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Nous avons réuni 12 tests du BioShock : Infinite. Les experts notent BioShock : Infinite 8.7/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du BioShock : Infinite et d'autres Jeux Playstation 3.
Une aventure où la violence fait loi, où l'histoire s'écrit dans un bain de sang. Cette aventure, c'est la vôtre, celle de Booker DeWitt, et c'est celle de la ville Columbia. Terrible utopie négative de l' « American way of life » et uchronie de la naissance du Nouveau Monde, Bioshock Infinite n'est pas rassurant à plus d'un titre.Développé par Irrational Games, Bioshock Infinite est un jeu de tir à la première personne. Vous incarnez Booker DeWitt, ancien détective corrompu par le jeu et l'argent, prêt à tout pour arriver à ses fins. Votre mission, aller à Columbia, et « ramener la fille pour effacer vos dettes ».Un phare dans la nuit, une tempête, une fusée qui décolle, et vous voila à Columbia, au milieu des nuages. Vous trouvez le début de Bioshock Infinite potentiellement ridicule ? Eh bien non, impossible quand c'est Ken Levine, du studio Irrational Games, qui est aux commandes. Bioshock Infinite vous emporte en 1912 ; vous arpentez la ville flottante de Columbia, à la recherche de « the » fille. Dans ce nouveau jardin d'Éden, parmi les fleurs et les prêtres, une ballade bucolique ne dure jamais longtemps. Inquiet, le prophète Zachary Comstock s'exclame : « Mais lorsque le grand hérétique est arrivé, il a amené la guerre, et les champs de l'Éden se sont retrouvés gorgés du sang de leurs frères ».
Sacré pari que celui fait par Irrational Games avec Bioshock Infinite, qui a pour mission de succéder aux inénarrables Bioshock 1 et 2, et plus généralement au monde hallucinant de Rapture. Au terme d'un développement houleux, le troisième effort du studio dirigé par Ken Levine pointe enfin le bout de son nez et porte en lui à la fois espérances et craintes des joueurs. Aussi répugnante qu'elle fascine, cette série est aux antipodes du jeu vidéo lambda. Si Bioshock est considéré comme l'un des plus grands jeux de la gen' voire même (n'ayons pas peur des mots) de l'histoire, c'est parce que ce chef-d'oeuvre a su, en partant d'un style de jeu quelconque, aller bien au-delà d'un simple divertissement manette en main. En faisant partie de cette noble famille, Bioshock Infinite ne renie donc pas ses gênes, mais saisit la corde au vol et en profite pour changer radicalement de thème, enfin en apparence tout du moins... Rapture, c'est terminé. La cité sous-marine créée de toutes pièces par Andrew Ryan n'est plus, et à vrai dire nous n'aurions pas aimé arpenter une fois de plus cet univers. Deux épisodes de Bioshock nous ayant vaccinés, il est désormais l'heure de prendre un peu l'air.
Lors de la récente preview de Bioshock Infinite, j'avais un peu été langue de vipère en vous expliquant que ce n'était pas le plus beau jeu du monde, loin de là, mais que son intérêt résidait ailleurs. À quelques semaines de la sortie, on pouvait imaginer une version assez proche de quelque chose de définitif. C'est donc sans grande conviction qu'après avoir lancé Bioshock Infinite, je suis allé tripatouiller dans les options graphiques. De Moyen (je pense que c'est dans ce mode que la preview était proposée), j'ai pu monter à Elevé, puis Très Elevé (tiens donc !) et enfin Ultra (la grosse surprise). Bon, ce mode Ultra ne veut forcément dire que Bioshock Infinite peut se hisser au firmament des plus beaux jeux de l'année. La référence, le nouveau mètre étalon restera probablement longtemps Crysis 3. Je crois que personne ne peut mettre ça en doute. Bioshock Infinite, c'est visuellement en dessous, nettement, même si c'est très regardable. Mais est-ce que la beauté fait tout dans ce qui apparait à l'écran ? Non ! Infinite a un supplément d'âme par rapport à tous les jeux qui sont plus beaux que lui : l'élégance. Avec une charte graphique sans faille, un peu moins arts déco que les deux premiers Bioshock, l'univers devient tout simplement magique.
Après deux opus se déroulant dans la cité sous-marine de Rapture, la série phare d'Irrational Games prend son envol vers la ville certes plus lumineuse mais tout aussi corrompue de Columbia. L'occasion pour les développeurs de mettre encore un peu plus l'accent sur l'action, sans toutefois trahir les fondements qui ont fait le succès de la série.Nous sommes en 1912 et vous incarnez Booker DeWitt, un ex-membre de la célèbre agence de détectives Pinkerton désavoué après avoir sombré dans l'alcool et le jeu. Des addictions qui sont d'ailleurs à l'origine de la mission que notre homme s'apprête à accomplir : criblé de dettes, il s'est vu proposée par ses créanciers une tâche apparemment dans ses cordes pour remettre les compteurs à zéro, à savoir retrouver une mystérieuse jeune femme prénommée Elizabeth...La scène d'ouverture de Bioshock Infinite ne manquera pas de rappeler quelques souvenirs aux fans de Bioshock premier du nom : installé dans une barque comme passager, Booker tue le temps en écoutant une curieuse conversation entre le rameur et la jeune femme qui lui fait face. Alors qu'il s'impatiente et s'enquiert du temps restant avant d'arriver à bon port, une forme se détache sur la mer, surmontée d'un faisceau lumineux tournoyant : un phare !
