11 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 11 tests du Crysis 3. Les experts notent Crysis 3 6.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Crysis 3 et d'autres Jeux Playstation 3.
Après nous avoir transportés tour à tour d'une île paradisiaque à un New York envahi par des aliens, nous voici de retour dans la grosse pomme pour ce troisième épisode de la saga Crysis. Faisant souvent office de vitrine technologique -du moins sur PC- découvrons sans plus attendre si Crytek a réussi à nous sortir un troisième épisode digne de ce nom après un second opus bien moins apprécié que le premier. Dès le début de l'aventure, nous retrouvons le bien connu Prophet, fait prisonnier par le CELL à New York, désormais recouverte par un gigantesque dôme. Ce « dôme de la liberté » a permis à la ville de se transformer en une véritable jungle urbaine, l'environnement oscillant entre bâtiments détruits et végétation luxuriante. Vous vous en doutez, Prophet ne restera pas prisonnier très longtemps et se retrouvera, après un court prologue, à l'intérieur du dôme, dans lequel la majorité du jeu se déroulera. Toujours armé de votre fameuse nanocombinaison surpuissante, c'est maintenant à vous de parcourir ce décor influencé par les deux opus précédents (Crysis premier du nom pour l'aspect jungle et Crysis 2 pour l'aspect urbain).
Encensé par la critique et acclamé par le public lors de sa sortie en 2007, le premier Crysis avait su allier une technique irréprochable profitant des PC les plus puissants de l'époque à un gameplay novateur offrant une grande liberté d'action. Début 2011, sa suite cette fois déclinée sur consoles se montrait elle aussi impressionnante graphiquement, mais optait pour un déroulement plus dirigiste supposé mieux encadrer le scénario, laissant ainsi sur leur faim les fans de la première heure. Aujourd'hui le studio allemand tente d'allier le meilleur des deux mondes mais au final l'expérience se révèle à la fois courte et sans grand intérêt...Ce nouvel opus démarre de manière un peu curieuse : alors que l'on avait laissé notre héros Prophet sur les restes fumants d'un alien belliqueux à la fin de Crysis 2, on le retrouve une vingtaine d'années plus tard cryogénisé et bien gardé par les soldats du CELL. Croyant la menace extra-terrestre des Cephs endiguée les dirigeants de l'organisation ont en effet entrepris de conquérir le monde, neutralisant au passage tous ceux qui pourraient se dresser sur leur chemin à commencer par les soldats équipés de nanocombinaisons.
Parce que la jungle urbaine ne fut pas du goût de tout le monde, Crytek s'est décidé à couper la poire en deux en développant Crysis 3, avec d'un côté un New York de nouveau ravagé et de l'autre une nature qui a repris ses droits. Supportée par une toute nouvelle version du CryEngine 3, cette conclusion veut faire plaisir aux deux camps. Mais le développeur allemand s'y prend-t-il de la bonne manière ? Voici notre verdict. Se déroulant vingt ans après les événements du second volet, Crysis 3 a tout simplement pour objectif de conclure les péripéties de Prophet, l'un des derniers survivants de l'unité Raptor. L'histoire s'avère d'ailleurs être un petit mélange des deux précédents épisodes puisqu'il va falloir une fois de plus arrêter le CELL ainsi que les Cephs, tout en étant accompagné par notre bonne vieille brute Psycho qui fait son grand retour malgré l'époque. La relation entre le joueur et cet ancien personnage est peut-être l'une des seules satisfactions d'un scénario qui ne vole pas bien haut (comme les deux précédents titres soit dit en passant).
Crysis 3 est un First Person Shooter superbe, splendide, é-blou-i-ssant. Quel bonheur pour les yeux que de trainer dans la peau d'une indestructible machine à tuer, dans ce New-York post-apo de 2047 désormais envahi par une nature impitoyable… Bon, OK, et après ? Peut-on se contenter de ça ? Nous posons la question.Si Crysis 3 était un homme, nous dirions que sa beauté est inversement proportionnelle à son intelligence. Tenons-nous en d'abord aux réjouissances : un mec bourrin donc, mais à la plastique irréprochable. Le troisième épisode de la série née en 2007 avec « la-claque-visuelle-Crysis » montre et démontre encore une fois – s'il le fallait - toute la puissance du moteur des teutons de chez Crytek. Presque tout est beau, impressionnant même : les décors, où s'enchevêtrent le béton noirci des immeubles abandonnés et une jungle étonnamment féconde, les volutes de fumée, les explosions, les visages des personnages, les effets d'ombre et de lumière, etc. Ce n'est pas la claque de Crysis premier du nom, mais on sent que les développeurs allemands ont toujours une longueur d'avance sur 90% de leurs concurrents (on trouvera du Battlefield 3 ou du Far Cry 3 pour les 10% restants).Déjà qu'avant tu n'avais pas une gueule de porte-bonheur.
