14 tests d’experts - 1 avis d'internautes
S'abonner
1
0
Je le veux
0
Je l'ai
1
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 14 tests et 1 avis du Borderlands. Les experts notent Borderlands 8.1/10 et les internautes 9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Borderlands et d'autres Jeux Playstation 3.
C'est avec une circonspection parfois salutaire que nous attendons les jeux censés révolutionner leur genre, voire l'industrie planétaire toute entière. En effet, s'il semble difficile de reprocher son ambition à un jeu, trop croire les promesses d'un Peter Molyneux aura notamment par le passé déçu de nombreux joueurs Xbox. Annoncé pour la première fois il y a deux ans, Borderlands promettait alors un nombre quasi-infini d'armes et un mélange entre hack'n slash, RPG et FPS dans un monde post-apocalyptique. Ben voyons. Le changement de direction artistique opéré par Borderlands il y a moins d'un an a clairement été salutaire, tant il est réussi. En passant d'un rendu classique (voir images ci-après) au rendu cel-shadé/crayonné qui est le sien actuellement, le titre de Gearbox Software est également passé de "joli" à "superbe". Un coup de maître de la part des artistes. Cependant, s'il s'agit là du trait le plus marquant de Borderlands dès le premier contact, celui-ci présente quelques autres intérêts. Le jeu vous place dans la peau d'un aventurier débarquant sur Pandore, monde délabré, plus crade que les plages de la Côte d'Azur et infesté de criminels et autres bestioles agressives.
Genre extrêmement populaire dans le petit monde vidéoludique, le FPS a finalement peu évolué depuis qu’un certain Wolfenstein lui a donné ses lettres de noblesse il y a de cela plus de 15 ans : quel que soit le titre, on se retrouve généralement doté d’une sélection limitée d’armes plus ou moins originales, et on traverse les niveaux en tirant sur tout ce qui bouge. Certes quelques productions ont réussi à sortir du lot grâce à leur réalisation, leur narration, ou à des idées particulièrement innovantes, mais il est de plus en plus rare d’être réellement surpris par un FPS de nos jours. Bonne nouvelle, Borderlands est l’un des rares représentants du genre à apporter un peu de fraîcheur ! Autant le dire tout de suite, ce n’est pas dans le domaine scénaristique que la nouvelle production de Gearbox Software se distingue de la concurrence : l’histoire démarre à bord d’un bus se rendant dans une zone désertique de la planète Pandore, avec quatre mercenaires à son bord. Il y a là le « chasseur » Mordecai, la « sirène » Lilith, le « soldat » Roland et le « fou furieux » Brick : nous reviendrons plus tard sur les particularités de chacun, mais sachez que vous devrez choisir l’un de ces personnages avant de vous lancer dans l’aventure.
Borderlands est annoncé depuis trois ans et se fait douloureusement attendre. A chaque fois repoussé pour être à nouveau retardé de six mois, nous ne l'espérions plus dans un avenir proche. Puis le destin ayant repris les choses en main et après quelques déboires sur le renouvellement graphique du titre, il est enfin là, entre nos mimimes musclées et présent dans tous les rayons de la planète et à un prix digne de la politique marketing sympa de 2K puisqu'il bénéficie d'office d'un petit quinze euros moins cher que les prix habituels pratiqués sur le monde des jeux videos. C'est donc avec joie qu'on s'engouffre dans ce titre vedette de la fin d'année. Toute cette attente nous aura- t- elle profité? Pour rappel, Borderlands est un FPS à forte composante RPG. Vous vous baladez donc dans un monde reconstitué pour les soins de votre personnage en frappant et shootant tout ce qui bouge (ou pas) et en accomplissant des quêtes. Ces actions violentes et les mini aventures qui les accompagnent vous octroient des points d'expérience qui vous font augmenter de niveau et remplir un arbre des compétences, compétences qui vous rendent plus fort, plus doux, plus dur ou encore plus dingue.
