Calling
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Nous avons réuni 4 tests du Calling. Les experts notent Calling 4.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Calling et d'autres Jeux Wii.
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Test Calling
Calling
Profitant d'un léger désistement du survival-horror sur Wii, Calling tente sa chance après le réussi Silent Hill : Shattered Memories et le fort dispensable Ju-On La Malédiction. Mettant une fois de plus en avant l'horreur made in Japan, le titre de Hudson se veut intrigant malgré d'évidentes carences techniques. Tu es jeune, tu fais partie de la génération 2.0 et tu n'as pas ton pareil pour écrire en SMS ? Alors tu as toutes les chances d'être un jour ou l'autre maudit. Oui, bon, pas de panique car pour cela, mieux vaut vivre au Japon où sévissent depuis des millénaires des cohortes de fantômes entièrement dévolus à notre malheur. Voici donc pour notre plus grand bonheur une nouvelle histoire de revenants nippons qui cette fois essaient de nous interpeller par l'intermédiaire du net, d'un site de tchat plus exactement. Pour celles et ceux qui suivraient un peu l'actualité du cinéma d'horreur japonais, disons que Calling se rapproche de Kaïro, ou de Pulse, son remake américain. Dans l'absolu, rien ne change car au-delà de la cause (l'usage de la technologie) débouchant sur la conséquence (la malédiction), le résultat est toujours le même : des fantômes aux cheveux sales qui nous agressent dans des lieux communs.
Test Calling
Internet est le lieu où les plus jeunes et plus innocents peuvent faire de mauvaises rencontres, telle est la réalité de notre siècle. Du côté des jeux vidéo, un studio a décidé d'exploiter le même genre d'idée, mais cette fois, en multipliant les fantômes et en répandant la mort. Pas question pour Calling de vous inviter dans un univers enchanteur, vous êtes ici dans un survival-horror, où vous devrez à la fois survivre à une menace bien mystérieuse tout en trouvant justement son origine. Ames sensibles s'abstenir, les rencontres au travers de ce titre ayant le don de vous faire sursauter. Quant aux amateurs du genre, on leur conseillera de vouer une soirée entière à ce titre, seul, dans le noir pour une immersion complète. En plein jour, le titre perd tout de même de son impact. Calling vous propose donc de faire un voyage dans un univers parallèle, un univers peuplé de fantômes, tous plus ou moins chaleureux. Certains seront vos guides, d'autres vos ennemis. Le titre ne vous demande pas d'incarner un unique personnage, mais plusieurs. Vous commencerez l'aventure par le jeune Shin, complètement effrayé par ce qui lui arrive.
Test de Calling
Si vous êtes féru de cinéma d’horreur asiatique et que vos films de chevets se nomment Ring, Ju-on ou Kaïro, autant vous dire que l’ambiance et le scénario de Calling ne vous surprendront guère. Tout commence, comme souvent, par une rumeur : un mystérieux site Internet aurait causé la mort de plusieurs personnes. Cette « page noire » nourrit les histoires les plus folles et abreuve les chat rooms en théories de tous genres. Un soir, quelques personnes se retrouvent d’ailleurs à converser sur le Net sur ce sujet quand, tout à coup… (Quelle tension !) leurs téléphones sonnent. Ni une ni deux, ils perdent connaissance et se réveillent chacun dans un endroit différent, bien entendu hanté jusqu’à l’os. La trame du titre est donc découpée en chapitres, qui mettent en scène différentes victimes toutes aussi paumées que nous quant à leur raison en ces lieux. On comprend vite cependant qu’elles ont atterri dans une sorte de dimension parallèle, où défunts et vivants se rejoignent. Concrètement, Calling se joue à la première personne et reprend les contrôles de base d’un FPS. Rien à dire sur ce point, la prise en main est assez souple : on examine une zone particulière en appuyant sur A, on ouvre les portes d’un mouvement de Wiimote et on use et abuse de la touche pour courir, tant les déplacements sont lents.
Calling
Après le désastre ludique que fut Ju-On : The Grudge, la Wii se pare d'un nouveau survival-horror en vue subjective. Et cette fois, c'est Hudson Soft qui est aux commandes. Pas vraiment un spécialiste du genre donc, et cela s'en ressent cruellement : largement inspiré des classiques du cinéma d'horreur nippon, Calling n'invente rien, et abuse des insupportables clichés du genre au point que cela n'effraie même plus. Les «bouh-je-t'ai-fait-peur» se succèdent et se ressemblent (on est bien loin d'un Eternal Darkness), et les images subliminales censées effrayer ne sont pas vraiment convaincantes ; pas plus que la bande sonore, totalement inefficace - un comble pour un jeu d'épouvante.Seul le néophyte en cinéma d'épouvante japonais sursautera face aux esprits frappeurs et autres sons stridents... mais pas pour longtemps puisque la tension cède rapidement place à l'insouciance, et pour cause : le manque total de challenge empêche presque de perdre, et donc de ressentir la crainte du Game Over - pourtant le sentiment de base du survival horror. Chaque affrontement avec un fantôme se résume à un unique QTE : secouer la Wiimote afin de se libérer de son étreinte. Ensuite, la jauge de vie remonte, et le jeu continue comme si de rien n'était...
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