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Nous avons réuni 16 tests du Dante's Inferno. Les experts notent Dante's Inferno 6.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dante's Inferno et d'autres Jeux Playstation 3.
Après Dead Space, Visceral Games laisse tomber le survival horror pour le beat’em all 3D, genre ô combien apprécié des joueurs ces derniers temps, et qui plus est doté d’une ambiance qui n’aura aucun mal à mettre mal à l’aise même les plus hardis... Les amateurs d’histoire n’auront sans doute pas mis de temps à comprendre que Dante’s Inferno s’était librement inspiré de la fameuse Divine Comédie. Aux commandes de Dante, vous devrez rendre une petite visite aux Enfers et à ses fameux 9 cercles, afin de retrouver votre chère et tendre Béatrice jalousement gardée par un Lucifier qui donnerait presque la chair de poule (s'il était mieux modélisé...) Car au delà de sa capacité à nous offrir un beat’em all 3D, certes très (vraiment trop en fait...) inspiré par la série God of War, Dante’s Inferno arrive, là où de nombreux softs ont échoué, à nous embarquer dans une ambiance véritablement malsaine et dérangeante, dépeignant d’une façon très brute les Enfers, et ceux qui les habitent. Dommage que la partie graphique du soft n’ait pas eu droit au même soin, histoire de pousser l'immersion à un stade encore plus élevé. Le jeu affiche en effet des textures souvent peu soignées, et des personnages assez mal finis.
Après avoir donné sa vision du survival horror avec Dead Space, Visceral Games s'essaye à un genre qui cartonne en ce début 2010 : le beat'em all. Après Bayonetta et Darksiders et en attendant le nouvel opus de la série qui domine le genre; God of War; voici que Dante's Inferno essaye de se faire une place au soleil. Particularité du jeu il s'agit d'une adaptation de La Divine Comédie. Reste à savoir si le jeu d'Electronic Arts est une tragédie ou un péplum. Dante's Inferno est une adaptation très libre de La Divine Comédie, livre écrit par Dante Alighieri entre 1308 et 1321. Ce portage vidéoludique se consacre plus particulièrement à la première partie : la descente aux enfers de Dante. Dans le jeu le héros, Dante, rentre de croisade où il a commis un très grand nombre de pêchés dont celui d'adultère. A son retour il découvre sa femme, Béatrice, morte. Enlevée par Lucifer himself, la dépouille de Béatrice part pour les enfers car la compagne de notre héros avait pariée son âme que son mari ne la tromperait jamais. Dante décide alors de partir combattre le diable et devra donc affronter ses péchés à travers les 9 cercles des enfers. Voici la base scénaristique de ce Dante's Inferno.
Le succès de God of War sur les consoles de Sony a visiblement donné des idées à Electronic Arts. La firme américaine débute en effet l'année 2010 avec la sortie de Dante's Inferno, une nouvelle licence qui a la lourde tâche de concourir dans la même discipline que le dieu de la guerre. Confié à Visceral Games, studio à qui l'on doit le très bon Dead Space, le développement du titre a-t-il tenu toutes ses promesses ? Dante's Inferno, c'est une histoire librement inspirée de la Divine Comédie dans laquelle Dante, un soldat au service de l'église, se retrouve en Enfer pour sauver sa douce et tendre Béatrice. Derrière cette motivation un brin classique, Dante va se retrouver à voyager au-delà des neuf cercles de l'Enfer, en prenant bien soin d'éviscérer toute créature démoniaque suffisamment stupide pour se dresser sur son chemin. Armé principalement d'une faux, récupérée sur le cadavre de la Mort elle-même, notre pieux chevalier va donc s'attaquer à des ennemis dont la férocité et la taille feraient pâlir plus d'un héros de jeux vidéo. Autant le dire tout de suite, oui, les similitudes avec God of War sont nombreuses. Le monde torturé que le joueur parcourt tout au long du jeu ne peut pas ne pas faire à penser à celui que Kratos connaît.