Borderlands… Rien que le nom invite au voyage, et c’est tout à fait ce que Gearbox vous propose avec ce titre, un “action shooter RPG”, selon leur propre terme. Un tout petit peu barbare, non ? Voyons ensemble de quoi il s’agit… Borderlands c’est avant tout un FPS. En tout cas c’est clairement ce qui ressort après quelques minutes de jeu. Malgré tout le côté RPG est bel et bien palpable. Ne serait-ce que lorsque le jeu vous donne le choix en ce qui concerne la classe de votre personnage. Même si par la suite la fiche de personnage est réduite à sa plus simple expression, et vos compétences touchant aux armes progressent toutes seules en s’adaptant automatiquement à l’utilisation que vous en faites. Sachez simplement que vous gagnerez un point à dépenser dans des compétences spéciales à chaque classe. Simplicité avant tout ! A côté de ça, vous aurez à gérer votre inventaire, forcément limité en place, ainsi qu’une pléthore de quêtes secondaires à mener pour booster votre XP. Du RPG donc, on vous le disait. Mais revenons sur la partie FPS, qu’on pourra qualifier sans mal de défouloir bien gore, avec une tonne de “trucs” à tuer, du butin à amasser à foison, le tout porté par une variété d’armes étonnante.
Dans le monde du jeu vidéo, ce n’est pas tous les jours que l’on croise un projet aussi ambitieux que Borderlands. La nouvelle création de Gearbox Software tente en effet de mélanger FPS, jeu de rôles, monde ouvert et course aux loots façons Diablo, rien que ça. Mais à trop vouloir ajouter d’ingrédients à leur recette, les développeurs n’ont-ils pas fini par donner vie à un mélange indigeste ? Bienvenue sur Pandora chasseur de primes. Mais avant de partir à la recherche d’une mystérieuse arche aux propriétés mythiques, encore faut-il passer par la case création de son personnage. Un point qui n’a clairement pas été la préoccupation principale de Gearbox Software d’ailleurs. On est effectivement loin des milles et unes possibilités offertes par l’éditeur de Fallout 3, par exemple. Le joueur doit faire son choix parmi quatre classes de personnages, au physique déjà établi. Sniper, Soldat, Berserker et Siren sont tous les quatre incarnés par autant de protagonistes différents, avec un background personnel qui ne sera hélas que trop peu étoffé durant l’aventure. La faiblesse du scénario, qui tient facilement sur une seule page, est d’ailleurs le principal défaut de ce Borderlands.
Sur Pandore, vaste étendue désertique, les lois s'écrivent chaque jour avec le sang des faibles. Planète étrange aux allures de Far West post-apocalyptique, ce sinistre caillou sera néanmoins le théâtre d'une stupéfiante aventure. La vôtre, et peut-être même celle des potes qui auront le courage d'arpenter ce monde à vos côtés pour tenter de retrouver l'Arche, un trésor alien inestimable enfoui sous terre. Ainsi, qui que vous soyez, bienvenue dans Borderlands, un titre unique à la croisée des chemins entre le FPS et le jeu de rôle. Borderlands est effectivement né d'une ambition folle, celle de mêler deux genres bien distincts en un tout cohérent. Et force est de constater que le résultat de ce pari est pour le moins convaincant. Alors certes, il ne faut pas attendre de Borderlands une histoire touffue, marquée par de terribles révélations et d'incroyables retournements de situation. On n'espérera pas plus du jeu qu'il nous offre des séquences "Call of Dutyiesques" bourrées de scripts et de folies visuelles. Non, pour tout dire, le gros bébé de Gearbox s'apparente davantage à un gros défouloir, dans lequel on tuera des hordes de bad guys et de bestioles baveuses pour le simple plaisir de faire grimper nos statistiques et de s'approprier des flingues toujours plus puissants.
Il y a des jeux qui attirent dès le premier coup d'oeil. Des jeux qui donnent envie d'avoir la manette en main dès les premières images et l'on peut sans hésiter ranger Borderlands dans cette catégorie. Le titre de 2KGames se dote en effet de graphismes en cel-shading et d'un univers post-apocalyptique. Mais si cela parait quelque peu indigeste sur le papier, la mixture a un tout autre goût une fois projetée à l'écran. Néanmoins, de beaux graphismes font rarement de bons jeux, alors qu'en est-il pour le reste de ce FPS ? Comme énoncé juste avant, rendez-vous est pris dans un univers post-apocalyptique : ici, ni dragons ni chevaliers pour les pourfendre, uniquement des monstres qui ont subi des mutations ainsi que des mercenaires et des contrebandiers. Et puisque l'on parle de mercenaire, sachez juste que vous devrez incarner l'un d'eux au choix parmi quatre, chacun ayant sa propre spécialité. Votre but principal ne sera donc qu'un but pécuniaire : aucun objectif quant à un quelconque monde à sauver. Ouf. Le jeu se dote d'un gameplay quant à lui très classique. Tellement classique qu'il n'y a aucune nouveauté et que l'on prend ses marques quasi-instantanément.
