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Nous avons réuni 19 tests du Assassin's Creed : Brotherhood. Les experts notent Assassin's Creed : Brotherhood 8.8/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Assassin's Creed : Brotherhood et d'autres Jeux Xbox 360.
Rien n'est vrai, tout est permis. Tel est le crédo de la nouvelle franchise fétiche d'Ubisoft, Assassin's Creed, et c'est d'autant plus mis en exergue dans Brotherhood, troisième volet sans l'être réellement, qui nous propose de retrouver Ezio Auditore Da Firenze, l'assassin que l'on avait quitté assez brusquement. Mais désormais, vous n'êtes plus seul face à l'ennemi et la guilde des doigts coupés est prête à faire le saut de la foi. En ferez-vous autant avec un titre que l'on croyait uniquement axé sur le multijoueur ? Tentons de percer l'âme secrète de cette nouvelle production en provenance de Montréal et fondons-nous dans la foule pour apprivoiser la louve. Sono un italiano veroEn guise de préambule, clarifions de suite un point qui peut se révéler crucial pour moult lecteurs : envisager de se lancer dans Assassin's Creed : Brotherhood sans avoir au préalable mis la main sur les premières aventures d'Ezio ou Altaïr pourrait être plus que préjudiciable à votre plaisir de jeu, mais surtout vous priver des points forts et notables comme un scénario et une immersion d'une grande richesse. Cette attention préventive bouclée, enfilons notre tenue car nous agissons dans l'ombre, pour éclairer le monde. Nous sommes des assassins.
Assassin's Creed Brotherhood est la suite directe d' Assassin's Creed 2 tant au niveau scénaristique que temporel. Ainsi, le joueur aura l'occasion d'incarner à nouveau Ezio Auditore et Desmond Miles. Afin de marquer la proximité entre les deux titres, Ubisoft n'a pas baptisé le jeu Assassin's Creed 3. Ce choix est on ne peut plus justifié tant Brotherhood partage des similitudes avec son illustre prédécesseur.En début de partie, le joueur est à la tête d'un impressionnant capital économique et possède d'ailleurs la grande majorité des accessoires obtenus dans le précédent volet. Afin de permettre au public de redécouvrir progressivement ces gadgets, les développeurs ont fait appel à un classique procédé, celui de la ruine. La cité de Monteriggioni sera prise d'assaut par les troupes de César Borgia forçant ainsi le héros à faire évacuer les lieux. Cette attaque entraîne automatiquement la perte des objets et du capital financier du héros. Le public devra par conséquent regagner progressivement cet arsenal dans la ville de Rome. Cette régression soudaine et trop classique, on peut aussi la retrouver dans Metroid Prime.
Tout juste un an après Assassin's Creed 2, les assassins d'Ubisoft sont de retour sur console de salon. Alors que le précédent opus avait demandé deux ans de travail au studio québécois, seulement douze petits mois auront été nécessaires pour développer ce nouveau chapitre. Situé entre le second épisode et un troisième à venir, Assassin's Creed : Brotherhood remet les joueurs dans la peau de Ezio Auditore da Firenze pour prolonger l'aventure terminée, un peu brutalement, dans Assassin's Creed 2. Mais avec si peu de temps de développement, le jeu saura-t-il vraiment conserver la magie de la licence tout en proposant des nouveautés suffisantes pour surprendre les joueurs comme son ainé l'avait fait en 2009 ? Frustrante, la fin d'Assassin's Creed 2 l'était à bien des égards. Laissant le joueur en plan (avec sa découverte sur le complot menaçant l'humanité tout en mettant fin à l'espoir de pouvoir visiter Rome dans sa grandeur), l'aventure laissait un arrière-goût d'inachevé relativement agaçant. En bonne suite, Assassin's Creed : Brotherhood reprend donc directement l'aventure là où elle s'était terminée, c'est à dire à Rome.