Superbement représenté par des séries telles que Devil May Cry ou God of War, le genre beat-em-all semble attirer depuis quelques mois de plus en plus de développeurs : après les excellents Darksiders de THQ et Bayonetta de Sega, c'est le Dante's Inferno d'Electronic Arts qui entre dans la danse. Test complet.Inspirée de la Divine Comédie de Dante Alighieri, la dernière production de Visceral Games montre toutefois très vite l'étendue des libertés prises avec l'oeuvre originale : le Dante que vous incarnez ici n'est pas un poète mais un chevalier des Croisades, et son expédition vers le coeur des Enfers n'est pas destinée à le sortir de la forêt dans laquelle il s'est perdu mais bien à sauver son amour de toujours, Béatrice. De fait, il n'est nullement nécessaire d'avoir lu l'oeuvre du poète italien pour comprendre le scénario du jeu, d'autant que celui-ci est narré de manière suffisamment claire au travers de cut-scenes et autres vignettes façon BD pour être aisément assimilé.L'aventure démarre alors que Dante, plongé au coeur des grandes batailles des Croisades, croise le chemin de la Mort. Sûr de lui, le jeune homme parvient à terrasser son adversaire et s'empare de sa faux avant de reprendre la route pour rentrer chez lui.
S'inscrivant dans la continuité d'un God of War, Dante's Inferno n'entend nullement cacher ses relations étroites avec la série de Sony. Misant sur le même type de gameplay et une construction plus ou moins similaire, le bébé de Visceral Games s'émancipe quelque peu de son modèle par un univers bien plus malsain que les hautes sphères de l'Olympe. Ainsi, si Kratos s'élève vers les cieux, Dante, lui, devra prendre le chemin inverse pour retrouver sa bien aimée Béatrice au coeur même de l'Enfer... Triste sort, certes, mais finalement le plus dur, c'est le premier pas. Toi qui pénètre en ces lieux, oublie tout, ou presque, de ce que tu connais de La Divine Comédie. En effet, bien que le périple de Dante soit toujours mû par la recherche de sa tendre femme décédée et que Virgile nous guide à mesure de notre descente, le reste ressemble plus à un fantasme qu'à une volonté de coller de près au poème de Dante Alighieri. Est-ce un mal ? Nullement dans le sens où le propos est ici de se servir d'une base pour donner à un jeu d'action un fabuleux background. Sur ce point, le résultat est d'ailleurs fort probant grâce à l'artiste Wayne Barlowe ayant offert son talent à plusieurs créatures infernales.
"Vous qui entrez ici, abandonnez tout espoir." La Divine Comédie, quelle histoire passionnante ! Œuvre insondable ayant inspiré bon nombre d'artistes, ce livre est aussi et surtout connu pour avoir traumatisé beaucoup de pauvres lycéens. Car s'il avait la plume prolixe et l'imagination débordante, Dante Alighieri n'avait pas son pareil pour alambiquer ses tournures de phrases, rendant par là même toutes études de textes particulièrement ardues pour des caboches de 16 ans. Bref, tout ça pour dire que si Dante's Inferno était sorti il y a 10 ans, l'auteur de ce texte ne se serait peut-être pas tapé un calot à son Bac blanc. Ca ne lui aurait peut-être pas été facile de persuader ses parents qu'il était en train de réviser une manette à la main, mais au moins, il se serait moins pris la tête sur ces horripilantes rimes tierces...Développé par Visceral Games, le studio qui nous avait donné des sueurs froides avec Dead Space, Dante's Inferno est donc un titre inspiré par le premier (et plus célèbre) cantique du triptyque d'Alighieri : l'Enfer. Sauf qu'à la différence de son illustre source d'inspiration, Dante n'y est plus un poète perdu au fond des bois faisant un voyage imaginaire du côté de chez Satan, mais un croisé toscan plutôt barbare dont on a tué la femme Béatrice.
