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Nous avons réuni 14 tests du Borderlands. Les experts notent Borderlands 7.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Borderlands et d'autres Jeux PC.
On a beau tirer à la première personne sur plein de choses, Borderlands est bien un hack'n slash avec tout ce que ça implique : buter du monstre à la chaîne pour récupérer de l'équipement, du pognon et de l'XP afin d'améliorer son personnage pour buter des monstres plus forts etc. Si ce concept vous rebute, ne perdez pas de temps à lire la fin du test : Borderlands n'est de toute façon pas fait pour vous. Ceci étant précisé, on peut passer à la partie du test où je suis censé vous parler du scénario du jeu. Ca va être court : il n'est pas très intéressant, les rares rebondissements ne surprendront personne et la fin est nulle. C'est dommage car l'écriture du jeu est soignée que ce soit dans les descriptifs des quêtes ou les rares lignes de dialogues qu'on entend. En plus, le jeu est plein d'humour et sacrément décalé. La planète où se situe l'action s'appelle Pandore. C'est un concentré de désolation et de destruction de l'environnement par l'homme, un peu comme si on avait construit Aubervilliers dans la vallée de la mort. Pour autant, les paysages sont variés. On traverse un désert façon Monument Valley, une décharge gigantesque en flammes, une zone portuaire avec un bidonville, une ville fantôme peuplée de cadavres...
Sur Pandore, vaste étendue désertique, les lois s'écrivent chaque jour avec le sang des faibles. Planète étrange aux allures de Far West post-apocalyptique, ce sinistre caillou sera néanmoins le théâtre d'une stupéfiante aventure. La vôtre, et peut-être même celle des potes qui auront le courage d'arpenter ce monde à vos côtés pour tenter de retrouver l'Arche, un trésor alien inestimable enfoui sous terre. Ainsi, qui que vous soyez, bienvenue dans Borderlands, un titre unique à la croisée des chemins entre le FPS et le jeu de rôle. Borderlands est effectivement né d'une ambition folle, celle de mêler deux genres bien distincts en un tout cohérent. Et force est de constater que le résultat de ce pari est pour le moins convaincant. Alors certes, il ne faut pas attendre de Borderlands une histoire touffue, marquée par de terribles révélations et d'incroyables retournements de situation. On n'espérera pas plus du jeu qu'il nous offre des séquences "Call of Dutyiesques" bourrées de scripts et de folies visuelles. Non, pour tout dire, le gros bébé de Gearbox s'apparente davantage à un gros défouloir, dans lequel on tuera des hordes de bad guys et de bestioles baveuses pour le simple plaisir de faire grimper nos statistiques et de s'approprier des flingues toujours plus puissants.
La planète Pandora est bien moins dépaysante que prévu : plombé par le conformisme, Borderlands ne décolle pas. Avec son look très marqué et ses teintes vives, Borderlands détonne dans le morne paysage des jeux de tir, où l’on croirait que le gris et le kaki ont pris en otage les autres couleurs depuis une décennie. Le style visuel, inspiré de la bande dessinée avec ses à-plats généreux et ses personnages typés, offre une identité visuelle unique et réussie : on a l’impression de voir un comics s’animer lors des premières minutes de jeu. Mais de beaux graphismes ne suffisent pas pour faire un bon jeu… L’univers proposé n’a rien de chaleureux, puisqu’il nous envoie sur Pandora, une planète complètement ravagée par la guerre ressemblant furieusement à une Terre post-apocalyptique. C’est aussi hospitalier que le bush australien de Mad Max, avec ses hordes de bandits allumant au fusil tout ce qui bouge et ses routes défoncées où seuls des buggys trafiqués osent s’aventurer. Entre deux zones, des villages déserts, peuplés de robots farceurs et de personnages… inquiétants.
