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Nous avons réuni 19 tests du Bulletstorm. Les experts notent Bulletstorm 7.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Bulletstorm et d'autres Jeux Xbox 360.
Alors que le FPS se veut aujourd'hui réaliste, plongeant sans cesse le joueur dans des conflits passés ou futurs, Bulletstorm arrive sur la scène avec la ferme intention de dynamiter tout cela et de redonner un petit goût de fraîcheur à un genre qui s'est enfermé dans des codes trop fermés.C'est le studio People Can Fly, déjà à l'origine du très décalé Painkiller qui s'y colle, avec l'aide du réputé studio Epic pour la partie visuelle. Euh, pour le scénario, un post-it ça ira ? Les joueurs PC des années 90 ne seront pas surpris de retrouver dans Bulletstorm un scénario qui utilise tous les clichés du genre pour mieux les tourner en dérision. On y retrouve ainsi une sombre histoire de vengeance, dont notre héros va essayer de s'acquitter au mieux afin notamment de rendre honneur à ses camarades disparus. L'histoire débute donc alors que vous avez quelques grammes d'alcool dans le sang et que vous décidez dans votre grande lucidité de tenter une attaque suicide contre la fédération qui vous a joué un sale tour. Vous échouez donc sur une planète étrange, où des hordes d'humanoïdes barbares n'auront de cesse de vous attaquer sans réelle raison apparente.
C'est un fait entendu depuis déjà quelques années : dans le monde impitoyable du FPS d'aujourd'hui, il faut développer une intrigue et scripter au maximum l'action pour s'imposer au box office - le succès proprement insolent du dernier Call of Duty est là pour convaincre les sceptiques. Ce constat, partagé par les développeurs de Bulletstorm, les a paradoxalement poussés à tenter de faire exactement l'inverse. Les créateurs de Painkiller, encouragés en cela par leur nouveau propriétaire Epic, ont en effet décidé de remettre au premier plan cet élément fondateur du FPS, hérité du temps où on l'appelait encore doom-like : le frag. Peu importe finalement de savoir "pourquoi" ; l'important va être de savoir "comment" trucider les hordes d'ennemis nous tombant sur le râble. Et quelques minutes de jeu suffiront à nous rassurer sur les ambitions du développeur : c'est certain, People Can Fly... Tempête de boulettes (géantes) Les intentions du studio bien comprises, on pourrait croire que dans Bulletstorm, l'heure ne fût pas au scénario. Ce serait mal connaître People Can Fly qui, dans Painkiller déjà, s'était senti obligé d'incruster de longues cinématiques un peu creuses entre les phases de carnage.
Gamekult
Ajouté le : 03/2011
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C'est un fait entendu depuis déjà quelques années : dans le monde impitoyable du FPS d'aujourd'hui, il faut développer une intrigue et scripter au maximum l'action pour s'imposer au box office - le succès proprement insolent du dernier Call of Duty est là pour convaincre les sceptiques. Ce constat, partagé par les développeurs de Bulletstorm, les a paradoxalement poussés à tenter de faire exactement l'inverse. Les créateurs de Painkiller, encouragés en cela par leur nouveau propriétaire Epic, ont en effet décidé de remettre au premier plan cet élément fondateur du FPS, hérité du temps où on l'appelait encore doom-like : le frag. Peu importe finalement de savoir "pourquoi" ; l'important va être de savoir "comment" trucider les hordes d'ennemis nous tombant sur le râble. Et quelques minutes de jeu suffiront à nous rassurer sur les ambitions du développeur : c'est certain, People Can Fly... Tempête de boulettes (géantes) Les intentions du studio bien comprises, on pourrait croire que dans Bulletstorm, l'heure ne fût pas au scénario. Ce serait mal connaître People Can Fly qui, dans Painkiller déjà, s'était senti obligé d'incruster de longues cinématiques un peu creuses entre les phases de carnage.