En ce début d'année 2010, il est un genre qui a définitivement le vent en poupe. Spectaculaire, efficace et plutôt facile à concevoir depuis que God of War a montré la voie, le beat'em all 3D est une recette qui marche. Pas étonnant de voir Electronic Arts s'engouffrer dans la brèche faute d'un beat majeur dans son portfolio. Pour donner corps à Dante's Inferno, l'éditeur a même fait appel à l'un de ses studios en vogue, Visceral Games, qui s'est récemment distingué sur Dead Space. Autant dire que niveau ambiance, on pouvait de nouveau s'attendre à vivre un véritable enfer. Librement inspiré de la Divine Comédie, Dante's Inferno relate plus précisément la descente de Dante aux Enfers, à la recherche de son épouse Beatrice prise au piège de Lucifer. De retour de croisade où il s'est livré aux pires infamies, notre brave héros pensait retrouver les siens après avoir défié et triomphé de la Mort elle-même. Hélas, le repos auquel notre guerrier aspirait sera de courte durée. Mis à l'épreuve par Lucifer, il lui faudra pour retrouver sa belle expier ses péchés en traversant les neuf cercles des Enfers. Muni de sa faux et de la Croix de sa bien-aimée, Dante sera confronté aux pires monstruosités. Heureusement qu'il a derrière lui un joueur aux pouces bien affûtés, prêt à maltraiter une pauvre manette qui va connaître elle aussi l'enfer.
Le genre beat them all est à l'honneur en ce début d'année avec des titres tous plus fabuleux les uns que les autres : Bayonetta, God of War III (à venir) et aujourd'hui, le pas très pieux Dante's Inferno de Visceral Games, développeur à qui l'on doit notamment Dead Space Extraction. Et pour être honnête, même si le purgatoire n'est pas recommandé à la plupart des mortels, cette descente aux enfers a vraiment de quoi donner envie (mais, c'est un pêché...) !Les versions du jeu étant similaires, les tests le sont aussi. Le titre de Visceral Games est une version adaptée de la divine comédie de Dante Alighieri. Il s'agit d'une oeuvre majeure de la littérature qu'il n'est pas indispensable de connaître pour apprécier Dante's Inferno. Et heureusement d'ailleurs car la version jeu vidéo des aventures de Dante n'a déjà rien d'une promenade de santé. En effet, notre héros est un croisé qui a pêché lors de la guerre sainte et sa promise, la séduisante Béatrice, en fait les frais. Il entame alors un infernal périple dans les limbes pour l'arracher aux griffes de Lucifer lui-même. Toutes ces références religieuses ne doivent pas vous inquiéter car il s'agit en fait d'un prétexte pour un des beat them all les plus pêchus du moment.
Baser un jeu sur un poème du XIVe siècle se déroulant en Enfer a certains avantages. Pour commencer, avec Dante's Inferno, vous n'avez pas à payer de droits d'auteur ni à vous inquiéter que Dante Alighieri envoie ses avocats pour se plaindre que vous avez dénaturé son travail. En fait, vous n'avez pas à redouter que quiconque vienne se plaindre dans la mesure où seulement 27 personnes au monde ont pris la peine de lire ce livre écrit en vers hendécasyllabiques, et la moitié d'entre elles mentent. Malgré tout, il y a aussi des risques. Vous ne pouvez pas employer la plupart des éléments incontournables des jeux d'action/aventures les plus populaires comme les armes, les voitures, les extraterrestres, les zombies, le compagnon d'équipée à l'humour vaseux et les héroïnes féminines avec des fesses ressemblant à deux ballons de basket dans des taies d'oreiller. Vous êtes limités dans le type d'ennemis que vous pouvez créer et dans les environnements qu'ils peuvent habiter. Par ailleurs, comme c'est le cas avec n'importe quel jeu se déroulant en Enfer, vous risquez fort de finir par avoir recours à un grand niveau avec de la lave. Par conséquent, que va faire le développeur ?
Gamekult
Ajouté le : 11/2009
Plus accessible...
