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Nous avons réuni 16 tests du Dante's Inferno. Les experts notent Dante's Inferno 7.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Dante's Inferno et d'autres Jeux Xbox 360.
Dante's Inferno, c'est l'histoire d'un mec qui, lors d'une virée entre potes, a trempé sa nouille là où il n'aurait pas dû, et qui ensuite rentre chez lui pour voir sa meuf partir dans les bras d'un grand black. Il va donc se farcir un à un tous les étages de la cité pour aller récupérer sa donzelle et dans la foulée péter les dents du mec qui la lui a piqué. Si vous voulez la version non-caricaturale, vous remplacez "virée entre potes" par "croisade", "grand black" par "Lucifer", "cité" par "Enfer" et "tremper sa nouille" par... ah ben non, ça, ça change pas. Dante's Inferno est l'adaptation vidéoludique de la Divine Comédie, et plus précisément de son premier acte, la descente aux Enfers de Dante. Ce background a au moins le mérite d'être franchement original, et permet aux designers de s'en donner à cœur joie. La représentation des neuf cercles de l'Enfer est en effet l'un des gros points forts du jeu, et les neuf "niveaux" que comprend le jeu sauront vous mettre plus d'une fois mal à l'aise : lacs de sang en ébullition dans lesquels des mains tentent de vous attirer, montagnes de corps damnés se lamentant, rivières de lave, traversée du Styx, perspective sur de gigantesques et sinistres environnements, tout est vraiment travaillé et sur ce plan il n'y a pas grand chose à redire, on avance dans le jeu sans sentiment de redite.
Les jeux qui portent la mention « action » ou « beat'em all » ont connu une bien belle époque par le passé. Les joueurs dégommaient des hordes de punks, de xénomorphes ou de robots à tour de bras. Les préjugés et l'avalanche de jeux sur ce thème avaient fini par classer les joueurs dans la catégorie « adolescents attardés ». Mais avec le retour de la qualité des jeux comme God of War sont entrés dans la légende. A tel point que les petits gars de chez EA et Visceral Games ont décidé d'avoir leur propre déclinaison du jeu légendaire. C'est ainsi que Dante's Inferno arrive dans nos bacs. Vous allez me demander si ce nom est en rapport avec le livre de Dante Alighieri et je vais vous répondre par l'affirmative. Il est vrai que dans l'ouvrage éponyme, Dante est un poltron maigrichon qui parcourt en touriste l'enfer et ses différents cercles. Accompagné du poète Virgile, il visite chaque lieu et découvre de nombreuses personnalités comme Charon ou Minos. Si l'on s'en tient au livre, le jeu tiendrait du safari photo comme dans Pokemon Snap. Les développeurs ont donc décidé que l'enfer devait mieux porter son nom en devenant un véritable ENFER pour le joueur. Dante devient donc un puissant croisé.
Après avoir retourné nos tripes avec le studio de développement baptisé Visceral Games (ex EA Redwood Shore) a décidé, pour son deuxième grand projet, de nous faire voir l'Enfer de très près en adaptant un texte majeur de la littérature occidentale, de Dante Alighieri. Prenant la forme d'un beat them all, espère faire aussi bien que son ainé, à savoir révolutionner le genre en reléguant tous ses concurrents au second plan. Le pari est-il réussi ? Plongez dans les entrailles de la Terre en ma compagnie pour le savoir. Tel Virgile, je serai votre guide en ce lieu maudit. a Avant de commencer ce test, un peu de culture générale ne fera de mal à personne. L'auteur de , Dante Alighieri, est né en 1265 à Florence au sein d'une famille aisée. C'est à l'âge de neuf ans qu'il rencontre pour la première fois Béatrice lors d'une fête célébrant le premier mai. Dès le premier regard, c'est le coup de foudre. En 1283, il écrit son premier poème sur sa bien-aimée, mais deux ans plus tard, il épouse Gemma Donati qui lui était promise depuis de longues années. Le pire survient en 1290 lorsque Béatrice meurt à l'âge de vingt-quatre ans, Dante Alighieri ne s'en remettra pas. Après moult péripéties politiques, le poète publie en 1314 l'Enfer, premier tome d'une trilogie regroupant le Purgatoire et le Paradis.
