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Nous avons réuni 17 tests du Binary Domain. Les experts notent Binary Domain 6.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Binary Domain et d'autres Jeux Playstation 3.
Quand les géniteurs de la série Yakuza abandonnent la guerre des gangs pour créer une nouvelle licence pleine de testostérone, cela donne Binary Domain. Un TPS façon Gears of War qui ne renie pas ses origines en proposant un scénario et une mise en scène dignes de la culture asiatique. Ce mélange atypique réussit-il à rendre cette dernière production attrayante ? Verdict. Binary Domain prend place à la fin du XXIe siècle, et plus précisément en 2080. L'homme a créé depuis plusieurs années des robots l'aidant dans ses tâches de tous les jours. Deux entreprises, l'une américaine (Bergen), l'autre japonaise (Amada), se partagent ce marché en pleine croissance. Pour ne pas que ces deux sociétés aillent trop loin dans leurs recherches, une nouvelle convention de Genève a été organisée afin de limiter certaines évolutions, comme donner une conscience à une intelligence artificielle ou leur offrir une apparence humaine. Cependant, un fait va mettre en évidence qu'une des deux sociétés n'a pas suivi à la lettre cette convention. Bergen, monopoliste à 95%, dénie toute responsabilité et rejette la faute sur son seul concurrent basé au Japon.
S'aventurant pour la première fois sur le terrain surexploité du Third Person Shooter avec Binary Domain, l'équipe de Toshihiro Nogashi devait encore convaincre ; convaincre qu'une autre vision du genre était possible dans l'ombre des blockbusters occidentaux mais aussi, simplement, que l'exercice ne virerait pas à la copie sans âme. Mission accomplie pour les créateurs de Yakuza : malgré son budget modeste et sa réalisation dépassée, le shooter de Sega enchaîne avec fougue visions robotiques stupéfiantes et fusillades jouissives. La trame scénaristique s'aventurait pourtant en terrain connu : en l'an 2080, le monde découvre l'existence de robots d'apparence humaine, prémices d'une invasion robotique que les grandes puissances entendent tuer dans l’œuf. Pour mener l'enquête, on missionne des soldats d'élite à Tokyo pour y séquestrer l'inventeur des simulacres, un certain Yoji Amada. Le joueur dirige l'un de ces troopers, héros américain qui semble un temps ranger Binary Domain sous ses influences occidentales. Ce n'est qu'un leurre : dès son entame, l'intrigue s'installe dans un Tokyo qu'elle ne quittera plus. Jolie pirouette scénaristique par laquelle l'équipe de Nagoshi justifie un retour dans ses quartiers familiers - jamais bien loin de sa série Yakuza - court-circuitant le « choc des cultures » attendu.
Fortement inspiré par des grands noms du jeu vidéo et par le septième art, Binary Domain captive par l'omniprésence de son action, par son système d'ordre vocal bien pensé et par la gestion des affinités entre vous et les membres de l'équipe. Si le gameplay reste classique dans le fond et que la réalisation aurait mérité un petit coup de polish supplémentaire, quelques scènes mémorables et un scénario bien tenu valent largement le coup d'oeil. Parce que ces dernières années les joueurs ont massacré assez d'humains comme ça, c'est au tour des machines d'en prendre pour leur grade. Lors de son annonce officielle en décembre 2010, les premières images de Binary Domain faisaient penser à une adaptation officieuse de l'univers de Terminator en jeu vidéo. Des robots à l'apparence humaine et aux yeux rouges qui marchent le flingue à la main, un cadre futuriste délabré et un héros aux airs de John Connor façon Christian Bale. Les mauvaises langues voyaient déjà arriver un ersatz de Gears of War pompé sur le chef d'oeuvre de James Cameron. C'était sans compter sur le talent du créateur de la série Yakuza pour nous offrir bien plus qu'un simple plagiat.L'histoire de Binary Domain prend place au Japon en 2080.
