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Nous avons réuni 18 tests du Batman : Arkham Asylum. Les experts notent Batman : Arkham Asylum 8.9/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Batman : Arkham Asylum et d'autres Jeux Playstation 3.
J’ai toujours trouvé que Batman était le super-héros le plus charismatique. Peut-être justement parce qu’il n’a pas de super-pouvoirs, mais qu’à côté de ça, il est souvent plus équipé qu’un geek. Allez savoir. Quoi qu’il en soit, l’homme chauve-souris n’avait pas encore eu l’occasion de dévoiler tout son potentiel sur consoles. C’est désormais chose faite… Batman, on ne la lui fait pas. Coffrer le Joker aussi facilement, c’est louche. Qu’il se laisse embarquer à l’asile sans (trop) se rebeller, c’est encore plus louche. Forcément, le super-vilain a tendu un piège à la chauve-souris. Evident. L’histoire prend donc place au sein de l’asile d’Arkham, temporairement contrôlé par un Joker déchainé, toujours aussi réactif lorsque qu’il s’agit de balancer des répliques bien senties, et plus généralement pour élaborer des plans sensés mettre un terme à la carrière de “Batou”, comme il aime à appeler le justicier masqué. Bref, inutile de tout vous spoiler, sachez simplement que la trame scénaristique est très soutenue, souvent prompte aux rebondissements et relevée par des dialogues simplement succulents (un peu moins en V.F, mais bon…).
Créé il y a 70 ans le personnage de Batman a eu droit à de très nombreuses adaptations cinématographiques ou vidéoludiques. Cette fois-ci c'est un jeune studio anglais qui nous offre les nouvelles aventures de l'homme chauve-souris. Après Urban Chaos : Violence Urbaine, Rocksteady compte bien recréer la surprise en nous plongeant dans l'univers sombre de Batman. Surfant sur le nouveau départ de la série au cinéma, les développeurs souhaitent en faire de même pour le domaine du jeu vidéo. Batman Arkham Asylum n'est pas une adaptation d'un film ou d'un comic en particulier, Rocksteady nous offre ici une aventure inédite dans l'univers si riche que propose la saga Batman. Le jeu commence avec la capture du Joker par Batman. Mais voilà qu'à peine débarqués dans l'asile d'Arkham le Joker tend un piège à l'homme chauve-souris. C'est ainsi que tous les prisonniers sont libérés, et que l'asile est coupé du monde sur ordre du Joker. Ce dernier menace également de faire sauter diverses bombes dans Gotham si n'importe quiconque essaye de venir à Arkham. Batman se retrouve donc piégé sur cette île peu hospitalière et devra déjouer les plans du Joker tout en sauvant le personnel hospitalier et les hommes de la sécurité, eux aussi pris au piège.
Accompagnez Batman dans une aventure gothique et flamboyante ! Un jeu d'action-aventure incroyablement prenant. Surgi de nulle part, ou presque – le studio anglais Rocksteady n’avait auparavant réalisé qu’un seul jeu, le confidentiel Urban Chaos, il y a trois ans –, Batman : Arkham Asylum est une véritable surprise. Une bonne, une vraie : une rareté dans un monde vidéoludique où les suites se succèdent et où les plannings sont tous sauf respectés… Faisons fi de ses deux petits mois de retard et acclamons l’arrivée de ce « Batman » presque ponctuel, qui ne lésine pas sur la dépense pour se faire remarquer. Un paradoxe pour un héros très discret sans autre pouvoir qu’un super-compte en banque et des gadgets qui font tourner la tête des geeks technophiles depuis des décennies. Batman : Arkham Asylum a le bon goût de se démarquer des films pour se recentrer sur son univers d’origine, celui des comics. Riche de 70 ans d’histoire, le monde de « Batman » est l’un des plus denses qui soient, regorgeant de personnages et de lieux mythiques, dont le fameux asile d’Arkham, une maison d’arrêt hébergeant les criminels les plus psychotiques de la ville de Gotham.
