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Nous avons réuni 10 tests du BlazBlue : Calamity Trigger. Les experts notent BlazBlue : Calamity Trigger 8.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du BlazBlue : Calamity Trigger et d'autres Jeux Xbox 360.
Forcément à destination d'un public bien spécifique, Blazblue Calamity Trigger débarque tel un OVNI sur le marché vidéoludique européen. Adulé par certains et complètement ignoré par d'autres, ce titre signé ARC System Works se place pourtant en successeur spirituel de la série Guilty Gear (d'ailleurs développée par le même studio). Une nouvelle franchise pour une nouvelle image, mais avec une imagination, un rythme et des visuels caractéristiques toujours aussi efficaces.Beaucoup moins connu que les grosses franchises comme Street Fighter ou Tekken, Blazblue se doit néanmoins d'être essayé au moins une fois par tout amateur de jeu de combat. Car au final, sous cet air discret et ce look old school, se cache un titre qui contient tout ce qu'un fan du genre peut espérer : des personnages originaux, des décors délurés, une bande son rythmée et des tonnes d'éléments à débloquer. J'en oublie presque l'essentiel, une jouabilité sans prises de tête pour justement en casser (des têtes). Comme beaucoup avant lui, Blazblue oppose deux personnages qui s'affrontent en 2D. Ceux ayant déjà joué à un Guilty Gear ne sont pas dépaysés, et prendront du plaisir à découvrir des mécaniques de jeu connues restituées dans un nouveau genre.
Après la grosse déception infligée par The King of Fighters XII l'été dernier, les fans de baston 2D ont reporté leurs espoirs vers l'ultime chance de retrouver des sensations dans un bon jeu de castagne à l'ancienne sur PS3 et Xbox 360 : Blazblue : Calamity Trigger. Les fans avaient d'autant plus de raisons d'espérer que la version arcade bénéficiaient déjà d'échos plus que favorables. La version française désormais en magasin, les doutes ont laissé place à l'extase, car oui, ce jeu de baston est une bombe absolue. L'aspect graphique laissait entrevoir, à l'instar de KoFXII, une baffe en HD ; elle est bien là. On s'arrête pourtant là dans la comparaison car au delà de ça, le titre d'Arc System Work laisse sur place son concurrent grâce à une programmation ultra maîtrisée qui fait oublier tous les horribles bugs dont KoF était coutumier. On apprécie tout particulièrement l'originalité des personnages et de leurs coups, qui nous rappellent parfois un certain Vampire (Darkstalkers en VF) et bien évidemment les Guilty Gear. Soutenu par un grand nombre de modes de jeu, dont un mode Story un peu trop facile à notre goût et un mode online à l'efficacité redoutable, Blazblue possède tous les éléments propices à l'épanouissement du joueur pour de nombreux mois.
Tandis que Capcom a modernisé sa série Street Fighter pour la remettre au goût du jour (avec le succès que l'on sait), les petits surdoués de chez Arc System prennent la direction opposée en restant ancré dans un style graphique très old school, tout en 2D. Alors attention, c'est quand même en haute définition et : artistiquement, tout est discutable entre les grosses cuisses de Chun-Li en 3D ou les minets pré-pubères à frange de BlazBlue... Guilty Gear était assez complexe, le studio a alors pondu un Battle Fantasia plus abordable, mais du coup un peu décevant. Hé oui, les pros de la baston sont comme ça : si c'est trop facile, c'est pas marrant (et la durée de vie en prend un coup aussi, avouons-le). Et à contrario, faire un jeu trop difficile empêche le grand public de s'y intéresser. Cruel dilemme, dans un monde ou seuls des sagas archi connues comme Street Fighter ou Tekken peuvent encore attirer des joueurs occasionnels... allant du jeune hermaphrodite maniant une épée géante à la gamine gothique, en passant par l'enfant magicien ou le géant balèze cloné sur Zangieff. Une sombre histoire de fin de l'humanité et d'arme destructrice rassemble tous ces personnages, histoire que l'on retrouve dans un mode story assez crétin, selon nous : Dialogues débiles, inintéressants et surtout très très longs, "autant ne pas faire de mode story" a même dit Rodolphe.
