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Nous avons réuni 22 tests du Civilization V. Les experts notent Civilization V 8.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Civilization V et d'autres Jeux PC.
GamePro.fr
Ajouté le : 10/2010
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Civilization, c'est quelques guerriers et un colon partis à la conquête du monde. Sauf qu'historiquement, avec sa carte quadrillée, la sobriété de son interface et son enrobage au rabais, la série n'a jamais fait de courbettes pour tenter de recruter plus large. Avec Civilization V, Firaxis consent de gros efforts côté présentation et s'acharne à offrir un monde réaliste et plaisant à regarder grâce à un moteur revu et corrigé. Visiblement très inspiré par la période Art-Déco, le studio s'est entêté à faire de son jeu pointu et complexe un titre qui soit aussi visuellement attractif en plus d'être clair. Plus d'espace est laissé à la zone de jeu et les nombreux menus se font plus discrets. Le résultat est à la hauteur des efforts, Civilization ne nous avait jamais fait envie avant ce nouvel épisode bien plus esthétique.Si Civilization a toujours été sobre, les parties étaient en revanche parfois difficile à lire et à saisir pour les non-initiés. Avec Civilization V, en démarrant tranquillement avec le didacticiel et en se laissant guider par les aides et les notifications, la mise à l'étrier se fait en douceur. On découvre la Civilopedia qui permet de prendre la mesure du travail titanesque accompli par Firaxis et de mieux choisir la civilisation que l'on souhaite mener sur le toit du monde.
Depuis 1991 et la sortie de Civilization premier du nom, j'ai passé des centaines d'heures à découvrir de nouveaux continents, bâtir de puissantes cités et établir des relations diplomatiques parfois tendues avec mes voisins avant d'employer la méthode forte pour imposer mes vues et - parfois - faire usage de l'arme nucléaire afin d'atomiser toute résistance. Après pratiquement 20 ans donc, Firaxis a décidé de refondre une bonne partie du concept de sa plus célèbre licence... pour le meilleur ou pour le pire ? Si Firaxis avait promis de gros changements pour Civilization V, il n'était pas possible de révolutionner l'intégralité du concept et ce cinquième opus propose donc le même concept que ses prédécesseurs : prendre en main la destinée d'un peuple qu'il faut conduire - sur plus de 6000 ans d'histoire - des premières cités à la conquête spatiale. Les choses se déroulent toujours en manipulant quelques dizaines d'unités sur une carte figurant le monde - imaginaire ou réel - et en construisant des villes, véritables centres de notre empire. Alors qu'une partie débute avec une unité de guerriers et une unité de colons, il faut se dépêcher d'utiliser cette dernière pour établir notre capitale.
Si vous êtes quelqu’un de goût, vous avez certainement dévoré notre récente preview de la nouvelle drogue de Sid Meier. Assez réconfortant, ce premier contact laissait espérer un épisode de Civilization extrêmement bien fini, à défaut d’être révolutionnaire. Et bien, mea culpa : après un week-end passé sur une version test, nous sommes en mesure d’affirmer que Civ V est un ratage total, à même de faire honte à toute l’industrie du jeu vidéo. Détendez-vous, je plaisante (NDRC : Effectivement, c’est super marrant, t'es le nouveau Didier Gustin…). Le titre de Firaxis est bien le jeu de stratégie au tour par tour que les apprentis mégalos attendaient la bave aux lèvres. Dès le lancement d’une partie, le connaisseur retrouve ses repères : une portion de carte s’affiche et vos seules unités disponibles sont des colons et un éclaireur. Très rapidement, une fois un terrain propice repéré, les colons établissent une première cité, pendant que l’éclaireur part à la découverte des environs. On choisit ensuite une première construction (bâtiment, unité) et on se lance dans la recherche scientifique. Et, oui, c’est toujours un bonheur de découvrir l’arbre technologique de la série, en fantasmant sur des inventions aussi lointaines que la radio ou l’informatique.
