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Nous avons réuni 15 tests du Colin McRae : DiRT 2. Les experts notent Colin McRae : DiRT 2 8.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Colin McRae : DiRT 2 et d'autres Jeux Xbox 360.
Avec DiRT 2, Codemasters oublie un peu plus les racines de la série au profit d'une approche beaucoup plus grand public et spectaculaire de la course boueuse. Les spéciales où votre seul adversaire est le chrono sont bien sûr toujours de la partie, mais elles seront noyées au milieu de courses de rallycross (des petites courses sur circuits fermés où plusieurs véhicules se rentrent joyeusement dans le lard dès le premier virage), courses de buggys et/ou camions divers ou encore courses de Bolides, sortes de courses de côtes sur du plat où vous vous retrouvez au volant de véhicules tenant plus de la fusée sur roues que de la voiture de rally. Il y aura donc de quoi faire, certaines épreuves ne plairont pas à tout le monde (notamment les courses de camions, globalement assez molles) et certains aigris se contenteront de jeter un regard dédaigneux sur tout ça avant de retourner jouer à Richard Burns Rally sur leur Pentium 2. Ce DiRT 2 possède néanmoins de sacrés atouts dans sa manche. Celle qui saute le plus aux yeux est bien évidemment sa plastique sublime ne souffrant d'aucun reproche. Les voitures sont finement modélisées et tombent en morceaux de manière très réaliste au moindre accrochage, les effets de lumière et de particules sont innombrables mais restent toujours délicats et ne font jamais dans l'outrancier vulgaire, les environnements sont vastes et variés (déserts américain ou marocain, jungle malaisienne, campagne croate...), la vue interne procure des sensations inégalées et le tout tourne avec une fluidité de tous les instants.
Le 15 septembre 2007, le monde de la course automobile apprend avec stupeur le décès d'un des plus grands pilotes de rallye que la Terre n'ait jamais portée : Colin McRae. Cette disparition a touché de plein fouet le développeur anglais, Codemasters. Un an après un premier opus très prometteur, mais non exempt de défauts, Colin McRae : DiRT 2 est désormais disponible. Les amateurs de routes sinueuses et d'environnements enchanteurs seront ravis d'apprendre que cette seconde mouture est un bel hommage en la mémoire du pilote disparu. Voilà un soft convaincant à plus d'un titre, à condition qu'on ne soit pas trop déçu de l'érosion totale de la licence WRC. Souvenez-vous, sur PlayStation, la licence Colin McRae était synonyme de qualité et surtout de réalisme. Elle a fait le bonheur de nombreux férus de simulations automobiles qui regrettent aujourd'hui cette cassure totale avec l'œuvre originale. Inutile de vous le cacher, ce n'est clairement pas avec DIRT 2 que vous retrouverez les sensations d'antan, où chaque virage devait être quasi étudié pour gravir les échelons et atteindre le sommet du podium.
La série des Colin McRae reste emblématique pour beaucoup de personnes, car on peut facilement dire que les jeux de rally n’ont eu que cette licence pendant longtemps en tête devant les autres. Après un premier essai avec Dirt, Dirt 2 arrive aussi sur console next-gen et on sent bien que les studios de développement ont muri. Ce nouvel épisode fait-il honneur à la mémoire du défunt pilote Colin McRae ? Réponse dans le test. Graphiquement, Dirt 2 nous propose un style cher aux fans de rally. Propre mais sale, un mélange qui réussi avec un menu travaillé mais dans l’esprit d’un Need For Speed Undercover, on se retrouve dans sa roulotte à parcourir le monde avec sa voiture pour tenter de gagner des courses contre les meilleurs. Grâce à un système d’expérience (expérience gagnée suivant la place occupée à la fin des courses), on gagne des niveaux, et on se qualifie pour des courses plus longues, plus difficiles, avec des voitures plus puissantes et des ennemis de plus en plus forts. Au fil du jeu vous gagnez aussi de l’argent, vous permettant d’acheter de nouvelles voitures ce qui est indispensable si vous souhaitez gagner les courses au fur et à mesure de votre évolution dans le classement des pilotes.
