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Nous avons réuni 10 tests du Call of Duty : Black Ops II. Les experts notent Call of Duty : Black Ops II 8.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Call of Duty : Black Ops II et d'autres Jeux PC.
Lors du test de Black Ops 2 réalisé sur Xbox 360, vous étiez quelques-uns à imaginer, puisque vous nous connaissez bien, qu'avec un 9 sur consoles, nous allions mettre 10 à la version PC. Et là, je dis : suspens. Oui, on aime le PC pour ce qu'il permet. On aime tester les cartes graphiques dernier cri, constater les différences qui existent entre un rendu DirectX9 et DirectX11, ajouter un peu de ram, passer de Word à Steam, parce qu'un PC permet aussi bien de bosser que jouer, que faire l'andouille sur Facebook ou écrire à son banquier. Mais quand on teste un jeu PC, celui-ci n'obtient pas un point supplémentaire grâce à l'affinité que l'on peut avoir avec le support. Ce serait un peu simple. Certes, il y a le couple clavier-souris qu'on préfère mille fois à une manette. Mais là encore, étant donné que c'est la même chose pour tous les FPS, ça ne rentre pas en ligne de compte : ce n'est pas parce que le testeur est un gros boulet avec un pad dans les mains qu'une plus-value doit apparaitre. J'aimerais surtout revenir sur un point du mode solo de Call of Duty Black Ops 2 sur Xbox 360 qui m'a réellement surpris. Certains niveaux permettent une vue tactique de la carte.
Calés entre FIFA et le beaujolais nouveau, les nouveaux épisodes de Call of Duty sont désormais un rendez-vous annuel incontournable de fin d'année. Pour 2012, c'est Treyarch qui s'y colle à nouveau. Après un premier Black Ops convaincant mais encore perfectible face aux Modern Warfare, ce second épisode se veut comme l'opus le plus ambitieux développé par Treyarch. Et force est de reconnaître que l'élève dépasse le maître. Black Ops 2 se déroule quelques soixante années après le premier épisode. En 2025 une nouvelle Guerre Froide est en cours. Elle concerne cette fois-ci les Etats-Unis et la Chine communiste. Les deux puissances entretiennent des relations tendues, liées à l'exploitation d'une ressource rare – le Celerium – permettant de fabriquer l'essentiel des appareils militaires. Et il s'avère justement que le cours de ce minerai est en chute libre sur les marchés, accentuant encore plus la rivalité entre les deux mastodontes. La cause ? Elle porte le nom de Raul Menendez, un vieillard borgne à la tête d'un groupe terroriste nommé Cordis Die qui souffle le chaud et le froid aux quatre coins de la planète.
Le rendez-vous a désormais pris les allures d'une habitude tenace : tous les ans au mois de novembre, nous avons droit à un nouvel épisode de Call of Duty. Si le succès commercial est pour l'instant toujours présent, la série est aussi régulièrement critiquée pour son manque de prise de risques. Vous vous attendiez donc logiquement à retrouver exactement la même recette que les années précédentes et vous vous prépariez déjà à inonder les forums de vos diatribes enflammées ? Pas de chance, Treyarch vous a pris de court en proposant de vraies nouveautés qui méritent le détour. Comment présenter la série des Call of Duty sans pour autant tomber dans la success-story ni dans la critique gratuite ? Voici en effet quelques années que la licence phare d'Activision mène la danse en se baladant tout en haut des classements de ventes de jeux. Ce succès a aussi attiré son flot de critiques plus ou moins fondées : on reproche ainsi souvent à ces FPS de proposer des campagnes trop courtes, trop manichéennes et trop linéaires... En général, en lançant un Call of Duty, on s'attend à s'en prendre plein les yeux mais pas forcément à découvrir un scénario poignant.
