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Nous avons réuni 19 tests du Batman : Arkham Asylum. Les experts notent Batman : Arkham Asylum 8.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Batman : Arkham Asylum et d'autres Jeux Xbox 360.
Moins lisse qu’un Superman, plus complexe qu’un Spiderman, à la fois sombre et torturé, Batman s’impose sans conteste comme le plus intéressant des super héros issus de comics américains. D’une part parce qu’il s’est attiré les faveurs de dessinateurs plus que talentueux (Neal Adams, Frank Miller…), mais surtout parce qu’il a toujours été traité comme un monstre à part entière au moins aussi tordu que les super vilains qu’il est sensé combattre. Et bien entendu comme tout ce qui est populaire aux Etats Unis, Batman a rapidement bénéficié d’une explosion de produits dérivés en série, films, séries animée, jouets et, bien entendu, jeux vidéo. La qualité n’a pourtant jamais été particulièrement au rendez vous, la faute à des adaptations de films faites à la va-vite pour coller de près à la date de sortie. Avec l’immense succès de The Dark Knight tant auprès des spectateurs que de la critique, il était étonnant de ne pas avoir vu un jeu de plus tenter de surfer sur la vague du chevalier noir et c’est donc Eidos par l’intermédiaire de Rocksteady qui tente sa chance avec ce Batman Arkham Asylum.
Nous le savons tous, les jeux à licence ont la terrible réputation de devenir des titres plus que moyens, voire justes sympathiques quand la chance sourit. Mais en 2009, cette habitude n'est plus régulière, puisqu'après le bon X-Men Origins : Wolverine, voici que le très attendu Batman : Arkham Asylum nous arrive enfin en cette fin d'été. Tous ceux ayant joué à la démo le savent, le Chevalier Noir est en passe de réaliser un joli tour de force, mais est-ce vraiment la réalité ou juste une illusion ? Vous allez bientôt le savoir, mais avant cela prenons le temps de rentrer petit à petit dans l'asile d'Arkham, situé sur une île où il ne fait pas bon résider, sous peine de devenir fou. Mesdames et mes dingues, que le spectacle commence avec le Joker comme narrateur, cloitré dans sa cellule et beaucoup moins détraqué que d'habitude. Bienvenue dans l'asile d'Arkham, lieu où toutes les folies sont permises, endroit où les réactions les plus inattendues surviennent fréquemment et île sur laquelle les plus dangereux criminels sont enfermés par la faute de notre justicier favori, j'ai nommé Batman. Autant vous le dire de suite, j'avais préféré me faire attraper facilement afin de rejoindre en toute tranquillité cet établissement de fou, le tout pour organiser une fête en l'honneur de l'homme chauve-souris.
Depuis son annonce, depuis qu'Eidos nous diffuse des vidéos et surtout depuis sa démo, Batman Arkham Asylum a suscité un réel enthousiasme auprès des joueurs. A tel point que le titre, orchestré par les développeurs de Rocksteady, est devenu un des titres les plus attendus de cette rentrée. Très prometteur sur le papier, il ne restait plus au titre qu'à convaincre sur la longueur, qu'à séduire sur la durée, tant en terme de contenu que de rythme. Très rapidement, le titre tient toutes ses promesses, mieux encore, nous emporte avec lui. Difficile de lâcher la manette, d'interrompre une partie. Jouer à Batman est un vrai plaisir, fan ou non que l'on soit de cette licence. Rocksteady nous offre ici un très bon jeu vidéo, respectueux en plus de l'univers dont il s'inspire. Les amateurs de jeux vidéo sont comblés, les fans de Batman flattés. Et à partir de là, il n'y a plus qu'à se laisser guider par les turpitudes du scénario et des mises en situation. On aurait pu craindre que l'adaptation d'un Batman en jeu vidéo ne soit pas à la hauteur. Les héros maltraités à des fins commerciales ne sont pas une denrée rare. Mais l'atout majeur de ce titre est avant tout qu'il ne s'inspire pas d'un film hollywoodien fraîchement sorti sur grand écran.