La journée se termine, une envie de s’assoir dans son canapé afin de profiter quelques heures d’une session de jeu. Vient le choix du titre dorénavant. Vers quoi se diriger après une journée bien morose ? Je dois me détendre, mettre mon cerveau en pause afin de profiter complètement d’un bon défouloir. Que vois-je ? Bulletstorm sur l’étagère. Hum, Epic aux commandes - pour rappel, Gears Of War et Unreal en sont leurs progénitures – ça annonce rien de bien fin. Parfait pour s’extirper quelques minutes dans un monde où l’on défouraille sans concessions. Cette génération, alimente considérablement le joueur en manque de First Person Shooter, pour un fan du genre, les consoles actuelles révèlent être un sacré repère de tireurs en herbes. Epic se lance donc dans la vague avec cette touche qui les différencie des autres productions, déjà bien connus des fanatiques de GeoW, le What the Fuck ? Transposez du Serious Sam, dans un monde moins déjanté, tartiné le d’une touche graphique rappelant le cultissime Gear Of War, avec en prime un système de scoring et vous obtenez, la nouvelle production du studio, Bulletstorm. Rien de révolutionnaire en somme, mais qui parvient à surprendre par différents aspects autrement plus agréables que chez la concurrence.
Les jeux vidéo, c’est un loisir sain qui aide à l’épanouissement de l’enfant. Il affûte ses réflexes, focalise son attention, améliore sa coordination et peut même l’aider à développer des relations sociales à travers le jeu en ligne. Ouais. Mais c’est aussi un défouloir pour les grands, un loisir où on prend plaisir à faire n’importe quoi, où on peut laisser libre court à ses instincts les plus primaires et brutaux de la façon la plus basique au monde. Bref, un truc de bourrins. Pas de doutes, Bulletstorm fait partie de cette deuxième catégorie de jeux. Mieux, il l’assume à 100%. Ca donne le ton Dans un jeu de ce genre, rien de tel que d’incarner un homme, un vrai. Bref, un bidasse de première classe, vaguement militaire, totalement mercenaire, sans le moindre scrupule. C’est le cas de Gray, voguant dans l’espace avec son acolyte Ishi Sato, en quête de vengeance contre leur ancien maître. Pas de chance, la vengeance devra attendre, leur vaisseau s’écrasant sur la planète Stygia, une petite planète qui représente l’antithèse parfaite d’une destination touristique. Ici, tout n’est que villes détruites arpentées par des fous furieux dont le seul but dans la vie est de charcler tout ce qui passe à leur portée.
La mode a beau ne plus être aux gros FPS bien bourrins, il en faut plus pour refroidir les ardeurs des développeurs de People Can Fly. En manque de chair fraîche et de headshots bien violents, ils nous livrent en ce début 2011 leur nouvelle licence : Bulletstorm. Après Painkiller, un FPS qui ne faisait déjà pas dans la dentelle à l'époque, l'heure est une nouvelle fois shoot décérébré de masse. À moins que... Les polonais de People Can Fly ont ça dans le sang et signent avec Bulletstorm un FPS dont la complexité du scénario est inversement proportionnelle au nombre de bras et de jambes que l'on éclate en le découvrant. Ainsi, il est ici question d'une classique histoire de vengeance contre un salaud de militaire se déroulant au 26ème siècle. Comme dans de nombreux autres FPS pop-corn, le scénario n'est qu'un prétexte pour tirer à tour de bras et s'offrir des situations plus uniques les unes que les autres. Car si l'histoire ne restera pas dans les annales (à part peut-être pour certains ennemis), l'une des véritables forces de ce Bulletstorm tient dans son ambiance complètement barrée, à l'image du beauf de première que l'on incarne, Grayson Hunt, dont les blagues vaseuses n'ont d'égal que le talent pour émasculer les rangs ennemis.
