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Nous avons réuni 16 tests du Avatar. Les experts notent Avatar 5.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Avatar et d'autres Jeux Xbox 360.
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Test Avatar
James Cameron's Avatar
James Cameron est le réalisateur de tous les records. Après Titanic il y a de cela douze ans, le canadien s'attaque à l'un de ses projets les plus ambitieux : Avatar. Avec un budget pharaonique de 400 millions de dollars et près d'un milliard de recettes en quelques semaines, nul doute que son adaptation vidéoludique est au coeur de toutes les attentions. Des attentions proportionnelles aux attentes, parfois bien cruelles concernant ce genre de jeu. Alors forcément à trop en vouloir, la déception pointe le bout de son nez.Avatar le jeu vidéo prend place sur la même planète que son homologue version pellicule, à la différence qu'il ne nous conte pas la même histoire. Faisant office de préquelle (événements antérieurs à ceux du film), le titre nous propulse sur Pandora, planète éloignée du système solaire sur laquelle se trouve en quantité assez importante un précieux minerai. Malheureusement pour les humains, son atmosphère est toxique et sa faune est composée de carnivores pas très loquaces, tenant compagnie aux autochtones du coin : les Na'vis. Cette race d'aliens, en plus d'être entièrement recouverte d'une peau bleue, atteint aisément les trois mètres de haut.
James Cameron's Avatar
Après la déferlante technologique qui a débarqué dans les salles obscures, omettre de se pencher sur la cousine germaine vidéoludique était pour un geek comme croquer à pleines dents dans une dinde pour un végétarien : totalement impensable. Même si les adaptations de films ont souvent une réputation aussi reluisante que le talent d'un Uwe Boll empruntant "justement" le chemin inverse. C'est donc dans un climat de confiance absolue que nous embarquons pour Pandora, prêts à dompter la faune et la flore locale. Parce qu'on le vaut et veut bien. Et pas de lunettes 3D requises pour apprécier ou pas le texte. A moins d'avoir été enfermé dans une émission de télé-réalité, et donc d'oser avouer flirter avec la moyenne du Q.I. de ses participants, ou, pire, d'être resté sur l'impression laissée par le discours de James Cameron lors de la conférence d'Ubisoft à l'E3 , vous n'êtes sans doute pas passé à côté du dernier film du réalisateur, même si ce dernier a tenu à préserver un mystère ambiant autour de la production qu'il bichonne depuis une décennie. Si vous n'avez pas vu le film, n'ayez point peur de parcourir les quelques lignes de ce compte-rendu, aucune révélation majeure ne vous sera faite.
Test James Cameron's Avatar
Si du côté du film, la campagne marketing n'a rien laissé au hasard faisant de Avatar un des longs-métrages les plus attendus de cette année, l'adaptation vidéoludique n'a pas à rougir des moyens employés. Ici, d'entrée de jeu, on sent que le titre n'est pas à considérer comme une énième mauvaise adaptation de plus. Le jeu est multiplateformes mais, surprise, la version Wii diffère complètement des versions 360 et PS3. Il ne nous a pas été donné de tester le titre sur la console de Nintendo et pourtant, ce dernier aurait justifier d'un test à part entière. Sachez simplement que le jeu vous proposera d'incarner un Na'Vi, ces grands hommes bleus, et de jouer avec le Nunchuck et la Wiimote pour arriver à vos fins. La version Wii se montre donc assez traditionnelle comparée aux autres versions des consoles de salon. C'est sans aucun doute sur PS3 ou sur Xbox 360 que vous prendrez le plus de plaisir. Et pour cause, ce n'est pas une seule aventure mais deux, et deux distinctes, qui vous attendent ici. Pas d'inquiétude concernant les informations que nous pourrions vous livrer concernant le film.