Les amateurs de beat'em all délicats ont sans doute plus que quiconque hâte d'avoir enfin les pieds en 2010 pour goûter à toutes les merveilles qui leur sont promises. On pense, bien sûr, à Bayonetta ou God of War III, mais Electronic Arts aimerait également que son Dante's Inferno réussisse à se tailler une part du gâteau grâce à sa faux rédemptrice et ses visions infernales. Nous avons il y a quelques jours passé un peu de temps en compagnie de ce titre à l'ambiance singulière a priori mieux placé pour faire cauchemarder que rêver. Pas besoin de s'être farci La Divine Comédie de Dante Alighieri pour comprendre de quoi il en retourne ici. Simple source d'inspiration pour les développeurs de Visceral Games, l'oeuvre du poète italien leur a surtout permis de donner naissance à un univers malsain, dérangeant, où se côtoient créatures improbables et monstres difformes. Pas effrayé pour un sou, Dante, notre preux héros, sera donc invité à traverser les neuf "cercles infernaux" pour tenter de sauver sa chère et tendre Béatrice - qui doit quand même avoir des choses à se reprocher pour se retrouver prise au piège dans un tel endroit.
"Vous qui entrez, abandonnez toute espérance !". Voilà une formule célèbre dont on oublie souvent qu'elle provient de la Divine Comédie, poème italien qui décrit les péripéties de Dante et plus particulièrement sa descente au travers des neuf cercles de l'Enfer. En tant que tel, le sujet ne pouvait manquer d'inspirer les développeurs de Visceral Games, qui après avoir fait frémir l'univers avec Dead Space, s'activent désormais sur un beat'em all de grande classe. Notre dernier contact avec la bête nous aura d'ailleurs entraînés au royaume de la luxure pour un voyage dont nous ne sommes pas ressortis indemnes. Avec Dante's Inferno, les petits gars de Visceral Games s'efforcent de produire une étrange mixture : une potion odorante qui mêle fascination et répulsion dans le même chaudron. En ce sens, la démo à laquelle nous avons eu la chance de jouer remplissait merveilleusement bien son office. Dynamique, intense et très bien réalisée, cette dernière n'en suscitait pas moins une bonne dose de dégoût du fait de son atmosphère poisseuse et de ses abominations à la peau nue. Tout était effectivement là pour donner vie au sinistre cercle de la luxure, royaume de la débauche et du vice.
Une œuvre et un jeu à succès produit par un concurrent : tels sont les deux ingrédients désormais indispensables à Visceral Games pour produire un titre inédit. Après avoir réuni le meilleur d’Alien (le film) et de Resident Evil (le jeu) dans un Dead Space dont la simple évocation suffit à coller le frisson à bien des joueurs, le studio interne d’Electronic Arts s’empare aujourd’hui de l’âme de Devil May Cry et la plonge dans le chaudron bouillonnant de la Divine Comédie. Furieusement gothique et sacrément flamboyant, Dante’s Inferno s’est laissé dompter durant quelques minutes sur PS3. Bayonetta le 8 janvier, Dante's Inferno le 12 février, God of War III en mars (ou en avril, ou en mai), les amateurs d’action brutale ne vont plus savoir où donner de leur grosse épée dans les prochains mois. Si la nouvelle aventure de Kratos ne manquera pas de remporter un franc succès, les deux outsiders semblent avoir suffisamment de répondant pour se faire une petite place dans le palpitant des apprentis meurtriers. A commencer donc par ce Dante’s Inferno irradiant de sauvagerie.