Nous le savons tous, les jeux à licence ont la terrible réputation de devenir des titres plus que moyens, voire justes sympathiques quand la chance sourit. Mais en 2009, cette habitude n'est plus régulière, puisqu'après le bon X-Men Origins : Wolverine, voici que le très attendu Batman : Arkham Asylum nous arrive enfin en cette fin d'été. Tous ceux ayant joué à la démo le savent, le Chevalier Noir est en passe de réaliser un joli tour de force, mais est-ce vraiment la réalité ou juste une illusion ? Vous allez bientôt le savoir, mais avant cela prenons le temps de rentrer petit à petit dans l'asile d'Arkham, situé sur une île où il ne fait pas bon résider, sous peine de devenir fou. Mesdames et mes dingues, que le spectacle commence avec le Joker comme narrateur, cloitré dans sa cellule et beaucoup moins détraqué que d'habitude. Bienvenue dans l'asile d'Arkham, lieu où toutes les folies sont permises, endroit où les réactions les plus inattendues surviennent fréquemment et île sur laquelle les plus dangereux criminels sont enfermés par la faute de notre justicier favori, j'ai nommé Batman. Autant vous le dire de suite, j'avais préféré me faire attraper facilement afin de rejoindre en toute tranquillité cet établissement de fou, le tout pour organiser une fête en l'honneur de l'homme chauve-souris.
PlayLipse
Ajouté le : 09/2009
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En 2008, lors de la sortie sur grand écran du dernier film de Christopher Nolan issu de la célèbre licence Batman, à savoir The Dark Knight (Le Chevalier Noir pour les francophones), Eidos a annoncé qu’un jeu vidéo avec l’homme chauve-souris, destiné aux consoles de nouvelle génération, était en cours de développement. Concocté par l’équipe de Rocksteady Studios, celui-ci était envisagé comme un jeu à part, sans rapport avec la version des salles obscures, puisant ses bases dans les comics. Mais, en plus de ces derniers, la licence a déjà fait l’objet de nombreux jeux vidéo à travers les âges et les machines, de BD, de dessins animés, de films et de tout un tas de produits dérivés. Or, vu le niveau actuel (même si celui-ci tend à remonter quelque peu ces derniers temps) des adaptations de licences en jeux vidéo, il y avait de quoi rester sceptique quant à la qualité finale du titre. Reste donc à voir si ce Batman : Arkham Asylum est bien le fruit d’un désir d’offrir un jeu digne de ce nom… La Batmobile file à toute allure, prend les virages serrés et entre dans le très célèbre asile d’Arkham pour y enfermer un patient de choix : le Joker.
Les vacances de l’homme chauve-souris n’auront pas duré bien longtemps. Batman est aujourd’hui de retour sur nos écrans, tout juste un an après la sortie de The Dark Knight au cinéma et de LEGO Batman sur consoles. Aucune histoire de briques cette fois, ni même d’adaptation du film de Christopher Nolan, puisque c’est une aventure inédite que nous livrent Rocksteady Studios et Eidos Interactive. Et pour cause, avec Paul Dini aux commandes, ce Batman : Arkham Asylum puise majoritairement son inspiration dans les comics. Un retour aux sources judicieux pour séduire les fans de la première heure. Mais au petit jeu de la séduction, il se pourrait bien que l’asile d’Arkham ait plus d’un tour dans son sac… Tout débute lorsque le Chevalier Noir ramène son ennemi de toujours, le Joker, à Arkham, l’île qui sert de prison aux plus redoutables criminels de Gotham City. Mais rien ne se passe comme prévu et le Joker s’échappe puis prend le contrôle de l’île grâce à ses hommes de main. Le Joker n’est pas seul dans sa vendetta et d’autres habitués de l’asile, de Harley Quinn à Bane, vont se faire un plaisir de barrer le chemin de notre justicier masqué.
Super héros sans super pouvoirs, Batman est également toujours sans super jeu vidéo, malgré bon nombre de tentatives. Mais comme l'homme chauve-souris l'a si bien dit au Pingouin dans son second film : "la roue tourne". Et, en effet, il se pourrait bien que l'on tienne enfin un jeu vidéo dédié à Batman qui soit digne de sa muse. Arkham Asylum nous ouvre ainsi grand ses portes avec pour hôte inattendu un Joker remonté à bloc et décidé à en faire voir de toutes les couleurs à notre héros avant de l'écraser comme un vulgaire insecte. A toi d'enfiler le costume de Batman, si t'es cape ! Cliquez sur l'image pour l'agrandir C'était trop beau pour être vrai. Le Joker solidement menotté qui se laisse aussi docilement entraîner dans la prison psychiatrique de l'île d'Arkham... même Batman a quelques doutes sur cette capture trop aisée pour être honnête. Il décide donc d'escorter personnellement son éternelle Némésis jusqu'à ce qu'il espère être sa dernière demeure. Mais cette précaution exceptionnelle ne suffira pas. Aidé par sa sexy complice, Harley Quinn, le Joker réussit à s'extirper de ses liens et à déjouer la sécurité, non pour s'échapper, mais pour prendre le contrôle des lieux et mettre en route un plan mûrement réfléchi et terriblement machiavélique.