Les habitués de God of War ne manqueront pas de trouver très vite quelques similitudes dans ce nouveau titre offert par Visceral Games. L'aventure est tout aussi épique et use des mêmes mécanismes propres au beat'em all en général. Dans ce Dante's Inferno, le héros principal doit mener une lourde quête, qui cette fois, ne le mènera pas dans les cieux, mais bien au contraire dans les tréfonds de l'enfer. Si on sent une petite inspiration de Kratos, le titre s'arrête là pour ce qui est des ressemblances. Dante's Inferno emporte le joueur dans un univers original, sans doute jamais visité à ce jour. L'Enfer et ses vicissitudes vous sont ici contées. Ames sensibles s'abstenir, ici, les âmes sont perdues à jamais et crient leur souffrance et leur désespoir. Les créatures les plus sordides sont les reines et elles n'hésiteront pas à user de leur fiel pour ralentir, voire empêcher, votre quête si précieuse. Pour peu que vous ayez déjà lu l'oeuvre de Dante Alighieri, vous connaissez donc à peu près la trame de cette aventure. Dante se voit plonger dans les enfers à la recherche de sa femme Béatrice, et guidé par Virgile, son épreuve consistera à traverser les différents cercles.
Le succès de God of War sur les consoles de Sony a visiblement donné des idées à Electronic Arts. La firme américaine débute en effet l'année 2010 avec la sortie de Dante's Inferno, une nouvelle licence qui a la lourde tâche de concourir dans la même discipline que le dieu de la guerre. Confié à Visceral Games, studio à qui l'on doit le très bon Dead Space, le développement du titre a-t-il tenu toutes ses promesses ? Dante's Inferno, c'est une histoire librement inspirée de la Divine Comédie dans laquelle Dante, un soldat au service de l'église, se retrouve en Enfer pour sauver sa douce et tendre Béatrice. Derrière cette motivation un brin classique, Dante va se retrouver à voyager au-delà des neuf cercles de l'Enfer, en prenant bien soin d'éviscérer toute créature démoniaque suffisamment stupide pour se dresser sur son chemin. Armé principalement d'une faux, récupérée sur le cadavre de la Mort elle-même, notre pieux chevalier va donc s'attaquer à des ennemis dont la férocité et la taille feraient pâlir plus d'un héros de jeux vidéo. Autant le dire tout de suite, oui, les similitudes avec God of War sont nombreuses. Le monde torturé que le joueur parcourt tout au long du jeu ne peut pas ne pas faire à penser à celui que Kratos connaît.
Après Darksiders ou encore Bayonetta, et en attendant God Of War III, voilà que débarque sur Playstation 3 et Xbox 360 un certain Dante's Inferno, un jeu développé par Visceral Games et édité par Electronic Arts. Affichant clairement ses liens de parenté avec le titre de Sony, exclusif à la Playstation 3, dès les premières minutes de jeu, Dante's Inferno entre de pleins pieds dans le monde des jeux d'action/aventure, très en vogue en ce début d'année, tout en tentant de nous réciter une divine comédie. Pensant en avoir fini avec les horreurs des Croisades, Dante s'en retourne chez lui, en Italie. Bien décidé à se la couler douce aux côtés de Béatrice, sa bien-aimée, il ne se doute pas une seule seconde de ce qui l'attend. Morte, assassinée par un bandit alors qu'elle tentait de lui échapper, la jeune femme est emmenée au plus profond des ténèbres, sans aucun doute à cause de tous les péchés commis par son amour de toujours lors de sa petite virée de Croisé. N'écoutant que son courage, Dante décide d'affronter la mort. Il se lance alors dans une quête improbable : s'enfoncer au plus profond des ténèbres et arracher sa belle de l'Enfer.