Figurant parmi les éditeurs les plus fourni durant cette Games Convention, Electronic Arts fut également l'un des seuls à proposer plusieurs titres attendus en versions jouables sur son stand presse. Une aubaine puisque nous avons pu nous essayer à Dante's Inferno, la nouvelle création de Visceral Games déjà à l'origine de l'excellent Dead Space. Kratos n'a qu'à bien se tenir ! Dante, un croisé, s'en va-t-aux enfers histoire d'arracher sa chère Béatrice des griffes de Lucifer. Voilà un résumé succint du scénario de Dante's Inferno inspiré, rappelons-le, de la Divine Comédie de Dante Alighieri, écrite au XIVème siècle. Comme vous le savez certainement, la quête de Dante en enfer ne prendra pas les atours d'un point'n'click ou d'un shoot them up mais bien d'un beat them all dans la droite lignée de God Of War. A tel point d'ailleurs que, dès la manette en mains, tous les automatismes contractés sur le titre de Sony refont immédiatement surface, et pour cause puisque Visceral Games a ouvertement copié ce dernier pour créer son jeu. Certes, le terme peut paraître un peu fort, mais les ressemblances sont si nombreuses et si évidentes qu'aucun doute n'est permis sur l'influence exercée par God Of War sur Dante's Inferno.
Concurrent à peu près direct de Bayonetta, Dante's Inferno est un beat'em all signé Electronic Arts qui illustre tout ce qu'il y a de plus viril dans le genre. Muni de sa faux de 250cm, Dante traverse les neuf cercles de l'Enfer une nouvelle fois devant nos yeux attentifs. Après le Survival-Horror avec Dead Space, les développeurs de Dante's Infero s'attaquent au beat'em all et comptent bien remporter un succès similaire d'ici l'année prochaine. Et pour ce faire, nous avons pu constater durant une longue présentation qui s'est ponctuée par 30 minutes de jeu non-stop qu'EA s'est donné les moyens de ses ambitions. Les amateurs de beat'em all grand spectacle adorant les mises en scènes travaillées et improbables seront à coup sûr aux anges au contact de ce titre qui nous a fait une impression... dantesque ! En effet, nous nous attendions à voir un titre enchaînant les combats épiques et nous n'avons pas été déçus. Bien au contraire, Dante's Inferno s'impose d'entrée comme les des jeux les plus bluffants du salon, prétendant ainsi au titre de meilleure surprise ou de meilleur jeu de la gamescom.
La descente de Dante aux enfers est le thème qu’a choisi une équipe de développement de Electronic Arts pour son prochain jeu d’action. Et pas n’importe quelle équipe, vu que c’est celle à l’origine de Dead Space ! Avec Dante’s Inferno, on est pourtant loin, très loin du FPS dans l’espace façon Alien. Le jeu se base sur la Divine Comédie, une œuvre de la littérature italienne du XIVème siècle. Dante’s Inferno se présente comme un jeu d’action en vue à la troisième personne ressemblant comme deux gouttes d’eau à God of War. Taille de personnage équivalente, arme semblable, combos similaires, boss gigantesque à achever à l’aide d’une QTE, ce n’est pas du pur plagiat, mais ça en a tout l’air ! L’explication en est toute simple. Si des membres de l’équipe de David Jaffe ayant bossé sur God of War pour Sony travaillent désormais dans l’équipe de développement de Dante’s Inferno, l’explication est en fait beaucoup plus évidente.
Gamekult
Ajouté le : 05/2009
Plus accessible...
Annoncé fin 2008, Dante's Inferno n'est rien de moins que le prochain projet des créateurs de Dead Space, sacré pedigree s'il en est. Mais plus question de jouer la carte du survival horror dégoulinant ; Redwood met cette fois le cap direction les Enfers, pour un beat'em all inspiré de La Divine Comédie de Dante. Premières impressions à l'issue du récent showcase organisé par Electronic Arts. Dans le monde merveilleux du jeu vidéo, il est fréquent de voir les studios se rapproprier une formule à succès pour surfer sur la tendance, en apportant malgré tout une petite touche personnelle. Dans le cas de Dante's Inferno, il faut bien reconnaître qu'on a surtout l'impression - pour le moment - de jouer à une skin de God of War. Mis côte à côte, les deux jeux se ressemblent sur tellement de points que l'on penserait même avoir affaire à des jumeaux. L'univers n'est certes pas le même. Comme son nom le trahit, Dante's Inferno puise son inspiration dans La Divine Comédie, l'oeuvre foisonnante du célèbre poète italien Dante Alighieri.
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