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Nous avons réuni 14 tests du Child of Eden. Les experts notent Child of Eden 8.1/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Child of Eden et d'autres Jeux Xbox 360.
Le langage de base des jeux vidéo est établi depuis longtemps. Les verbes caractéristiques de Mario, comme « sauter » et « écraser », ont rejoint le « dévier » de Pong, le « tirer » de Space Invaders et le « explorer » de Zelda, pour former un vocabulaire de base dont peu s'écartent, même près de 30 ans plus tard. Child of Eden, la pseudo suite de Rez, le fabuleux shooter hypnotique de Tetsuya Mizuguchi, se distingue donc en ajoutant deux nouveaux mots au lexique du jeu : « saisir » et « écarter ». Ces actions se déroulent sur le côté de l'écran, où 99 % du temps, les joueurs de jeux vidéo tortillent leurs pouces pour entrer des commandes. Mais ici, vous êtes en face de la télévision, observée par l'oeil fixe de la caméra Kinect, à peindre des cibles à l'écran - jusqu'à huit à la fois - avec des balayages de votre main directrice. Ensuite, quand vous êtes prêts, vous écartez les doigts comme si vous jetiez une poignée de sable au loin. En un seul mouvement, vous faites traverser l'écran à une volée de balles en direction des cibles en surbrillance. « Saisir » et « écarter » : l'apport de Mizuguchi au vocabulaire des jeu par contrôles de mouvements. Child of Eden - que l'on peut jouer avec Kinect ou un contrôleur standard - est un shoot-'em-up linéaire.
Si vous n'êtes pas trop jeune, vous devez certainement vous souvenir d'un jeu devenu culte au début de la décennie : Rez. Créé par Tetsuya Mizuguchi, ce shoot them up en 3D boosté à la techno est sorti sur Playstation 2, Dreamcast et même sur Xbox 360, grâce à un reliftage en HD (en téléchargement sur Xbox Live, on vous le conseille). Avant cela, Mizuguchi avait signé Space Channel 5, et ensuite, il a a persévéré dans le jeu musical avec Lumines, Meteos, et Every Extend Extra. Fou de musique électronique, il avait récemment déserté son studio de développement Q Entertainment pour enchaîner des concerts avec son groupe Genki Rockets. Jusqu'à ce qu'une rencontre avec Ubisoft le motive à reprendre du service... Child of Eden reprend le même type de gameplay que Rez, à savoir un shoot sur rails dans lequel on ne déplace qu'un viseur à l'écran. A l'aide du bouton A, on tire sur les ennemis, chaque pression sur le bouton déclenchant un son de caisse claire qui se marie parfaitement avec la bande son. Mais si l'on maintient ce bouton appuyé, il est possible de « locker » jusqu'à 8 cibles, l'explosion en chaîne entraînant une petite mélodie.
Beaucoup l’attendaient comme le messie des jeux Kinect. Il faut dire que les deux périphériques ne disposaient pas de titres réellement originaux et surtout gamers. Ce Child of Eden parviendra-t-il à justifier l’achat de ces périphérique ? C’est ce à quoi nous allons essayer de répondre. Dans le jeu vidéo, il y a de ces titres qui apparaissent comme des ovnis en proposant une expérience de jeu très particulière. Autant le dire tout de suite, Child of Eden est de cette trempe-là. Le soft se pose, à juste titre, comme le successeur spirituel de Rez, un shoot’em up musical du même développeur sortis sur Dreamcast et PS2 en 2001. On retrouve donc un jeu de tir spatial dans un univers épileptique à souhait et techno. Il ne faut pas attendre longtemps pour que les auteurs nous emportent dans leur folie. Child of Eden nous propulse dans un monde étrange. Un monde où tous les savoirs et données de l’humanité sont regroupés dans un système appelé Eden (le descendant d’Internet en somme). Des scientifiques se lancent dans un projet pour recréer, à partir des informations délivrées par Eden, la personnalité d’une fille du 21eme siècle nommée Lumi. Problème : lorsque cette dernière apparaît dans la matrice, elle se rend vite compte que ce nouvel Internet est corrompu jusqu’à la moelle et qu’il ne va pas tarder à disparaître (et elle avec).