Les enfers grecs sont un sacré foutoir. Des files interminables de damnés attendent d’être jugés dans la douleur, l’architecture alambiquée du lieu produit beaucoup trop d’écho et, nom de Dieu, que quelqu’un refasse l’éclairage, on n’y voit goutte ! Heureusement, Visceral Games a eu la bonne idée de remettre un peu d’ordre dans tout ça avec Dante’s Inferno. Après le très bon Dead Space, le studio américain est une nouvelle fois en grande forme. Dante n’est pas un mauvais bougre. Comme beaucoup de ses petits camarades, il s’est engagé pour la troisième croisade moins pour la gloire de l’Eglise que pour obtenir la rémission totale et sans condition de ses pêchés. Le hic, c’est qu’en détroussant une jeune musulmane, il trompe sa femme Béatrice et, par la même occasion, les condamne tous deux à la damnation éternelle. Ce fils de prêtre n’accepte pas son sort, lui qui n’est sorti du droit chemin qu’une seule et unique fois. Du coup, quand il se retrouve face à la grande faucheuse qui vient lui cueillir son âme, notre héros se rebiffe. Deux bourre-pifs et un nouveau crime plus loin – si tant est que la mort puisse être tuée, notre croisé revanchard face à l’éternel décide d’investir les enfers à la rescousse de sa moitié.
La Xbox 360 détient enfin son God of War ! Les surprises de ce début d'année 2010 s'enchainent et c'est au tour d'Electronic Arts de faire bonne figure. L'éditeur signe en effet une production de qualité - fruit de sa seconde collaboration avec le studio Visceral Games (Dead Space) - qui n'apporte certes rien d'innovant, mais qui a le mérite de reprendre les ingrédients nécessaires au succès. A la limite du sacrilège et à deux doigts de déclencher la fureur de Dieu, Dante's Inferno est une adaptation du poème de Dante Alighieri intitulé « La Divine Comédie », dans laquelle ce personnage épique parcoure les neuf cercles de l'Enfer pour sauver l'âme de sa bien-aimée Béatrice. Un voyage qu'il ne fera pas seul : allez en enfer !Il faut bien admettre que Dante's Inferno est un véritable coup de pub pour l'oeuvre qui l'a inspiré. L'Enfer est un sujet vaste exploité dans bien des films et des livres, récents ou anciens, et c'est un thème qui semble ne pas avoir de finalité. C'est certainement l'une des raisons pour laquelle il attire tant l'esprit humain, qui ne peut s'empêcher d'affabuler et de fantasmer sur les créatures et les règles qui le régissent.
S'inscrivant dans la continuité d'un God of War, Dante's Inferno n'entend nullement cacher ses relations étroites avec la série de Sony. Misant sur le même type de gameplay et une construction plus ou moins similaire, le bébé de Visceral Games s'émancipe quelque peu de son modèle par un univers bien plus malsain que les hautes sphères de l'Olympe. Ainsi, si Kratos s'élève vers les cieux, Dante, lui, devra prendre le chemin inverse pour retrouver sa bien aimée Béatrice au coeur même de l'Enfer... Triste sort, certes, mais finalement le plus dur, c'est le premier pas. Toi qui pénètre en ces lieux, oublie tout, ou presque, de ce que tu connais de La Divine Comédie. En effet, bien que le périple de Dante soit toujours mû par la recherche de sa tendre femme décédée et que Virgile nous guide à mesure de notre descente, le reste ressemble plus à un fantasme qu'à une volonté de coller de près au poème de Dante Alighieri. Est-ce un mal ? Nullement dans le sens où le propos est ici de se servir d'une base pour donner à un jeu d'action un fabuleux background. Sur ce point, le résultat est d'ailleurs fort probant grâce à l'artiste Wayne Barlowe ayant offert son talent à plusieurs créatures infernales.
