CRUSH3D
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Nous avons réuni 5 tests du CRUSH3D. Les experts notent CRUSH3D 6.2/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du CRUSH3D et d'autres Jeux 3DS.
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Test CRUSH3D
Test Crush3D
C’est en mai 2007 que nous avions découvert sur PlayStation Portable Crush, un puzzle game innovant et particulièrement tordu afin de faire fonctionner à plein régime nos petites cellules grises. Cinq ans après, le voilà qui revient sur Nintendo 3DS sous la dénomination Crush3D. S’il n’a rien perdu de son brio, il se retrouve édulcoré à la sauce gentillette made in Nintendo . Dans l’univers de Nintendo, tout le monde il est beau et tout le monde il est gentil. Alors, c’est sûr que le scénario original du premier Crush et son univers torturé ne collaient pas vraiment avec le monde des Bisounours. C’est ainsi que nous retrouvons Danny, notre héros, qui va devoir explorer ses rêves et ses peurs via une machine inventée par Doc, son ami savant. Là où dans le scénario original il était question de soigner les troubles psychologiques de Danny, désormais c’est une simple erreur de manipulation qui laisse notre héros dans l’univers de Crush. Bande-annonce #5 - Trailer de lancement Ce n’est pas pour autant que tout est révolutionné même si sur divers aspects l’aseptisation est de mise. Commençons par le choix de la représentation graphique de notre petit Danny que nous reconnaissons à peine dans son peignoir de bain.
Crush3D
Rappelez-vous ! En 2007 sortait un certain Crush sur PSP, un casse-tête original et particulièrement ardu dont le concept avait attiré quelques joueurs avides de challenge. Alors que les fans espéraient secrètement une suite, voilà que Sega propose Crush3D sur 3DS, sorti de nulle part. De nouvelles aventures pour Danny ? Pas vraiment. Car si Danny fait son retour, toujours affublé d'un peignoir des plus chics, nous voilà plutôt devant un reboot de l'oeuvre originale. Oui oui, même les puzzle-games ont droit à leur reboot maintenant... On retrouve toutefois un pitch de départ un peu différent. Danny a pour meilleur ami un savant doux dingue qu'on appelle le Doc. Ce dernier a mis au point une machine, appelée C.R.U.S.H., capable d'envoyer un sujet dans ses propres pensées, celles-ci matérialisées en plates-formes. Le but ? Comprendre (et annihiler) des problèmes psychologiques en résolvant des énigmes dans sa tête. Et si vous croyez que c'est simple, c'est que vous ne connaissez pas encore la complexité du cerveau de Danny, qui s'y essaye comme cobaye. En effet, les plates-formes ne sont pas bêtement alignées les unes à côté des autres, traçant ainsi un chemin vers la sortie.
Test CRUSH3D
Sorti il y a bientôt cinq ans sur PSP, Crush avait séduit grâce à son concept ingénieux et ses architectures retorses, faisant oublier un contenu un peu léger et un habillage discutable.Jugeant que le titre méritait une nouvelle chance, Sega a commandé une version 3DS - renommée CRUSH3D - au studio Zoë Mode, qui s'est grosso modo contenté d'un ravalement de façade évacuant l'aspect sombre et torturé de l'original. Ce sont donc des couleurs douces, des formes arrondies, un héros banalisé qui attendent donc le joueur, sans oublier l'effet de profondeur supplémentaire offert par l'écran supérieur de la console. Le principe n'a lui pas bougé d'un pouce : un ado en peignoir visite son esprit grâce à une machine sophistiquée et doit régler les troubles de son subconscient, en collectant des billes dans des niveaux en 3D pouvant être aplatis à volonté.On retrouve les 40 tableaux de plus en plus corsés de la version PSP, exigeant moult changements dimensionnels et manipulations de caméra pour atteindre le point de fuite. Les coupes et les carnets d'illustrations facultatifs sont toujours là pour occuper les acharnés, tout comme le mode trophée ajoutant des limites de temps et de "(dé)gonflages".
Test CRUSH3D
La fin d'année 2011 a été riche en explosions, expéditions dangereuses et combats en tout genre, commençons donc cette année 2012 de façon plus posée. Avec CRUSH3D, la Nintendo 3DS s'offre un puzzle-game qui amuse autant qu'il décourage. Dans l'espoir que vous ayez conservé toutes vos facultés intellectuelles, venez vous frotter à un jeu, qui, sous son apparence lisse, est truffé de difficultés. CRUSH3D, c'est l'histoire de Doc, un scientifique un brin mégalo qui décide d'utiliser son meilleur ami Danny, comme cobaye de ses propres expériences. C'est comme ça qu'est lancé le test CRASH, qui a pour but d'explorer les pensées de l'utilisateur. Évidemment, ce qui devait être un simple essai scientifique se transforme en prison cérébrale dans laquelle Danny se retrouve coincée, pris au piège par ses pensées. Cette ébauche de scénario n'est que le prétexte à un concept de gameplay pas si original que ça, mais suffisamment élaboré pour être intéressant et accrocheur. Le titre de Sega est a mi-chemin entre Echochrome et Super Paper Mario. Pour parvenir au bout des niveaux il faut jouer avec la perspective. Concrètement, on dirige Danny dans les niveaux tout en passant notre temps à utiliser le système de gonflage et dégonflage comme aime appeler ça le Doc.
Test de CRUSH3D
CRUSH3D, c’est l’histoire de Danny, sorte de Marty McFly du pauve, qui accepte de servir de cobaye à son ami le Doc. Ce dernier ayant mis au point une machine à explorer les rêves et les peurs, va donc demander à son jeune camarade de prendre part à une nouvelle expérience. Contre toute attente (ou pas), Danny se retrouve coincé dans ses propres souvenirs et va devoir récolter des billes pour pouvoir revenir à la réalité. Inutile de faire durer le suspens, le scénario de CRUSH3D n’est ni plus ni moins qu’un prétexte. Et ce ne sont pas les quelques scènes à peine animées entre les niveaux qui viendront contredire ce constat. Les tentatives d’humour tombent quant à elles à plat et ne rendent pas les protagonistes spécialement sympathiques. N’est pas Bob Gale ou Robert Zemeckis qui veut... Dans CRUSH3D, le level design et le gameplay sont les points forts majeurs. Pour traverser la cinquantaine de niveaux proposés, le héros doit jouer avec les angles de caméra et alterner entre 2D et 3D. Ce qui semble être une crevasse infranchissable peut rapidement se transformer en escalier tout ce qu’il y a de plus tranquille à l’aide du combo changement d’angle-dégonflage (passage de la 3D à la 2D).
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