Avatar (Xbox 360)
La malédiction de l'adaptation de films en jeux vidéo vient de faire une nouvelle victime. Avatar, c'est censé être le gros événement cinématographique de l'année, qui marquera le retour derrière une caméra de James « Terminator » Cameron. Un long métrage en images de synthèse ambitieux, avec du relief, qui a demandé une décennie de travail au réalisateur. Une adaptation en jeu vidéo était inévitable, et, cocorico ! c'est le français Ubisoft qui a décroché la prestigieuse licence. Arrivé tard à la rédaction, ce qui n'est jamais un très bon signe, le titre d'Ubisoft se présente comme un shooter à la troisième personne. L'histoire ne reprend pas celle du film, préférant commencer deux ans avant pour éviter de gâcher toute surprise scénaristique. Elle nous emmène sur la planète Pandora et relate le conflit opposant les humains aux Na'Vi, la peuplade extraterrestre locale. Avatar se veut dépaysant, avec ses rochers flottants, ses plantes carnivores, sa faune étrange. Nous n'allons pas critiquer ici la cohérence de l'univers imaginé par James Cameron mais plutôt sa représentation en jeu, un peu maladroite. Le monde de Pandora, malgré ce que l'on peut croire au tout début d'une partie, n'est pas ouvert : le design des niveaux privilégie les longs tunnels végétaux, que l'on arpente sans réelle sensation d'évasion.
Test James Cameron's Avatar
Après avoir disparu pendant une bonne dizaine d'années, le truculent James Cameron fait un come-back prestigieux avec l'une des productions cinématographiques les plus ambitieuses de tous les temps accompagnée d'un jeu vidéo développé par Ubisoft Montréal, studio à l'oeuvre sur la série des Assassin's Creed. Si le film promet de bouleverser notre conception du cinéma, qu'en est-il de son adaptation vidéo-ludique ? Réponse dans notre Vidéo-Test. Plutôt que de suivre servilement la trame scénaristique du film, James Cameron's Avatar en propose une approche différente. Le joueur incarne Ryder, spécialiste des signaux à la solde de la RDA (non il ne s'agit pas d'une résurgence de la République Démocratique d'Allemagne) venue coloniser la planète Pandora. Mais cette entreprise expansionniste se heurte à un obstacle de taille : les Navis, population tribale bien décidée à repousser les troupes impérialistes de la RDA. Ryder fait partie du programme Avatar visant à incarner un être humain dans un corps de Navi pour s'en servir d'éclaireur adapté aux spécificités de la planète Pandora, l'air y étant irrespirable pour la race humaine.
Test Avatar
Contrairement au film, le jeu Avatar n’est sans doute pas le titre le plus attendu de cette fin d’année. Malgré tout, étant donné l’immense buzz qui s’agite autour du dernier long-métrage de James Cameron, le titre d’Ubisoft attise forcément la curiosité. Reste à savoir si celle-ci sera récompensée. En société, en ce moment, tout le monde (si, si) retient son souffle avant la sortie dans les salles obscures d’Avatar, de James Cameron (Terminator, Aliens, Titanic). C’est bien simple, on ne parle que de ça et de la révolution attendue à grand coup d’images 3D, réalisées grâce à une caméra spécialement conçue pour l’occasion. Les premiers échos font même mention de quelque chose de jamais vu auparavant, à tel point qu’on se demande si le film parviendra à répondre à toutes nos attentes. Le jeu, lui, ne portait pas tant d’espoirs. Pourtant, du fait de sa parenté avec le long-métrage mais aussi du développement réalisé en étroite collaboration avec le réalisateur d’Abyss, il laissait espérer d’un titre de qualité, bien loin des ternes adaptations de films qui pullulent chaque année. Autant couper court à tout suspense, James Cameron’s Avatar : The Game ne laissera pas un souvenir impérissable. Loin de là.
