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Nous avons réuni 10 tests du Borderlands 2. Les experts notent Borderlands 2 8.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Borderlands 2 et d'autres Jeux Xbox 360.
C'est bon, tu es enfin réveillé ? Alors on va pouvoir commencer. Tout d'abord tu permets que je te tutoie ? Chez nous, on dit que le silence vaut pour accord, alors sois le bienvenu sur Pandora !! Si tu n'es jamais venu ne t'inquiète pas, je vais te présenter rapidement le topo et si, par un heureux hasard tu as déjà survécu à notre jolie planète, sache que c'est devenu un gros bordel, mais un bien joli bordel ! Avant toute chose je tiens à m'excuser de t'avoir attaché à mes chiottes, c'est le seul endroit potable que j'ai trouvé chez moi pour accueillir un invité et ici on n'est jamais trop prudent. Puis je souhaitais vraiment que tu restes jusqu'au bout de mon laïus. Car j'ai beaucoup de choses à dire... Mais avant toute chose on va manger un bout. Tu aimes le Skag grillé j'espère, parce qu'il ne me reste que ça et il vaut mieux le manger maintenant et j'ai peur qu'il commence à bouger tout seul dès demain... Connais-tu Borderlands ? Borderlands fut peut-être l'un des plus gros miracles de l'industrie vidéoludique et sûrement le plus gros arrivé sur nos consoles actuelles, même à Pandora. De mémoire, j'ai rarement vu un jeu avec une gestation aussi chaotique. Une naissance si difficile que Borderlands changea radicalement de visage en cours de développement.
Dans le petit monde des FPS, c'est souvent le défilé du 14 juillet. Du soldat en veux-tu en voilà, des scénarios qui marchent au pas et collent de plus en plus à l'actualité. Avec Borderlands 2 c'est un peu le carnaval de Rio qui s'invite dans cette grande parade du FPS. Avec un premier épisode sorti en 2009 qui avait créé la bonne surprise avec son graphisme en cel-shading et son humour un peu déjanté, le titre de Gearbox proposait un gameplay qui piochait sans sourciller dans des genres aussi éloignés que le hack'n'slash, le FPS ou le MMO. Mais tout n'était pas rose dans ce monde plein de couleurs et le studio a pris le temps de revoir sa copie point par point pour nous proposer une suite plus ambitieuse, plus longue, plus chargée en flingues, avec plus d'ennemis et plus de tout en fait. Le plus est-il l'ennemi du mieux ? Le premier Borderlands vous emmenait sur la joyeuse planète de Pandore. Enfin, joyeuse tout est relatif puisque le décor du jeu se limitait presque entièrement à une succession de plaines désertiques tout juste ponctuées par quelques villes façon Mad Max et se concluait par une virée sur les cimes enneigées du coin. Borderlands 2 débute d'ailleurs dans ce même décor glacé.
Trois ans. Déjà trois années que l'on attend une suite à la fameuse surprise de la fin d'année 2009 : Borderlands. Après de multiples impressions et les nombreuses vidéos diffusées par 2K Games ces derniers mois, le second volet arrive enfin sur nos écrans. Reste à savoir ce que Gearbox a réalisé durant ce long développement et si Pandore s'avère toujours aussi excitante à découvrir. Verdict. C'est encore une fois sur la fameuse planète de Pandore que nous emmène cette suite. Après l'ouverture de l'Arche à la fin du précédent opus, l'astre s'est quelque peu métamorphosé avec l'apparition de l'Eridium, une substance rocheuse qui a vite attiré la multinationale Hyperion, contrôlée de main de maître par le Beau Jack. Cependant, ce dernier n'aime pas réellement que certains, en l'occurrence les chasseurs de l'Arche, viennent sur la planète en question pour participer à cette récolte, et use de ses moyens illimités pour terroriser voire anéantir la populace qui résiste. On se retrouve ainsi dans la peau d'un nouveau chasseur de l'Arche qui vient tout juste d'échapper à l'un des fameux pièges orchestrés par notre souverain richissime, et dont l'objectif va être de tout simplement botter les fesses du malotru.