La démo nous avait livré un aperçu, mais un léger aperçu de ce que le jeu a au final à proposer. Après avoir parcouru le titre, il nous apparaît clairement que nous n'avions pas eu droit au meilleur résumé du jeu qui soit. Ayant mis l'accent sur le côté "bourrin" de ce FPS, la démo avait mis de côté un scénario, un background et quelques autres détails révélant Bulletstorm. Donc, si vous vous êtes essayés à la démo, sachez que le titre d'Epic Games a tout de même autre chose à proposer aux joueurs, même si l'aspect bourrin représente effectivement 100% du jeu. Seulement, le titre n'est pas seulement bête et méchant, il sait également comment happer son joueur et le conserver bien au chaud, pris au jeu des skillshots et des dialogues colorés. Bulletstorm vous fait rejoindre une bande de mercenaires patibulaires, portés sur l'alcool, particulièrement virulents, qui se rendent compte, en début de partie, combien ils se sont fait manipuler par un abjecte colonel. La fine équipe aurait tué des centaines d'innocents, persuadée de sa bonne action. Retournement de situation, les mercenaires suivent malgré eux les décisions de leur chef au sang chaud, Gray, ce même "héros" que vous allez incarner, ce qui les conduit tout droit à la mort pour certains, à l'amputation de cerveau pour d'autre, bref, à la catastrophe.
Bien connu pour sa série des Unreal Tournament ou des Gears Of War, Epic Games revient cette année sur le devant de la scène, non pas avec l’une des deux franchises précédemment citées, mais bien avec une nouvelle licence. Développé par les Polonais de People Can Fly, studio à l’origine d’un certain Painkiller et appartenant à Epic Games depuis 2007, BulletStorm débarque sur Playstation 3, Xbox 360 et PC. Jeu de tir à la première personne (FPS), BulletStorm se déroule dans un futur lointain et nous propose de suivre les aventures d’un commando d’élite appelé Dead Echo. Après de nombreuses missions effectuées au sein de ce groupe de mercenaires, Grayson Hunt (le héros de cette aventure) et Ishi Sato se rendent compte qu’ils ont œuvré pour le mauvais camp. Trahis par leur supérieur, le Général Sarrano (le méchant de l’histoire), nos deux compères se lancent alors à sa poursuite. Dans une dernière tentative pour mettre fin à ses projets bien trop ambitieux à leur goût, ils lancent une attaque désespérée contre le vaisseau amiral du général, l’Ulysse.
Epic et People Can Fly veulent rompre la monotonie du FPS militaire, c’est globalement très réussi. On en redemande. Certains jeux s'abordent de manière calme et réfléchie, presque chirurgicale, on avance en décortiquant la conception des niveaux, les graphismes, l'histoire, tout ce qui fait le jeu et le verdict tombe. Pour Bulletstorm, les choses sont un peu plus compliquées pour de nombreuses raisons. Une sympathie acquise d'emblée pour le côté potache et gras mais finalement plutôt malin. Un plaisir certain à manipuler de grosses brutes pour des mises à mort aussi lucratives que sadiques, saugrenues ou osées. Et puis cette phrase de Cliff Bleszinski, porte-parole charismatique d'Epic Games et ange-gardien bienveillant lors du développement du titre par le studio polonais People Can Fly, qu'on vous traduit de mémoire : « On espère que Bulletstorm vous plaira. On espère aussi, bien sûr, qu'il se vendra bien... (une pause) parce que sinon vous n'avez pas fini de bouffer du FPS militaire dans les années à venir. » Alors qu'on s'entende, les Call of Duty, Medal of Honor et autres Battlefield, oui, on les aime, mais pas que...
Annonciateur de l'arrivée très prochaine du dernier titre de People Can Fly, la récente campagne de pub pour Bulletstorm ne fait pas dans la dentelle et se moque ouvertement des titres à la sauce Call of Duty. Voulant se démarquer de cette concurrence impitoyable, nos petits polonais, portés à bout de bras par les américains d'Epic Games, nous ont laissé tâter leur bébé du début jusqu'à la fin pour un test complet. Verdict final.Grayson Hunt n'est pas un homme tendre. Souvent appelé pour faire le sale boulot du général Sorrano, Gray et ses acolytes s'aperçoivent lors de leur dernier contrat qu'ils ont été manipulés depuis un bon petit moment par ce militaire haut gradé. Fou de rage d'apprendre qu'il n'a tué que des innocents, le chef du groupe, un peu bas du front, se met alors en tête de traquer ce général et de le tuer pour de bon. Ca tombe plutôt bien puisque le jeu commence juste avant que notre vaisseau s'écrase avec celui de Sorrano sur une planète peuplée de gangs plus dangereux les uns que les autres. Bref, il est inutile de chercher un vrai scénario là dedans, ce dernier étant uniquement prétexte pour défoncer de la racaille au petit déjeuner ; cependant on sent que les développeurs polonais se sont souciés du rythme scénaristique avec des objectifs variés qui changent régulièrement au fil de notre périple, ce qui au final fait passer la pilule du scénario en format post-It.