Avatar
Quelques jours avant la sortie au cinéma d'Avatar, le dernier film de James Cameron, Ubisoft nous livre donc son adaptation en jeu vidéo. L'univers posé par le réalisateur se prêtait à merveille à un tel passage dans nos consoles et PC, mais malheureusement le résultat s'avère à nos yeux bien décevant... Et je m'en vais vous raconter pourquoi.Comme nous vous l'expliquions en détails il y a peu dans nos impressions, Avatar - le jeu ne reprend pas directement le scénario du film, mais propose une "prequel" dans le même univers : Pandora, la planète des Na'vi (ces autochtones bleutés), qui est investie de manière un peu radicale par les forces humaines de la RDA. On incarne ainsi un jeune soldat humain, Ryder, récemment muté pour ses qualités en décryptage. Il partira bien vite en mission et vous découvrirez ainsi les rudiments du gameplay de ce jeu d'action à la troisième personne. En gros, ça fonctionne un peu comme un Lost Planet : vue derrière l'épaule, jouabilité aux deux sticks pour les déplacements et la caméra, arsenal puissant et capacités spéciales attribués aux différentes direction du paddle... Classique et efficace. Mais la véritable originalité du jeu, c'est qu'il propose, au bout d'une heure de jeu à peine, de choisir son camp.
James Cameron's Avatar : The Game
Après Terminator, Titanic ou encore Abyss, le génial réalisateur James Cameron est repassé derrière la caméra pour un nouveau long-métrage nommé Avatar. Alors qu'il s'apprête à sortir dans les salles obscures du monde entier, Ubisoft dégaine le premier avec James Cameron's Avatar : The Game, le jeu officiel tiré du film. La foudre des adaptations ratées a-t-elle encore frappé ? Contrairement à bon nombre d'adaptations de films, le jeu d'Ubisoft a d'entrée la bonne idée de ne pas reprendre la trame scénaristique du long-métrage qu'il porte sur les épaules. Les développeurs se sont en effet attachés à réutiliser tout ce qui fait Avatar, le monde de Pandora avec sa faune et sa flore, mais en y développant une histoire différente. Dès lors, Sigourney Weaver ne se contente que d'une brève apparition en pixel, laissant ensuite libre cours à l'imagination des développeurs et du joueur. Cette dernière est d'ailleurs mise à contribution dès le début lorsqu'il faut faire la sélection parmi une dizaine d'apparences de son alter-ego virtuel qui, quoi qu'il arrive (homme ou femme), s'appellera Ryder. Le choix sera de nouveau à l'ordre quelques minutes plus tard, au moment de choisir entre RDA et Na'vi.
James Cameron's Avatar : The Game
On sait tout l'appétit des Hommes, tout de leur insatiable désir de conquête, tout de leur soif de pouvoir et de leur désir d'asservir leurs semblables au nom de la "civilisation". C'est un fait, l'Histoire humaine s'est écrite avec le sang de peuples oubliés. Avec ceci en tête, on imagine sans peine que l'humanité, devenue maîtresse des étoiles, ne changera pas de nature et poursuivra, comme elle l'a toujours fait, son rôle tragique de gigantesque bulldozer. C'est là tout le propos d'Avatar, le dernier film de James Cameron, et également de son adaptation vidéoludique, confiée aux bons soins d'Ubisoft. Jeu d'action grand public, Avatar met en scène le combat d'une race indigène pour défendre sa culture face aux vues expansionnistes de l'Homme et de sa technologie. C'est dans la peau du soldat Ryder, "spécialiste des signaux", que vous serez invité à vivre cette étrange aventure. Une aventure qui se veut d'ailleurs distincte de la trame du film, même si elle en reprend évidemment les bases. Affecté sur la lointaine lune Pandora, vous avez été choisi parmi des milliers d'autres pour participer au programme Avatar.
Avatar
Première grosse production de James Cameron depuis Titanic en 1997 - si l'on excepte Aquaman avec Vincent Chase -, Avatar est sans conteste l'un des principaux événements cinématographiques de cette fin d'année 2009. Ce film marque en outre le retour du réalisateur américain vers un registre de science-fiction mêlée d'action dans lequel il est passé maître et qui semblait, cerise sur le gâteau, être un magnifique terreau pour un jeu vidéo. A prompts renforts de dollars, c'est Ubisoft qui a raflé les droits d'adaptation de cette juteuse licence pour en confier le développement à l'un de ses studios montréalais. Mais pour quel résultat ? C'est dans la peau d'un certain Ryder que l'on se retrouve projeté sur Pandora, une planète d'une galaxie lointaine, très lointaine, luxuriante et exotique à souhait. A vrai dire, elle aurait même tout du paradis pour amoureux de la nature si les forces armées humaines de la RDA n'avaient pas pris en grippe la peuplade autochtone, les Na'vis. C'est donc au coeur d'une guerre sans merci que débarque notre héros, à choisir parmi une dizaine de profils différents, hélas incustomisables. Mais il ne sera pas qu'un simple spectateur de ce conflit qui nous renvoie à certaines heures sombres de l'humanité (extermination d'un peuple primitif, pillage de ressources naturelles...).