Borderlands se déroule sur la planète Pandore qui a longtemps accueilli des colons en quête de richesse et de prospérité. Ces derniers ont malheureusement du se confronter à la réalité, une dure réalité qu’affrontera aussi le joueur. Celui-ci arrive au pire des moments, à un moment où de sombres et violentes créatures ne cessent d’émerger de la terre. Mais avant de partir au combat, il est nécessaire de choisir parmi une des quatre classes de personnages que sont Brick le tank, Lilith la sirène, Mordecai le chasseur et Roland le soldat. Chaque classe est intimement liée au personnage, ainsi il est impossible de choisir Mordecai et de devenir un soldat, dommage… Ces classes sont on ne peut plus explicites et offrent aux joueurs un accès privilégié à une furie ainsi qu’à des compétences spécifiques. Brick tout d’abord maîtrise les armes lourdes et le combat au corps à corps. En déclenchant sa furie, notre héros devient un dieu de la boxe et peut se permettre de régler ses problèmes d’homme à homme. Lilith est un mélange d’assassin et de sorcière. En se déchaînant, cette dernière devient invisible et voit sa vitesse de déplacement décuplée.
Qui se souvient de Hellgate London ? Mais si, rappelez-vous, le dernier jeu de Bill Roper, sorti en 2007, devait révolutionner le monde du hack and slash avec une vue à la première personne. Ce fut un échec total. Trop ambitieux, trop laid, sans ambiance, un ratage cuisant. Alors quand Gearbox, connu essentiellement pour sa très fade série Brothers in Arms, nous promet un mélange de FPS et de Hack and Slash, on regarde ça d’un mauvais œil. Bien mal nous en a pris… Premier point commun avec les hack and slash, le scénario. On va faire vite, vous êtes dans la peau d’un aventurier dont le but est de trouver l’Arche, un artefact alien mythique paumé dans le désert de la planète Pandore. Et c’est à peu près tout ce qu’il faut en retenir. Gearbox ne s’est pas pris la tête à développer une histoire compliquée pour immerger le joueur dans l’action, elle est juste présente pour introduire des tonnes et des tonnes de missions annexes. Et c’est finalement tant mieux, car les développeurs ont tout misé sur cette action. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, il nous faut choisir un avatar parmi les quatre que propose Borderlands.
Après des années à ne réaliser que des titres « de commande », le studio Gearbox Software décide de voler de ses propres ailes avec la série Brothers In Arms. Si le succès n'est pas complètement au rendez-vous, il permet à l'équipe de se faire la main avant d'aborder un titre plus ambitieux. Un titre qui tente une improbable synthèse entre le FPS et le hack & slash alors que la direction artistique prend une forme pour le moins singulière. Borderlands est-il le vent de fraîcheur que nous attendions ou un bête pétard mouillé ? Au travers d'une introduction sans fioriture, Gearbox plante le décor. Nous incarnons une sorte de mercenaire tout juste débarqué sur la planète Pandore. Si le minable caillou n'est pas le meilleur endroit pour faire fortune, notre héros a un petite idée derrière la tête : mettre la main sur l'Arche, un artefact extra-terrestre après lequel des générations de chercheurs de trésors ont déjà couru. Voilà pour le scénario et si on ne peut pas dire que Gearbox se soit creusé la tête à ce niveau, qu'importe, l'intérêt - tout comme la vérité - est ailleurs.
GamePro.fr
Ajouté le : 10/2009
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Sur le bureau, les jeux s'entassent. La fin d'année est lancée et les cernes commencent à se creuser. Dans la pile, nous avons tiré Borderlands. Pas vraiment par hasard car nous avons toujours vu en Borderlands le titre qui pourrait permettre à Gearbox de sortir du prisme Brother in Arms qui a fini par déteindre sur lui. Et nous avions vu juste, Borderlands réussissant avec succès le mariage des genres, là ou tant se sont cassés les dents... On en a vu défiler des jeux qui, sur le papier, s'annonçaient prometteurs, voire révolutionnaires, affichant sans complexe une mixité des genres assumée mais qui, au final, déséquilibrait totalement l'expérience. Et globalement, si nous avions confiance en Borderlands, il s'agissait de la principale crainte que nous avions. Graphiquement, le jeu nous avait déjà acquis à sa cause avec son esthétique cel-shadée. Un design général bien senti, servant une ambiance réellement immersive. Des plaines désertées, un habile mélange de technologie et d'archaïsme, des personnages rugueux, des effets tarantinesques, des teintes magnifiques (le couché de soleil !) et une bande-son prenante, limite hypnotisante...