Véritable porte-parole, pour ne pas dire icône, de la DC Comics, Batman a retrouvé toutes ses lettres de noblesse au cinéma grâce aux talents de Christopher Nolan, qui lui a indubitablement redonné une seconde vie sur péloche grâce aux épisodes Batman Begins et surtout The Dark Knight. En revanche, si le Chevalier Noir a toujours su se montrer plus ou moins à la hauteur en jeux vidéo, il n’est jamais parvenu à se hisser au Panthéon des titres les plus prestigieux de ce média. Avec Arkham Asylum, Rocksteady Studios répare cet affront et cristallise par la même occasion un vieux rêve de gosse : celui d’enfiler la cape de Batman dans un jeu de haute volée. Bénéficiant d’une totale liberté dans le développement de Batman : Arkham Asylum, le studio Rocksteady s’est payé le luxe d’une histoire inédite à raconter. Et pour aider les développeurs à mettre en œuvre leur projet, Paul Dini, l’un des principaux scénaristes de la série animée (celle diffusée dans les années 90), a accepté de reprendre sa plume pour leur écrire un scénario béton. Celui-ci démarre d’ailleurs par l’arrestation musclée du Joker par un Batman boosté à l’EPO.
Les vacances de l’homme chauve-souris n’auront pas duré bien longtemps. Batman est aujourd’hui de retour sur nos écrans, tout juste un an après la sortie de The Dark Knight au cinéma et de LEGO Batman sur consoles. Aucune histoire de briques cette fois, ni même d’adaptation du film de Christopher Nolan, puisque c’est une aventure inédite que nous livrent Rocksteady Studios et Eidos Interactive. Et pour cause, avec Paul Dini aux commandes, ce Batman : Arkham Asylum puise majoritairement son inspiration dans les comics. Un retour aux sources judicieux pour séduire les fans de la première heure. Mais au petit jeu de la séduction, il se pourrait bien que l’asile d’Arkham ait plus d’un tour dans son sac… Tout débute lorsque le Chevalier Noir ramène son ennemi de toujours, le Joker, à Arkham, l’île qui sert de prison aux plus redoutables criminels de Gotham City. Mais rien ne se passe comme prévu et le Joker s’échappe puis prend le contrôle de l’île grâce à ses hommes de main. Le Joker n’est pas seul dans sa vendetta et d’autres habitués de l’asile, de Harley Quinn à Bane, vont se faire un plaisir de barrer le chemin de notre justicier masqué.
Super héros sans super pouvoirs, Batman est également toujours sans super jeu vidéo, malgré bon nombre de tentatives. Mais comme l'homme chauve-souris l'a si bien dit au Pingouin dans son second film : "la roue tourne". Et, en effet, il se pourrait bien que l'on tienne enfin un jeu vidéo dédié à Batman qui soit digne de sa muse. Arkham Asylum nous ouvre ainsi grand ses portes avec pour hôte inattendu un Joker remonté à bloc et décidé à en faire voir de toutes les couleurs à notre héros avant de l'écraser comme un vulgaire insecte. A toi d'enfiler le costume de Batman, si t'es cape ! C'était trop beau pour être vrai. Le Joker solidement menotté qui se laisse aussi docilement entraîner dans la prison psychiatrique de l'île d'Arkham... même Batman a quelques doutes sur cette capture trop aisée pour être honnête. Il décide donc d'escorter personnellement son éternelle Némésis jusqu'à ce qu'il espère être sa dernière demeure. Mais cette précaution exceptionnelle ne suffira pas. Aidé par sa sexy complice, Harley Quinn, le Joker réussit à s'extirper de ses liens et à déjouer la sécurité, non pour s'échapper, mais pour prendre le contrôle des lieux et mettre en route un plan mûrement réfléchi et terriblement machiavélique.