Au cours du XXIe siècle, les soucis climatiques se sont aggravés et ont entraîné une montée des eaux inexorable. Pour faire face à ce problème, les villes ont été reconstruites au-dessus du niveau de l’eau. En parallèle à ces bouleversements géographiques, la robotique s’est développée de manière réglementée et les androïdes font désormais partie intégrante de la population. Tout bascule cependant lorsqu’en 2080, des robots humanoïdes, qui plus est persuadés d’être humains, font leur apparition. Apparemment conçus par la société japonaise Amada, ces Simulacres sont en violation directe de la clause 21 de la nouvelle Convention de Genève. Une équipe de soldats d’élite cosmopolite, emmenée par l’Américain Dan Marshall, est donc envoyée à Tokyo pour retrouver le fondateur de l’entreprise et le mettre hors d’état de nuire. Pour une fois dans un jeu de ce type, il n’est pas question d’invasion d’aliens ou de mutants. . Binary Domain joue en effet sur les émotions contradictoires que peut engendrer la proximité avec des machines intelligentes, et fait par moments penser à des films comme Invasion Los Angeles, I, Robot, ou encore Terminator.
Les corps destructibles de Binary Domain recèlent des plaisirs infinis : quand on l'ampute d'un bras, le robot réaligne son torse et manie l'arme avec l'autre main. Si on l'ampute d'une jambe, le robot tombe, mais se rééquilibre rapidement avec un bras et une jambe tout en continuant à viser. Encore mieux, si on le décapite, il commence à tirer sur les autres robots. Un des défauts courants des jeux à la troisième personne est le manque de feed-back, mais les torsions du métal et la dispersion des composants de vos adversaires sont ici profondément jouissives - à tel point que vous prendrez souvent tout votre temps avec le dernier ennemi d'un combat en l'amputant successivement de différents membres pour voir le résultat. Binary Domain vous incite même à le faire en vous récompensant avec des crédits en proportion des dégâts infligés à un adversaire avant de le terminer et en rendant le tir dans la tête encore plus important que d'ordinaire. La grande trouvaille avec les tirs dans la tête dans Binary Domain est qu'il faut toucher le robot plusieurs fois avant de le décapiter - c'est-à-dire détruire les premières couches d'armure protectrice avant de griller les circuits mis à nu. Il est difficile de réussir trois ou quatre tirs successifs, mais quand on y parvient, le robot se retourne instantanément contre ses compagnons et tire dessus.
Quand un jeu Sega s'annonce, le joueur de plus de 20 ans tend l'oreille. Quand en plus Toshihiro Nagoshi en assure la production, ce même gamer d'expérience dresse la tête et commence à s'exciter. Peu importe les ratés du passé, tant pis pour Sonic et le Chevalier Noir, vive Super Monkey Ball : quand Sega et un producteur affichant Yakuza ou F-Zero GX sur son CV frappent à la porte avec une création un tant soit peu ambitieuse, on ouvre, on s'assied et on sert une tasse de thé. "Oh Sega-san, vous avez apporté quelque chose ? Mais c'est trop !" Non vraiment, c'est très gentil, mais un poil trop. Tokyo, 2080. Il fait moche. Binary Domain PS3 débute comme ça. Avant un vrai écran titre, avant le menu de démarrage : mise en scène de l'installation du jeu. La météo sur la capitale japonaise, la cartographie de Shibuya sans sailor fuku en vue, l'arsenal d'armes à disposition et des portraits d'androïdes déjà bien trop propres sur eux pour être honnêtes. Le tout sur une tablette holographique même pas tactile. Bref, dès les premières secondes, ça pue le complot robotique de grande envergure. La suite ne nous détrompe pas. Le titre s'inspire des grands, des très grands, comme MGS 2, et il annonce la couleur dès le départ. Binary Domain, c'est le jeu qui veut t'en mettre plein la vue dès l'installation. De l'ambition, il en faut.
Votre aspirateur automatique vous renvoie la poussière à la figure ? Votre mixeur se remet brutalement en marche lorsque vous approchez vos doigts de sa lame ? Votre PC a décidé de faire grève et d'écraser toutes vos données par la même occasion ? Il n'y a pas de doute, tous les robots et toutes les IA de votre entourage se sont ligués contre vous et sont bien décidés à écraser l'humanité. Appelez-le HAL 9000 ou Skynet si ca vous chante mais le résultat est le même : le monstre de Frankenstein est de retour et il a mangé un joli bol de puces informatiques à son petit déjeuner. Heureusement, les petits gars de Binary Domain sont là pour remettre de l'ordre et pour sauver les fragiles unités biologiques que nous sommes. Quel plus bel hommage à Philip K. Dick que de se demander encore, trente ans après sa mort, si les androïdes rêvent de moutons électriques ? On ne compte plus les œuvres de science-fiction qui mettent en scène des robots pour nous amener à nous demander ce qui distingue l'homme de la machine. Binary Domain n'est donc ni le premier, ni le dernier héritier de cette longue tradition. Le jeu nous entraîne en 2080 dans un monde qui a été totalement ravagé par les bouleversements climatiques.