Un an après le retour triomphant de la franchise Assassin's Creed, Ubisoft remet déjà le couvert et nous propose une nouvelle plongée dans l'Italie de la Renaissance, toujours dans la peau d'Ezio, un assassin bien décidé à lutter contre l'ordre des Templiers. Vraie suite ou simple exploitation d'un filon ? Réponses dans les lignes qui suivent !Le destin d'Ezio, c'est avant tout l'étrange histoire de Desmond Miles, un jeune homme de 25 ans, prisonnier de la corporation Abstergo Industries. Celle-ci utilise une machine étrange, l'Animus, afin de plonger dans la mémoire génétique du sujet et ainsi explorer les souvenirs de ses ancêtres. L'objectif ? Découvrir les secrets des Assassins et surtout mettre la main sur la Pomme d'Eden, une puissante relique aux pouvoirs immenses. Après une plongée en pleine croisade dans la peau d'Altair, Desmond comprend peu à peu les desseins d'Abstergo, qui rassemblent les héritiers des Templiers, et décide de s'enfuir aidé de Lucy. Cette employée d'Abstergo travaille en fait pour les Assassins et tente par tous les moyens de convaincre Desmond de rejoindre l'ordre des Assassins. La jeune femme met ses connaissances de l'Animus à disposition de notre héros afin de continuer à explorer son patrimoine génétique.
Nouvel opus des aventures d’Ezio, Assassin’s Creed : Brotherhood n’est pas une simple version améliorée. Après un an d'attente, voilà qu'Ubisoft Montréal remet le couvert avec un nouvel Assassin's Creed. Brotherhood est dans la continuité directe du scénario du second opus, mais ajoute également un mode multijoueur sur lequel nous reviendrons un peu plus tard. On retrouve bien entendu Desmond, héritier du passé génétique de la confrérie des assassins qui se « réincarne » une nouvelle fois dans la peau d'Ezio Auditore, tout en essayant d'échapper aux Templiers modernes d'Abstergo. Pour rappel, c'est cette société qui vous a initié aux plaisirs de l'Animus, la machine capable d'exploiter vos gènes et de vous faire revivre les aventures de vos ancêtres. Dans quel but ? Trouver les reliques cachées par vos valeureux parents pour redonner leur prestige passé aux Templiers. Le jeu commence exactement à la fin du deuxième volet : au Vatican, juste après le combat final qui vous a permis de mettre la main sur la pomme d'Eden. Après vous être échappé du Vatican, vous retournez dans votre magnifique villa certain d'en avoir fini avec la famille Borgia.
Troisième opus de la série (mais pas la troisième partie de la trilogie), nous retrouvons Desmond à nouveau incarné en Ezio grâce à l'Animus, machine de haute technologie permettant de « voyager » dans la mémoire génétique d'une personne et de revivre son existence. Que ceux qui n'ont pas joué à Assassin's Creed 2 s'arrêtent immédiatement de lire ce test, ce Brotherhood est la suite directe du jeu suscité, et il est conseillé, que dis-je, il est requis d'avoir terminé le 2 pour attaquer Brotherhood afin de suivre l'histoire complète d'Ezio, voire de vous attaquer à Assassin's Creed 1 si vous n'avez pas vécu les aventures d'Altaïr, première des incarnations de Desmond que nous avons connue. Ici, vous parcourrez Rome et sa région afin de mettre un terme à l'influence des Borgia, et de libérer l'Italie de l'emprise des Templiers. N'allez pas croire que nous avons juste droit à un nouveau scénario, ce serait faire preuve d'une grande naïveté. Certes, le jeu conserve la plupart de ses personnages, ses bases de gameplay dans un monde ouvert, à savoir les acrobaties sur les bâtiments ou encore la discrétion qui restent au coeur du jeu, mais beaucoup de choses ont changé, à commencer par le système de combat.
Un nouvel épisode d'Assassin's Creed à peine un an après le précédent, dans le même univers et avec un mode multi ? Tout menait à penser que Brotherhood serait un épisode opportuniste de la série. Ubi Montréal nous a prouvé que les apparences sont trompeuses. Profitant d'un repos bien mérité dans sa villa de Montereggioni, Ezio Auditore croyait sa mission terminée après avoir mis la main sur la Pomme d'Eden. Mais il n'est pas de repos pour l'Assassin qui va devoir faire face aux représailles de la famille Borgia carrément venue attaquer son domaine. Une famille de grands malades despotiques confortablement installée à Rome qu'elle contrôle politiquement, économiquement et religieusement. Pour chercher vengeance et surtout récupérer une fois de plus cette satanée pomme, Ezio devra donc aller frapper les Borgia sur leur territoire et leur reprendre la ville. Contrairement aux deux volets précédents, Brotherhood se déroule presque exclusivement dans une seule ville, à l'exception de quelques missions secondaires qui vous feront visiter quelques lieux annexes. Mais Rome à elle seule représente une telle surface avec ses divers quartiers, que vous ne risquez pas de vous y sentir à l'étroit, ni de vous ennuyer.