Présent sur la scène vidéoludique mondiale depuis plus de huit ans, le studio Gearbox Software n'a pas encore réussi à marquer durablement les esprits. Leur adaptation sur PC du premier épisode d'Halo était assez catastrophique, et leur licence Brother in Arms a toujours joué les seconds couteaux face aux Call of Duty. La donne pourrait bien changer avec Borderlands, qui tente un audacieux pari : mélanger le genre du FPS et celui de l'action RPG à la Diablo. On pouvait craindre le pire mais, finalement, on se retrouve presque avec le meilleur. L'action se déroule sur Pandore, une planète inhospitalière qui abrite en son sein la légendaire et mystérieuse Arche, un artefact extra-terrestre perdu après lequel les chasseurs de trésor les plus téméraires n'ont de cesse de courir. Pas plus convaincant que cela, ce scénario minimaliste sert surtout de prétexte à planter un décor bien sympathique : étendues désertiques, villages de cow-boys modernes, créatures hostiles et mercenaires armés ! Une ambiance post-apocalyptique qui n'est pas sans rappeler celle de Fallout ou Mad Max. Au passage : bien rythmé et joliment mis en scène, le générique d'intro pourrait être celui d'une production cinématographique.
Les shooters avaient besoin d'un jeu comme celui-ci. Au cours des dernières années, des éléments de jeux de rôle se sont insinués partout dans les FPS, mais dans Borderlands c'est une hybridation totale. Pas tant, faut-il le souligner, au niveau des choix, de l'histoire et des conséquences – dans ce domaine, il reste comparable à des jeux comme S.T.A.L.K.E.R. - mais au niveau des butins, des niveaux, des caractéristiques, des compétences et dans la façon de jouer avec l'inventaire pour renforcer au maximum le personnage. Gearbox dit qu'il a créé un shooter/jeu de rôle, un RPS (une appellation qui me semble étrangement familière), et cela signifie que vous jouerez un shooter qui ressemble beaucoup à un MMO. Quand on parle de l'influence RPG de Borderlands, la référence classique est Diablo, mais je pense, en attendant la sortie du troisième Diablo, qu’ il est sans doute aussi pertinent - voire plus – de souligner que Borderlands fait étalage de nombreuses caractéristiques de MMO. Cela se ressent plus fortement dans les zones de début de jeu, ou vous choisissez des missions et où vous faites des allers et retours sur de petites zones de la carte en ramassant du butin et en tuant des punks de bas niveau et des chiens-lézards mutants.
Le FPS comme le jeu de rôle sont deux genres très marqués par leurs mécaniques. Borderlands se propose de les unifier et même d'y ajouter la conduite de véhicules divers. Premières impressions... Borderlands a défrayé la chronique en début d'année quand l'équipe de développement Gearbox Software a annoncé la refonte complète de son rendu graphique pour un style s'orientant vers du cel shading. Mais qu'on se rassure ! Ce n'est pas parce que les développeurs ont opté pour un graphisme qui fait ressembler les jeux à des dessins animés qu'ils ont revu à la baisse tout ce qui fait le sel de ce genre de titre, à commencer par l'action et une certaine maturité. Borderlands n'est pas le pays des Bisounours comme nous avons pu le constater lors d'un récent essai de la bête. D'ailleurs, pour en finir avec ce chapitre graphique, précisons que les aplats de couleur et la ligne claire n'empêchent pas les nuances et une finition qui s'inscrit parfaitement dans l'ambiance post apocalyptique de ce titre. Ultime précision, les différentes images déjà parues et les propos tenus par les créateurs vous ont sans doute fait penser que Borderlands serait très référencé Mad Max.