James Cameron's Avatar : The Game (Preview)
Faut-il le rappeler ? Avatar, en tant que nouveau film réalisé par James Cameron, est l’un des longs métrages les plus attendus de cette année. C’est sans doute ce succès annoncé -et très judicieusement géré par les producteurs qui ont alléché les fans en projetant vingt minutes du film en salles il y a quelques semaines- qui permet de comprendre l’ambition de la démarche d’Ubisoft pour en développer l’adaptation. En effet, ce jeu sera proposé en plusieurs versions aux principes totalement différents. Après vous avoir rapporté de quoi Avatar sera fait sur Wii, nous sommes retournés sur la planète Pandora grâce à la version Xbox 360/ PS3 Sur les machines de salon de dernière génération, l’idée maîtresse d’Avatar tiendra à offrir la possibilité au joueur de suivre deux aventures indépendantes, deux destinées diamétralement opposées. A la base, on débute le jeu dans le treillis d’un soldat de la RDA, l’armée qui a débarqué sur la planète Pandora pour en extraire une source d’énergie essentielle pour la production d’énergie. Mais Pandora est une planète hostile. Tout ici veut faire la peau des étrangers : les animaux, les plantes mais aussi et surtout les Na’Vi, une race d’humanoïdes bipèdes mesurant en moyenne trois mètres très proches de la nature qui ont le grand tort d’habiter ici depuis des temps immémoriaux.
Gamekult
Ajouté le : 11/2009
Plus accessible...
Avatar (Preview)
Toutes les personnes ayant suivi la conférence d'Ubisoft au dernier E3 se souviennent forcément du long discours de James Cameron, intarissable sur l'univers de son prochain film et par la même occasion du futur jeu vidéo : Avatar. Présenté il y a deux semaines sur Wii, voici aujourd'hui de nouvelles impressions sur les premières missions de la version Xbox 360 du titre des équipes de Montréal, qui laissera au joueur le choix de son camp. Au premier abord, Avatar ressemble à un croisement entre Lost Planet et Mass Effect avec sa vue à la troisième personne, ses déplacements au stick gauche, sa caméra accrochée au réticule de visée sur le stick droit, son arsenal varié placé sur la croix directionnelle et ses capacités spéciales rechargeables (invisibilité, soin, course, attaque ou défense augmentées...) déclenchées d'une pression sur LB + un des quatre boutons de façade colorés. A la manière d'un Metroid Prime, le jeu intègre aussi un système de scan des éléments servant à enrichir la Pandorapédie, base de données très instructive consultable à tout moment depuis le menu principal.
Avatar : The Game (Preview)
Toujours présent au festival du jeu vidéo version 2009, nous avons eu l’occasion en cette fin de dimanche après-midi de découvrir une démo jouable d’Avatar . C’est donc avec une grande attention que nous avons suivit ce petit quart d’heure de démo. La version présentée était non seulement sur un écran HD de 103 pouces, mais en 3D. Autant dire qu’on en a pris plein les mirettes. Chaque spectateur était donc équipé de lunette 3D. L’effet de profondeur était particulièrement réaliste. Il est appréciable de pourvoir afficher les infos concernant le joueur (vie, munition..), le personnage ainsi que les décors dans des plans différents. On regrette par contre le manque de mobilité du décor. En effet les feuilles ne bougent que légèrement sur notre passage, et quelques effets d’eau pas vraiment aboutis (en version 3D). Le jeu sera bien sûr jouable sur nos tv classique et ces effets sont plus précis. Dans les points négatifs, on ajoute que cette démo n’était pas une référence de fluidité mais que ce problème sera corriger pour la version finale du jeu. On remarque également un système de jour/nuit. Les paysages proposés de nuit sont tout simplement somptueux énormément basés sur la fluorescence.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
Plus accessible...
