11 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 11 tests du Darksiders 2. Les experts notent Darksiders 2 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Darksiders 2 et d'autres Jeux Xbox 360.
On peut considérer Darksiders, sorti en janvier 2010, comme l'une des plus belles surprises de cette génération de consoles. Darksiders ne révolutionnait pas réellement le monde du jeu vidéo en proposant un clone de Zelda subtil et intelligent saupoudré d'un zeste de God of War, mais il est arrivé à séduire bon nombre de joueurs grâce à son univers cohérent et à la patte inimitable du fondateur de Vigil Games : Joe Madureira. La grande réussite de Darksiders fut de proposer une direction artistique littéralement excellente signée en partie par le célèbre dessinateur de comics. Le premier Darksiders fut une excellente surprise, et sa suite était attendue comme devant être la confirmation de tous les espoirs placés sur cette nouvelle franchise. Le premier Darksiders racontait l'histoire de Guerre, l'un des quatre Chevaliers de l'Apocalypse arrivant sur terre le jour de la fin du monde et devant mettre un terme à la terrible guerre opposant les anges et les démons. Etant le seul cavalier présent lors de ce jour funeste, il dut se rendre à l'évidence, il n'arriverait jamais à sauver l'humanité qui fut rayée de la terre après la victoire de démons.
Ça y est. Après plus de deux ans et demi d'attente et quelques mois de retard, la suite tant attendue de Darksiders est enfin arrivée. Un épisode clé pour la jeune saga de Vigil Games qui doit confirmer son statut d'outsider et devenir une juteuse licence pour son éditeur THQ. Les développeurs texans n'ont donc pas le droit à l'erreur et doivent prouver que cette seconde itération est loin d'être une suite facile. Reste à vérifier si c'est bien le cas. On le sait depuis des lustres, War n'est pas le héros de cette seconde itération. À la place, c'est son frère d'arme Death (Mort) que l'on incarne. Mais la petite subtilité de ce deuxième épisode vient surtout du moment où démarre cette nouvelle histoire. En effet, elle ne commence pas juste après la conclusion du premier épisode, comme on aurait pu le penser, mais débute pratiquement au même moment que les péripéties du cavalier rouge. Death, voyant son collègue en mauvaise posture, souhaite laver l'honneur de son camarade et se dirige vers le gardien des secrets afin de trouver une solution. Malheureusement Mort va devoir s'occuper d'un second problème, bien plus personnel, rongeant l'Équilibre de l'univers. Un synopsis qui, de prime abord, nous immerge totalement dans l'aventure.
Plus riche, plus beau, plus intense et plus long que son prédécesseur, Darksiders II est une incontestable réussite. Reprenant la formule entraperçue dans le premier volet, les développeurs de Vigil Games sont parvenus à transcender l'expérience dans pratiquement tous les domaines, offrant une aventure épique de longue haleine ou exploration et combats font bon ménage. Les ajouts au niveau du gameplay, notamment les nombreuses composantes de RPG, contribuent à rendre l'expérience plus jouissive et à gommer ses principaux défauts (technique parfois défaillante, scénario confus, caméra capricieuse) au point de faire de Darksiders II le compagnon idéal en cette rentrée 2012 ! Darksiders II débarque enfin en France. L'attente en valait-elle la chandelle ? Plus de deux ans après la sortie du premier opus, la franchise Darksiders est de retour pour le plus grand bonheur des millions de joueurs tombés amoureux de cet ersatz de Zelda, exclusivement réservé aux adultes. La suite tient-elle toutes ses promesses ou se contente t-elle juste de réchauffer une ancienne formule gagnante ? Réponse dans les lignes qui suivent !Premier changement qui frappe dès les premiers instants du jeu, le héros n'est plus le même !
Tous les signes sont là et le moindre gourou de bas étage se fait une joie de nous le rappeler : l'apocalypse approche à grands pas. Pas la peine de chercher à vous dérober à votre destin, l'humanité est déjà condamnée. Ne perdez pas courage pour autant, il nous reste une petite lueur d'espoir : la mort personnifiée pourrait bien venir nous sauver histoire de rétablir l'équilibre et accessoirement pour donner un coup de main à son frérot. Pas besoin d'être très futé pour se douter que ce fameux Darksiders II est une suite du premier volet sorti en 2010. On retrouve aux manettes le studio Vigil Games fondé par Joe Madureira. Ce nom ne vous dit rien ? Il s'agit tout simplement d'un dessinateur de comics particulièrement talentueux qui a laissé sa marque dans la série des X-Men. On peut affirmer sans trop se tromper que sa reconversion professionnelle était une vraie réussite : Darksiders, le premier bébé de Vigil Games, n'a eu aucun mal à conquérir le cœur des joueurs. Ce premier opus ne brillait pas forcément par son originalité, on l'a d'ailleurs souvent comparé à un mix entre un God of War et un Zelda, mais il proposait par contre une action intense et un univers grandiose que l'on prenait vraiment plaisir à parcourir.