Pour ceux qui auraient sauté un chapitre, la surprise que constitue Dirt 2 devrait être importante, tout autant que pour ceux qui avaient découvert Dirt premier du nom il y a bientôt deux ans. En effet, très loin de ce qu'étaient les différents opus de Colin Mc Rae, ancien champion du monde de WRC mort il y a plusieurs mois, il ne s'agit plus uniquement de rallye comme on l'entend dans nos contrées ou de compétitions mêlant les Xsara aux Focus et ajoutant quelques oldies telles que l'Alpine ou l'audi 80. En fait, le changement de braquet qu'avait proposé Dirt, passer du WRC pur et dur à des courses de rallye plus éclectiques, revient au grand écart que se prépare actuellement à opérer notre bon Sebastien Loeb lorsqu'il envisage de passer en F1 (pas chez Renault) alors qu'il est une star incontestée du... WRC. Bref, le changement n'avait pas fait que des heureux, à cause de ce virage mais aussi parce que le gameplay laissait vraiment à désirer. Quid de cette suite ? Retour aux premiers amours ou bien persistance dans l'effort ? Vous vous en doutez parfaitement, Colin Mc Rae Dirt 2 reconduit le principe du changement voulu de la série. D'ailleurs, c'est à ce prix qu'il accole le mot "Dirt" et non une vague nomination annuelle telle que les 09 ou autres
Deux ans après la sortie du premier opus, Codemasters revient en trombe pour un nouvel épisode de la franchise exploitant le nom du regretté pilote de rallye Colin McRae. Attendu au tournant par des fans guettant le moindre dérapage, Colin McRae DiRT 2 n’a pas le droit à l’erreur et doit renouveler l’exploit de son prédécesseur : offrir un jeu de rallye pouvant contenter le plus grand nombre sans toutefois laisser sur le bas côté les fanas de simulation. Verdict quelques mètres plus bas. Le parti pris est d’immerger directement le chaland au cœur de l’action, avec une vue à la première personne permettant de se sentir immédiatement dans l’ambiance. Passants regardant les différents stands, voiture utilisée exposée et autres, il faudra très vite rentrer dans un mobile home très peu cossu pour pouvoir commencer l’aventure à proprement parler. En effet, c’est dans une caravane austère que va commencer le parcours initiatique du joueur : création du profil, choix du pays, du surnom imposé par lequel les concurrents ou amis l’appelleront et hop, en voiture Simone ! Le lieu inconfortable a au moins le mérite de regrouper en son sein tous les modes de jeu, solos comme multi, ainsi que les différentes options et bonus à débloquer.
Quelques temps après la sortie de Colin McRae DiRT premier du nom, le célèbre pilote de rallye trouva la mort il y a de cela 2 ans maintenant. On aurait pu penser que ce serait la fin de la franchise, mais Codemasters a décidé de continuer la série avec un nouvel opus. Malgré la tragique disparition du pilote éponyme, cet épisode sera-t-il toujours à la hauteur de ses exploits ? Une fois la galette insérée dans notre chère console, le jeu fait déjà forte impression grâce à son menu principal on ne peut plus classieux. En effet, tout se déroule dans notre caravane de tournée (on va l'appeler comme ça). C'est donc ici que l'on choisit nos lieux de pérégrination au nombre de neuf tout de même, avec entre autres l'Utah, le Mexique, la Chine, le Japon et d'autres pays bien agréables à visiter. Et bien si l'on avait pu penser qu'il aurait été difficile pour Codemasters de faire mieux au niveau graphismes que son prédécesseur, on se rendra vite compte que l'on s'était mis profondément le doigt dans l'oeil et ce pour le plus grand plaisir de nos rétines, étrangement. Qu'on se le dise, DiRT 2 fait sûrement partie des plus beaux jeux de courses de sa génération, toutes plates-formes confondues.
C'est désormais une certitude, Codemasters est parvenu à devenir incontournable dès que l'on parle bagnole à la pause déjeuner ou dans une dispute avec sa petite amie. Après un Race Driver : GRID qui a scié pas mal de côtes l'an passé, le développeur britannique est forcément attendu au tournant avec Colin McRae : DiRT 2. Si l'on se doute qu'il sera difficile pour Codemasters de se planter avec des bases aussi solides que celles acquises avec Colin McRae : DiRT premier du nom, on attend surtout de ce nouvel épisode une prise en main beaucoup plus rigoureuse, ainsi qu'une I.A. n'hésitant plus à montrer les crocs. Des challenges qui paraissaient insurmontables il y a encore deux ans, et qui devraient logiquement être balayés dans un Colin McRae : DiRT 2 qui s'annonce tout simplement explosif. Soyons clairs : Colin McRae : DiRT 2 dispose d'une réalisation atomique capable de faire pousser un second oeil à un cyclope. La modélisation des véhicules est magnifique et regorge de détails, surtout lorsque la caisse doit encaisser un taux élevé de dégâts. Tout y passe : pare-brise fêlé, rétroviseur explosé, pare-choc qui pendouille, feux éclatés, portière qui ne se ferme plus, la gestion des dommages verse dans le réalisme, même si certaines déformations de la carrosserie peuvent sembler abusives par moments.