Batman, un héros parmi les superhéros. Un univers extrêmement sombre, des ennemis aussi dérangés que malins, des accessoires digne d'un agent secret de sa majesté et un homme tourmenté par son passé qui livre sa propre vision de la justice. Batman a toujours su attirer les foules depuis ses débuts dans DC Comics jusqu'au dernier film en date, il n'est donc pas étonnant de voir des produits dérivés en tout genre. Au cinéma bien sur, avec plus ou moins de succès et dans le monde vidéoludique, là aussi où certaines adaptations sont à marquer d'une pierre blanche alors que d'autres sont à oublier de suite. 2009. L'éditeur Eidos et les développeurs de Rocksteady tentent leur chance avec Batman : Arkham Asylum, une aventure inédite de l'homme chauve-souris écrite par Paul Dini, auteur de plusieurs épisodes de l'animé. Le scénario arrive habilement à mettre en scène tous les protagonistes principaux de la franchise, aussi bien alliés comme ennemis, et distille une atmosphère que seul un Batman pouvait nous offrir. Tout commence par l'énième arrestation du fourbe Joker par notre justicier masqué qui tout naturellement l'emmène à l'asile d'Arkham, haut lieu de Gotham City où les pires criminels sont enfermés.
Tout était désormais terminé. Le Joker venait d'être arrêté et s'apprêtait à être livré à l'asile d'Arkham. Solidement entravé, le bouffon ne pouvait que lancer railleries à l'attention de ses geôliers et de son bourreau masqué : Batman. Comme à son habitude, le fou semblait d'humeur badine en se gaussant de sa situation mais cette fois ses moqueries cachaient bien plus que de la désinvolture... Gotham allait payer et avec elle tous ses habitants ainsi que son taciturne protecteur. L'heure de la revanche venait de sonner. En choisissant sciemment l'intérieur de l'asile d'Arkham comme décor pour son titre, Rocksteady installait d'entrée de jeu le joueur dans un des lieux les plus emblématiques de la série. Idée astucieuse permettant de nous confronter à quelques-uns des Nemesis du Dark Knight tout en limitant la progression à une zone donnée. En nous jetant dans les bras du Joker, les développeurs allaient encore plus loin en nous mettant directement aux prises avec l'homologue névrosé de Batman, son Yang, son ennemi de toujours à même de le faire chanceler. Ainsi, avec des fondations aussi solides, le studio pouvait donner libre cours à son imagination afin d'offrir à Batman une oeuvre à même de le propulser sur le devant de la scène.
Le joker évadé dans un asile rempli de fous armés jusqu'aux dents, les pires ennemis de Batman libérés pour l'occasion, et la chauve souris qui pourra explorer pour la première fois dans un jeu vidéo l'asile d'Arkham de fond en comble : voilà ce que proposera Batman : Arkham Asylum. Alors, le jeu s'apparente-t-il à une adaptation de licence baclée ou comme une perle rare, à l'instar de ce qu'avait montré The Chronicle of Riddick : Escape From Butcher Bay sur XBox première du nom ? La première chose que l'on remarque lorsqu'on touche à ce Batman, c'est la beauté du jeu. L'Unreal Engine est ici parfaitement maitrisé et le soft nous en met plein les mirettes à chaque fois, que cela soit par les effets de lumières, les décors ou tout simplement les personnages. Mention spéciale aussi à la visée détective qui permet à Batsy de voir la vie en bleu (et non en rose), mais surtout à travers certains murs ainsi que de savoir qui sont les adversaires à éliminer en premiers. Après le visuel, la bande-son, magnifique en tout point : les musiques sont grandioses tandis que la plupart des doubleurs proviennent du dessin animé des années quatre-vingt-dix (excepté pour le Batman de la version française).
Batman n'avait jamais été aussi proche de ses ennemis. Piégé sur une île d'Arkham toute entière à la merci du Joker, le Chevalier Noir va faire des pieds et des poings (et des batarangs !) pour mettre fin à cette farce sanglante. Et rien ne saurait entraver son inexorable progression, pas même ses ennemis les plus mortels. Car dans Batman Arkham Asylum, la Chauve-Souris évolue dans ce jeu oppressant et intimiste, comme s'il était sur son propre territoire. Ce qui n'est peut-être pas tout à fait faux. Les premiers instants du séjour de Batman dans l'asile d'Arkham sont virils et violents. Les rixes éclatent et les coups pleuvent. Le Chevalier Noir se livre avec une étonnante facilité à ce qu'il sait faire de mieux : corriger les malfrats. Le système de combat est simplissime mais pourtant impressionnant. Tout y est question de timing. Parer des coups, enchainer les attaques sur différents ennemis, et déclencher les "take down" scriptés au bon moment, toutes ces actions se lancent avec seulement deux boutons. Mais récompensent les joueurs de mouvements létaux d'une puissance jouissive : éliminations immédiates, KO d'une rare violence, prises totalement maitrisées...