Annoncé début 2010, dévoilé à l'occasion de plusieurs previews plutôt prometteuses, Civilization V n'aura mis que quelques mois à fédérer les attentes d'une communauté de fans toujours plus nombreux, qui se plaisent à réécrire 6000 ans d'histoire humaine à chaque nouveau volet. Mais c'est aussi pour attirer un public encore plus large que Firaxis, le studio de Sid Meier, fait le pari du changement dans la continuité. Concilier les attentes des joueurs chevronnés, en demande perpétuelle de complexité, et celles des néophytes, que la simple évocation du tour par tour est susceptible d'effrayer : voilà tout de même un sacré défi, relevé avec brio par un certain John Schafer. Lead designer sur Civilization V, ce gros fan de la franchise passait son temps à concevoir des maps avant d'être embauché par le studio Firaxis et de se voir confier les clés du projet. L'objectif ? Rafraîchir la série, lui permettre d'évoluer et de rentrer dans la modernité sans rien perdre de sa richesse et de son gameplay pointu. Pour ce faire, John a insufflé à l'ouvrage sa propre vision d'utilisateur, qui lui a permis de refondre certaines mécaniques de jeu sans en trahir l'esprit.
Le voilà enfin ! Le nouvel opus de la plus grande série de jeux de stratégie au tour par tour débarque tel le messie pour de nombreux joueurs. Sid Meier nous livre, avec Civilization V, un titre plus accessible mais qui n’oublie pas la profondeur de jeu. De quoi contenter les fans de la première heure et les petits nouveaux avides de conquête globale. Le début de partie se déroule de façon on ne peut plus classique. Le joueur se retrouve sur une toute petite portion de terrain découvert avec une unité militaire et un colon apte à créer une ville. On trouve rapidement un coin propice où ériger sa capitale et on se lance dans la recherche technologique et la production de bâtiments ou de nouvelles unités. Les bases sont là et on se jette rapidement sur les ressources de la carte comme les minerais, la nourriture ou les chevaux. Il va d’ailleurs falloir y prêter une attention toute particulière car certaines d’entre elles sont indispensables à la production de certaines unités. Les chars de l’antiquité réclament des chevaux, les avions demandent du pétrole... Le développement de nouvelles technologies les feront apparaître comme l’uranium lors de la découverte de la fission nucléaire.
Alors comme ça vous voulez conquérir le monde ? Voilà un colon et un groupe de guerriers, maintenant débrouillez-vous. Si le point de départ d'une partie de Civilization n'a pas spécialement changé en vingt ans, le cinquième épisode de la série mythique de Sid Meier arrive tout de même à se faire immédiatement remarquer avec son interface complètement revue et son abandon de la grille de jeu quadrillée au profit des hexagones. L'ambition de Firaxis semble être de révolutionner une des séries les plus respectées du jeu vidéo et de chercher ouvertement à attirer l'attention du grand public, sans pour autant fâcher les innombrables fanatiques de la franchise. Un pari pas si facile à remporter. Que vous soyez Américain, Arabe, Aztèque, Chinois, Égyptien, Anglais, Français, Allemand, Grec, Indien, Iroquois, Japonais, Ottoman, Perse, Romains, Russe, Siamois ou Songhay, votre objectif sera simple dans Civilization V : tenter de conquérir le monde ! Pour accomplir cette ambition de souris de laboratoire, il faudra une fois encore faire évoluer notre civilisation à travers les âges depuis les toutes premières bribes de l'Antiquité jusqu'à un futur pas si lointain en imposant notre évidente supériorité par la guerre, la science, la culture ou même la diplomatie.