Habitués que nous sommes à nous laisser mollement porter par la valse des licences qui se suivent et se ressemblent, l'année 2009 nous gratifiait, avec Borderlands, d'un titre un peu plus original qu'à l'accoutumée et salué, à raison, par les joueurs et la critique. Mélange astucieux de FPS et de hack and slash, le titre de 2K Games n'en demeurait pourtant pas exempt de tout défaut et les plus exigeants, ou tout simplement ceux qui n'avaient pas succombé à la hype du moment, ne manquèrent pas de noter un scénario pour le moins léger, une surabondance de désert et une difficulté aux abonnés absents. Heureusement, chez Gearbox Software, on a le goût du travail bien fait et on se montre avec Borderlands 2 à l'écoute des joueurs... Quand t'es dans le désert, depuis trop longtemps Pas de révolution en vue pour autant puisque l'on incarnera une fois de plus un chasseur de l'Arche lâché sur cette bonne vieille planète Pandora et que l'on retrouvera la formule qui fit le succès du premier opus avec notamment une direction artistique lumineuse tout en cel-shading, les tripotées de bandits et de bestioles à dézinguer à la chaine, ainsi que tout ce que l'univers compte de pétoires, flingues et autres tromblons à looter frénétiquement tout au long de l'aventure et qui constituera une fois de plus le moteur du jeu.
Trois ans après la sortie d'un premier épisode aussi coloré qu'explosif, Borderlands revient sur consoles HD et PC pour le plus grand plaisir des fans d'action et de second degré. Toujours aussi barré et plus dynamique que jamais, Borderlands 2 comblera-t-il leurs attentes ? Réponse dans ce test. Borderlands, c'est à la fois un FPS survolté en cel shading et un jeu de rôle mature, irrévérencieux, et pour tout dire, complètement déjanté. En 2009, l'épisode original nous avait permis de partir à la recherche d'une Arche extraterrestre regorgeant de trésors sur la mystérieuse planète Pandore. Plongé dans une sorte de far-west post-apocalyptique impitoyable, le joueur pouvait incarner 4 personnages totalement différents pour massacrer les cohortes de bandits ou de bestioles affamées qui se mettaient en travers de son chemin. Long, nerveux et bien réalisé, Borderlands était rapidement devenu un défouloir de choix pour les amateurs de FPS lassés de revivre pour la douzième fois la Seconde Guerre mondiale ou de défendre constamment un monde occidental bien-pensant menacé par d'affreux terroristes fanatiques.
Et si on vous proposait de refaire un petit tour sur Pandora ? Telle une pin-up, Borderlands 2 continue de s'effeuiller, dévoilant de nouvelles missions à chaque présentation. Une campagne de séduction pas réellement nécessaire, tant nous avons déjà succombé aux charmes d'un FPS atypique, s'annonçant déjà comme l'un des meilleurs de sa catégorie pour 2012. On vous a tout dit ou presque sur ce qui vous attend dans Borderlands 2. Cependant, nous ne pouvons résister à l'envie de partager avec vous les derniers pas effectués dans le jeu. Mais avant cela, une petite piqûre de rappel rapide s'impose, notamment pour ceux qui n'auraient pas lu les précédents aperçus. Borderlands 2 qu'est-ce que c'est ? Un FPS en cel shading se déroulant sur Pandora, une planète depuis longtemps laissée aux mains de marginaux et autres tarés de tous poils, notamment Jack LeBeau. Ce type patibulaire joue un double rôle puisqu'en plus de régner en dictateur, il dirige Hypérion (entreprise fabriquant des armes avec des matériaux spéciaux, les rendant ainsi extrêmement puissantes). Evidemment, vous l'aurez deviné, une petite escouade de héros va tout faire pour le renverser.
Ah Pandore ! Magnifique planète poussiéreuse remplie de bandits et de bestioles bizarres à dézinguer, de matos à collecter, de dollars à accumuler et de points d'expérience à grappiller ! Ah comme nous t'avons aimée et quelle tristesse ce fut de te quitter après avoir réprimé une révolte de Claptraps dans ton ultime DLC ! Mais fort heureusement, les petits gars de Gearbox, à l'origine de ce cri d'amour dans le grand monde des FPS, ont bien conscience de notre désespoir et s'apprêtent à nous offrir une suite en bonne et due forme pour que nous puissions renouer avec le bonheur. Comme nous l'indiquions déjà dans nos précédents aperçus, Borderlands 2 nous entraîne de nouveau sur Pandore cinq ans après les événements décrits dans le premier volet. Les 4 personnages avec lesquels nous avions passé un nombre incalculable d'heures ont toutefois raccroché leurs pétoires au mur de leur salon et sont devenus des PNJ donneurs de quêtes pour un nouveau quatuor de mercenaires de charme et de choc. Accueillons donc comme il se doit Salvador, Maya, Axton et Zer0. A chacun correspond une classe de combattant bien spécifique. Salvador par exemple, est un Défourailleur, un bourrin capable de manier deux flingues de n'importe quelle nature en même temps. Maya est la remplaçante de Lilith et officie dans le jeu en tant que Sirène. Cette dernière est désormais capable d'immobiliser temporairement les ennemis dans une sphère de stase.