Deux ans après la baffe graphique du premier DIRT, Codemasters revient sur les consoles nouvelles génération avec le délicat objectif d’imposer sa suite dans un contexte très concurrentiel. A quelques mois maintenant de la sortie de Forza 3 sur Xbox 360 et Gran Turismo 5 sur PS3, est-ce que DIRT 2 possède les moyens de marcher sur les platebandes de ses prestigieux adversaires ? La réponse est oui, à condition d’aimer l’arcade qui tâche. Depuis DIRT premier du nom, et récemment GRID (des mêmes auteurs), les développeurs de Codemasters mettent un point d’honneur à soigner leurs menus de navigation entre les différents modes de jeu. Ici, il est carrément intégré au titre puisque la navigation se déroule dans les yeux du pilote débutant que le joueur incarne. Une fois choisit son nom, son prénom, son sexe et son surnom parmi une liste généreuse, vient le moment de rejoindre la caravane qui fera office de logement au jeune rookie, mais aussi de sélection des prochaines courses et voitures. Une fois à l’intérieur de la caravane on sélectionne la prochaine destination de sa course puis on file au garage à pied, où l’on achète et choisit sa caisse.
Malgré la disparition du pilote écossais il y a bientôt deux ans, Codemasters continue à exploiter la licence Colin McRae. Une licence qui poursuit sa mutation qui la voit abandonner progressivement le WRC pour se tourner vers le tout-terrain et les courses extrêmes. Plus que jamais, DiRT est un titre pluridisciplinaire, que ça plaise ou non ! DiRT 2 fait la promotion du rallye tel qu'il est un peu partout dans le monde, à savoir une alternative au WRC, totalement différente dans son approche. En effet, s'il demeure quelques restes de ces courses à scratchs dans le titre de Codemasters, le profil de son jeu de rallye s'éloigne considérablement de la rigueur et du sérieux d'une telle discipline. Plus "underground", plus extrême, mais aussi beaucoup plus varié et forcément moins élitiste qu'un jeu de rallye tel que les vieux l'entendent, DiRT 2 se veut encore plus dépaysant que son aîné. Pourtant, ce dernier avait déjà marqué une franche cassure avec le glorieux passé de la série Colin McRae en s'ouvrant au Off-Road et à des compétitions où s'invitent buggies, camions et autres 4X4. Une sorte de transition pour préparer les joueurs à la métamorphose du jeu de rallye et à l'enterrement progressif de ses amours de jeunesse.
Plus de deux longues années auront été nécessaires à Codemasters pour préparer une suite au sympathique Colin McRae : DIRT qui avait relancé de belle manière la saga de l'éditeur anglais dans la course aux jeux de caisse, mais avec une nouvelle approche, plus off-road. Sans surprise, on retrouve cet esprit casse-cou et tout-terrain dans Colin McRae : DiRT 2 qui semble de plus en plus s'émanciper du Vieux Continent et ses rallyes traditionnels type WRC ou IRC, afin de mieux séduire le marché américain, à l'image de sa nouvelle égérie Ken Block. Pour le meilleur ? Dans Colin McRae : DiRT 2, tout s'articule autour du DiRT Tour, un hub regroupant la partie solo et multi du jeu, et comme d'habitude, c'est la première qui nous intéressera d'abord. Après avoir choisi le nom de son pilote, son surnom (parlé, à sélectionner dans une liste - les autres pilotes l'utilisant pour nous interpeller en pleine course notamment) et sa nationalité (qui définira le système métrique du jeu : km/h ou mph pour la vitesse, euros, dollars ou livres sterling pour la monnaie, etc.), on débarquera au beau milieu du paddock en vue à la première personne, si chère à l'éditeur anglais.
Alors que Colin Mac Rae nous a quitté, la franchise en jeu vidéo si réputée est loin d'avoir été mise au placard. Codemasters nous ressort pour le mois de septembre le second opus de la série Dirt qui vit le jour pour la première fois sur les consoles haute définition. Nous vous proposons aujourd'hui nos impressions sur la démo jouable qui est en ligne depuis quelques jours sur le Marketplace. La démo jouable de Dirt 2 nous met tout de suite dans l'ambiance avec des menus dynamiques qui nous font irrémédiablement penser aux indications des lieux dans la série Fringe, à savoir que l'on nous donne l'impression d'être véritablement dans la caravane d'un pilote et que les menus sont placés en 3D directement sur le décor. Selon la direction choisie, une nouvelle option du menu est accessible. Niveau ambiance, ça balance pas mal et ça nous immerge instinctivement dans la peau d'un conducteur et c'est d'ores et déjà plutôt une très bonne chose, il faut bien l'avouer. En outre, la voix de Ken Block nous dirige dans les menus et nous donne des informations sur les épreuves. Bien qu'ils soient tous accessibles, la plupart des options sont évidemment bloquées.