L'aventure démarre en l'an 4000 avant JC. Vous disposez d'une petite armée et d'un colon. Parties de rien, 6000 ans plus tard ces deux unités devront avoir pour descendants une population comptée en millions d'habitants, étendue, riche, puissante et dominatrice, si vous voulez gagner la partie. Le colon doit trouver un bon emplacement de départ, c'est-à-dire un terrain fertile. Il fonde la première ville qui, avec le temps, étend son territoire, fonde des - moins efficaces qu'avant -, cultive et achète - c'est nouveau - des terrains. La Recherche (on découvre les mathématiques, la roue...) améliore progressivement les unités, les bâtiments, les types de cultures... Pendant ce temps, votre armée découvre le territoire, rencontre des alliés potentiels (d'autres populations ou des , un nouveau concept de civilisations non expansionnistes qui trouble les cartes de la diplomatie, essentielle dans ce jeu), ou des ennemis. Barbares et populations rivales entreront régulièrement en guerre contre vous. Autant les duels sont facilement gérables, autant la prise d'une ville est devenue compliquée. Adieu la chance et les vainqueurs improbables du passé.
La démocratisation sans cesse croissante du jeu vidéo peut-elle aller de pair avec un jeu de stratégie au tour par tour exclusif au PC ? C'est toute l'épineuse question à laquelle se devait de répondre Sid Meier's Civilization V, condamné à ménager la chèvre (la nouvelle génération de joueurs) et le chou (les vieux de la vieille qui ont fait le succès de la série). Bonne nouvelle : les représentants de ces deux catégories ne trouveront pas grand-chose à redire face à ce nouvel épisode très réussi.Comme à son habitude, Sid Meier voit les choses en grand puisque son nouveau bébé nous charge de faire évoluer une civilisation entière de l'an 4000 avant Jésus-Christ jusqu'à l'an 2050. La progression s'effectue plus précisément à travers sept périodes distinctes : l'antiquité, l'ère classique, le moyen-âge, la renaissance, l'ère industrielle, l'ère moderne, et le futur. Nous avons le choix entre 18 civilisations, chacune d'entre elles étant représentée par un leader particulier (Napoléon pour la France, Alexandre le Grand pour la Grèce, Ramsès pour l'Egypte, George Washington pour les Etats-Unis...) et donnant accès à deux ou trois unités, bâtiments ou capacités spécifiques.
Depuis nos impressions il y a quelques semaines, j'ai essayé de ne pas passer trop de temps sur le chronophage et addictif Civilization V. C'était sans compter sur ce fourbe de RaHaN, qui nonobstant ma demande de vacances, m'a dit que ça tombait bien, j'aurai du temps pour faire le test. C'est donc reparti pour un plein de tours sur le messie du jeu de stratégie PC. La relève est-elle assurée ? Peut-on mettre les anciens Civilization au placard ?Sauf si vous vivez dans une grotte, et que malgré votre connexion Internet improbable, vous n'avez pas lu les impressions sur le jeu, vous connaissez les grandes nouveautés de cet opus : des cases hexagonales remplacent les carrées, et il est désormais impossible d'empiler des unités d'un même type sur une seule case. Aurons-nous droit à un schisme entre les carréistes et les hexagonalistes ? Chaque nouvelle édition de Civilization est en effet l'occasion pour les indécrottables puristes (de mon espèce, je l'admets) de dire que "c'était mieux avant". Mais cette fois, il faut bien reconnaitre que le changement est globalement un franc succès. Visuellement tout d'abord, la refonte du système est des plus appréciable : jolie découpe des continents, rivières et chaines montagneuses, différents environnements en fonction de la zone géographique, tout est rendu avec bon goût, et moult transitions entre les cases.