Cordis Die, une organisation terroriste dirigée par un certain Ménendez, Cubain né de la Guerre froide et qui garde une rancoeur tenace contre les pays riches ; Woods et Mason de retour dans un scénario débutant quelques années après Black Ops ; Le fils de Mason dans une histoire se terminant dans un futur proche (2025) : Voici en subtance le synopsis de ce Call of Duty : Black Ops 2. Le huitième épisode du jeu le plus attendu et le plus vendu chaque année depuis maintenant cinq ans. Et si le terme n'était pas totalement galvaudé, nous parlerions volontiers de l'épisode de la maturité et de la consécration pour Treyarch.Comme on s'en rend compte aux commentaires qui suivent cet article et devant la recrudescence de vols de sac à main dans les salles, ce test suscite la polémique.Afin d'être totalement transparent, je confirme qu'en effet, le testeur du jeu a été par le passé salarié d'Activision, qui édite le jeu Call of Duty. Comme il ne travaille plus pour cet éditeur depuis 1 an, nous avons estimé qu'il n'y avait pas ou plus de conflit d'intérêt et qu'au contraire, sa connaissance du jeu lui permettrait d'en faire une meilleure évaluation.J'affirme ici que ce test a été effectué sur Xbox 360 dans les conditions habituelles et qu'il ne s'agit en aucune manière d'un article de complaisance.
Après avoir épuisé le sujet de la seconde guerre mondiale et plus qu'entamé celui du combat moderne, il est à peu près certain que les shooters militaires vont désormais occuper le terrain du futur. En attendant un probable "Future Warfare", c'est Black Ops II qui ouvre le bal. Mais comment mettre un pied dans le futur tout en conservant un lien avec les personnages du premier épisode, qui évoluaient en pleine guerre froide ? Tout simplement en alternant des niveaux qui se déroulent en 1986, où l'on retrouve Alex Mason et Frank Woods, avec d'autres prenant place en 2025 et mettant en vedette David Mason, le fils d'Alex. Ce choix de narration est plutôt une bonne idée, puisqu'il permet de varier les plaisirs. L'ambiance des deux époques est vraiment différente, ce qui évite toute lassitude. La période du passé ne paraît même pas trop classique, grâce à quelques astuces bienvenues, comme la présence de personnages connus (au premier rang desquels le général Noriega) ou la possibilité de monter à cheval dans les étendues désertiques d'Afghanistan. Quant au futur, il nous fait profiter d'un armement expérimental pas désagréable.
Comme chaque année, suivant un plan de communication très précis, le nouvel épisode de Call of Duty dévoile petit à petit son contenu. A un mois de sa sortie, Activision et Treyarch nous ont délivré quelques informations supplémentaires au sujet des trois grandes parties qui constituent Black Ops II. A savoir la campagne solo principale, le multijoueur et le mode Zombie. De quoi se faire une idée assez claire du contenu très dense du jeu. C'est par un bref aperçu de la campagne solo que Treyarch a décidé d'ouvrir la nouvelle présentation de son blockbuster, promis à un destin royal. La mission exposée prend place en 2025, à Myanmar, au cœur de la Birmanie. David Mason et les militaires qui l'accompagnent se sont rendus sur place afin de débusquer Raul Menendez, le grand vilain de Black Ops II, à l'intérieur de l'une de ses bases. Comme d'habitude, dès les premières secondes, le spectacle est au rendez-vous. Le joueur se retrouve ainsi suspendu à plusieurs centaines de mètres de hauteur, au-dessus du vide. Il doit alors utiliser des gants adhésifs high-tech pour descendre progressivement la paroi rocheuse, un peu comme dans la scène de Mission Impossible 4 sur la Burj Khalifa.
Organisé en préambule de la Gamescom, l'événement Black Ops II était censé nous apporter quelques éclaircissements sur la licence phare d'Activision. A ce petit jeu, l'éditeur n'aura rien dévoilé, du moins sur la campagne solo. En revanche, via une session de jeu d'un peu plus de deux heures, nous avons pu découvrir l'ampleur des nouveautés qui se cachent derrière le multijoueur. Qu'on le déteste ou qu'on l'adule, Black Ops fait partie des jeux qui divisent. A l'instar d'un FIFA, le FPS d'Activision a toujours déchaîné les passions, entre ses fervents défenseurs, les critiques acerbes de joueurs le jugeant trop arcade, les pro-Battlefield... Toujours est-il qu'en dépit de nombreuses estocades portées (justifiées ou non), Black Ops est toujours debout. Il fait encore mieux puisqu'il revient sur le devant de la scène, non pas dans une version 1.5 mais avec un multijoueur totalement, ou partiellement, repensé pour plaire à un... plus large public. Mais parce qu'il en faut un qui ose, le titre développé par Treyarch a opté pour le double défi de se rapprocher, à la fois de Battlefield par un gameplay et des options de jeu plus poussées, mais aussi d'amateurs de FPS pour qui la licence d'EA se montre bien trop exigeante.