Vigil Games avait su créer la surprise avec le premier Darksiders, vite qualifié de "Zelda pour adultes" par les joueurs lassés de la naïveté du héros en tunique verte. Deux ans et demi plus tard, le studio livre un second épisode plus agile, plus grand, plus long, plus riche... mais cela suffit-il à le rendre meilleur pour autant ? Dans la vie comme dans la mort, les complots et les injustices sont légion. Mis à mort par le Destructeur et condamné à cent ans de solitude au Purgatoire pour avoir précipité l'Apocalypse sur Terre, le cavalier War (Guerre en français) avait combattu une myriade d'adversaires et négocié avec des individus peu recommandables dans Darksiders pour découvrir la vérité, en n'oubliant pas de se venger au passage. Mais pendant le siècle de tourments qui s'est écoulé avant son retour au Royaume des Hommes, un allié très proche oeuvrait dans l'ombre pour laver l'honneur de Guerre auprès du mystérieux Conseil Ardent. Il s'agit évidemment de Death (bizarrement pas traduit en Mort dans la version française), le leader des quatre cavaliers bibliques. Anti-héros torturé par le fait d'avoir massacré lui-même ses frères Nephilim, il s'est mis en quête d'un moyen de ressusciter l'Humanité et prouver l'innocence de son camarade.
En mai dernier, Darksiders nous mettait l'eau à la bouche. A un mois de sa sortie, nous avons pu passer quelques heures pad en mains pour confirmer une attente certaine de ce beat'em all à la frontière entre les genres, fortement enrichi en RPG. Souvenez-vous, dans le dernier aperçu que nous avions consacré à Darksiders II, nous passions en revue le moindre détail de son gameplay, évoquant notamment ses nouveaux aspects jeu de rôle à dénicher dans le système d'XP, l'arbre de compétences ou même la possibilité de revoir de fond en comble l'équipement de notre cavalier de l'Apocalypse, de ses groles à sa cape. Aussi, nous n'allons pas nous attarder de nouveau sur ces points déjà couverts dans tous les sens en mai. Pas question toutefois de passer sous silence quelques détails que notre session de jeu nous a permis de noter, comme l'augmentation conséquente du terrain de jeu, pourtant déjà loin d'être petit dans le premier épisode, ou l'arrivée de quêtes annexes plus nombreuses et de boss cachés.
A environ trois mois de sa sortie, Darksiders II se manifeste à nouveau à travers une démo inédite qui permet enfin d'apprécier pleinement autant l'univers du jeu que son personnage principal et ses multiples capacités. Manette en main, voici donc nos nouvelles impressions sur ce qui se profile comme un des meilleurs jeux d'action de l'année... Après Guerre, c'est donc le cavalier de l'Apocalypse Mort qui est le personnage principal de ce second volet. Notre héros doit ici déjouer une machination et secourir à long terme Guerre, tout en abattant des centaines d'ennemis. Pour cela, il dispose de nombreuses possibilités, comme s'il constituait en quelque sorte un mélange savant de Kratos (God of War) et Dante (Devil May Cry). Ainsi, en incarnant Mort, le joueur est capable de sauter, locker l'adversaire pour pouvoir tourner autour de lui, rouler de côté ou en arrière pour esquiver les attaques ennemies, grimper aux murs et courir sur ceux-ci, sans oublier évidemment la faculté d'user d'armes pour hacher menu les belligérants. Sur ce dernier point, il en existe deux types, chacune dédiée à un bouton de la manette : les armes primaires et les armes secondaires.