On commençait déjà à laisser aller notre imagination, à ressortir les vieilles rumeurs pour découvrir quel ascendant de Desmond Ubisoft Montréal allait bien pouvoir déterrer pour un troisième épisode. Mais c'était sans compter sur la pugnacité d'Ezio et, surtout - peut-être -, la crainte de l'éditeur français de laisser filer un Noël sans gros titres à imposer sous les sapins. La parenthèse italienne d'Assassin's Creed n'est donc finalement pas fermée et Brotherhood entraine déjà la jeune série sur la voie du spin-off en prolongeant les péripéties d'Ezio dans une nouvelle aventure solo vaste et riche à souhait, accompagnée en plus d'un mode multijoueur totalement inédit. Bref, Brotherhood a beaucoup à nous raconter, mais la surprise est-elle vraiment au rendez-vous ? Le moins que l'on puisse dire, c'est que les dernières minutes d'Assassin's Creed II nous avaient laissé sur notre faim. Pas tant pour la rencontre fugace et mystique avec Minerve qui leva le voile sur un complot ésotérique plutôt flippant que pour ce niveau final dans lequel on ne faisait qu'entrevoir Rome en arrière-plan, alors même que l'on se voyait déjà manger une gelato devant le Colisée et jeter quelques florins dans la Fontaine de Trevi.
Une année, c’est le temps qui s’est écoulé depuis Assassin’s Creed 2, autant dire une durée insignifiante dans le monde du développement. Et pourtant, Ubisoft tente le pari de nous servir un nouveau Assassin’s Creed très peu de temps après un second opus spectaculaire et d’excellente facture. Alors, nouvel épisode bâclé ou coup de maitre ? Réponse dans le test. Pas de surprise pour Assassin’s Creed : Brotherhood, il se pose bel et bien comme une suite directe au second opus orchestré par un Ezio Auditore très en forme. C’est donc avec joie, en commençant ce test, que je me prends un spoil d’envergure, libre aux nouveaux venus de continuer ce test, ou de se lancer dans Assassin’s Creed 2 pour mieux situer le scénario de Brotherhood. Pour le spitch, Ezio vient de mettre la main sur la fameuse Pomme, puis retourne dans sa douce Villa Auditore en Toscane après avoir taillé une bavette avec la déesse Minerve. Pas de repos pour les braves, son fief se fait rapidement attaquer par les forces armées du très vilain Cesare Borgia, qui met alors la main sur la Pomme, tue le tonton Mario, et blesse par balle notre cher héros. On le retrouve remis de ses blessures quelques jours plus tard en plein Rome.
Mettons tout de suite les choses au point : Assassin's Creed Brotherhood n'est pas un jeu multijoueurs avec une petite campagne solo en plus, c'est une énorme campagne solo avec un multi en plus. Alors, certes, cette campagne ne va pas vraiment dépayser puisqu'elle poursuit l'histoire d'Ezio Auditore da Firenze, mais après de nombreuses heures passées à boucler le jeu, on ne peut pas dire qu'Ubisoft Montréal a sombré dans la simplicité. Bourré d'idées et amélioré sur de nombreux points, il prolonge la série avec brio.Les versions étant similaires, les tests le sont aussi. Le premier Assassin's Creed fut pour beaucoup le premier jeu à mériter le sobriquet de "next-gen". Le second a fait ce qu'il fallait pour gommer l'extrême répétitivité que certains n'étaient pas parvenus à lui pardonner aussi facilement que moi, mais il y sacrifiait une partie du trip original en rendant très linéaire, voire complètement cinématique, les phases d'enquête et de préparation des assassinats. Brotherhood parvient-il à réconcilier les deux ? Pas trop, dans la mesure où il reprend presque entièrement la structure et les mécaniques du second. Néanmoins, il sait les transposer et les enrichir suffisamment pour qu'on replonge, comme en 40... ou plutôt comme en 1400, devrais-je écrire...