Dans le fabuleux monde des bandes-dessinées et des comics, il existe un héros surnommé le Chevalier Noir. Dans la masse de jeux vidéo qui sortent chaque année, il n’y a que quelques titres qui peuvent se targuer d’avoir marqué l’esprit des joueurs. Mélangez les deux genres et je vous mets au défi de me citer ne serait-ce qu’un titre sur console Next-Gen tiré de l’univers BD qui a su percer dans la masse de l’océan vidéoludique. Au final et dans quelques temps, on retiendra que Batman : Arkham Asylum est le point de rencontre parfait entre ces deux univers. Test complet de ce qui s’annonce être un blockbuster avant l’heure. Dans le principe, Batman Arkham Asylum est un jeu d’action à la troisième personne. Il met en scène, vous l’aurez deviné, Batman, le Joker ainsi qu’une multitude de ses petits copains et copines venus tout droit de la BD pour nous faire vivre à nous autres fans ou simples gamers un nouvel épisode de leurs aventures. L’intrigue se lance alors que Batman tient entre ses mains son ennemi juré pour le ramener vers l’Asile d’Arkham, dépotoir de tous les criminels de Gotham City.
Alors que les adaptations de Comics en Jeux Vidéo sont loin d'être toutes des hits, Batman portait aussi avec lui un passé assez mitigé. Toutefois les premières heures passées en compagnie de Arkham Asylum présagent un titre complet et assez bien peaufiné. Votre aventure commence par une capture assez simple du Joker, trop simple. Vous l'emmenez en prison et votre galère débute, tout n'était qu'un vaste piège comploté depuis belle lurette afin de vous rendre la vie impossible. L'introduction vous introduit à l'état d'esprit du jeu : sombre, soigné et immersif. Une bonne dizaine de minutes sont consacrées au Joker que vous amenez, attaché à son brancard sécurisé, au plus profond de la prison. C'est à ce moment que vous pouvez commencer à profiter des textures très soignées. Les mimiques des personnages collent très bien aux voix et on se sent bien intégré au jeu. C'est une fois le Joker libéré et enfuit que votre aventure peut commencer. Comme tout bon jeu un petit tutorial vous explique les mouvements de bases. Les combats utilisent peu de boutons mais révèlent, à haut niveau, quelques degrés de subtilités non négligeables.
Tout était désormais terminé. Le Joker venait d'être arrêté et s'apprêtait à être livré à l'asile d'Arkham. Solidement entravé, le bouffon ne pouvait que lancer railleries à l'attention de ses geôliers et de son bourreau masqué : Batman. Comme à son habitude, le fou semblait d'humeur badine en se gaussant de sa situation mais cette fois ses moqueries cachaient bien plus que de la désinvolture... Gotham allait payer et avec elle tous ses habitants ainsi que son taciturne protecteur. L'heure de la revanche venait de sonner. En choisissant sciemment l'intérieur de l'asile d'Arkham comme décor pour son titre, Rocksteady installait d'entrée de jeu le joueur dans un des lieux les plus emblématiques de la série. Idée astucieuse permettant de nous confronter à quelques-uns des Nemesis du Dark Knight tout en limitant la progression à une zone donnée. En nous jetant dans les bras du Joker, les développeurs allaient encore plus loin en nous mettant directement aux prises avec l'homologue névrosé de Batman, son Yang, son ennemi de toujours à même de le faire chanceler. Ainsi, avec des fondations aussi solides, le studio pouvait donner libre cours à son imagination afin d'offrir à Batman une oeuvre à même de le propulser sur le devant de la scène.