Si Batman n'a jamais eu l'adaptation vidéoludique qu'il mérite, Arkham Asylum est en passe de changer cette triste constatation. S'étant, dès le départ, offert les services du grand Paul Dini, un gage de qualité aux yeux des fans de la série animée The Batman Adventures, Rocksteady semblait vouloir mettre toutes les chances de son côté pour cette nouvelle itération du justicier masqué sur nos machines. Et le moins qu'on puisse dire après quelques heures en compagnie de Bruce Wayne, c'est que le pari semble réussi. Né de l'imagination fertile de Bob Kane et Bill Finger, Batman aura connu une fulgurante carrière en passant entre les mains d'innombrables artistes. Si très vite le Dark Knight a su s'évader de sa prison de papier pour renaître sous les traits de l'acteur Adam West, c'est également via l'animation qu'il a connu ses heures de gloire. Chapeauté par le talentueux Bruce Timm, The Batman Adventures aura ainsi marqué une étape décisive dans la relation que Batman entretenait alors avec la télévision américaine. Et ceci n'est pas près de s'arrêter puisqu'après Batman Beyond, The Batman ou le récent Batman : The Brave & The Bold, l'homme chauve-souris semble plus que jamais avoir la cote.
Héros de comics adapté avec succès en dessin animé ou en film, Batman a parfois eu un peu plus de mal à convaincre une fois transposé en jeu vidéo. Mais pour le retour de l’homme chauve-souris sur nos consoles, les développeurs de Rocksteady Studios ont eu l’ingénieuse idée d’imaginer un scénario original dans lequel notre héros doit affronter une bonne partie de ses ennemis de toujours. Ajoutez à cela un gameplay bien pensé et une réalisation solide, et vous tenez là ce qui sera probablement l’un des jeux phares de la rentrée. Il faut bien le reconnaître, nous n’attendions pas forcément Batman Arkham Asylum à ce niveau : certes les vidéos diffusées jusqu’ici laissaient augurer d’un habillage avenant et d’une belle utilisation de la licence, mais les combats paraissaient relativement classiques et le gameplay peut-être un peu monotone. Après environ cinq heures passées sur une version preview du jeu fournie par Eidos, il faut toutefois se rendre à l’évidence : nos aprioris n’avaient pas lieu d’être ! Mais commençons par le commencement : l’aventure débute alors que Batman vient de capturer le Joker pour la énième fois, et qu’il le ramène là où tous les vilains de Gotham City sont sensés être retenus prisonniers, à savoir l’asile d’Arkham.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
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En cette vilaine période de disette, tous les yeux affamés se tournent naturellement vers la fin août qui devrait marquer le point de départ d'une déferlante de titres prometteurs et déjà très attendus. Ainsi, le 28 août prochain, Batman : Arkham Asylum sortira enfin de l'ombre pour fondre sur nos consoles et PC, et commencer les festivités. Autant dire que l'on n'a pas boudé notre plaisir en découvrant une version bêta jouable qui donne un bon avant-goût de ce qui nous attend dans un tout petit mois. Comme le nom du jeu l'indique à la perfection, c'est l'effrayant asile d'Arkham qui sert ici de décor aux aventures de l'homme chauve-souris. Alors qu'il est bien fier d'y enfermer pour la énième fois son ennemi juré, le Joker, Batman ne fait qu'offrir au dément une occasion en or d'exécuter son plan machiavélique. Car non seulement le bougre va réussir à s'extirper de sa camisole, mais en plus, il va prendre le contrôle des lieux et libérer tous les psychopathes qui s'y entassent depuis des années. Autant dire que notre super-héros va avoir du pain sur la planche pour rendre à l'asile son calme... relatif. Et c'est avant tout à la force des poings que le bonhomme compte s'y prendre.