En ce début d'année 2010, il est un genre qui a définitivement le vent en poupe. Spectaculaire, efficace et plutôt facile à concevoir depuis que God of War a montré la voie, le beat'em all 3D est une recette qui marche. Pas étonnant de voir Electronic Arts s'engouffrer dans la brèche faute d'un beat majeur dans son portfolio. Pour donner corps à Dante's Inferno, l'éditeur a même fait appel à l'un de ses studios en vogue, Visceral Games, qui s'est récemment distingué sur Dead Space. Autant dire que niveau ambiance, on pouvait de nouveau s'attendre à vivre un véritable enfer. Librement inspiré de la Divine Comédie, Dante's Inferno relate plus précisément la descente de Dante aux Enfers, à la recherche de son épouse Beatrice prise au piège de Lucifer. De retour de croisade où il s'est livré aux pires infamies, notre brave héros pensait retrouver les siens après avoir défié et triomphé de la Mort elle-même. Hélas, le repos auquel notre guerrier aspirait sera de courte durée. Mis à l'épreuve par Lucifer, il lui faudra pour retrouver sa belle expier ses péchés en traversant les neuf cercles des Enfers. Muni de sa faux et de la Croix de sa bien-aimée, Dante sera confronté aux pires monstruosités. Heureusement qu'il a derrière lui un joueur aux pouces bien affûtés, prêt à maltraiter une pauvre manette qui va connaître elle aussi l'enfer.
Gamekult
Ajouté le : 11/2009
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Les amateurs de beat'em all délicats ont sans doute plus que quiconque hâte d'avoir enfin les pieds en 2010 pour goûter à toutes les merveilles qui leur sont promises. On pense, bien sûr, à Bayonetta ou God of War III, mais Electronic Arts aimerait également que son Dante's Inferno réussisse à se tailler une part du gâteau grâce à sa faux rédemptrice et ses visions infernales. Nous avons il y a quelques jours passé un peu de temps en compagnie de ce titre à l'ambiance singulière a priori mieux placé pour faire cauchemarder que rêver. Pas besoin de s'être farci La Divine Comédie de Dante Alighieri pour comprendre de quoi il en retourne ici. Simple source d'inspiration pour les développeurs de Visceral Games, l'oeuvre du poète italien leur a surtout permis de donner naissance à un univers malsain, dérangeant, où se côtoient créatures improbables et monstres difformes. Pas effrayé pour un sou, Dante, notre preux héros, sera donc invité à traverser les neuf "cercles infernaux" pour tenter de sauver sa chère et tendre Béatrice - qui doit quand même avoir des choses à se reprocher pour se retrouver prise au piège dans un tel endroit.
"Vous qui entrez, abandonnez toute espérance !". Voilà une formule célèbre dont on oublie souvent qu'elle provient de la Divine Comédie, poème italien qui décrit les péripéties de Dante et plus particulièrement sa descente au travers des neuf cercles de l'Enfer. En tant que tel, le sujet ne pouvait manquer d'inspirer les développeurs de Visceral Games, qui après avoir fait frémir l'univers avec Dead Space, s'activent désormais sur un beat'em all de grande classe. Notre dernier contact avec la bête nous aura d'ailleurs entraînés au royaume de la luxure pour un voyage dont nous ne sommes pas ressortis indemnes. Avec Dante's Inferno, les petits gars de Visceral Games s'efforcent de produire une étrange mixture : une potion odorante qui mêle fascination et répulsion dans le même chaudron. En ce sens, la démo à laquelle nous avons eu la chance de jouer remplissait merveilleusement bien son office. Dynamique, intense et très bien réalisée, cette dernière n'en suscitait pas moins une bonne dose de dégoût du fait de son atmosphère poisseuse et de ses abominations à la peau nue. Tout était effectivement là pour donner vie au sinistre cercle de la luxure, royaume de la débauche et du vice.