Après le très solide Tatsunoko Vs. Capcom : Ultimate All-Stars sorti en janvier dernier, c'est maintenant au tour de Blazblue : Calamity Trigger de donner à manger aux fans de la baston 2D, en attendant le seigneur SUPER Street Fighter IV qui, lui, n'arrivera pas avant la fin du mois. Si une éternité sépare la sortie du titre en Europe cette année de celle au Japon et aux Etats-Unis en 2009, l'attente en valait vraiment la peine. Car sans réellement gâcher un suspense moisi quand on connaît le talent d'Arc System Works, Blazblue : Calimity Trigger se révèle être une véritable tuerie, même lorsque l'on n'a pas couché avec la série Guilty Gear. Dynamique, technique et sacrément beau, le jeu est un incontournable du fighting bidimensionnel. On vous explique pourquoi.Blazblue : Calamity Trigger est une pure merveille visuelle, ça ne sert à rien de chipoter. Les artistes d'Arc System Works n'ont peut-être pas passé toute leur vie à dessiner les combattants à la main, mais le résultat est beaucoup plus convaincant que celui obtenu avec The King of Fighters XII, c'est clair comme de l'eau de roche. Le character design n'est pas pollué par un aliasing des années 70, et puis la taille des persos version king size permet de sublimer une animation aux petits oignons.
Alors que la saga Guilty Gear s'apprête à connaître un sacré turn-over avec un deuxième volet tout en 3D et orienté beat them all, Arc System Works n'en a pas pour autant oublié ses premiers amours. Le développeur nous le prouve cette année avec l'arrivée de BlazBlue sur PlayStation 3, Xbox 360 et PC. Après les petits interludes Hokuto no Ken et Sengoku Basara X, le studio revient avec un jeu de baston 2D dans la droite lignée des derniers opus de la série des Guilty Gear. Une belle réussite qui prouve, si besoin était, que le jeu de baston 2D a encore un bel avenir devant lui. Character design, univers, musiques, gameplay, tout, ou presque, rappelle Guilty Gear dans ce BlazBlue. Cela pourra paraître évident à certains, mais un avertissement s'impose d'emblée : si vous n'avez jamais accroché au style si particulier de GG (et aux fondamentaux de l'école ArcSys en général), passez votre chemin. Là, maintenant, tout de suite. Blazblue est définitivement le rejeton de Guilty Gear, sur le fond comme sur la forme. Vous voilà prévenus. Contrevenir à cette mise en garde ne sera pas sans conséquence pour les joueurs laissés de marbre par les précédents titres du studio : 60 euros dans le fondement, c'est toujours pénible à encaisser.
La patience est décidément la meilleure arme du joueur européen. Voilà bientôt un an que nos collègues japonais ou américains peuvent s'en donner à c'ur joie sur le dernier né des créateurs des Guilty Gear. Blazblue : Calamity Trigger a finalement trouvé une bonne âme pour se faire éditer sur notre continent mais cette sortie peut sembler un peu tardive puisque sa suite s'apprête déjà à débarquer sur les consoles japonaises. Ce petit contre-temps est regrettable mais il ne doit surtout pas nous faire oublier l'essentiel : c'est bel et bien un véritable chef-d'oeuvre du jeu de baston qui nous arrive. Le jeu de combat en 2D a visiblement repris du poil de la bête ces derniers temps et le succès de Street Fighter IV n'est certainement pas étranger au regain d'intérêt des joueurs pour ce genre particulier. Capcom est bien conscient de cet engouement, la firme compte d'ailleurs assouvir les nombreux fans de la licence en proposant à la fin du mois un Super Street Fighter IV encore plus complet. Cette success story est bien jolie mais le petit monde du Versus Fighting ne se résume pas aux productions de Capcom. SNK a aussi essayé de revenir sur le devant de la scène en relançant sa série des King of Fighters, malheureusement le résultat n'était pas à la hauteur des espérances que suscitait le projet.
2009 a indéniablement été l’année du renouveau du jeu de baston. Mais pas pour tout le monde. En effet, si l’Europe, le tiers-monde du jeu vidéo, a eu le droit à Street Fighter IV, King of Fighters XII et Battle Fantasia l’année dernière, elle a raté le dernier monument du jeu de combat : Blazblue. Pratiquement un an après sa sortie au Japon et aux Etats-Unis, le dernier titre de Arc System Works (Guilty Gear) est enfin disponible en France. Avant de rentrer dans le vif du sujet, un petit historique sur le jeu de combat s’impose. Il existe grossièrement trois grands types de jeu de baston : Street Fighter, King of Fighters et Guilty Gear. Cette dernière série, de loin la plus technique et la plus complexe, a été développée par Arc System Works, les créateurs de Blazblue. Avec Blazblue, Arc System Works a voulu repartir de zéro en créant une toute nouvelle franchise. Exit le roster de son précédent jeu de combat et place à un tout nouvel univers. En 2199, un personnage puissant, le Faucheur, sème la panique dans la cité Kagutsuchi. Une énorme prime est offerte pour celui qui le ramènera mort ou vif. Mais il s’avère que ce faucheur vaut bien plus qu’une grosse somme d’argent et que le grimoire qu’il transporte soit un artefact qui puisse changer la face du monde.
