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Nous avons réuni 11 tests du BioShock : Infinite. Les experts notent BioShock : Infinite 8.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du BioShock : Infinite et d'autres Jeux PC.
Se pouvait-il seulement que BioShock Infinite parvienne à tutoyer le niveau de qualité du tout premier BioShock ? Se pouvait-il que Columbia, ville perchée sur le toit du monde, destitue Rapture du plus somptueux et mystérieux décor de jeu vidéo ? Se pouvait-il que Ken Levine puisse nous étonner encore ? Se pouvait-il ?Rien ne nous obligeait à comparer ce troisième opus au tout premier ; après tout, celui qui n'a pas essayé BioShock ne sera pas handicapé outre mesure au moment de poser ses valises dans Columbia. Ceux qui ont été durablement marqués par l'expérience en revanche, par sa mythologie, ses idoles, se poseront sans doute la question. Question qui n'est pas cruciale, mais qui est importante. C'est donc dans cette optique que j'ai débarqué à Columbia, ville volante. Rapture contre Columbia, Columbia contre Rapture, cité ouverte et colorée (a priori) contre clapier oppressant dont les murs suintent la rouille et la mort. Le contraste est saisissant ; les parallèles le seront aussi, par la suite.En tout cas, Columbia n'a rien à envier à Rapture.
Second véritable épisode de la franchise, Bioshock Infinite a un sacré challenge à relever. Comment, en effet, succéder à un monstre tel que le premier Bioshock. Magistral, gothique et terriblement marquant, le premier épisode était parvenu à allier horreur et FPS avec brio. Infinite ne prend pas le risque de nous renvoyer à Rapture. Cette fois-ci c'est dans les cieux de Columbia que se passe une intrigue peut-être pas aussi surprenante que celle de Bioshock, mais rudement bien maîtrisée. Bioshock Infinite, c'est l'histoire de Booker DeWitt, un type dont on ne sait pas grand-chose si ce n'est qu'il est criblé de dettes et que le seul moyen de les effacer consiste à ramener de Columbia une jeune fille du nom d'Elizabeth. Le voilà donc littéralement propulsé dans la cité utopique de Columbia, une ville volante dirigée d'une main ferme mais paternelle par le prophète Zachary Comstock. Tout comme Rapture dans le premier épisode, Columbia est presque un personnage à part entière. Les premières minutes passées dans cette cité sont par ailleurs enchanteresses. Les habitants sont heureux, vivent dans la paix et l'opulence d'une cité aussi vivante que les couloirs de Rapture puaient la mort.
Grosse surprise de 2007, comme beaucoup de productions cette année-là, BioShock premier du nom s'est directement placé comme l'un des meilleurs titres de cette génération. En proposant une atmosphère rafraîchissante et un scénario qui en a surpris plus d'un, Irrational Games s'est construit une excellente aura auprès du grand public qui ne connaissait pas leurs précédents travaux. Six ans plus tard, avec entre-temps une suite développée par un autre studio, le développeur américain sort BioShock Infinite. Un nouveau lieu et une nouvelle histoire, pour ce qui est sans doute LE jeu de ce début d'année. L'ambiance pesante d'un Rapture sous l'eau, c'est terminé. Bienvenue à Columbia. Une ville dans les nuages qui apparaît dans un premier temps comme un lieu paradisiaque. Contrairement à notre arrivée dans la cité d'Andrew Ryan, celle créée par « Le Prophète », au début du XXe siècle, s'avère vivante et festive. Le joueur contrôle Booker DeWitt, un New-Yorkais endetté ayant comme objectif de ramener la mystérieuse Elizabeth pour effacer son ardoise.
Des couloirs poisseux et oppressants de Rapture, il ne reste plus rien. Mais si l'utopie noyée et gangrenée des deux premiers épisodes de BioShock a définitivement sombré, la puissante volonté de Ken Levine et d'Irrational Games de créer des univers extraordinaires est pour sa part restée totalement préservée. Amis arpenteurs de mondes virtuels, réjouissez-vous car de cette inébranlable volonté est née Columbia, une fantastique nouvelle ville-conte flottant parmi les nuages et dans laquelle vous goûterez tour à tour à la haine, à l'espoir, à la folie mais surtout, au sang. En 1912, à quelques encablures des côtes de l'état du Maine, une petite barque lutte sous une pluie battante dans des eaux baignées de lune. A son bord, un couple vêtu de cirés jaunes se chamaille tout en conduisant Booker DeWitt vers un grand phare à la silhouette menaçante. DeWitt, c'est vous, et pour une fois, vous n'êtes pas un jeune premier avide d'aventure. Pardonnez du peu, mais vous êtes même une belle ordure, un "détective", pour ne pas dire un homme de main ayant jadis fait son beurre en tabassant les meneurs de mouvements de grève pour de riches patrons, entre autres saloperies.