En voilà un qui nous aura filé entre les doigts lors de la GC 09 de Cologne. Qu’à cela ne tienne, Dante’s Inferno était jouable lors du Festival du Jeu Vidéo de Paris. Comme quoi, pas besoin de faire des milliers de kilomètres pour jouer en avant-première aux futurs hits. Dante’s Inferno, actuellement en développement dans les locaux de Visceral Games (responsables de Dead Space) est basé sur la première partie du poème de Dante Alighieri, La Divine Comédie. Une histoire qui nous place dans la peau de Dante qui part pour les Enfers à la recherche de l’âme de sa dulcinée. Une contrée pour le moins inhospitalière qui réclame un équipement lourd si l’on souhaite y survivre. Pour tenir plus de deux secondes dans cet antre de la mort et de la folie, Dante a emprunté à la Mort elle-même sa faux démesurée. Il dispose également de la croix sacrée de Béatrice qui lui octroie divers pouvoirs magiques. La démo disponible sur le stand Electronic Arts du FJV nous a permis de tâter un peu de la bête, dix minutes durant. En premier lieu nous nous retrouvons face à des femmes dénudées qui s’avèrent être des monstres innommables.
Concurrent à peu près direct de Bayonetta, Dante's Inferno est un beat'em all signé Electronic Arts qui illustre tout ce qu'il y a de plus viril dans le genre. Muni de sa faux de 250cm, Dante traverse les neuf cercles de l'Enfer une nouvelle fois devant nos yeux attentifs. Après le Survival-Horror avec Dead Space, les développeurs de Dante's Infero s'attaquent au beat'em all et comptent bien remporter un succès similaire d'ici l'année prochaine. Et pour ce faire, nous avons pu constater durant une longue présentation qui s'est ponctuée par 30 minutes de jeu non-stop qu'EA s'est donné les moyens de ses ambitions. Les amateurs de beat'em all grand spectacle adorant les mises en scènes travaillées et improbables seront à coup sûr aux anges au contact de ce titre qui nous a fait une impression... dantesque ! En effet, nous nous attendions à voir un titre enchaînant les combats épiques et nous n'avons pas été déçus. Bien au contraire, Dante's Inferno s'impose d'entrée comme les des jeux les plus bluffants du salon, prétendant ainsi au titre de meilleure surprise ou de meilleur jeu de la gamescom.
La descente de Dante aux enfers est le thème qu’a choisi une équipe de développement de Electronic Arts pour son prochain jeu d’action. Et pas n’importe quelle équipe, vu que c’est celle à l’origine de Dead Space ! Avec Dante’s Inferno, on est pourtant loin, très loin du FPS dans l’espace façon Alien. Le jeu se base sur la Divine Comédie, une œuvre de la littérature italienne du XIVème siècle. Dante’s Inferno se présente comme un jeu d’action en vue à la troisième personne ressemblant comme deux gouttes d’eau à God of War. Taille de personnage équivalente, arme semblable, combos similaires, boss gigantesque à achever à l’aide d’une QTE, ce n’est pas du pur plagiat, mais ça en a tout l’air ! L’explication en est toute simple. Si des membres de l’équipe de David Jaffe ayant bossé sur God of War pour Sony travaillent désormais dans l’équipe de développement de Dante’s Inferno, l’explication est en fait beaucoup plus évidente.
Gamekult
Ajouté le : 05/2009
Plus accessible...
Annoncé fin 2008, Dante's Inferno n'est rien de moins que le prochain projet des créateurs de Dead Space, sacré pedigree s'il en est. Mais plus question de jouer la carte du survival horror dégoulinant ; Redwood met cette fois le cap direction les Enfers, pour un beat'em all inspiré de La Divine Comédie de Dante. Premières impressions à l'issue du récent showcase organisé par Electronic Arts. Dans le monde merveilleux du jeu vidéo, il est fréquent de voir les studios se rapproprier une formule à succès pour surfer sur la tendance, en apportant malgré tout une petite touche personnelle. Dans le cas de Dante's Inferno, il faut bien reconnaître qu'on a surtout l'impression - pour le moment - de jouer à une skin de God of War. Mis côte à côte, les deux jeux se ressemblent sur tellement de points que l'on penserait même avoir affaire à des jumeaux. L'univers n'est certes pas le même. Comme son nom le trahit, Dante's Inferno puise son inspiration dans La Divine Comédie, l'oeuvre foisonnante du célèbre poète italien Dante Alighieri.
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