Après Rez sorti en 2001 et réédité en 2008 sur Xbox 360 dans une version HD, le créateur Tetsuya Mizuguchi nous présente Child of Eden, l’un des jeux Kinect les plus attendus par les possesseurs du dernier périphérique de Microsoft. Un an après son annonce, le jeu arrive-t-il à combler toutes les attentes qui ont été placées en lui ? Child of Eden aurait pu s’appeler Rez 2 tant les deux jeux sont réellement similaires dans leur principe. L’intro déjà par nous mettre dans l’ambiance si spéciale et nous explique qu’un nombre incalculable de données de l’humanité ont été stockées dans un réseau appelé Eden. Mais voilà, ce réseau est menacé par un virus et nous sommes chargé d'empêcher ça, et par là même de sauver Lumi, le premier être humain né dans l’espace que l’on aperçoit en chair et en os à de nombreuses reprises durant le jeu. C’est donc dans cet Internet du futur, Eden, que le joueur sera plongé tout au long de l’expérience sensorielle qu’est Child of Eden. Le jeu se découpe en 5 parties (+ 1 bonus) qui représentent chacune une archive d’Eden, avec sa propre personnalité... Et ni une ni deux, on est embarqué dans le monde d’Eden dès les premières minutes du jeu, avec son déluge d’effets lumineux en tout genre et de formes géométriques de toutes sortes.
Interrogé par un proche sur la nature de ce drôle de machin auquel je jouais en tapant bruyamment du pied, j'ai répondu : "c'est un jeu dans lequel il faut tirer en rythme sur des choses psychédéliques." Cette dernière épithète a été immédiatement confirmée à l'écran, sur lequel une baleine semi-translucide s'est transformée en un majestueux phoenix cosmique. Réplique immédiate de mon interlocuteur : "pas très intéressant, ça." Effectivement, un rail shooter vaguement musical aux couleurs aveuglantes et qui se termine en moins de deux heures ne présente, dans l'absolu, aucun intérêt. Tetsuya Mizuguchi a pourtant l'incroyable capacité à transformer un concept complètement pipeau en expérience intrigante, voire, aux yeux de certains, en oeuvre-culte. Rez est évidemment passé par là, qui a permis à celui qui fut game designer sur Sega Rally de s'affirmer comme un créateur ambitieux et sévèrement barré.Child of Eden reprend d'ailleurs quasiment à l'identique la formule de Rez, la maestria technique en plus, et devrait donner lieu au même type de débat. A l'époque, la communauté des gamers s'était en effet déchirée pacifiquement, certains criant au génie là où d'autres ne voyaient dans cette production Dreamcast et PS2 technoïde et ultra-minimaliste qu'une pure escroquerie ludique.
Si métaphoriquement on imaginait le jeu vidéo comme une automobile, on pourrait aisément définir deux types de passagers à bord. Pied au plancher, se flattant des belles mécaniques qu'il domine, le premier profil a soif de vitesse, de performances, de sensations fortes. Le second profil, s'il apprécie tout autant la vitesse, en tire une autre satisfaction : passer son bras par la vitre ouverte, pour, au tempo du son de son autoradio, jouer avec le vent. Si vous vous reconnaissez plutôt dans ce second profil, Child of Eden, le nouveau rail-shooter de Q? Entertainment pourrait vous plaire. De toute façon, à la fois zen et frénétique, avec son message humaniste et écologiste, CoE s'adresse à tous, sans clivage.Le nouveau jeu de Tetsuya Mizuguchi s'adresse tellement à tout le monde qu'il se veut la figure de proue d'un Kinect ambitieux, cette caméra magique censée aussi faire jouer ceux qu'une manette effraie. Mais voyons les choses en face, on doute que le grand public se jette en masse sur ce titre, plutôt destiné aux joueurs avisés qui pour la plupart, ont vibré avec Rez, l'ancêtre spirituel de Child of Eden, sorti en 2002 sur Dreamcast.
Oubliez tout ce que vous pensiez savoir sur les jeux vidéo. Child of Eden n'est pas le genre de titre que l'on aborde de la même façon qu'un énième FPS ou qu'un jeu d'action quelconque. Le seul titre qui peut revendiquer un lien de parenté avec ce shoot'em up psychédélique n'est autre que Rez. Cet illustre aîné est sorti il y a une dizaine d'années mais il continue pourtant de susciter la polémique : il est considéré comme une véritable œuvre d'art par certains alors que d'autres continuent d'être réfractaires à l'expérience proposée. Child of Eden ne devrait pas faire davantage consensus. Ce n'est pas la première fois que Tetsuya Mizuguchi, le créateur de Child of Eden, fait parler de lui dans le petit monde des jeux vidéo. Le fondateur de Q Entertainment est en effet à l'origine de plusieurs titres qui ont su s'imposer en tirant profit d'un gameplay simple, on pense par exemple aux Meteos ou aux Lumines. Mais le jeu qui lui a valu d'être littéralement porté aux nues par une partie du public et incompris de l'autre partie des joueurs n'est autre que Rez, un shoot'em up pour le moins original sorti il y a une dizaine d'années sur Dreamcast. Le titre se présentait comme un voyage insensé au cœur d'un réseau informatique, il alliait des graphismes minimalistes à une expérience auditive interactive hors du commun.