Avatar (Preview)
Projet dont les secrets sont mieux gardés que les plans de la prochaine fusée Ariane, Avatar n'est pas qu'un film, et Ubisoft nous proposera bientôt un jeu vidéo basé sur l'univers imaginé par James Cameron il y a déjà quelques années. Le titre était présenté à la gamescom, sur consoles HD et sur Wii, avec pour chaque version des spécificités bien particulières. L'occasion de partager avec vous nos premières impressions sur ce qui sera, dans tous les cas, l'un des événements de cette fin d'année. Avatar livre donc ses premiers secrets, et qu'il s'agisse du jeu ou du film, il est toujours intéressant de découvrir à quelle sauce nous allons être mangés. L'histoire est simple, pour une fois les méchants seront les humains. Partie à la conquête d'une planète extra-terrestre pour mettre la main sur une précieuse ressource, notre espèce endosse le rôle de l'envahisseur et va se retrouver confrontée aux Navis, des aliens longilignes, et d'une couleur bleue plutôt gracieuse. Une différence de style manifeste qui se concrétisera par des batailles meurtrières avec d'un côté, les armes et la technologie des humains opposées à l'agilité des Navis, et leur parfaite connaissance du terrain qui leur permettra de se défendre malgré tout.
James Cameron's Avatar : The Game (Preview)
En développement sous haute surveillance dans le studio d'Ubisoft à Montréal, l'adaptation vidéoludique du prochain long métrage de James Cameron ; Avatar, suit son court. Plutôt discret jusqu'alors, nous avons eu l'occasion de voir les versions Next Gen et Wii. Après ces quelques lignes, le jeu n'aura presque plus de secrets pour vous. Attention : Spoilers inside !!! L'action d'Avatar prend place dans un hypothétique futur. Les ressources de la Terre étant réduites à peau de chagrin, les humains doivent explorer planète après planète à la recherche d'un monde qui pourrait assurer leur subsistance. Lorsqu'ils arrivent sur Pandora, à plus de cinq années-lumière de la Terre, ils croient avoir trouvé l'eldorado. L'étoile contient un minerai tellement riche que c'est la solution miracle tant attendue. Seulement Pandora est loin d'avoir révélée tous ses secrets et les membres du consortium militaire RDA, chargés de la collecte du minerai, vont se heurter à une résistance farouche d'une race ne faisant qu'un avec la nature de Pandora : les Na'vi. Voilà donc le synopsis du prochain long métrage de James Cameron.
James Cameron's Avatar : The Game (Preview)
Ubisoft avait mis les petits plats dans les grands lors de cet IDEF puisque ce n'est rien de moins que l'un des titres les plus impressionnants du salon qui était montré : Avatar. En effet, ce jeu d'action qui se déroule dans un univers de science-fiction nous a littéralement bluffé. Et pourtant, ce n'était pas gagné d'avance puisqu'il s'agit du jeu qui accompagnera la sortie à la fin de l'année au cinéma du nouveau film de James Cameron (Titanic, Aliens II...) et on sait bien que souvent, les jeux tirés de film ne sont pas des plus convaincants. Mais là, c'est bien à une grosse tuerie à laquelle on va avoir droit si le soft tient toutes ses promesses. Premier élément qui frappe lorsque la présentation commence : on nous dit d'emblée que le jeu n'utilisera pas la trame du film. En effet, Ubisoft a fait le choix de n'utiliser que l'univers de l'oeuvre de Cameron et non pas son scénario. Remarquez, ce n'est pas plus mal, car cela a permis aux développeurs de ne pas être enfermés dans un carcan trop étouffant. Et d'ailleurs, l'univers du film se prête totalement à ce genre de choses puisqu'il est vraiment très riche, le but étant d'avoir un background qui n'aurait pas à rougir face à... Star Wars !
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