Après notre premier essai début juin et avant de pouvoir évaluer la version finale du jeu qui sort le 10 septembre prochain, Codemasters a mis à notre disposition une ébauche de DIRT 2. S'il nous est compliqué de tirer les premières conclusions de ce petit warm-up, il est toujours bon de pouvoir situer le niveau du jeu de rallye, de plus en plus éclectique. Avant toute chose, précisons que la version qui nous a été proposée ne couvre qu'une infime partie de l'univers de DIRT 2 et qu'en l'état, elle fait davantage office de bêta. En effet, nous n'avions accès qu'à une poignée de courses et devions composer avec une IA de fortune et une gestion des dégâts pas encore balancée, ainsi qu'à un accès restreint aux différents contenus du jeu. Qu'importe, l'essentiel a consisté à établir un nouveau contact avec la prise en main d'un titre qui n'est pas la suite de DIRT pour rien. Car d'entrée, on constate que le gameplay reprend les grandes lignes de son aîné, à savoir un pilotage plutôt orienté arcade, sans excès, qui change du tout au tout en fonction de la caméra utilisée. Concrètement, si vous êtes adepte de la conduite en vue extérieure, vous risquez de trouver le jeu un peu rigide, la voiture semblant tourner autour d'un axe.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
Plus accessible...
Deux ans après s'être engouffré dans la brèche du jeu off-road avec Colin McRae : DIRT, Codemasters persiste et signe avec le retour de l'une de ses séries phares. Le jeu poursuit donc sa mue en s'éloignant encore un peu plus de ses racines européennes. Au final, que reste-t-il de Colin McRae dans tout cela ? Premiers tours de roues et premiers éléments de réponse. Une modeste caravane. Tel est le premier véhicule à bord duquel on montera en jouant à Colin McRae : DiRT 2. Que les amoureux de vitesse se rassurent, celle-ci n'est que notre humble demeure, fidèle compagnonne de route qui nous suivra et évoluera au gré de nos exploits au volant. Comme dans les anciens épisodes de Race Driver, on restera en vue subjective entre deux courses, ce qui tranche définitivement avec les menus sobres d'autrefois et apporte d'emblée un brin de fraîcheur appréciable ainsi qu'une meilleure immersion. L'ambiance n'est d'ailleurs pas en reste puisque l'on croisera désormais le fer avec des pilotes comme Ken Block bien sûr, Travis Pastrana ou encore Dave Mirra, véritables icônes des sports extrêmes aux Etats-Unis et bavards patentés de surcroît.
Ce n’est pas un mystère, l’éditeur britannique Codemasters a désormais des ambitions qui vont bien au-delà de l’Europe. Dans leur collimateur : les US, le plus gros marché du monde, avec des joueurs friands de jeux de courses automobiles… mais qui leur correspondent ! Le Colin McRae à l’ancienne, avec des dizaines de spéciales en solitaire, à la manière du championnat WRC, cela ne semble pas forcément leur tasse de thé. DIRT 2 roule donc dans les traces de son aîné en multipliant les disciplines susceptibles de leur plaire, mais en se dirigeant nettement plus vers un esprit visuel et sonore à l’américaine. Ainsi, on dirige un jeune californien prêt à manger le monde, avec une bande-son rock FM de la même origine. Visuellement, l’interface s’inscrit dans la culture skate/freestyle/sports extrêmes et l’on est accueilli et guidé dans le jeu par, entre autres, Travis Pastrana, ancien champion américain de motocross freestyle reconverti dans les 4 roues. On oublie donc le design branché et épuré de DIRT 1, la cible visée est aujourd’hui bien plus claire. Le décor maintenant posé, gardons à l’esprit que cela reste de l’ordre du détail et plaira à n’en pas douter à une large frange de joueurs.
Moteurs vrombissants, carrosseries rutilantes, le jeu de rallye signé Codemasters revient en force et tient la dragée haute aux ténors de la course automobile lors de l’E3 2009. Premiers tours de roues sur le stand... Au menu de cette version spécialement préparée pour le salon des jeux vidéo de Los Angeles ; deux courses. La première nous propose une étape classique de rallye. L’occasion de tester les différents types de revêtement, tirant parti de la troisième génération du fameux moteur 3D EGO, ainsi que la nouvelle tenue de route des véhicules. Visuellement le titre est particulièrement ébouriffant. Les effets de lumière et les aspérités des différents revêtements sont fidèlement représentés. Difficile de comparer sans avoir d’autres jeux à proximité, mais ce Colin Mc Rae DIRT 2 pourrait bien être le plus beau jeu de rallye jamais réalisé ! Niveau sonore, les sons de moteurs sont bien rendus, mais c’est clairement les petits cliquetis des graviers ou des cailloux qui sont propulsés par les roues sur la carrosserie de la voiture qui sont particulièrement jouissifs.
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