Malgré le nombre de jeux médiocres qui continuent d'abreuver le marché du jeu vidéo, il arrive encore qu'on soit agréablement surpris par certains titres. Binary Domain fait partie de ces softs discrets mais efficaces, qui débarquent sans faire de bruit pour mieux casser la baraque ensuite. Un nouveau grand nom du jeu d'action ? Découvrez la réponse dans notre test.En 2080, l'industrie robotique est au coeur de l'économie mondiale. Les Etats-Unis ont affirmé leur statut de seule et unique superpuissance grâce à la suprématie de la compagnie Bergen, qui s'est imposée comme la référence internationale dans la fabrication de robots. Face à des progrès si fulgurants, les nations ont défini des limites éthiques à la science et à l'étendue de l'intelligence artificielle : selon la Clause 21 de la Convention de Genève sur la robotique, il a été interdit de créer une I.A. douée de conscience ou de sentiments. Tout bascule quand le gouvernement américain découvre l'existence des Simulacres, des robots à apparence humaine indétectables, implantés dans toutes les sociétés du monde depuis près de 40 ans et par-dessus tout persuadés d'être humains. Seul le professeur japonais Yoji Amada, ancien concurrent de Bergen, serait capable d'une telle prouesse.
Au pays des shooters sans concession, il n’y a pas de juste milieu : soit le jeu est bon, soit il est mauvais. Vous vous demandez peut-être dans quelle catégorie va atterrir Binary Domain, le dernier titre édité et développé par SEGA. Mettons tout de suite les points sur les « i » et classons Binary Domain dans la catégorie « mauvais jeux ». Voyons pourquoi. C’est bien simple, Binary Domain fait dans le nanard pas ou peu assumé. Commençons par ce scénario bateau, vu et revu, qui fait apparaître des robots à apparence humaine qui ignorent eux-mêmes qu’ils sont des machines. Pour découvrir d’où proviennent ces robots nouvelle génération appelés Simulacres, le joueur est envoyé à Tokyo. Il incarne Dan qui est accompagné de son fidèle bulldog inutilement vulgaire et grossier, j’ai nommé Big Bo. Par la suite d’autres personnages de diverses nationalités viendront se greffer à la fine équipe. Ils sont donc envoyés incognito en territoire japonais. Et là, histoire de progresser discrètement, ils commencent par tirer sur tout ce qui bouge… On a connu plus furtif comme approche pour une opération secrète !
Toshihiro Nagoshi, le créateur de la série des Yakuza, revient sur le devant de la scène vidéoludique grâce à un jeu d'action futuriste à la troisième personne, situé au croisement de Vanquish et Terminator. Voici nos premières impressions après une prise en main d'une trentaine de minutes... L'histoire du jeu se déroule en l'an 2080 à Tokyo. La capitale nipponne est affectée par un brusque changement climatique mais aussi par l'apparition d'êtres robotisés, les « simulacres ». Ceux-ci commencent à semer la zizanie un peu partout, après avoir pris place secrètement dans la population à l'instar des « Répliquants » de Blade Runner. Pour régler ces problèmes, le gouvernement japonais demande l'aide des Nations unies qui dépêchent alors sur place une escouade composée de plusieurs soldats internationaux, dont le héros du jeu, l'Américain Dan Marshall. Leur but ? Enquêter sur les agissements d'une multinationale japonaise spécialisée dans la robotique et qui semble liée de très près aux troubles récents... Au fil de 6 gros chapitres contenant chacun plusieurs niveaux, le joueur évolue donc dans la peau de Dan, leader d'une équipe dont il doit choisir les membres entre chaque mission.