Le joker évadé dans un asile rempli de fous armés jusqu'aux dents, les pires ennemis de Batman libérés pour l'occasion, et la chauve souris qui pourra explorer pour la première fois dans un jeu vidéo l'asile d'Arkham de fond en comble : voilà ce que proposera Batman : Arkham Asylum. Alors, le jeu s'apparente-t-il à une adaptation de licence baclée ou comme une perle rare, à l'instar de ce qu'avait montré The Chronicle of Riddick : Escape From Butcher Bay sur XBox première du nom ? La première chose que l'on remarque lorsqu'on touche à ce Batman, c'est la beauté du jeu. L'Unreal Engine est ici parfaitement maitrisé et le soft nous en met plein les mirettes à chaque fois, que cela soit par les effets de lumières, les décors ou tout simplement les personnages. Mention spéciale aussi à la visée détective qui permet à Batsy de voir la vie en bleu (et non en rose), mais surtout à travers certains murs ainsi que de savoir qui sont les adversaires à éliminer en premiers. Après le visuel, la bande-son, magnifique en tout point : les musiques sont grandioses tandis que la plupart des doubleurs proviennent du dessin animé des années quatre-vingt-dix (excepté pour le Batman de la version française).
D’une manière ou d’une autre, tout le monde connait Batman. Comics, dessins-animés, bandes dessinés et autres goodies en tout genre ont su faire de l’homme chauve-souris un des super héros les plus connus. Le film au top du box office, Batman : The Dark Knight, faisait d’ailleurs un tabac pas plus tard que l’année dernière. Rocksteady Studios ont donc eu la charmante idée d’adapter un prologue du fameux long-métrage sous forme de jeu vidéo : Arkham Asylum. Alors, énième navet issu d’une adaptation foireuse ou chef d’œuvre vidéoludique ? Au volant de la myhtique Batmobile, le justicier de la nuit arrive sur l’ile d’Arkham avec une cargaison de premier choix : le Joker. Véritable forteresse abritant les pires détraqués mentaux de Gotham City, l’asile d’Arkham prévoit d’ores et déjà de longues phases d’exploration. Et notre ami le Joker compte bien nous faire un petit tour du propriétaire, se libérant dès son arrivée au pénitencier et relâchant les centaines d’assassins dérangés sur l’ile toute entière. Un piège bien ficelé dans lequel Batman tombera sans broncher, pour le plaisir de traquer une nouvelle fois son ennemi de toujours dans des circonstances délicates.
GamePro.fr
Ajouté le : 08/2009
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Rocksteady nous inflige la claque que l'on ne s'attendait pas à prendre... Batman : Arkham Asylum s'impose comme le jeu de la rentrée ! Il y a des titres comme ça, auxquels on a du mal à croire même si tout se présente sous les meilleurs auspices lors de leur préparation. C'est clairement le cas de Batman : Arkham Asylum, dont nous suivions les avancées, mais d'assez loin. Pourtant, il y avait tout – sur le papier – pour s'enflammer. Le film de Christopher Nolan qui explose le box-office. L'excellente idée de se baser sur le comic-book et le dessin animé. La participation du très grand Paul Dini à l'écriture et à l'artistique. L'Unreal Engine pour propulser le tout. Mais un studio inconnu aux manettes : Rocksteady qui, pour seule ligne sur son CV disposait d'un Urban Choas loin d'être glorieux remontant à 2006. Résultat, on s'attendait, au pire, à un jeu plein de bonnes idées mal exploitées, et au mieux à un jeu d'action fidèle mais répétitif. Le problème avec les a priori et les conclusions hâtives, c'est que l'on peut se tromper... Fort heureusement ! Car dans le cas de Batman : Arkham Asylum, nous aurions pu passer à côté de l'un de nos plus grands frissons ressentis depuis longtemps.