"Ramenez la fille et vous effacerez votre dette". Il n'en faudra pas plus à Booker DeWitt pour accepter de caler son séant dans cette barque manoeuvrée par deux parfaits inconnus, qui s'éloigne doucement des rives du Maine. Pendant que le couple se relaie aux rames en parlant de moi comme si je n'étais pas là, je fais un rapide inventaire du petit coffret qui m'a été confié : un flingue, quelques photos de "la fille", de l'argent et trois symboles griffonés sur un morceau de papier. C'est une fois DeWitt débarqué sans surplus de politesse sur ce cailloux solitaire, au pied d'un phare veillé par les étoiles que des souvenirs me reviennent. J'enserre doucement ma souris en me dirigeant vers les portes du bâtiment : si mes calculs sont exacts, c'est l'heure de la scène d'ouverture tant attendue, le premier examen d'une longue série qu'Infinite se devra de réussir s'il prétend réellement à un siège au sein de "l'école Bioshock".De manière générale et plus encore lorsque l'on parlera de ces fabuleux moments de découverte dont Ken Levine et Irrational Games ont le secret, je m'efforcerai de rester le plus évasif possible. Sachez simplement que face au quart d'heure d'exposition jouable que proposait Bioshock premier du nom, ce nouvel épisode relance de dix et laisse le joueur faire connaissance avec la ville dans les nuages pendant près d'une heure, souris en main, mâchoire pendante.
En 2007 sortait BioShock, suite spirituelle de l'excellent System Shock 2 et FPS atypique dans lequel le joueur arpentait la cité déchue de Rapture, lieu de perdition d'une utopie scientifique délirante. Cinq ans plus tard, les créateurs de Rapture reviennent et nous proposent de découvrir une nouvelle ville fantastique : Columbia, qui délaisse la vase des fonds marins pour les nuages. Et la présentation des personnages principaux de chaque jeu établit d'emblée un parallèle en miroir entre les deux métropoles, l'un tombant du ciel pour s'enfoncer dans les océans (BioShock), l'autre venant par la mer pour s'élever dans les cieux (BioShock : Infinite). Derrière ce détail qui ne manquera pas de ravir les fans, on pouvait craindre la facilité de se contenter d'un BioShock dans les airs ; Irrational Games est-il tombé dans ce piège ? Welcome to sky valleyOutre la présence des nuages et du soleil, Columbia se distingue de Rapture par un élément majeur : la vie. Lorsque Booker DeWitt, notre héros du jour, arrive à Columbia, il voit une ville à son apogée, là où Jack découvrait une Rapture à l'agonie dans BioShock.
Dans son infinie mansuétude, l'équipe d'Irrationnal Games s'est amusée à nous présenter à nouveau son prochain bébé : Bioshock Infinite. Nouvelles phases de jeu, nouveaux détails de gameplay et nouvelle façon d'envisager la relation avec un personnage secondaire sont à l'honneur. Bienvenue à bord du dirigeable, direction la cité flottante dans les airs de Columbia... Souvenez-vous, en août dernier, Irrationnal dévoilait son prochain jeu, la suite de la saga Bioshock. En transposant l'action des fonds marins à la ville dans les nuages de Columbia, l'équipe de Ken Levine s'en est donnée à cœur joie pour créer des situations de jeu inédites afin de séduire les amateurs du premier opus. On découvrait alors une cité morcelée où chaque petit îlot avec son morceau de rue et ses quelques bâtiments était relié aux autres par un système de rails nommé Skyline. La démonstration d'une quinzaine de minutes à laquelle nous avons assisté mettait une fois de plus en avant les diverses interactions possibles avec ces rails, tout en ajoutant une composante de gameplay étonnante, sans oublier de nous en apprendre un peu plus sur l'origine des deux factions peuplant cet univers.