J'avais longuement joué au premier Assassin's Creed mais pas vraiment insisté sur le deuxième, faute de temps. Double erreur. D'une part, je n'ai pas été au bout d'un jeu extrêmement réussi mais d'autre part, le début de Brotherhood a été un peu gâché. Je n'y ai absolument rien compris. De la "simple" recherche du passé de ses ancêtres, on se retrouve à devoir sauver le monde. Les premières minutes permettent de voir une vidéo retraçant tous les événements mais ça reste brut de décoffrage pour celui qui se plonge seulement maintenant dans la franchise.Passé le premier chapitre, heureusement, on recolle les morceaux. Peu importe ce que l'on a découvert dans AC2 : quand on débarque dans Assassin's Creed : Brotherhood, même si l'on n'a jamais entendu parler de Lucrèce Borgia et de son frangin César, on comprend rapidement que le nom n'est pas choisi au hasard et que cette famille incarne dans le jeu l'ennemi à abattre. En tant qu'assassin expérimenté, il faudra donc faire le ménage. Les Borgia ont en effet tué une bonne partie de la famille du héros et ont fait de Rome une ville dirigée d'une main de fer.
Dans le deuxième volet d'Assassin's Creed, le chemin d'Ezio Auditore s'était arrêté à Rome un peu brusquement. C'est donc tout naturellement dans la ville éternelle qu'il revient pour une nouvelle aventure qu'Ubisoft nous a invité à découvrir dans ses locaux parisiens. Voici nos impressions, après trois heures d'assassinats en bonne et due forme. Précédemment dans Assassin's Creed... La formule consacrée pour les séries télé américaines aurait pu figurer au début de ce troisième volet : une cinématique nous remémore l'assassinat de Rodrigo Borgia au cœur du Vatican, puis notre héros reprend du service là où on l'avait laissé. Sa première mission ? S'enfuir de la forteresse en état d'alerte pour rejoindre le fief familial, Monteriggioni. Une formalité si l'on est un habitué du jeu : quelques gardes à éliminer, un peu d'acrobatie sur les toits de la ville et l'affaire est pliée. Suivent quelques petites quêtes de mise en bouche, assez quelconques, histoire de se réapproprier le héros. A ce stade, tout semble identique à ce que l'on connait, l'interface n'a pas bougé d'un iota, l'environnement Renaissance (plus somptueux que jamais) non plus, et on retrouve la famille d'Ezio (enfin, ce qu'il en reste...).
Rome ne s'est pas faite en un jour. Elle a été édifiée en 365. Bien que le multijoueurs d'Assassin's Creed : Brotherhood soit en développement depuis maintenant des années, le jeu en solo a été réalisé en tout juste 12 mois par à peu près la même équipe qui avait construit le second jeu. Et l'on peut dire qu'elle a magnifiquement su utiliser son temps. Quand on fait ses premiers pas dans le Colisée de Rome, on ressent les mêmes impressions que dans Damas. L'impression laissée par le soin apporté à la réalisation de cet ancien monument et sa taille démesurée est comparable au sentiment que l'on avait éprouvé la première fois où l'on avait vu Jérusalem s'étaler à l'horizon dans le premier jeu. Il est en ruine, bien sûr. Dans la Rome de la Renaissance, le Colisée était une attraction touristique, un peu comme aujourd'hui, et le sable jadis taché par le sang de tant de martyrs chrétiens est maintenant recouvert d'une herbe haute tandis que les sièges en gradins s'écroulent sous l'usure du temps et les pas de centaines de milliers de touristes. Le résultat est une étrange impression d'être un touriste virtuel dont le regard porte sur plusieurs siècles.