Batman n'avait jamais été aussi proche de ses ennemis. Piégé sur une île d'Arkham toute entière à la merci du Joker, le Chevalier Noir va faire des pieds et des poings (et des batarangs !) pour mettre fin à cette farce sanglante. Et rien ne saurait entraver son inexorable progression, pas même ses ennemis les plus mortels. Car dans Batman Arkham Asylum, la Chauve-Souris évolue dans ce jeu oppressant et intimiste, comme s'il était sur son propre territoire. Ce qui n'est peut-être pas tout à fait faux. Les premiers instants du séjour de Batman dans l'asile d'Arkham sont virils et violents. Les rixes éclatent et les coups pleuvent. Le Chevalier Noir se livre avec une étonnante facilité à ce qu'il sait faire de mieux : corriger les malfrats. Le système de combat est simplissime mais pourtant impressionnant. Tout y est question de timing. Parer des coups, enchainer les attaques sur différents ennemis, et déclencher les "take down" scriptés au bon moment, toutes ces actions se lancent avec seulement deux boutons. Mais récompensent les joueurs de mouvements létaux d'une puissance jouissive : éliminations immédiates, KO d'une rare violence, prises totalement maitrisées...
Lors d'une des premières bat news sur ce jeu, nous vous avions bat dit que… Non, j'arrête ça immédiatement, ça va être lourdingue et ça ne rendra pas hommage à ce titre absolument extraordinaire. En général, les adaptations en jeu vidéo des héros de BD ne sont pas géniales, pour des raisons que l'on comprend très vite. Elles se basent sur des sorties de film donc les délais pour faire un bon titre et les budgets alloués au développement ne sont pas suffisants. Ce n'est pas du tout le cas ici où le projet a été murement réfléchi et peaufiné. Le gameplay rend en effet hommage au héros de DC Comics, tout comme la technique. Le postulat de base est déjà assez formidable en soit. Tout commence par l'arrestation du Joker par Batman. Classique. L'homme chauve-souris est cependant inquiet; il trouve que cette crapule de Joker s'est rendue un peu trop facilement. Par acquis de conscience, il décide donc d'escorter son prisonnier le plus loin possible dans sa prochaine demeure, l'asile d'Arkham. Et effectivement, les choses ne tardent pas à partir en vrille; en fait, le Joker a tout prévu. Tout ce ci n'est qu'un piège : le Joker a décidé de se faire une armée avec tous les patients de l'asile.
Si Batman n'a jamais eu l'adaptation vidéoludique qu'il mérite, Arkham Asylum est en passe de changer cette triste constatation. S'étant, dès le départ, offert les services du grand Paul Dini, un gage de qualité aux yeux des fans de la série animée The Batman Adventures, Rocksteady semblait vouloir mettre toutes les chances de son côté pour cette nouvelle itération du justicier masqué sur nos machines. Et le moins qu'on puisse dire après quelques heures en compagnie de Bruce Wayne, c'est que le pari semble réussi. Né de l'imagination fertile de Bob Kane et Bill Finger, Batman aura connu une fulgurante carrière en passant entre les mains d'innombrables artistes. Si très vite le Dark Knight a su s'évader de sa prison de papier pour renaître sous les traits de l'acteur Adam West, c'est également via l'animation qu'il a connu ses heures de gloire. Chapeauté par le talentueux Bruce Timm, The Batman Adventures aura ainsi marqué une étape décisive dans la relation que Batman entretenait alors avec la télévision américaine. Et ceci n'est pas près de s'arrêter puisqu'après Batman Beyond, The Batman ou le récent Batman : The Brave & The Bold, l'homme chauve-souris semble plus que jamais avoir la cote.