Déjà présent à l'E3 en juin dernier, Borderlands nous revient ce mois-ci pour un premier essai jouable de sa partie solo, mais aussi de son mode multijoueur coopératif à quatre joueurs. Un bon moyen pour le titre de Gearbox Software de présenter son intrigant gameplay à la croisée des chemins entre un FPS classique, un JdR open world et Diablo. Si l'on n'a pas vraiment eu droit à une introduction en bonne et due forme du contexte scénaristique de Borderlands pour ce premier essai de sa partie solo, on a pu découvrir que le héros du titre de Gearbox viendra porter secours à une petite colonie perdue sur une planète pas bien accueillante envahie par des bestioles agressives et des bandits pas beaucoup plus aimables. L'ambiance désertique et les villes faites de bric et de broc pourraient faire penser à Fallout (et par extension à Mad Max), mais c'est finalement de la défunte série TV Firefly que semble se rapprocher le plus Borderlands avec ses faux airs de western du futur. Pas le temps de s'attarder sur les diverses inspirations des développeurs toutefois, le rigolo petit robot qui nous sert de guide dans ce désert étant soudainement chassé par des bandits sur le retour (pour nous jouer un mauvais tour).
Borderlands est souvent gentiment taquiné pour son nombre d'armes absolument délirant. Pourtant, au-delà des chiffres, le nouveau projet des développeurs de Brothers in Arms cache un réel potentiel, grâce à son univers post-apocalyptique, à son gameplay entre FPS et jeu de rôle et à son nouveau design inspiré. Avouons-le tout de suite, nous n'avons pas pu essayer Borderlands directement. Il a fallu se contenter d'assister à une présentation au cours de laquelle deux développeurs jouaient. Deux ? Oui, car Borderlands est conçu pour être joué en coopération. Et ce qui passait jusqu'ici pour une simple promesse s'est bel et bien concrétisé sous nos yeux. Le titre pourra donc être parcouru à quatre, et ce aussi bien en ligne qu'en LAN et en écran partagé. Votre avatar sera le même en solo et en multi. Vous pourrez très bien jouer tout seul (il n'y a pas d'alliés dirigés par l'IA), puis recevoir une invitation d'un ami à le rejoindre et hop, en quelques secondes, vous voilà dans sa partie, à ses côtés, toujours dans la peau de votre personnage.
Gamekult
Ajouté le : 06/2009
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Déjà découvert à deux reprises lors des éditions 2007 et 2008 de la Games Convention de Leipzig, Borderlands remet une troisième couche en s'invitant à l'E3 cette année pour un nouveau coup d'oeil dans une version, hélas, toujours non jouable. L'occasion pour les développeurs de nous présenter leur récent revirement artistique dans le détail, en nous redonnant un petit aperçu des autres nouveautés prévues dans ce FPS attendu pour Noël sur PC, PS3 et Xbox 360. Une fois de plus présenté par un Randy Pitchford qui ne manque décidément jamais à l'appel, Borderlands s'était paré de ses plus beaux atours à cet E3 2009 pour mieux installer la nouvelle patte graphique récemment adoptée par l'équipe du jeu. A mi-chemin entre le cel-shading et un rendu graphique classique, ce nouveau design que les développeurs surnomment le concept art look s'est montré assez sympathique et a au moins le mérite de séparer immédiatement Borderlands de la foule de jeux d'action génériques déjà présents sur consoles HD.
Gamekult
Ajouté le : 08/2008
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Dévoilé pour la première fois lors de la Games Convention de l'an dernier, Borderlands profite de l'édition 2008 du salon allemand pour revenir faire un tour sous le feu des projecteurs. C'est l'occasion de faire une nouvelle visite dans l'univers futuriste du FPS de Gearbox Software, grâce à une présentation coopérative de la mouture Xbox 360. Plutôt que de s'étendre en longueur sur l'aspect purement FPS du gameplay de Borderlands, les développeurs de Gearbox ont décidé cette année de s'attarder sur les nombreuses petites choses qui feront la différence entre leur titre et la masse de produits du même genre déjà présents sur le marché. On a du coup pu découvrir une importante part de JdR au milieu des fusillades, puisque Borderlands introduira notamment un système de classes de personnages (tireur d'élite, soldat d'assaut, etc.) ainsi qu'une progression classique par niveaux d'XP. Dézinguer du rat mutant ou du pillard enragé dans Borderlands sera donc récompensé par une certaine somme de points d'expérience, et chaque level engrangé améliorera nos performances avec les armes de prédilection de notre classe et débloquera aussi l'accès à certains pouvoirs spéciaux.
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