Il y a déjà trois ans, BioShock débarquait de nulle part et s'imposait comme une aventure incontournable. Un gameplay prenant. Des plasmides dévastateurs. Les Big Daddys aussi. Haaa les Big Daddys... De grand moments de trouille, surtout au début. Et puis Rapture. Une cité tentaculaire, ville/héroïne au détriment du pantin qu'était Jack. Deux ans après, BioShock 2. Et là, la mécanique se grippe. Trop de puissance -incarner l'être le plus fort du bestiaire, belle fausse bonne idée-, trop de déjà-vu, pas assez de changements. Résulat ? Un bon jeu mais une suite décevante. Et largement de quoi perdre foi en la licence. Pourtant, avec un Ken Levine revenu aux commandes (l'artisan du succès du premier volet), BioShock Infinite s'annonce comme quelque chose d'exceptionnel. Plus qu'un nouveau départ, une renaissance. A l'aube du vingtième siècle, les Etats-Unis dévoilent au monde Columbia. Une ville volante, vitrine du savoir-faire et de la domination américaine en matière d'industrie. Bâtie pour être un phare guidant l'humanité, Columbia ne tarde pas à tomber sous la coupe d'un groupuscule prônant l'eugénisme et la haine des autres nations.
S'ils avaient fait l'impasse sur l'E3 de Los Angeles, les développeurs d'Irrationnal Games avaient convié une bonne partie de la presse américaine il y a une quinzaine de jours à New York afin de dévoiler BioShock Infinite... Pour les Européens, c'est logiquement la GamesCom qui a été choisie et nous ne pouvions évidemment manquer de voir plus en détails le nouveau bébé de Ken Levine. Après une bande-annonce intrigante, il nous tardait bien sûr de découvrir cette fameuse cité de Columbia, ville flottante à mille lieues de la Rapture du premier opus. Sur le papier, BioShock Infinite laisse un tout petit peu sur sa faim : Irratioanl Games semble effectivement avoir été un peu fainéant en reprenant dans ses grandes lignes le synopsis propre au premier opus de la série. S'il n'est plus question d'une cité sous-marine, l'idée d'une société utopique conçue pour assurer le bonheur de ses habitants perdure et les développeurs ont simplement remplacé Rapture par une ville flottant dans les airs à l'aide d'une multitude de ballons géants. Cette cité se nomme Columbia et d'après les scénaristes du jeu, elle a été créée à la fin du XIXe siècle afin de montrer la supériorité technologie des États-Unis.
J'aime cet article Egalement disponible sur : A peine annoncé et le voilà d'ores et déjà présenté en masse à la presse lors de cette gamescom 2010. C'est en effet sur le stand business de 2K Games que BioShock Infinite s'est laissé approcher le temps d'une démo live de 15 minutes environ, qui nous a permis de constater à quel point le studio Irrational Games est en train de relancer la franchise BioShock de la plus belle des manières. Ken Levine est de retour aux affaires et ça se sent immédiatement...Le premier trailer dévoilé il y a quelques jours annonçait déjà la couleur : exit Rapture, ses eaux inquiétantes et sa claustrophobie, bienvenue à Columbia, cité flottante où tout semble avoir été bâti à la gloire d'une Amérique fière et innovante. Nous sommes en 1912 et à cette époque, les scientifiques américains redoublent d'ingéniosité pour faire valoir leur savoir-faire au monde entier. A tel point d'ailleurs qu'ils sont parvenus à faire de Columbia un exemple de supériorité en matière de vie expérimentale entre les nuages. Mais à l'instar d'un Rapture, les choses ne tournent pas rond et très vite, les habitants vont sombrer dans une folie certaine, marquée par des troubles comportementaux inexpliqués.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Présenté à une poignée de chanceux la semaine dernière à New York, BioShock : Infinite se dévoile maintenant un peu plus largement à l'occasion de cette gamescom 2010 avec la même démo, servie cette fois-ci sur le stand business de son éditeur Take Two, c'est-à-dire aux professionnels uniquement. Une opportunité que nous ne pouvions manquer après un premier trailer certes aguicheur, mais rappelant un peu trop BioShock premier du nom, le précédent titre d'Irrational Games. Au point de semer le trouble dans nos têtes : véritable nouvel épisode ou transposition facile de Rapture dans les airs ? Après une courte session de gameplay et une petite entrevue avec Ken Levine, son créateur, nous voilà désormais rassurés sur son potentiel et même presque réconciliés avec l'idée de faire de BioShock une franchise. Premières impressions. Reprenant le concept de cité idéale déjà exploité dans BioShock et BioShock 2 avec Rapture, BioShock : Infinite prendra pour décor Columbia, une ville flottant dans les airs à l'aide de ballons géants. Bâtie à la fin du XIXème siècle par des scientifiques américains avec pour but d'exposer leur supériorité technologique dans le monde entier, la création disparut finalement rapidement parmi les nuages, et ce, sans raison apparente.
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