Véritable événement dans le petit monde du jeu vidéo, la sortie de BioShock en 2007 avait apporté un peu de sang neuf à un genre qui tourne passablement en rond depuis des années, le first person shooter ou jeu de tir en vue subjective. Hélas, cette sortie n'a pas été suivie d'effets immédiats et aujourd'hui, nous comptons encore sur Irrational Games pour donner un bon coup de pied dans la fourmilière avec BioShock Infinite. Assis au fond d'une barque sur une mer agitée, nous incarnons Booker DeWitt. Privé de son état, le bonhomme semble avoir été engagé par de tristes individus pour retrouver une jeune femme du nom d'Elizabeth. « Semble » car les circonstances de ce contrat sont aussi mystérieuses que la destination vers laquelle DeWitt est conduit... la cité de Columbia. Chef d'œuvre américain construit en 1901, Columbia peut survoler tous les continents, mais son implication dans la rébellion Boxer - elle aurait ouvert le feu sur des civils chinois - a contraint le gouvernement à la désavouer. Depuis, le ville de Columbia erre dans les cieux sans que personne ne sache très bien où elle se trouve.
Des couloirs poisseux et oppressants de Rapture, il ne reste plus rien. Mais si l'utopie noyée et gangrenée des deux premiers épisodes de BioShock a définitivement sombré, la puissante volonté de Ken Levine et d'Irrational Games de créer des univers extraordinaires est pour sa part restée totalement préservée. Amis arpenteurs de mondes virtuels, réjouissez-vous car de cette inébranlable volonté est née Columbia, une fantastique nouvelle ville-conte flottant parmi les nuages et dans laquelle vous goûterez tour à tour à la haine, à l'espoir, à la folie mais surtout, au sang. En 1912, à quelques encablures des côtes de l'état du Maine, une petite barque lutte sous une pluie battante dans des eaux baignées de lune. A son bord, un couple vêtu de cirés jaunes se chamaille tout en conduisant Booker DeWitt vers un grand phare à la silhouette menaçante. DeWitt, c'est vous, et pour une fois, vous n'êtes pas un jeune premier avide d'aventure. Pardonnez du peu, mais vous êtes même une belle ordure, un "détective", pour ne pas dire un homme de main ayant jadis fait son beurre en tabassant les meneurs de mouvements de grève pour de riches patrons, entre autres saloperies.
Il y a des « jeux boucles », en boucle narrative pour être précis. Des jeux qui tournent sur eux-mêmes comme enfermés, clos dans un ruban de Möbius, presque en répétition constante. BioShock Infinite est de ces jeux, une de ces histoires qui nécessitent une relecture immédiate, à peine la fin vue, à peine ses mystères mis à jour, dévoilés. Parce que l'on veut être sûr, certain d'avoir tout compris, tout assimilé. Là, les sales secrets rejaillissent, alimentent la seconde vision, transforment le second playthrough en véritable calvaire émotionnel, chaque plan revisité, chaque indice esquissé précédemment explosant au grand jour, renvoyant au joueur les mensonges de Columbia, cette cité volante inspirée par l'exposition universelle de Chicago 1893. Finies les interrogations, finis les rues dorées et cieux bleus, le joueur sait désormais ce qui se trame derrière le voile, derrière les apparences, dans les coulisses. Au cinéma, on appelle cela, l'ironie dramatique : quand le spectateur en sait plus que les personnages, qu'il devance, avec effroi, les futures évolutions du scénario. Comme NieR et son New Game+ avant lui, BioShock Infinite va plus loin que cette simple, mais efficace, mécanique dramatique, avec ce duo improbable, tragique, au centre de toutes les attentions du joueur.
Cette nouvelle démo de BioShock Infinite va au-delà de la découverte de la ville céleste de Columbia, elle a pour but de nous prouver que l'interaction entre deux personnages dans un FPS est possible. Cela signifie en d'autres termes que notre héros, Booker DeWitt, ne sera pas le dumb-ass habituel à qui l'on a coupé la langue, en tenant la conversation constamment avec Elizabeth, cette brunette qui a la même coupe de cheveux que Mireille Mathieu. En quelques minutes à peine, Levine parvient à instaurer une certaine complicité entre ses deux principaux personnages, cachant bien évidemment une idylle latente, malheureusement interrompue par le Songbird, cette espèce d'oiseau géant mécanique qu'on avait aperçu à la toute fin du premier trailer, et chargée de ramener Elizabeth au bercail. Ne vous détrompez-pas, le Songbird, dont sa seule présence suffit pour effrayer tout un parterre de journalistes, sera la bête à éviter dans BioShock Infinite. Avec ses yeux perçants, dotés de faisceaux lumineux de différentes couleurs, sa griffe en acier acérée et sa force herculéenne, difficile de ne pas apercevoir en lui le pendant aérien des Big Daddies de Rapture.