Sur le plan technique, Crytek est sans doute l'un des studios de développement les plus réputés. Son moteur graphique - le CryEngine - compte parmi les plus évolués et sa maîtrise des dernières technologies ne fait aucun doute. Hélas, il n'en va pas forcément de même côté gameplay et pour de nombreux joueurs le passage de Far Cry à Crysis puis à Crysis 2 a surtout été l'occasion d'appliquer un concept de plus en plus réducteur. Crysis 3 vient-il enfoncer le clou ou renouveler un style qui s'étiole progressivement ? Des fois que vous n'ayez pas encore fait Crysis 2, on ne va pas dévoiler le scénario de Crysis 3, mais disons simplement que ce troisième opus de la série fait suite avec un décalage de vingt-quatre ans. Le personnage de Prophet est de retour alors que New York a été placée sous un gigantesque dôme par le C.E.L.L., une organisation corrompue qui ne cherche qu'à asservir la population. Baptisée Liberty Dome, la « coupole » de New York a permis à une véritable jungle de s'épanouir au milieu des gratte-ciel désertés. Emprisonné non loin de là, Prophet est libéré durant la séquence d'introduction par Psycho, un ancien coéquipier qui a depuis rejoint la Rébellion.
Longtemps considéré comme une véritable vitrine technologique, le premier Crysis continue de servir d'étalon pour de nombreux amateurs de FPS. Non seulement le jeu était de toute beauté, mais il proposait une liberté d'approche et une richesse de gameplay qui ont marqué toute une génération de joueurs. Malheureusement, même le plus bel étalon n'est pas à l'abri que sa progéniture soit un poulain maladif... Si le premier Crysis a marqué les mémoires, il faut reconnaître que sa suite nous avait laissé un arrière-goût un peu plus amer. Le deuxième épisode péchait en effet par un aspect moins ouvert mais aussi parce qu'il nous donnait l'occasion d'utiliser une nanocombinaison tellement puissante qu'elle en gâchait le plaisir de jeu. Vous pensez qu'il s'agit d'un point de détail ? Attention, il ne faut pas se tromper, le véritable héros de la série n'est ni Nomad, ni Psycho, ni Alcatraz, ni Prophet, c'est bel et bien cette fameuse combinaison capable de décupler la force, la résistance et la vitesse de celui qui la porte, voire même de le rendre momentanément invisible. On nous avait promis que ce troisième épisode nous donnerait l'occasion de profiter de toutes ces capacités dans une aventure qui allierait les qualités des deux premiers opus.
Enfilez votre combinaison moulante, il est temps de retourner à New York pour défendre la patrie, sauver le monde et buter des types qu'on ne connait pas dans Crysis 3. Crytek est toujours aux manettes pour ce nouveau FPS qui va tenter de mettre un point final (sans doute temporaire mais passons) à l'histoire commencée en 2007 sur des plages de sable blanc. Un gros flingue, des gros aliens, une Grosse Pomme, ça devrait bien se passer, non ? Non. Version PC : Crytek oblige, Crysis 3 se devait d'être une vitrine technologique sur PC et c'est indéniablement le cas. Poussé au maximum, le FPS est extrêmement impressionnant, bien plus encore que dans les récentes vidéos comparatives où il s'affichait simplement en High et non en Ultra. Certaines aberrations demeurent toutefois, comme ces explosions qui semblent parfois issues d'un autre âge ou quelques textures un poil baveuses. Le jeu reste toutefois largement digne de son pedigree à ce niveau mais cet étalage visuel a un prix : une gourmandise technique outrancière qui fera saliver plus d'un vendeur de carte graphique. Même notre machine de test bien robuste chuta occasionnellement sous la barre fatidique des 30 images par secondes dans les scènes les plus chargées même si la grosse majorité du jeu s'est vécue entre 50 et 70 images/s.