Le problème d'un titre comme Civilization V, c'est qu'il est très simple à pitcher, mais très complexe à expliquer. Le pitch ? Le joueur mène une civilisation de l'âge des cavernes à la conquête spatiale. Dans les faits, c'est incroyablement bien foutu et très complet.Quatre grands axes s'entremêlent pour former un tout cohérent. Le premier, c'est la gestion des villes. Après que vos colons aient créé une cité, vous produisez quelques bâtiments. Chacun d'entre eux peut apporter du bonheur, de la culture, des facilités de production, de la nourriture aux habitants. Des habitants contents sont de plus en plus nombreux. S'ils sont nombreux, ils produisent plus. S'ils produisent plus, vous obtenez vos bâtiments plus vite. En parallèle à la production, vous avez la recherche. Je crois que depuis 19 ans (eh oui, ça date de 1991), c'est l'aspect que je préfère alors que ça n'a presque pas bougé. L'arbre technologique est tout simplement d'une logique implacable. La roue mène à l'équitation et aux mathématiques, la poudre à canon à la chimie et la métallurgie... 74 technologies en tout, menant à des constructions diverses et variées (j'ai compté : 82 unités, 54 bâtiments, 42 merveilles).
Camarades, l’heure est grave : saviez-vous que, depuis presque 20 ans, une drogue dure numérique est responsable d’incalculables échecs aux examens, de retards au travail et même de crises conjugales ? Non, je ne parle pas de World of Warcraft, mais bien d’un titre tout aussi chronophage : Civilization. Sous ses airs de « serious game » où l’on découvre l’histoire de l’humanité, la série crée par Sid Meier est un véritable danger pour qui met le doigt dedans. Il est 23h30 et vous vous dites « allez, une petite partie d’une demi-heure avant d’aller au lit ». Qu’avez-vous fait là, malheureux ! Avant même de comprendre votre erreur, il est 6h du matin, vous êtes hagard devant votre écran, enchaînant les tours de jeux comme un poivrot enchaine les ballons de rouge. Bref, « Civ » est vicieux… Et ce cinquième épisode va encore nous faire perdre beaucoup, beaucoup, d’heures de sommeil. Vous ferais-je l’affront d’expliquer le concept de la série ? Allez, pour les deux du fond qui s’accrochent à leur pad, résumons rapidement. Civilization V vous offre la possibilité de prendre en main la destinée d’un peuple, depuis l’âge de pierre jusqu’à nos jours, voir plus.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 08/2010
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Voilà bientôt vingt ans que Sid Meier a imaginé le concept de Civilization. Vingt ans que cette série à nulle autre pareille enchante les amateurs de gestion / stratégie et nous propose - comme le soulignent les campagnes de publicité - de bâtir une civilisation capable de défier le temps. Vingt ans donc et déjà quatre opus pour une série qui n'a pas beaucoup évolué depuis ses débuts. Les développeurs de Firaxis ont intégré quelques nouveautés et affiné le concept, mais en définitive, ils se sont montrés assez prudents, pour ne pas dire peureux... Jusqu'à ce cinquième opus. Signe qui ne trompe pas sur la volonté de changement chez Firaxis, la direction du projet Civilization 5 a été confiée à un petit nouveau, mais pas n'importe lequel. Issu de la communauté des moddeurs (ces passionnés qui modifient en profondeur le jeu afin d'orienter différemment le gameplay), John Shafer est bien sûr resté fidèle au concept à la base de Civilization et il s'agit donc toujours de prendre en main une nation depuis l'âge de pierre jusqu'à la conquête spatiale. Le bougre a cependant pris un malin plaisir à bouleverser tous nos repères et - pour faire simple - débuter une partie de Civilization 5 impose de désapprendre tout ce que des années de pratique avaient pu nous enseigner.
Pour une série aussi pointue que Civilization, qui fait autorité dans le genre, il n'est jamais facile d'évoluer. Comment contenter les adeptes, en demande constante de nouvelles fonctionnalités, sans faire fuir les néophytes ? Voilà une équation dont Firaxis a confié la résolution à John Schafer, un gros fan de la franchise qui passait son temps à créer des cartes avant d'être embauché par le studio ! L'avantage c'est que Schafer, lead designer sur Civilization V, a insufflé au projet sa vision initiale d'utilisateur. A commencer par l'adoption d'une grille hexagonale, qui aurait dû prévaloir depuis longtemps dans une série qui s'enracine dans les jeux de plateau et les wargames. Ce changement accroît les possibilités tactiques (chaque hexagone ayant un côté commun avec six autres), accélère les déplacements et modifie l'aspect tactique des combats (nous aurons l'occasion d'y revenir). Bien entendu, il est possible d'afficher ou de masquer cette grille à tout moment d'un simple clic. Et là, tout de suite, difficile de ne pas évoquer le nouvel habillage de ce cinquième opus, qui s'offre une interface bien plus moderne, pourvue de menus escamotables et d'un système de notifications bien fichu.