Attendu au tournant depuis BioShock, les développeurs de Irrational Games ont prouvé sans trop de problèmes qu'ils en avaient encore sous le capot avec leur présentation E3 de BioShock : Infinite. Pas forcément la plus complète d'un point de vue informations de gameplay, cette démo du dernier bébé d'Irrational avait un seul objectif : en mettre plein la vue. Mission réussie. BioShock : Infinite n'a pas le moteur graphique d'un Battlefield 3 (certaines modélisations paraîssant même un peu grossières) ni les explosions d'un Call of Duty : Modern Warfare 3, mais il mettait pourtant bien une bonne claque en plein visage lors de son apparition à l'E3 cette année. La faute à Colombia, la cité volante qui nous servira de terrain de jeu, et à son architecture délirante, colorée et torturée où de gigantesques bâtisses flottant dans les nuages sont reliées entre elles par un réseau de montagnes russes sur lesquelles on pourra s'accrocher à la volée pour filer, virevolter et même combattre à des hauteurs et allures vertigineuses. Mais avant de se lancer de ce genre de ballet mortel, il faut rappeler que notre héros - Booker DeWitt - a été chargé de sauver la jeune Elizabeth de son destin d'éternelle prisonnière pour s'échapper de Columbia jusqu'à New York.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 06/2011
Plus accessible...
Dévoilé en août 2010 lors de la GamesCom de Cologne, BioShock Infinite n'avait plus guère fait parler de lui et c'est donc avec un plaisir non dissimulé que nous avons répondu à l'appel de 2K Games. Les petits gars de chez Irrational Games - partenaires de l'éditeur - avaient effectivement fait le déplacement jusqu'à Los Angeles avec une nouvelle démonstration sous le bras. Une démonstration qui permet de mieux comprendre le fonctionnement du jeu, ses combats et le lien qui unit les deux personnages principaux : Booker DeWitt - notre héros - et une certaine Elizabeth. Un rêve qui tourne au cauchemar...Pas question pour nous revenir sur l'ensemble du pitch que vous pouvez retrouver sur notre précédente preview (ci-dessous). Il est toutefois important de se rappeler qu'au début de l'aventure, le rêve qu'est la cité aérienne de Columbia a tourné depuis bien longtemps au cauchemar. Différentes factions se déchirent pour prendre le pouvoir et - surarmée - la ville flottante s'est même permis de tirer sur des populations civiles. Il n'en fallait pas plus pour que le gouvernement américain se désolidarise du projet et pour que Columbia devienne une sorte de menace fantôme, un véritable mythe.
Dans son infinie mansuétude, l'équipe d'Irrationnal Games s'est amusée à nous présenter à nouveau son prochain bébé : Bioshock Infinite. Nouvelles phases de jeu, nouveaux détails de gameplay et nouvelle façon d'envisager la relation avec un personnage secondaire sont à l'honneur. Bienvenue à bord du dirigeable, direction la cité flottante dans les airs de Columbia... Souvenez-vous, en août dernier, Irrationnal dévoilait son prochain jeu, la suite de la saga Bioshock. En transposant l'action des fonds marins à la ville dans les nuages de Columbia, l'équipe de Ken Levine s'en est donnée à cœur joie pour créer des situations de jeu inédites afin de séduire les amateurs du premier opus. On découvrait alors une cité morcelée où chaque petit îlot avec son morceau de rue et ses quelques bâtiments était relié aux autres par un système de rails nommé Skyline. La démonstration d'une quinzaine de minutes à laquelle nous avons assisté mettait une fois de plus en avant les diverses interactions possibles avec ces rails, tout en ajoutant une composante de gameplay étonnante, sans oublier de nous en apprendre un peu plus sur l'origine des deux factions peuplant cet univers.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Présenté à une poignée de chanceux la semaine dernière à New York, BioShock : Infinite se dévoile maintenant un peu plus largement à l'occasion de cette gamescom 2010 avec la même démo, servie cette fois-ci sur le stand business de son éditeur Take Two, c'est-à-dire aux professionnels uniquement. Une opportunité que nous ne pouvions manquer après un premier trailer certes aguicheur, mais rappelant un peu trop BioShock premier du nom, le précédent titre d'Irrational Games. Au point de semer le trouble dans nos têtes : véritable nouvel épisode ou transposition facile de Rapture dans les airs ? Après une courte session de gameplay et une petite entrevue avec Ken Levine, son créateur, nous voilà désormais rassurés sur son potentiel et même presque réconciliés avec l'idée de faire de BioShock une franchise. Premières impressions. Reprenant le concept de cité idéale déjà exploité dans BioShock et BioShock 2 avec Rapture, BioShock : Infinite prendra pour décor Columbia, une ville flottant dans les airs à l'aide de ballons géants. Bâtie à la fin du XIXème siècle par des scientifiques américains avec pour but d'exposer leur supériorité technologique dans le monde entier, la création disparut finalement rapidement parmi les nuages, et ce, sans raison apparente.
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