Le FPS comme le jeu de rôle sont deux genres très marqués par leurs mécaniques. Borderlands se propose de les unifier et même d'y ajouter la conduite de véhicules divers. Premières impressions... Borderlands a défrayé la chronique en début d'année quand l'équipe de développement Gearbox Software a annoncé la refonte complète de son rendu graphique pour un style s'orientant vers du cel shading. Mais qu'on se rassure ! Ce n'est pas parce que les développeurs ont opté pour un graphisme qui fait ressembler les jeux à des dessins animés qu'ils ont revu à la baisse tout ce qui fait le sel de ce genre de titre, à commencer par l'action et une certaine maturité. Borderlands n'est pas le pays des Bisounours comme nous avons pu le constater lors d'un récent essai de la bête. D'ailleurs, pour en finir avec ce chapitre graphique, précisons que les aplats de couleur et la ligne claire n'empêchent pas les nuances et une finition qui s'inscrit parfaitement dans l'ambiance post apocalyptique de ce titre. Ultime précision, les différentes images déjà parues et les propos tenus par les créateurs vous ont sans doute fait penser que Borderlands serait très référencé Mad Max.
Depuis sa complète refonte graphique annoncée en avril dernier, nous n'avions toujours pas eu l'occasion de mettre la main sur le Borderlands nouveau. Mais à l'occasion d'une présentation presse organisée par 2K Games, nous avons pu poser nos paluches sur la version 360 de ce FPS post-apocalyptique. Borderlands vous transporte sur Pandora, une planète hostile et désertique qui, à l’instar de l’ouest sauvage en son temps, est propice à de nombreuses aventures. Peu accueillante, elle abrite des brigands que l’on croirait tout droit sortis de Mad Max, et des créatures monstrueuses. Avide de gloire, vous débarquez dans le but de trouver un mythique Artefact Alien, caché quelque part à la surface de Pandora. Comme dit plus haut, Borderlands avait fait parler de lui il y a quelques mois à cause de son changement radical de direction artistique. Oubliez le rendu photo-réaliste et impersonnel, il arbore aujourd'hui un splendide manteau de Cell Shading (la fameuse apparence proche du dessin animé). Le soft profite maintenant d'une véritable identité, et possède dorénavant quelques nouveaux atouts pour se démarquer des autres FPS.
Annoncé il y a deux ans et prévu initialement pour fin 2008, Borderlands n'avait encore jamais été présenté aux journalistes en version jouable, même au dernier E3. Une lacune aujourd'hui réparée puisque nous avons pu récemment prendre en main la bête. Au programme : le début de l'aventure solo ainsi qu'une partie à quatre joueurs en mode coopératif. De quoi se faire une bonne idée des quelques atouts du bébé de Gearbox, qui délaisse pour un temps sa série phare (Brothers in Arms) et tente de fusionner les genres FPS et RPG. Les premiers pas dans l'univers de Borderlands s'effectuent en compagnie d'un petit guide robotique, dont le design, les intonations et le comportement rappellent quelque peu le sympathique Wall-E de Pixar. Malgré la présence d'environnements post-apocalpytiques et d'ennemis ultra-violents qu'on jurerait sortis de Mad Max, les développeurs ont manifestement tenu à introduire une bonne dose d'humour dans leur jeu. Certains donneurs de quêtes ne manquent d'ailleurs pas de piquant. La présence de PNJ confirme que Borderlands vise bel et bien à définir un nouveau genre : le RPS (Role Playing Shooter).