J'aime cet article 1 personne aime cet articleAprès un petit détour par les consoles il y a deux ans avec Civilization Revolution, la série fétiche de Sid Meier revient à ses premières amours avec un cinquième épisode à venir prochainement sur PC. Très prochainement même, puisque la sortie est prévue pour la fin septembre. Il est donc temps de jeter un premier coup d'oeil sur cet opus prometteur, qui ne prend pas énormément de risques mais peaufine encore un peu plus plus une recette qui a maintes fois fait ses preuves par le passé.Vous l'aurez compris, Sid Meier's Civilization V préfère bichonner ses fidèles plutôt que les bousculer. Le seul véritable petit traumatisme qui les attend provient de l'éradication totale du concept de religion, qui tenait pourtant une place importante dans le quatrième épisode. Certains joueurs s'en formaliseront certainement mais les développeurs assurent que l'aspect diplomatique s'en trouve enrichi, les différentes civilisations ne devenant plus systématiquement amies ou ennemies sur de simples critères théologiques. En tout cas, cette amputation passe brillamment l'épreuve de la réalité car la version preview de Civilization V, non finalisée par nature, se montre déjà tout aussi intéressante que ses ancêtres.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
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Un colon, un guerrier et un monde entier à conquérir : pas de doute, Civilization prépare bien son grand retour pour cet automne sur PC avec un cinquième épisode attendu de pied ferme par une communauté de passionnés. Déjà découvert furtivement lors de l'E3 2010 en juin dernier, le titre de Firaxis et 2K Games nous revient aujourd'hui dans une version preview sur laquelle nous avons passé... oh, au moins une petite cinquantaine d'heures, histoire d'être sûr de n'avoir rien raté. Limitée au mode de jeu le plus classique et apprécié de la franchise (à savoir la partie solo personnalisée), cette version preview de Civilization V nous place d'entrée de jeu face à un écran de réglages extrêmement simplifié qui nous propose uniquement de choisir la civilisation jouée, la taille et le type de carte (Continents, Pangea ou Archipel), le niveau de difficulté et enfin la vitesse de jeu. Pas de panique, une version avancée de la chose est évidemment accessible d'un simple clic afin d'hériter d'une plus grosse liste de paramètres accompagnée par les habituelles petites cases à cocher ou non pour décider des conditions de victoire, de l'agressivité des barbares et de tout un tas d'autres éléments bien connus des fans.
J'ai toujours eu tendance à penser que la série des Civilization marchait comme les supports vidéos : avec le recul, on aurait pu en sauter un. Le passage de la cassette vidéo au Blu-ray aurait certes été un peu extrême, mais on s'est constitué des DVDthèques de plusieurs centaines de disques et voilà qu'il faut recommencer avec un nouveau support.Avec Civilization, c'est encore plus flagrant ; reste à savoir s'il vaut mieux faire l'impasse sur les volets pairs ou les volets impairs. Le problème, c'est que le jeu est tellement bien conçu à la base que le testeur se rue sur un nouveau "Civ" comme la richesse sur Neuilly. Et à chaque fois, on est super enthousiaste ; ça ne rate pas une fois de plus : on retrouve le titre de Sid Meier avec un incroyable plaisir.C'est toujours un peu plus fin, relativement propre, mais pour dire que c'est vraiment beau, il faut au départ être séduit par les graphismes d'une feuille de calcul Excel, s'enthousiasmer devant l'animation de trois pixels simultanément et être sensible au fait qu'une armée qui en découd avec une autre, ce n'est pas forcément Napoleon Total War. Je dois vous dire qu'avant de lancer le jeu, j'avais encore oublié de désactiver le système Nvision.