Première adaptation sur consoles nouvelle génération de l’univers de Batman (sans compter LEGO Batman), Batman : Arkham Asylum risquerait bien de séduire les fans du super-héros au look chauve-souris. Un héros au charisme prenant, une réalisation de haut vol et surtout une histoire fidèle à celle de la BD. Batman AA : le premier titre de qualité avant la vague habituelle des gros jeux de la fin d’année ? Que les fans de l’un des héros masqués les plus célèbres de tous les temps se préparent, car après deux adaptations des plus réussies au cinéma ce dernier va déferler dans nos salons et va investir nos consoles de jeu. Rares sont les jeux inspirés de personnages et de productions existants qui nous ont laissé bonne impression, et il va s’en dire que nos aprioris sont ici totalement infondés ! L’aventure débute alors que Batman est en route pour l’asile d’Arkham en compagnie de son ennemi juré, le Joker. Pensant l’avoir vaincu en le mettant en détention dans cet immense et sinistre asile, notre héros découvre bien vite que ce n’était en réalité qu’une mise en scène pour permettre au Joker de s’infiltrer dans la place et de retourner la situation en sa faveur.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
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En cette vilaine période de disette, tous les yeux affamés se tournent naturellement vers la fin août qui devrait marquer le point de départ d'une déferlante de titres prometteurs et déjà très attendus. Ainsi, le 28 août prochain, Batman : Arkham Asylum sortira enfin de l'ombre pour fondre sur nos consoles et PC, et commencer les festivités. Autant dire que l'on n'a pas boudé notre plaisir en découvrant une version bêta jouable qui donne un bon avant-goût de ce qui nous attend dans un tout petit mois. Comme le nom du jeu l'indique à la perfection, c'est l'effrayant asile d'Arkham qui sert ici de décor aux aventures de l'homme chauve-souris. Alors qu'il est bien fier d'y enfermer pour la énième fois son ennemi juré, le Joker, Batman ne fait qu'offrir au dément une occasion en or d'exécuter son plan machiavélique. Car non seulement le bougre va réussir à s'extirper de sa camisole, mais en plus, il va prendre le contrôle des lieux et libérer tous les psychopathes qui s'y entassent depuis des années. Autant dire que notre super-héros va avoir du pain sur la planche pour rendre à l'asile son calme... relatif.
Dernièrement bien revenu sur le devant de la scène cinématographique, avec les deux films de Christopher Nolan, Batman a également décidé de faire son arrivée sur les consoles next-gen et sur PC. Développé par Rocksteady (studio londonien, auteur de Urban Chaos) et édité par Eidos Interactive, Batman : Arkham Asylum devrait être disponible dans le courant de l'été 2009. En attendant sa sortie, nous avons d'ores et déjà eu le loisir de rentrer en contact avec le ténébreux justicier au cours d'une présentation chez son éditeur. Voici nos premières impressions... Comme son nom l'indique, Batman : Arkham Asylum nous proposera de découvrir les tréfonds du célèbre institut psychiatrique, bien connu des amateurs de la série, dans lequel sont internés la plupart des ennemis de l'homme chauve-souris. Les plus grands fans se souviennent sans doute même du roman graphique (graphic novel) nommé « Arkham Asylum : A Serious House on Serious Earth » écrit par Grant Morrison et illustré par Dave McKean.
Gamekult
Ajouté le : 01/2009
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Si Batman a indéniablement eu droit à son heure de gloire l'an dernier grâce à une adaptation cinématographique d'anthologie, on ne peut pas dire que l'homme chauve-souris ait trop brillé ces dernières années dans le monde du jeu vidéo. Pour remédier à ce problème, Eidos Interactive est allé dénicher les développeurs de Rocksteady Studios - à qui l'on doit notamment Urban Chaos - afin de redonner ses lettres de noblesse à l'ange gardien de Gotham City dans Batman : Arkham Asylum. Libre de toute contrainte scénaristique puisqu'il ne suit ni le film de Christopher Nolan ni le magnifique graphic novel Arkham Asylum de Grant Morrisson, ce titre attendu sur PC, Xbox 360 et PlayStation 3 a d'ailleurs tenu à nous prouver sa valeur lors d'une première présentation relativement prometteuse. Malgré son détachement total d'un quelconque média précédent, le point de départ de Batman : Arkham Asylum rappelle beaucoup celui du comics, et pourrait très facilement se placer après la fin de The Dark Knight puisque l'on y suit le justicier de Gotham alors qu'il escorte le Joker jusqu'aux cellules douillettes de l'asile d'Arkham.
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