De Serious Sam à Painkiller, le shooter bourrin a toujours su s'offrir de beaux et fiers représentants. Bulletstorm en fait clairement partie, bourrin, drôle mais aussi capable de mettre votre créativité à l'épreuve. Un shoot bas du front qui s'assume mais qui n'a pourtant pas oublié d'être bête. Bulletstorm, c'est un peu le Minecraft du FPS. Il était une fois une jolie équipe de soldats de fortune baptisée Dead Echo au service d'un général pas très net. Voilà qu'un triste jour, ces malheureux et vaillants combattants sont contraints de se retourner contre leur maître et de partir en goguette dans l'espace. Une escapade en quête de vengeance qui les amène à s'écraser sur la planète Stygia, à l'origine joliment urbanisée mais à présent réduite à un champ de ruines peuplé par une bande de grands malades qui passent leur temps à s'écharper avec plus ou moins d'imagination. Pas de doute, Stygia n'est pas hospitalière, entre les gueux psychopathes, les bidules explosifs qui traînent dans tous les coins, les plantes carnivores géantes et la multitude d'objets idéalement placés pour s'empaler dessus, la déco est plutôt médiévale. Seuls survivants du crash, Gray, le héros, et Ishi Sato transformé en cyborg hésitant entre son humanité ou les charmes de l'intelligence artificielle, vont donc devoir s'adapter aux moeurs locales.
Bulletstorm... Rien que le titre suffit à se faire une idée du contenu. Le concept de départ est simple : proposer un jeu de tir en vue subjective qui a du punch et qui ne se prend pas la tête, sous prétexte d'offrir une alternative aux shooters trop "sérieux", embourbés dans les guerres de l'Histoire, pour ne citer personne. Le titre de People Can Fly, chapeauté par les équipes d'Epic Games (Gears of War) se veut donc être un jeu pop-corn qui en met plein la vue aux spectateurs joueurs... et c'est le cas, mais ne vous méprenez pas : il y a aussi un peu de subtilité dans ce monde de brutes !Marier dans un même titre deux concepts bien marqués, à savoir le jeu à score typé Arcade et le FPS, peut éventuellement surprendre de prime abord. Pourtant, c'est bien ce que sont parvenues à réaliser les équipes de PCF. Bullestorm fait donc de vous un véritable routard intersidéral, un bon gros space marine qui a viré sa cuti pour devenir un véritable pirate de l'espace. Le schéma classique... Langage grossier et répliques "bad ass", comme on dit, sont donc à prévoir. Le jeu n'est d'ailleurs pas dépourvu d'un certain humour, certes un peu gras, mais qui remplit bien son rôle pour une campagne solo plutôt rythmée de 6 à 7 heures environ.
Lors d'un récent évènement à Londres et à quelques jours de sa sortie en France, nous avons eu l'occasion de poser nos petites mimines sur le prochain titre supervisé par Epic Games, à savoir Bulletstorm. Comme aime si bien le rappeler Cliff Blezsinki, présent pour l'occasion, le dernier soft de People Can Fly se veut aux antipodes des Call of Duty et autres Medal of Honor. Derniers tours de chauffe avant le verdict définitif le 22 février. L'avis de ThomasAprès s'être fait mener en bateau sur plusieurs opérations par le général Sorrano, Grayson Hunt a des envies de meurtre que même ses associés ne peuvent arrêter. Entrainant ainsi de force son équipe Dead Echo dans une vendetta suicidaire où chaque membre, depuis une petite altercation, a sa tête mise à prix, Gray arrive enfin au bout du voyage lorsqu'il voit le vaisseau amiral Ulysse de ce cher haut-gradé sur les senseurs de sa frégate. Ni une, ni deux, notre Gray monte jusqu'à la passerelle de commandement (en donnant un bon coup de poing sur toutes les touches de l'ascenseur), dans le seul but de dégommer ce vaisseau de guerre et d'envoyer ad patres ce général de pacotille. Sans le savoir, nos acolytes viennent d'entamer une longue route qui les mènera directement en enfer...