Crytek ne s'en cache pas, donner un caractère linéaire à l'aventure solo de Crysis 2 avait pour but d'attirer un large public et de rentabiliser ainsi l'investissement massif que demande de nos jours la conception d'un blockbuster. Une logique commerciale que beaucoup de sociétés mettent aujourd'hui en avant. Difficile d'ailleurs de leur donner tort lorsqu'on connaît le coût de production d'un jeu. Pour autant, le studio allemand n'est pas fermé à la critique. Il écoute son public, peaufine son savoir-faire et évolue en permanence. Ainsi, avec Crysis 3, les développeurs ont cette fois cherché à réaliser la parfaite synthèse entre les deux premiers épisodes canoniques de la série. Ce qui signifie proposer un nouvel équilibre avec une campagne alternant environnements ouverts et lieux plus confinés. Le résultat aperçu lors de la démonstration effectuée par Crytek s'avère particulièrement enthousiasmant. Pour cette nouvelle démonstration de Crysis 3, Crytek nous a présenté un niveau inédit permettant de faire connaissance avec l'un des sept grands environnements du jeu. La séquence proposée prend a priori place peu de temps après le début de la campagne solo.
Les PCistes le haïssent encore. A cause de sa gourmandise, la plupart d'entre eux ont été obligés d'aller faire un tour chez les marchands de composants pour trouver l'arme ultime, capable de faire disparaître la bouillie de pixels inondant l'écran. Mais si Crysis a marqué un tournant dans l'histoire du FPS en dévoilant un moteur excessivement vorace, il faut avant tout retenir que le troisième volet revient sur le chemin délaissé par Crysis 2 : une aventure dans un monde totalement ouvert. Commettre des erreurs n'est pas une tare en soi. C'est encore moins répréhensible lorsqu'on le reconnaît et que l'on met tout en œuvre pour les réparer. C'est ce qui est arrivé à Crytek avec Crysis 2. Alors que le premier épisode s'était construit l'image fantastique d'un FPS dans un univers gigantesque, loin des scripts et autres horreurs, les développeurs ont semble-t-il, jugé plus sympathique de nous livrer un jeu linéaire et introverti, dans lequel le moindre espoir de liberté est proscrit. Sans doute attirés par l'odeur du troupeau de FPS se complaisant dans ce style, ils ont heureusement réagi à temps avant de sauter comme ces moutons de Panurge, dans le précipice du copier-coller. Grâce à cette prise de conscience, Crysis 3 a évité le pire, préférant tourner les sabots à un anonymat qui lui tendait les bras.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 04/2012
Plus accessible...
Alors qu'on ne s'attendait pas forcément à une annonce aussi rapide, Crysis 3 a été dévoilé par Electronic Arts il y a seulement quelques jours. Logiquement, c'est durant l'E3 de Los Angeles que l'on devrait avoir des informations plus complètes, mais l'éditeur américain profitait de son showcase londonien pour nous en proposer un avant-goût. Crytek avait fait le déplacement avec une préversion sous le coude et nous avons donc pu découvrir les premiers niveaux de ce que sera New York en 2047 selon le développeur allemand. Nous venons de le préciser, Crysis 3 prend place à New York en 2047, soit une bonne vingtaine d'années après l'épilogue de Crysis 2. Une technique qui permet à Crytek de prendre ses distances avec la conclusion de son précédent FPS. Le Crynet Enforcement & Local Logistics (CELL) - une entreprise paramilitaire privée - y était alors en très mauvaise posture, mais les choses semblent s'être arrangées pour la société qui a édifié d'immenses nanodômes au-dessus de ville comme New York. Officiellement, ces structures doivent protéger la population des vestiges Ceph - les extraterrestres responsables de l'invasion de Crysis 2.
Gamekult
Ajouté le : 04/2012
Plus accessible...
Crysis 3 était à coup sûr l'une des principales attractions du EA Showcase organisé la semaine dernière à Londres. Fraîchement annoncé, le FPS de Crytek a fait l'objet d'une première démo durant l'événement, une projection brève mais intense. L'occasion pour nous de découvrir quelques-unes des promesses d'un troisième volet qui compte bien enfoncer le clou. J'vais t'refaire les Ceph ! Petit rappel des faits pour tous les Doris en herbe : comme son prédécesseur, Crysis 3 nous fera arpenter les rues de New York, toujours aussi mal en point en cette année 2047. Entre la menace permanente d'une invasion Ceph, cette race extra-terrestre belliqueuse, et l'omnipotence du C.E.L.L., une multinationale qui confond autorité et despotisme, le ver est dans la Pomme. Pour sa survie et celle de ses intérêts, le C.E.L.L. a édifié des nanodômes, de grandes verrières de protection sous lesquelles s'est formée rapidement une végétation luxuriante. On s'en doute, la situation va vite dégénérer, obligeant Prophet à renaître de ses cendres - une réapparition qui reste à expliquer. Seule certitude : le personnage principal semble déterminé à éliminer quiconque s'interposerait, passant du statut de proie à celui de prédateur.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Crysis 3. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Crysis 3.