Déjà présent à l'E3 en juin dernier, Borderlands nous revient ce mois-ci pour un premier essai jouable de sa partie solo, mais aussi de son mode multijoueur coopératif à quatre joueurs. Un bon moyen pour le titre de Gearbox Software de présenter son intrigant gameplay à la croisée des chemins entre un FPS classique, un JdR open world et Diablo. Si l'on n'a pas vraiment eu droit à une introduction en bonne et due forme du contexte scénaristique de Borderlands pour ce premier essai de sa partie solo, on a pu découvrir que le héros du titre de Gearbox viendra porter secours à une petite colonie perdue sur une planète pas bien accueillante envahie par des bestioles agressives et des bandits pas beaucoup plus aimables. L'ambiance désertique et les villes faites de bric et de broc pourraient faire penser à Fallout (et par extension à Mad Max), mais c'est finalement de la défunte série TV Firefly que semble se rapprocher le plus Borderlands avec ses faux airs de western du futur. Pas le temps de s'attarder sur les diverses inspirations des développeurs toutefois, le rigolo petit robot qui nous sert de guide dans ce désert étant soudainement chassé par des bandits sur le retour (pour nous jouer un mauvais tour).
Borderlands est souvent gentiment taquiné pour son nombre d'armes absolument délirant. Pourtant, au-delà des chiffres, le nouveau projet des développeurs de Brothers in Arms cache un réel potentiel, grâce à son univers post-apocalyptique, à son gameplay entre FPS et jeu de rôle et à son nouveau design inspiré. Avouons-le tout de suite, nous n'avons pas pu essayer Borderlands directement. Il a fallu se contenter d'assister à une présentation au cours de laquelle deux développeurs jouaient. Deux ? Oui, car Borderlands est conçu pour être joué en coopération. Et ce qui passait jusqu'ici pour une simple promesse s'est bel et bien concrétisé sous nos yeux. Le titre pourra donc être parcouru à quatre, et ce aussi bien en ligne qu'en LAN et en écran partagé. Votre avatar sera le même en solo et en multi. Vous pourrez très bien jouer tout seul (il n'y a pas d'alliés dirigés par l'IA), puis recevoir une invitation d'un ami à le rejoindre et hop, en quelques secondes, vous voilà dans sa partie, à ses côtés, toujours dans la peau de votre personnage.
Gamekult
Ajouté le : 06/2009
Plus accessible...
Déjà découvert à deux reprises lors des éditions 2007 et 2008 de la Games Convention de Leipzig, Borderlands remet une troisième couche en s'invitant à l'E3 cette année pour un nouveau coup d'oeil dans une version, hélas, toujours non jouable. L'occasion pour les développeurs de nous présenter leur récent revirement artistique dans le détail, en nous redonnant un petit aperçu des autres nouveautés prévues dans ce FPS attendu pour Noël sur PC, PS3 et Xbox 360. Une fois de plus présenté par un Randy Pitchford qui ne manque décidément jamais à l'appel, Borderlands s'était paré de ses plus beaux atours à cet E3 2009 pour mieux installer la nouvelle patte graphique récemment adoptée par l'équipe du jeu. A mi-chemin entre le cel-shading et un rendu graphique classique, ce nouveau design que les développeurs surnomment le concept art look s'est montré assez sympathique et a au moins le mérite de séparer immédiatement Borderlands de la foule de jeux d'action génériques déjà présents sur consoles HD.
Gamekult
Ajouté le : 08/2008
Plus accessible...
Dévoilé pour la première fois lors de la Games Convention de l'an dernier, Borderlands profite de l'édition 2008 du salon allemand pour revenir faire un tour sous le feu des projecteurs. C'est l'occasion de faire une nouvelle visite dans l'univers futuriste du FPS de Gearbox Software, grâce à une présentation coopérative de la mouture Xbox 360. Plutôt que de s'étendre en longueur sur l'aspect purement FPS du gameplay de Borderlands, les développeurs de Gearbox ont décidé cette année de s'attarder sur les nombreuses petites choses qui feront la différence entre leur titre et la masse de produits du même genre déjà présents sur le marché. On a du coup pu découvrir une importante part de JdR au milieu des fusillades, puisque Borderlands introduira notamment un système de classes de personnages (tireur d'élite, soldat d'assaut, etc.) ainsi qu'une progression classique par niveaux d'XP. Dézinguer du rat mutant ou du pillard enragé dans Borderlands sera donc récompensé par une certaine somme de points d'expérience, et chaque level engrangé améliorera nos performances avec les armes de prédilection de notre classe et débloquera aussi l'accès à certains pouvoirs spéciaux.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Borderlands. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Borderlands.