L'année 2080 sera celle de tous les dangers pour l'humanité. Dans un Tokyo envahi par des robots dévoués, et chargés de multiples tâches tant domestiques que policières, l'homme cherche sa place. Quoi de plus surprenant que de voir, à l'entrée d'une entreprise de robotique, un homme brandir une arme à feu et une grenade, péter les plombs devant tous ces robots qui se multiplient comme des petits pains. « Que m'avez-vous fait ? » hurle le forcené. Et là dessus, il s'arrache littéralement le visage pour montrer au monde entier que sous sa chair, il n'est qu'acier et circuit... Étrange... vient-il se plaindre parce qu'il est robot, ou parce qu'il est humain ? Binary Domain commence comme cela : par une machine qui hurle à qui veut l'entendre qu'elle se croyait humaine. Enfin... j'écris « commence comme cela » alors que ce n'est pas tout à fait exact ; cette séquence, qui semble être le point de départ d'un drame humain, est un flash-back, et ce dernier se situe 10 jours avant que l'action du jeu ne démarre vraiment. 10 jours avant qu'une escouade internationale de soldats de la paix ne soit infiltrée sur les ruines des niveaux inférieurs de la ville de Tokyo, pour combattre des unités robotisées étrangement rebelles. Mais quel est le véritable but des missions qui sont données à cette escouade ?
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 12/2011
Plus accessible...
Chez Sega, le dernier jeu de tir à la troisième personne ayant marqué les esprits, c'est Vanquish. Binary Domain n'a pas grand-chose en commun avec le jeu de Platinum Games, hormis bien sûr l'éditeur et le genre, mais également la présence d'un futur avancé peu réjouissant comme base narrative. Pour le reste, point de super armure ni de surenchère destructrice. Les développeurs ont eu à cœur de créer un jeu de tir à la troisième personne qui ne mise pas sur une extrapolation fantasque de la science-fiction, mais sur une potentielle évolution de la robotique. Un thème récurrent dans la culture nippone, à la limite du sérieux tant il semble être la figure de proue du réalisme fantastique cybernétique japonais. Un sujet qui a de plus en plus d’aficionados en Occident (grâce à Matrix, entre autres). Nous sommes en 2080, à Tokyo. La mégalopole est en proie, comme le reste du monde, à des enjeux économiques et écologiques antinomiques. Depuis notre époque, les progrès en robotique et en intelligence artificielle n'ont cessé de croître. ? tel point qu'aujourd'hui entre les différents conflits économiques et politiques qui gangrènent le monde des hommes, une menace nouvelle apparaît.
C'est bien connu, les robots provoqueront tôt ou tard la destruction de l'humanité. Vous trouvez que vos voisins sont louches ? Vous feriez mieux de surveiller de près votre cafetière programmable et votre aspirateur automatisé. Ces deux là complotent peut-être déjà pour vous chasser de votre logis... Vous serez alors obligé de prendre les armes et de mettre sur pied un commando pour écraser cette menace robotique. Vous ne le savez peut-être pas, mais des robots ressemblant en tous points à des humains vivent déjà parmi nous. Ils prennent petit à petit place dans la population sans que personne ne s'en rende compte... C'est finalement une attaque terroriste menée par l'un de ces « simulacres » qui révèle leur présence parmi nous. Le plus triste, c'est que ces robots sont persuadés d'être des humains comme les autres. Leur concepteur a bafoué ouvertement de nombreux traités internationaux sur la robotique en accouchant d'une telle engeance. C'est afin de faire la lumière sur cette étrange affaire que la communauté internationale a décidé d'envoyer discrètement un commando d'élite enquêter au Japon, et plus précisément du côté de la société Amada qui est visiblement derrière cette sérieuse entorse à l'éthique.