Déjà tout petit, vous essayiez de prendre le contrôle de votre jardin d'enfants ? Vous aviez pour habitude de conclure des traités à la cantine pour échanger vos branches de céleri contre du rab de dessert ? Il existe une série qui est faite pour vous : les Civilization vous permettent de diriger la destinée d'un peuple de l'Age de pierre jusqu'à la conquête spatiale. Cette licence est un genre à part entière et la sortie d'un nouvel épisode est toujours un petit événement en soi. On était donc impatient de mettre la main sur le cinquième opus de la série. Voilà bientôt 20 ans que le prolifique Sid Meier est parti à la conquête du monde en créant la série des Civilization. Ces jeux de stratégie à grande échelle vous permettent de suivre le destin de tout un peuple en prenant soin de celui-ci à partir du balbutiement de sa science jusqu'à ce qu'il soit capable de partir à la conquête des étoiles. D'ailleurs l'une des manières traditionnelles de remporter la victoire dans un Civilization est de parvenir à envoyer sa flotte de vaisseaux spatiaux avant ses concurrents. Ce cinquième opus ne déroge pas à la tradition et vous pourrez donc bien entendu chercher à évincer vos adversaires en les doublant sur le plan technologique... ou en les empêchant de progresser trop rapidement à grands renforts de bombardement.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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Franchise légendaire du jeu vidéo, Civilization nous reviendra cet automne pour un cinquième épisode attendu de pied ferme par une armée de fans prêts à échanger nuits de sommeil, vie sociale et carrière professionnelle contre un dernier tour de jeu sur la série lancée il y a vingt ans par un certain Sid Meier. Présenté pour la toute première fois lors de cet E3 2010, Civilization V s'annonce d'ores et déjà comme un passe-temps potentiellement passionnant. Explications. Un terrain de jeu vierge de toute influence humaine, une terre promise à perte de vue et trois pauvres colons perdus au milieu de nulle part ; cette présentation de Civilization V commence en terrain connu, même si un moteur graphique tout neuf donne un cachet forcément plus sexy à cette scène typique de n'importe quel début de partie dans la fameuse série de Sid Meier. Alors qu'un aperçu des environs nous est présenté par le développeur dépêché par Firaxis pour cette présentation, un oeil entraîné de fanboy repèrera tout de suite les modifications apportées à une interface plus aérée que jamais. Les ordres de base de nos unités ont effectivement été transportés sur le côté gauche de l'écran alors que les commandes les plus avancées ont elles été reléguées à un menu déroulant encore plus discret, laissant le bas de l'écran plus ou moins nu et la vue dégagée.
Civilization est depuis toujours l'aboutissement d'une vision, celle d'un seul homme. Si le nom du créateur originel, Sid Meier, est toujours associé à la série et que sa société de développement se charge encore de ce cinquième opus, c'est la patte d'un autre développeur qui façonne actuellement Civilization V. Pour savoir ce que John Schafer vous réserve, c'est par ici que ça se passe... Le lead designer de Civilization V ; John Schafer, a commencé à travailler sur la série des Civilization en tant que bêta-testeur sur le deuxième volet. Il s'était fait remarquer à l'époque par les développeurs de Firaxis grâce à la qualité des cartes qu'il avait développées pour son plaisir. Une belle histoire qui perdure puisque c'est aujourd'hui sa vision d'utilisateur qui est insufflée au projet. On peut donc dans un premier temps logiquement s'attendre à une interface plus agréable, mais aussi à des fonctionnalités multijoueurs inédites. Mais ce n'est pas tout. Si les améliorations sont nécessaires lorsque l'on fait une suite, il faut aussi prendre garde à ne pas se mettre à dos les fans qui sont particulièrement nombreux dans ce cas précis.