Beaucoup d’attentes sont placées dans ce nouveau Batman qui est annoncé comme le meilleur jeu de la licence depuis… quasi toujours en fait. Arkham Asylum a ainsi bénéficié d’un buzz plutôt inhabituelle pour un titre de ce type, les jeux de super-héros étant généralement casé dans la catégorie « jeux grand public pourris, pas bien pour les gamers » (à quelques exceptions près bien sûr). Un journaliste méfiant aurait ainsi tendance à penser que ce Batman a été probablement « sur-buzzé » par des fans de la chauve-souris surexcités par le fait de tenir enfin un jeu correct mettant en scène leur idole néo-gothique. Et pourtant, après avoir testé une version preview du titre sur PS3 et Xbox 360, pendant deux grosses heures, tranquillement installé chez soi, dans des conditions optimales donc, le constat tombe comme une évidence : oui, ce Batman n’est pas un jeu à licence ordinaire. Comme nous avons déjà effectué deux previews du titre sur Eurogamer.fr, un simple rappel des faits devrait suffire pour ceux qui ne se seraient pas encore intéressés à ce titre. Batman Arkham Asylum est développé par Rocksteady, un jeune studio au palmarès quasi inexistant qui s’est mis en tête de faire honneur au Dark Knight en lui offrant un jeu digne de lui, comme le cinéma a pu le faire ces dernières années avec les adaptations de Christopher Nolan.
GamePro.fr
Ajouté le : 05/2009
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Tout laissait penser que Batman : Arkham Asylum ne serait qu'un vulgaire produit mercantile destiné à surfer sur la vague du chevalier noir et son retour fracassant au cinéma réussi l'été dernier. Pourtant, de nouvelles informations sur le jeu – ainsi qu'un buzz encourageant dans les milieux autorisés – permettent aujourd'hui de flairer la bonne aventure. Parmi les points qui rassurent, il faut savoir que les studios londoniens Rocksteady ont fait appel à Paul Dini, célèbre scénariste responsable de la série animée Batman, pour concevoir l'atmosphère et la trame du jeu. Un titre dans lequel Batman, ou Bruce Wayne pour les intimes, sera attiré par le Joker dans un piège machiavélique l'enfermant dans Arkham, lieu qui n'est autre que l'hôpital psychiatrique hautement dangereux de Gotham City où l'on imagine bien que l'homme chauve-souris n'est pas des plus respectés. Coincé dans cet asile particulièrement sombre et flippant, Batman devra alors affronter le Joker aidé par une brochette de malades mentaux que notre héros a lui-même enfermé dans ces murs.
Après une première présentation parisienne à laquelle Damien a eu le plaisir d'assister, c'est à Londres qu'Eidos nous a convié à découvrir plus en détails son Batman : Arkham Asylum. Malheureusement, nous n'avons pas eu le plaisir d'accompagner le Dark Knight au cours de son investigation dans les murs d'Arkham puisque seul le mode Défis du jeu était à l'honneur. Toutefois, ce fut l'occasion de mettre les pognes sur la manette pour une toute première session de jeu. Si vous souhaitez donc glaner quelques informations au sujet du scénario, de l'ambiance et de la réalisation technique de ce Batman : Arkham Asylum, nous vous invitons à vous reporter sur notre précédente preview. Nous nous contenterons d'aborder ici le gameplay du titre et les particularités de son mode Défis. Si le titre dans sa version finale devrait nous proposer une cinquantaine de ces challenges, nous n'avons été autorisés à n'en essayer qu'une paire sur les seize que proposera le jeu au final, chacun nous invitant à expérimenter une dimension du gameplay.
Gamekult
Ajouté le : 01/2009
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Si Batman a indéniablement eu droit à son heure de gloire l'an dernier grâce à une adaptation cinématographique d'anthologie, on ne peut pas dire que l'homme chauve-souris ait trop brillé ces dernières années dans le monde du jeu vidéo. Pour remédier à ce problème, Eidos Interactive est allé dénicher les développeurs de Rocksteady Studios - à qui l'on doit notamment Urban Chaos - afin de redonner ses lettres de noblesse à l'ange gardien de Gotham City dans Batman : Arkham Asylum. Libre de toute contrainte scénaristique puisqu'il ne suit ni le film de Christopher Nolan ni le magnifique graphic novel Arkham Asylum de Grant Morrisson, ce titre attendu sur PC, Xbox 360 et PlayStation 3 a d'ailleurs tenu à nous prouver sa valeur lors d'une première présentation relativement prometteuse. Malgré son détachement total d'un quelconque média précédent, le point de départ de Batman : Arkham Asylum rappelle beaucoup celui du comics, et pourrait très facilement se placer après la fin de The Dark Knight puisque l'on y suit le justicier de Gotham alors qu'il escorte le Joker jusqu'aux cellules douillettes de l'asile d'Arkham.
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