Comme vous le savez sûrement maintenant, le point de départ du scénario de Call of Duty Black Ops 2 est le piratage du réseau de la défense par un certain Raul Menendez, dont le but, semble-t-il, est de tuer tous les présidents du G12. On nous a remontré le niveau présenté durant la conférence de Microsoft, à savoir l'attaque de L.A. par des nuées de drones, et de robots. On incarne donc Mason, qui est en train d'accompagner la présidente vers son bunker de L.A. L'action est toujours aussi « hollywoodienne », le moteur graphique commence à sévèrement dater, mais au moins c'est parfaitement fluide sur la Xbox 360 sur laquelle tourne la démo. Il y a eu tout de même quelques modifications au niveau du moteur, avec encore plus de choses à l'écran et encore plus de particules. Les gars de Treyarch ont pris comme point de départ les armes de notre époque, en imaginant ce qu'elles pourraient devenir avec 10 années de recherche supplémentaires. Du coup, elles sont plus puissantes (le sniper peut tirer à travers le béton, par exemple), et leur viseur sont plus complet (là aussi, vision au travers du mur). Le personnage principal dispose, d'ailleurs, d'un lance-fléchettes explosives sur son bras droit, pas très puissant, mais qui semble déstabiliser ses ennemis.
C'est l'histoire d'un jeu qui veut révolutionner la série mais pas trop. Sans renier l'ADN de Call of Duty, ce mélange, dixit Activision, de "réalisme épique, d'adrénaline, de prise en main immédiate et de marge de progression exigeante, le tout en 60 images par secondes", Black Ops II se veut tout simplement "le plus ambitieux" d'entre eux. Oui, rien que ça. Et sur le papier, le studio Treyarch s'en donne les moyens. Le scénario est cosigné David Goyer (The Dark Knight), le moteur graphique a eu droit à une refonte partielle, et le mode solo à de nombreuses nouveautés. C'est sur celles-ci que l'éditeur a d'ailleurs lourdement insisté, le 15 mai dernier, lors d'une présentation à San Diego à laquelle nous avons assisté. Petite mise en contexte. L'histoire se déroule à la fois dans les années 80 et 2025, et suit l'émergence de Raul Menendez, terroriste entraîné par la CIA, et son rôle trente ans plus tard dans le conflit ultra-robotisé qui a éclaté entre les Etats-Unis et la Chine. Toutes les zones de conflit sont alors en réseau, et les machines et les drones prolifèrent. Or le terroriste de service de ce nouveau COD, Raul Menendez, a réussi à retourner l'armement ultrasophistiqué de l'U.S. Army contre elle-même. Aux Black Ops d'intervenir.
Comme le veut la tradition instaurée de longue date par l'éditeur américain Activision, la série Call of Duty accouchera le 13 novembre prochain de son épisode annuel sous-titré : Black Ops II. Loi de l'alternance oblige, c'est à Treyarch qu'est revenue cette fois la lourde tâche de développer le jeu. Ce qui aurait sonné comme une mauvaise nouvelle il y a encore deux ans de cela. Mais si le studio californien a longtemps peiné à se défaire de la mauvaise image qui lui collait à la peau - celle du concepteur des volets les moins réussis - cette époque est aujourd'hui révolue. Avec Black Ops, sorti en 2010, les équipes de Treyarch ont prouvé qu'elles étaient capables de soutenir la comparaison avec celles d'Infinity Ward. Plus matures, plus confiants en leurs capacités aussi, les développeurs ont même décidé cette année de se lancer dans une refonte de la campagne solo de la franchise. Pour un résultat qui s'annonce enthousiasmant ! Inutile de se le cacher, la présentation de la campagne solo d'un nouveau Call of Duty ne contient généralement aucune surprise côté gameplay. Les développeurs y parlent améliorations, retouches mais rarement innovations.
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