Gamekult
Ajouté le : 03/2010
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Annoncé tout récemment, Civilization V n'aura pas tenu bien longtemps avant de se livrer à la presse puisque le titre de Firaxis faisait l'objet d'une petite présentation en marge de la Game Developers Conference dans un cinéma investi par Take Two. L'occasion, donc, de découvrir un peu mieux ce nouveau volet, même si les détails à son sujet restent encore assez maigres. Il faut bien garder quelques cartouches d'ici la sortie du jeu prévue pour cet automne... Si la saga de gestion/stratégie tour par tour Civilization a su se moderniser au fil du temps depuis ses débuts en 1991, son principe de base reste lui le même depuis lors. Et il n'a bien évidemment pas bougé d'un iota dans Civilization V : il s'agira en effet toujours de conduire une nation (parmi les 18 proposées) de l'Age de pierre (4000 avant Jésus Christ) jusqu'à l'ère spatiale (en 2050) et d'en assurer le développement (économique, technologique, etc.) ainsi que sa pérennité. Si les conditions de victoire devraient être modifiées dans certains cas par rapport au précédent Civilization (Firaxis ne souhaitait pas en dire plus pour le moment), la partie observée fonctionnait en mode Conquête, où le but ultime était de contrôler toutes les capitales de la carte, et non toutes les villes.
Quand Civilization IV est sorti - et je l'écris avec un «Z» - il était difficile de dire : « Hé, tout le monde ! Il y a de superbes nouveautés qui font de Civ IV le jeu de la série qui va vous couper le souffle comme aucun autre ne l'avait fait ! » Il y avait des religions, mais Civ est un jeu équilibré et impartial, et les religions étaient parfaitement intégrées à l'arborescence technologique. Par ailleurs, comme les systèmes politiques, chacune d'elles était une option de gameplay viable, et non pas, comme un mécréant tel que moi l'espérait, une évolution psychologique inexorable allant de croyances primitives vers un athéisme blindé. D'autres choses changeaient le jeu. Vous pouviez ouvrir vos frontières dans le cadre d'un accord diplomatique, chose qui a été enlevée de Revolutions, la version édulcorée pour consoles portables de 2008, et ce retour en arrière s'était immédiatement avéré perturbant, vous confortant dans le sentiment que la nouvelle façon de faire était bien la bonne. Des personnalités illustres furent également introduites, donnant à la série une connotation historique supplémentaire (et l'envie de s'intéresser à l'histoire). Cela dit, il est difficile de faire les gros titres avec quelque chose d'aussi cérébral que Sid Meier's Civilization.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 03/2010
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Annonce surprise du mois dernier, le développement de Civilization V a fait l'effet d'une bombe chez tous les amateurs de gestion / stratégie et alimente nombre de forums consacrés à la série imaginée par Sid Meier. La surprise est d'autant plus grande que le projet semble déjà bien avancé et qu'une sortie à l'automne prochain est prévue. En juin - à l'occasion de l'E3 - il devrait être possible de jouer à ce Civilization V, mais en attendant, 2K Games et Firaxis ont profité de la GDC de San Francisco pour en offrir un premier aperçu. Nous ne pouvions évidemment pas manquer cela. Sur le fond, Civilization V restera évidemment dans la lignée de ses prédécesseurs et il s'agira toujours de mener un peuple de l'âge de pierre à la conquête spatiale en prenant de très nombreuses décisions (militaires, diplomatiques, économiques, technologiques). Au premier coup d'?il cependant, on voit que Firaxis a souhaité prendre un nouveau départ avec ce cinquième opus qui ne repose plus sur le fameux moteur Gamebryo. Le studio s'est attelé à la conception d'un outil propre et, de ce que nous avons pu en voir, la réussite est totale.
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