 disposées de part et d'autre, quatre démos à se mettre sous la dent : les retrouvailles avec nos amis zombies promettaient d'être chargées. Pour tout dire, deux des démos nous étaient déjà familières ; nous avions pu tâter longuement du Versus en multijoueur à l'occasion du Tokyo Game Show, et la démo du CES, de nouveau croisée au X10, n'avait quasiment plus aucun secret pour personne. Mais c'est la première fois que nous mettions les pieds au Royal Flush Plaza, la galerie marchande principale de Fortune City, ce Vegas de pacotille qui sera le théâtre des aventures de Chuck Greene.
Malgré quelques imperfections, Dead Rising faisait partie des bonnes surprises de la première génération de jeux Xbox 360. La série n'est désormais plus une exclusivité Microsoft puisque la suite s'apprête à sortir sur PS3 et PC. Et après tout, on ne voit pas pourquoi le massacre de zombies serait réservé à certains joueurs, car Dead Rising 2 s'annonce jouissif ! Pour cette petite séance de prise en main cependant, c'est bien sur 360 que le jeu tournait, en présence de Rob Barrett en personne (le boss de Blue Castle Games, pas le guitariste de Cannibal Corpse). Au passage, signalons d'ailleurs que la console de Microsoft bénéficiera tout de même d'un contenu exclusif baptisé Case Zero, qui fera office de pont entre Dead Rising 1 et 2 (cinq années séparant les deux titres). Ces considérations étant faites, voyons plus concrètement ce que le titre a à nous offrir : de l'action, de l'action et encore de l'action ! En effet, pour cette démo, le studio ne s'est pas encombré d'un scénario, même si la version finale proposera bien une histoire avec des survivants à sauver. Au lieu de ça, les développeurs avaient préféré mettre l'accent sur le côté bac à sable du titre, en nous permettant d'exterminer des centaines de zombies dans les rues de Fortune City (la grosse ville de jeu qui sert de cadre à cet opus).
Présenté exclusivement dans le cadre d'une soirée Capcom, en parallèle du Tokyo Game Show, Dead Rising 2 aura pu passer entre nos minimes. Un moyen comme un autre de toucher à quatre challenges multijoueurs et un mode solo. Pour tout vous dire, c'est à l'occasion d'un concours entre les Etats-Unis, le Japon et l'Europe, que Capcom nous a permis de voir de quoi était fait Dead Rising 2. Si officiellement, nous n'avions pas droit de toucher au seul mode solo réservé à la presse US (arigato Capcom Japon, très classe !!), nous nous sommes quand même débrouillés pour pouvoir y jouer. Ce dernier n'était cependant pas le plus intéressant dans le sens où il s'agissait d'un simple mode Survival nous demandant de tenir 10 minutes dans un casino infesté de zombies tout en éliminant au minimum une centaine de cibles. Toutefois, on aura malgré tout pu utiliser certaines armes bien délirantes comme le baton customisé avec une double tronçonneuse, le fauteuil roulant ou des classiques à l'image du katana, les bidons d'essence, etc.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Dead Rising 2. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Dead Rising 2.