Bulletsorm ne fait pas dans le FPS classique. Que les puristes s'en éloignent comme la peste. Ici au contraire, on tire sur des ennemis, mais avec style. Un peu comme si vous effectuiez un programme libre de patinage artistique. Vous réalisez votre performance en cumulant les figures, la technique, le tout avec style. Pas de demi-mesure, si vous plongez dans ce Bulletstorm vous acceptez les termes du contrat : humour parfois très lourd, mises en scène scabreuses, jeu brutal, giclées de sang, etc... L'ensemble se veut avant tout "délirant", vous naviguez ici dans le second degré et plus encore. People Can Fly et Epic Games se lancent dans un style très percutant, très défoulant, assument leurs choix en jouant la carte à fond. La démo disponible depuis peu est le seul et unique moyen à l'heure actuelle pour vous en faire une idée. Petite curiosité, nous avons voulu voir de nos propres yeux, et oui, le titre est vraiment tel qu'il a été présenté. La démo disponible sur le Live et le PSN vous propose qu'un seul niveau de jeu. Vous parcourez donc un immeuble en passe de s'effondrer dans lequel vous ferez connaissance avec vos ennemis, des hommes mutants.
Devant le flot de FPS aux ressorts classiques qui envahit le marché, People Can Fly et Epic Games ont décidé de proposer une alternative aux joueurs. Cette variante, c'est Bulletstorm, un jeu brutal, sanglant, virant même parfois au cruel mais qui ne se prend pas au sérieux. Armes délirantes, univers fantasque et humour gras sont au programme de ce gigantesque défouloir aux accents futuristes, dont nous avons pu tester récemment la partie multijoueur. Visiblement, People Can Fly aime à bousculer les habitudes des joueurs. Après avoir développé le violent et nerveux Painkiller, le studio polonais, qui appartient en partie à Epic Games, revient aux affaires avec un nouveau titre qui ne donne pas vraiment dans la finesse. A mille lieues des FPS sérieux qui pullulent sur le marché, Bulletstorm impose sa différence d'emblée. Le jeu ne s'embarrasse pas d'un quelconque contexte historique réel et propose une aventure rythmée, agrémentée d'un gameplay sanglant qui flatte les plus bas instincts des joueurs. Écarteler, décapiter, éviscérer... en un mot tuer, tel sera votre objectif premier. Mais là où le tout devient original, c'est que les développeurs vous encouragent à le faire avec talent. Et ce, que ce soit en solo ou en multi.