Nous ne répéterons jamais assez combien Child of Eden est un ravissement pour les yeux, un kaléidoscope sensoriel, et plus simplement l'héritier HD de Rez, porté cette fois par un message humaniste. Cela, on l'a déjà dit, par deux fois en plus. Aussi, afin d'éviter la redite, nous nous focaliserons cette fois-ci sur les éléments de gameplay, que nous avons enfin pu entrevoir avec cette version preview. Car derrière la portée universelle de Child of Eden, il y a aussi un coeur de jeu gamer qui bat. Et fort. Jusqu'à présent, nous avions eu l'occasion de nous essayer au dernier titre de Q Entertainment en God Mode, invulnérables, sans la moindre interface pour nous rappeler à notre devoir de joueur. Grâce à cette version preview, Ubisoft nous a offert une idée un peu plus précise de la dimension ludique de Child of Eden. Et une fois encore, l'empreinte de Rez n'est jamais très loin. Faut-il le rappeler, Child of Eden est un jeu de tir sur rails, où le joueur dirige un gros curseur à l'écran. Son objectif : purifier les Archives des bienfaits de l'Humanité, vérolées par de dangereux virus. Matrice, Beauté, Evolution, Passion, autant de noms évocateurs pour des niveaux aux environnements tantôt organiques, tantôt mécaniques, et des ennemis protéiformes en adéquation - amibes, phénix, crocus, etc.
"Un jeu de tir multisensoriel" : voilà comment Tetsuya Mizuguchi, le producteur de Rez, Lumines ou encore Every Extend Extra Extreme, définit sa nouvelle création. Et il faut bien dire qu'à l'image des titres cités précédemment, Child of Eden se révèle effectivement une expérience vidéoludique hors norme doublée d'un véritable trip psychédélique... Se déroulant au sein d'Eden, une zone spéciale de la mémoire humaine, le jeu propose de parcourir cinq « archives », nom donné aux niveaux. Le but est d'éradiquer la présence d'un virus censé contrecarrer le projet LUMI qui consiste à recréer une personnalité humaine. Attention, si l'histoire paraît alambiquée, voire confuse, en revanche il n'en est rien du gameplay. Car il s'agit ni plus ni moins d'un bon vieux shoot'em up au cours duquel il faut éliminer tous les ennemis qui se présentent à l'écran. Originalité toutefois : non seulement l'univers du titre est constitué d'une explosion permanente de formes géométriques et de couleurs vives pouvant symboliser divers sentiments et émotions, mais en plus le joueur utilise directement son corps pour interagir avec le monde alentour.
Rappelez-vous, à l'E3 dernier, Tetsuya Mizuguchi montait sur scène lors de la conférence Ubisoft pour nous faire une démonstration de son fameux Child of Eden, peut-être l'un des seuls jeux capables de faire chavirer le coeur des harcore gamers pour le nouvel accessoire de Microsoft qui, avouons-le, est pour le moment bâti pour séduire le public de la Wii. Ce spectacle, mené de main de maître par le créateur de Rez, est aujourd'hui appuyé par le soutien de l'éditeur français, qui semble prêt à tout pour populariser un tel projet. Si Child of Eden attire l'oeil par son aspect graphique (le jeu batifole avec les couleurs, les formes géométriques et la musique), il est d'autant plus séduisant à prendre en main ; au singulier, car une seule suffit pour dompter la matrice. Enfin presque. Présenté par deux développeurs de Q Entertainment (le studio en charge du développement) lors de cet événement californien, Child of Eden fascine par son accessibilité et sa simplicité, chose qui ne paraît pas si évident lorsqu'on est en position de spectateur. Suite spirituelle de Rez totalement assumée, Child of Eden affiche donc les mêmes mécanismes et comme tout jeu de tir qui se respecte, propose plusieurs façons d'éliminer les créatures et autres entités polygonales qui défilent à l'écran.
Attention, le premier contact avec Child of Eden s’avère étrange. Regarder quelqu’un y jouer n’est pas réellement passionnant et on cherche l’intérêt d’agiter les bras devant des formes colorées. Et puis, on s’y essaie. Debout, face à l’écran, on commence doucement à prendre part à cet univers totalement barré. Le bras droit devient le lien entre la réalité et le monde imaginé par Tetsuya Mizuguchi, le « produit » se met à agir sur le cerveau, la fusion entre l’homme et la machine se fait de plus en plus forte, la magie opère. À la question « Child of Eden est il un jeu ? », la réponse est oui, définitivement. Le titre reprend en gros le principe de Rez : un shoot’em up sur rail où l’on tire sur des ennemis abstraits, au design tout droit sorti de l’imaginaire d’un artiste un peu fou. À chaque impact, un son. Au bout de quelques minutes, l’unité visuelle et sonore est totale. La musique retentit dans nos oreilles et fait le lien avec ce qui se passe à l’écran. Mais dans Child of Eden, contrairement à Rez, l’univers est plus coloré, plus flashy, à la limite du kitsch. Tout le monde n’y adhérera pas et cette direction artistique particulière risque surtout de faire fuir le grand public.