2080, un Tokyo tombé aux mains des robots. Voilà comment résumer d'une manière expéditive au possible l'univers de ce Binary Domain, actuellement en chantier chez une équipe tenue par Toshihiro Nagoshi. Pour autant, serions-nous là face à un TPS de plus ? Pas forcément... Autant le dire tout de suite : Binary Domain joue dans la cour des TPS pur souche. Genre ultra représenté ces derniers temps sur les Xbox 360 et Playstation 3, il s'émancipe toutefois grâce à une différence qui saurait lui donner du cachet. Il privilégie ainsi délibérément (et oblige, dans le même temps) le dialogue au sein de votre équipe, composée en tout et pour tout de 4 joyeux lurons. Issus de classes différentes, vos personnages traineront évidemment leurs forces et faiblesses, que vous serez amené à trier. Vous pourrez alors hériter d'une équipe capable de respawner bien plus rapidement que la normale, mais en parallèle disposant d'une résistance aux balles moins élevée. Et ce n'est évidemment qu'un exemple pioché parmi tant d'autres. Mais pour en revenir à la mise en exergue de la communication au sein de votre team tout du long de la campagne solo, sachez que vous serez en mesure, et ce grâce à votre micro-casque, d'interpeller au son de votre voix vos coéquipiers, et leur donner des ordres, aussi bien axés sur l'attaque que sur la défense.
Quand nous sommes passés devant les bornes de démonstration de Binary Domain, rien n'a réellement retenu notre attention. Et pourtant, ce jeu d'action pourrait bien créer la surprise à sa sortie. Pour s'en convaincre, il nous a fallu rencontrer son producteur pour qu'il nous en dise un peu plus. L'action se passe à Tokyo en 2080. Le Japon et les Etats-Unis sont les deux leaders mondiaux en terme de technologie robotique et de ce fait, les robots cohabitent paisiblement avec les humains. Sauf que, comme dans toute bonne histoire de science-fiction, les choses dégénèrent. Le gouvernement japonais aurait développé en cachette des robots destinés au combat, ce qui va à l'encontre des conventions internationales. C'est pourquoi une équipe de gros bras a été désigné pour s'infiltrer dans la capitale japonaise pour tirer les choses au clair. Car dans ce futur glauque, le Japon s'est complètement renfermé sur lui-même et n'autorise aucune visite extérieure. Votre équipe est composée d'un américain, d'une chinoise, et d'un couple anglais (à croire que les forces spéciales françaises ne sont pas au niveau, en 2080). Chacun possède sa propre personnalité et est spécialisé dans certains types d'armes et d'attributs.
Gamekult
Ajouté le : 06/2011
Plus accessible...
Prévu pour début 2012, Binary Domain est un titre resté bien discret jusqu'ici. Que les fans de Sega se rassurent : l'éditeur a profité de l'E3 pour nous en faire une petite présentation. L'occasion de partager avec vous notre premier avis sur la chose. Mass Protocol 2080. Après voir conçu des robots de plus en plus perfectionnés, les humains se retrouvent à leur merci depuis qu'une certaine société a enfreint les lois d'éthique en vigueur en se permettant de leur insuffler une conscience de soi. Un scénario d'une originalité absolue qui sera pourtant bien le point de départ de Binary Domain, un jeu d'action "mais pas seulement" qui cache sous ses aspects de Third Person Shooter ultra générique quelques petites originalités qui pourraient éventuellement le sauver de l'anonymat. Sous couvert de conflit géo-futuro-politique, Dan, notre héros clone du commandant Sheppard, va devoir mener ses troupes à la victoire afin de rétablir un semblant de paix dans le monde, et plus précisément au Japon où se dérouleront les missions du jeu. Pour ce que nous avons pu en voir, le titre s'appuiera sur des bases ultra classiques pour l'essentiel.
Le futur semble bien sombre. Le Japon et les Etats-Unis se disputent en effet depuis des années sur la question de la réglementation robotique et il semble que le premier continent ait quelque peu dépassé les limites imposées par les traités internationaux. Les Etats-Unis n'ont alors d'autre choix que d'envoyer un commando sur le sol nippon afin de vérifier ce qui se trame véritablement et, dans le cas d'un abus, stopper net toute dérive technologique. Le niveau jouable présenté à l'E3 débutait donc par le choix des membres de l'équipe de Dan Marshall, personnage central incarné par le joueur. Parmi les candidats au poste se trouvaient Big Bo, un américain adepte des armes lourdes, Faye, une chinoise maniant le fusil de snipe, Charlie, un britannique spécialisé dans la tactique ou bien encore sa compatriote Rachael. Du coup, avant de jeter notre dévolu sur deux membres, il s'avérait judicieux d'aller z'yeuter leur fiche de personnage afin de voir leurs caractéristiques d'armes. En effet, en fonction des missions et de notre style de jeu, la précision, les dommages ou bien encore la taille du magasin se révélaient être des données importantes.
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