Si vous êtes joueur console, le studio People Can Fly ne vous dira certainement rien. Par contre, si vous êtes un habitué du clavier et de la souris, il représentera pour vous un monde à part, d'un FPS qui avait en son temps surpris son monde de par son originalité : PainKiller. Suite à leur collaboration sur le portage de Gears of War sur PC, People Can Fly et Epic ont décidé de s'associer pour un projet qui risque fort de frapper un grand coup lors de sa sortie : Bulletstorm.Ce titre pourrait paraître à première vue comme un FPS classique, marqué du saut de l'Unreal Engine 3 côté moteur graphique et qui proposera une aventure solo où vous jouerez un gros bras sauvant le monde. Si la dernière partie est vraie, Bulletstorm se démarque de ses concurrents par un gameplay totalement dingue, vous permettant de scorer et d'effectuer des combos. Munis de vos armes à la puissance de feu ravageuse, vous avancerez en attirant vos ennemis grâce à un fouet électromagnétique du plus bel effet et leur mettrez des coups de pied qui les feront valdinguer quelques mètres en arrière. A chacune de ses actions, le temps sera ralenti (d'où le titre du jeu en somme), vous donnant le temps de viser proprement votre victime afin de la tuer de la manière la plus classe qu'il soit.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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Connu des joueurs pour sa saga Painkiller, le studio People Can Fly présentait pour la première fois à cet E3 une version jouable de son prochain titre : Bulletstorm. L'occasion de découvrir plus en détails ce FPS à l'approche décalée puisque le leitmotiv du jeu est certes le frag, mais avec style. Explications. Au programme, cette démo E3 de Bulletstorm nous invitait à déambuler dans un univers exotique à la chasse aux ennemis humanoïdes, que l'on dézinguera à l'aide d'un arsenal composé de trois armes principales. La première était le PMC, pour Peace Maker Carbine, une mitrailleuse des plus classiques, mais à la dénomination qui laisse d'emblée peu de doute sur le second degré du jeu de People Can Fly. Les festivités se poursuivront avec le Flail gun, une arme à double canon envoyant à la face de nos ennemis des grenades reliées par une chaîne entourant tout et n'importe quoi, comme un bras ou une jambe. Enfin, la laisse permettait de s'emparer d'un ennemi et de l'envoyer valdinguer dans les airs pour mieux le défourailler. Voici pour les actions de base de Bulletstorm, auxquelles on rajoutera quand même le coup de pied à la Duke Nukem pour botter les fesses de la chair à canon environnante, ou encore une glissade assez stylée.
Développé par la bande de joyeux tarés responsable du bourrinissime Painkiller, Bulletstorm se présente d'ores et déjà comme une nouvelle ode à la violence gratuite. Titre original qui récompense le joueur pour sa créativité lorsqu'il éviscère l'adversaire en utilisant son environnement, le jeu pourrait bien devenir l'un des plus gros défouloirs vidéoludiques jamais créés. Aussi improbable que cela puisse paraître, Bulletstorm dispose bel et bien d'un scénario, ne serait-ce que parce que celui-ci permet d'introduire un terrain de jeu absolument unique. Le titre de People Can Fly nous entraîne en effet sur les traces de Grayson Hunt et Ishi Sato, deux membres d'une organisation paramilitaire oeuvrant pour une confédération futuriste baptisée Dead Echo. Persuadés de défendre la veuve et l'orphelin, les deux héros vont rapidement déchanter en s'apercevant que finalement, on leur a peut-être menti à l'insu de leur plein gré. Forcés à errer dans l'espace, Grayson et Ishi font finalement une mauvaise rencontre, voient leur vaisseau leur péter dans les doigts et échouent sur la planète Stygia. Ancien lieu de villégiature des plus grosses fortunes de la galaxie, les riches installations de ce monde paradis sont aujourd'hui à l'abandon et servent de domicile à d'étranges mutants.
Gamekult
Ajouté le : 05/2010
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Annoncé il y a quelques semaines à peine par Epic Games et People Can Fly, Bulletstorm nous était d'ores et déjà présenté par Electronic Arts lors d'un récent showcase londonien. Malheureusement pas jouable pour l'instant (il faudra attendre l'E3 pour cela), le FPS des créateurs de Painkiller a tout de même profité du feu des projecteurs pour se présenter en détails pour la toute première fois. Ancien super soldat de l'espace reconverti en pirate ivrogne, le héros de Bulletstorm n'hésitera pas à s'attaquer au vaisseau de ses anciens employeurs malgré le côté franchement suicidaire de l'assaut. Visiblement chanceux, le bonhomme arrivera tout de même à démolir les moteurs de l'engin avant de se crasher à l'unisson avec alliés et ennemis sur une planète adjacente. A la surface de l'astre en question, une ancienne mégalopole abandonnée, une flore mutante affamée, des gangs dégénérés et un paquet de gens à dézinguer. Tout un programme. Les développeurs de Bulletstorm ne s'en cachent pas, leur nouveau bébé ne cherche clairement pas la subtilité mais plutôt le fun à tout prix. C'est sans doute pour cela que l'on retrouve un héros surarmé mais également capable de jongler avec ses ennemis grâce à l'utilisation d'un coup de pied à la Duke Nukem, d'une glissade et d'un fouet énergétique multi-fonction.
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