Encensé par son style déjanté, adulé pour sa patte graphique "cel shadée", Borderlands ne pouvait rester enfant unique. Il n'en fallait pas plus à Gearbox pour remettre le bleu de chauffe et offrir aux amateurs de FPS post-apocalyptiques "crasseux", un deuxième voyage sur Pandora. Un retour sur cette planète qui s'annonce en tout point, remarquable et mémorable. Quel bonheur ! Quel bonheur de revenir sur Pandora cinq ans après les premiers événements. Fatigués par une campagne rondement menée, les quatre héros du premier opus se sont recyclés en PNJ, laissant sous la lumière un nouveau quatuor de choc. Salvador, Maya, Axton et Zer0. Rassurez-vous, ces quatre fantastiques ont passé un casting relevé et ont bien la carrure pour nous accompagner dans cette aventure aux alentours variés. Effectivement, avant de partir bille en tête à l'assaut, il faudra choisir parmi les quatre classes proposées pour autant d'approches de combats différentes. C'est ainsi qu'on trouve le Défourailleur dont le nom illustre parfaitement son style de combat : un bourrin armé de deux flingues surpuissants, capable de foncer dans le tas sans sourciller.
Borderlands était un jeu consistant à tirer sur à peu près tout ce qui bouge. C'est vrai qu'il nous mettait entre les mains des armes intéressantes et proposait des cibles variées, mais cela n'allait pas plus loin. Borderlands 2 est toujours un jeu où il faut beaucoup tirer, mais il est beaucoup plus que ça. Son monde magnifique, ses séquences scénarisées créatives et son humour décalé visent à étoffer l'ossature mise en place par son prédécesseur. Au début de cette démo de Borderlands 2, notre personnage de la nouvelle classe Gunzerker est dans une plaine au milieu de l'hiver. Le paysage, aux tonalités bleues froides, voilé par des vents hurlants et des flocons de neige, fait plus penser au monde pastel merveilleux d'Okami qu'aux terres désolées sombres de Borderland. « Vous vous imaginez, de nouvelles couleurs... ! » plaisante Steve Gibson de Gearbox, qui fait tourner la démo. Il y a une histoire dans laquelle votre mission est d'essayer de porter secours à un ami, mais ce n'est pas important. La priorité est de survivre. Bien que le froid ne semble pas vous affecter vraiment, vous êtes rapidement confrontés au danger sous la forme de créatures abominables, appelées Bullymongs.
Vous n'en n'avez pas terminé avec Pandora ! Après le carton plein réalisé par Bordelands, Gearbox revient à la charge avec une suite que le studio présente d'emblée comme un véritable nouveau volet et pas une simple version 1.5. OK, voyons ça. Si on leur doit le rafistolage peu convaincant des pièces éparses de Duke Nukem Forever, ne perdons pas de vue que Gearbox nous a aussi offert cet OVNI qu'est Borderlands, un FPS ouvert dans un monde fait de bric et de brac. De retour sur la planète poubelle Pandora, le joueur s'y retrouve, dans cette démo, paumé au milieu d'une zone arctique qui nous change du désert du premier épisode. On y fera rapidement la connaissance des Bullmongs, de grosses bêtes fort agressive, à mi-chemin entre le crapaud et le Yeti, qui s'amusent comme des folles à vous balancer tout ce qu'elles peuvent attraper, du rocher à la carcasse de bagnole. Comme le hasard fait souvent bien les choses dans le jeu vidéo, le joueur déniche rapidement l'une des nombreuses nouvelles armes du jeu, qui en compte toujours des trifoulliards : le Tediore. La particularité de ce joujou, c'est qu'il ne se recharge pas, il respawne. Une fois les munitions épuisées, on balance le flingue comme une arme de jet, son impact sur la cible pouvant varier si on laisse quelques balles dans le chargeur.
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