Mort se rapproche. C'est au détour d'un voyage au pays du gouda et plus précisément dans la ville où le vélo est roi, que l'on a enfin pu s'engouffrer, manette en mains, dans un des nombreux donjons en compagnie du nouvel héros de Darksiders II. Pas de mauvaises surprises en perspective, Mort a la carrure et le charisme nécessaires pour faire oublier Guerre, lui aussi cavalier de l'apocalypse et protagoniste central du premier volet. Cape sur le dos, démarche et course voûtées comme s'il était pressé de fondre sur sa proie, Mort n'est pas là pour prêcher la bonne parole. Avec lui ce serait plutôt "la messe est dite". La communion ? A la place de l'ostie sur la langue, une lame soigneusement plantée dans la tête. Pas de demi-mesure, la seule voie impénétrable qu'il connaisse et maîtrise est dictée par ses deux épées. Ce cavalier qui surgit hors de la nuit et court vers l'aventure au galop n'a rien du Zorro (et a encore moins un Bernardo comme second). Quoique si en fait. Mais plutôt que de compter sur les services d'un gentil sourd et muet, Mort va s'appuyer sur un type qui fréquente visiblement les salles de musculation après le boulot. Arborant un physique de déménageur, ce bonhomme va surtout l'aider dans les phases de plates-formes.
Si peu de monde avait misé sur Darksiders avant sa sortie, nombreux sont ceux qui attendent en revanche sa suite avec impatience. Il faut dire que Vigil Games avait frappé fort début 2010 en livrant un premier épisode d'une rare qualité. Immédiatement sollicité par THQ pour concevoir une suite, le studio américain a décidé de voir les choses en grand, en dépit du peu de temps séparant les deux productions. A quelques mois de la sortie du jeu, les développeurs continuent de dévoiler au compte-gouttes les informations concernant Darksiders II et de dessiner progressivement les contours d'une aventure qui s'annonce fabuleuse. La dernière présentation en date n'a fait que confirmer cette tendance même si nous n'avons pas pu essayer le tout manette en main. Si vous suivez de près l'actualité de Darksiders II, vous avez certainement constaté que les développeurs insistaient énormément sur le charisme du personnage principal de cette suite : Mort. De nombreuses images et vidéos sont déjà sorties à son sujet. Plus que sur tout autre aspect du jeu, la présentation à laquelle nous avons assistée est une nouvelle fois longuement revenue sur les origines et les spécificités de ce héros un peu spécial.
Après les ravages de Guerre dans le premier Darksiders, c'est au tour de son frangin Mort de donner de la voix. Les cavaliers de l'Apocalypse ne sont pas des gens que l'on enquiquine impunément. Ils n'étaient pas forcément nombreux ceux qui s'attendaient à trouver en Darksiders premier du nom un jeu capable de tenir tête à bien des blockbusters. Véritable Zelda sous stéroïdes, le titre de Vigil Games empruntaient ses codes à la série de Nintendo tout en affirmant haut et fort son identité, son look et sa violence bien rêche. Avec cette suite, le studio va plus loin, s'affranchit et mise gros. Après Guerre, place à Mort, qui, ayant appris les accusations portées contre son frangin, a décidé de tirer les choses au clair dans une aventure encore plus vaste et qui se pare d'un aspect RPG, avec tout ce que cela comprend d'arbres de compétences, de trésors et de loot à gogo. Des aspects que notre précédent aperçu vous avez déjà donné l'occasion de découvrir. Alors quoi de neuf à la Gamescom ? Las, pas grand-chose pour tout dire. Si notre premier contact avec Darksiders 2 était gargantuesque, cette seconde rencontre s'est présentée sous la forme d'une vidéo de gameplay au son défaillant au point de peiner à saisir les dialogues de la séquence d'introduction. Ca n'aide pas à se mettre dans le bain.
Sorti au début du mois de janvier 2010, à une période où les blockbusters ne se bousculent généralement pas, Darksiders s'est avéré être un excellent titre. Et pourtant, il s'agissait là du tout premier projet de Vigil Games qui a choisi de s'inspirer d'une multitude d'œuvres mondialement réputées pour concevoir un jeu d'aventure/action doté au final - de manière assez paradoxale - d'une vraie identité. C'est donc fort logiquement que le public pourra découvrir Darksiders II dans le courant de l'année 2012, la suite au combien ambitieuse d'une série devenue en l'espace d'un épisode, un atout majeur du catalogue de l'éditeur THQ. Incontestablement, Darksiders a été l'une des très belles surprises de l'année 2010. Avec Darksiders II, on s'attendait donc à ce que les développeurs réutilisent consciencieusement la formule du premier épisode tout en intégrant quelques nouveautés et en corrigeant les détails qui n'allaient pas. On s'en serait d'ailleurs contenté, tant l'expérience vécue il y a un an et demi fut plaisante. Mais c'était sous-estimer l'ambition de Vigil Games qui, par manque de temps et de moyens, n'avait pu intégrer à sa création initiale toutes les idées imaginées en amont.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Darksiders 2. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Darksiders 2.