Gamekult
Ajouté le : 09/2010
Plus accessible...
Il est parfois difficile de tenir sa langue. Même si nous avions eu l'occasion de l'évoquer dans Gamekult, l'émission en plein Tokyo Game Show, il nous fallait attendre aujourd'hui pour vous livrer nos impressions complètes et réactualisées sur Child of Eden, le project Kinect signé Ubisoft et Q Entertainment. L'heure est à présent venue de replonger dans le monde onirique tel que l'ont imaginé Tetsuya Mizuguchi et ses équipes, pour un jeu qui s'annonce à la fois comme l'héritier de Rez et un formidable ambassadeur pour Kinect. Ce nouveau contact au Tokyo Game Show fut l'occasion d'expérimenter le gameplay de Child of Eden avec et sans manette. Et sans faire injure au pad Xbox, il faut admettre que c'est avec Kinect que ce rail shooter tire sa quintessence. Instinctive pour ne pas dire élémentaire, la prise en main ne nécessite pas plus de quelques secondes, surtout si l'on a déjà joué à Rez. En maintenant l'un de ses bras devant lui, le joueur balaie le curseur à l'écran pour locker les cibles - jusqu'à huit simultanément, comme dans Rez. Il lui suffit d'esquisser un mouvement sec face à lui - ou hors du cadre - pour activer les projectiles qui iront les détruire, ou bien tendre les bras en l'air pour lancer une bombe sur la totalité de l'écran.
Entièrement conçu par le génial créateur de Rez, paru sur Dreamcast et PS2 il y a une dizaine d'années, Child of Eden est un nouveau jeu de tir conceptuel combinant harmonieusement musiques d'avant-garde, graphismes hallucinés et mouvements du joueur pour en faire une expérience absolument unique. Nous avons pu planer durant une quinzaine de minutes devant un écran géant afin de vous faire partager nos premières impressions sur un titre qui devrait encore pas mal faire parler de lui dans les mois à venir. Le nom de Tetsuya Mizuguchi n'est pas forcément très connu dans nos vertes contrées. Pourtant, ce game designer talentueux n'est autre que le fondateur du studio Q Entertainment, à l'origine de puzzle-games aussi convaincants que Lumines ou Meteos sur PSP et DS. On se souvient également de lui pour le travail qu'il a effectué chez Sega entre 1990 et 2003. Sega Rally Championship ou Space Channel 5 sont effectivement des jeux sur lesquels Tetsuya Mizuguchi a pu exprimer sa créativité mais c'est surtout sur le shooter conceptuel Rez, que son génie s'est révélé. Véritable kaléidoscope de sons et de couleurs, Rez fait partie de ces ovnis vidéoludiques qu'on adore ou qu'on déteste.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
Après avoir fait l'ouverture de la conférence Ubisoft avec Child of Eden, Testuya Mizuguchi s'est installé hier au coeur du stand de son éditeur pour présenter plus en détails son dernier projet. Tout en réalisant une démonstration sans Kinect, le fondateur de Q Entertainment nous a fourni quelques informations sur ce qui ressemble fort à une suite spirituelle de Rez. Il y a bientôt neuf ans débarquait Rez, un shoot'em up sur rails totalement atypique basé sur le concept de synesthésie, association de plusieurs stimuli sensitifs. Adulé par les uns, incompris par d'autres, le titre avait connu une seconde jeunesse il y a deux ans avec un portage HD exclusif au Xbox Live Arcade. Deux années plus tard, Tetsuya Mizuguchi revient avec Child of Eden, un jeu simplement évoqué à l'E3 dernier et qui s'est dévoilé le jour de l'ouverture du salon californien cuvée 2010. Même si son créateur nous soutient qu'il s'agit d'un tout autre jeu, il avoue tout de même qu'il est né du même ADN créatif que Rez, chose immédiatement visible dans le parcours guidé, les effets visuels psychédéliques liés à des scripts sonores et des vibrations, le curseur rectangulaire pour viser, le bouton unique pour tirer ou locker une série de cibles, les niveaux qui se chargent de plus en plus en détails au fil de la progression...
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