Avec neuf mois de retard sur les versions de salon américaine et japonaise, on peut dire qu'il se sera fait attendre, mais Blazblue : Calamity Trigger a enfin trouvé son chemin jusqu'en France autrement qu'en import. Nouvel étendard du jeu de baston 2D considéré comme le successeur spirituel de Guilty Gear, le titre d'Arc System Works mérite-t-il tout le buzz qu'il a suscité depuis sa sortie à l'étranger ? Oui, sans aucun doute possible. Douze années se sont déjà écoulées depuis l'apparition du premier Guilty Gear sur PlayStation. A l'époque, le jeu s'était fait remarquer grâce à ses personnages excentriques, ses musiques enflammées et sa réalisation 2D sortant de l'ordinaire, alors que la 3D envahissait petit à petit les écrans. Au fil des épisodes, le roster s'est agrandi, les graphismes se sont affinés, la bande-son a gagné en grandiloquence et le système de combat s'est complexifié, jusqu'à devenir passablement hermétique pour les néophytes et difficile à modifier sans s'attirer les foudres des aficionados. Face à cette situation, les développeurs d'Arc System Works ont décidé de s'aérer les idées avec du spin-off (Guilty Gear 2 : Overture), de l'adaptation de licence populaire (Hokuto no Ken) ou encore du concept maison (Battle Fantasia).
Arc System Works est passé maître des jeux de combat 2D grâce à ses succès, surtout en . Outre la fameuse licence Guilty Gear, ils sont aussi derrière ou encore . L’une des particularités de la compagnie est de créer leurs jeux sur bornes d’arcade afin de créer une base de fans et ensuite de les porter sur consoles. Leur dernière licence, BlazBlue est bien partie pour surpasser Guilty Gear. Sortant prochainement en Europe, une revue complète s’impose tant le développeur manque de notoriété en Europe, la faute à un maillage de salles d’arcade plus que faible sur notre continent.Les fans de Guilty Gear, ainsi que leurs détracteurs, connaissent cette licence pour l’extrême technicité et les mois d’entrainement nécessaires afin de maîtriser pleinement ne serait-ce qu'un personnage. A cause de cette spécificité, Arc System Works a longtemps eu l’image d’une société visant les hardcore gamers les plus chevronnés. Il y a bien eu la tentative de rééquilibrer cette image avec , mais le jeu rencontra un succès critique et commercial plus que mitigé. BlazBlue apparaît presque comme la tentative de la dernière chance pour redorer l’image du développeur, qui se contentait ces derniers temps de faire des jeux assez coquins notamment sur et uniquement au Japon.
Ce n'est pas pour rien si les Guilty Gear se sont imposés dans le cœur de nombreux fans de jeux de baston. Ce sont ses combats incroyablement nerveux, ses graphismes léchés et son rythme effréné qui ont fait de cette série une référence incontournable du genre. Le studio Arc System Works à qui l'on doit ce chef-d'œuvre ne se contente pas de dormir tranquillement sur ses lauriers. Il vient ainsi de nous pondre BlazBlue, un jeu de combat au moins aussi nerveux et que l'on peut considérer sans peine comme l'héritier spirituel des Guilty Gear. Certains croyaient le genre mort et enterré, pourtant les jeux de combat en 2D de qualité se bousculent ces derniers temps sur nos consoles de salon. Aucune plate-forme n'est épargnée par cette vague de fond. Alors que les anciens titres mythiques de Capcom et de SNK nous reviennent en téléchargement sur le PSN et le Xbox Live, les deux adversaires de toujours nous proposent aussi des épisodes inédits de leurs célèbres franchises avec Street Fighter IV ou King of Fighters XII par exemple. La Wii n'est pas non plus oubliée puisqu'elle accueillera bientôt Tatsunoko vs Capcom, un cross-over plus que prometteur...
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