Gamekult
Ajouté le : 10/2010
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Après un second épisode qui balaya les petits travers de son aîné pour s'imposer comme une référence, on s'attendait à passer quelque temps sans Assassin's Creed, poireautant plus ou moins patiemment que Ubisoft Montréal nous livre un troisième épisode. On était donc loin de se douter qu'Ezio avait encore une histoire à nous raconter et serait de retour un an après dans une toute nouvelle aventure. Car, si Brotherhood a été beaucoup mis en avant pour son mode multijoueur inédit, il proposera bien un solo complet, riche et long dont nous avons d'ailleurs eu le privilège de découvrir les premières heures. Tous ceux que la conclusion d'Assassin's Creed II avait laissé sur leur faim seront comblés dès les premières secondes de Brotherhood : on retrouve Ezio exactement à l'instant et à l'endroit où on l'avait laissé. Le corps de Rodrigo est encore chaud et notre assassin doit donc fuir au plus vite le Vatican en compagnie de Mario, qui avait en fait suivi son neveu dans cette périlleuse mission. Ezio, toujours troublé par les étranges révélations de Minerve, pense que son devoir est fini, que la mort du Pape aura suffi à calmer les ardeurs des Templiers.
Initialement, Assassin's Creed était un projet original prévu pour servir de monde ouvert au Prince de Perse, aujourd'hui c'est devenu bien plus qu'une licence à part entière : il s'agit de l'une des figures de proue de la maison Ubisoft. Si l'épisode Brotherhood permet d'apporter une fin aux aventures d'Ezio dans l'Italie de la Renaissance (qui peut donc être considéré comme un 2.5 dans le récit), c'est surtout un volet qui va permettre aux joueurs de se mesurer entre eux à l'art de l'assassinat en plein c?ur de Rome. L'arrivée du mode multijoueurs dans un Assassin's Creed est évidemment un événement et nous avons été le tester pendant trois heures dans les locaux d'Ubisoft à Annecy. Pour comprendre l'existence même d'Assassin's Creed Brotherhood, il faut remonter un an en arrière. Assassin's Creed II est à quelques semaines de sa commercialisation et deux parties du jeu ne sont pas du tout prêtes : la ville de Rome et le mode multijoueurs. Plutôt que de reporter le jeu, Ubisoft a décidé de finaliser la production avec ce qui était prêt et de plancher sur un jeu reprenant l'histoire là où elle s'est brutalement arrêtée avec Ezio (il paraît que les fans en redemandent), et d'y inclure un aspect communautaire.
Si ce nouvel épisode de la saga Assassin's Creed est attendu, c'est non seulement pour son aventure en solo prometteuse mais aussi - et surtout - pour ses parties multijoueurs, une première dans la série. Un multi qui se veut aussi original qu'ambitieux et que nous avons pu tester deux heures durant dans le studio de développement d'Ubisoft à Annecy... Lorsque à la fin d'Assassin's Creed II le héros contemporain Desmond Miles s'échappe des locaux de la société Abstergo, il remarque au passage la présence de salles contenant de nombreux animus. Cette séquence n'était pas là par hasard car elle légitime aujourd'hui le multi de Brotherhood. Ainsi, les joueurs incarnent les employés d'Abstergo qui doivent s'entraîner à l'art du meurtre pour pouvoir affronter les assassins. Tous les éléments constituant l'intérêt du jeu en solo se retrouvent dans le multi (les 8 maps disponibles, issues de l'aventure principale, ont toutefois été retravaillées et redimensionnées), à la différence qu'ici non seulement vous devez assassiner un joueur mais vous êtes aussi la proie d'un (ou de plusieurs) autre joueur... Au total, il y a 17 personnages disponibles, parmi lesquels 8 ont été révélés : prêtre, médecin, rôdeur, noble, courtisane, bourreau, ingénieur et contrebandier.
Gamekult
Ajouté le : 09/2010
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Déjà croisé dans la cohue des salons estivaux, Assassin's Creed : Brotherhood a pris le temps de nous faire découvrir son mode multijoueur plus en détails, lors d'une visite chez Ubisoft Annecy. Spécialisé dans les modes multi depuis le début des années 2000, le studio travaille depuis deux ans sur celui des prochaines aventures d'Ezio et a pu nous donner un long aperçu de la bêta qui a normalement été lancée aujourd'hui sur PS3 pour les abonnés PlayStation Plus, même si la version que nous avons prise en main tournait sur Xbox 360. Justifier scénaristiquement du multijoueur n'est pas une chose très courante, mais les concepteurs d'une série comme Assassin's Creed avaient suffisamment d'éléments à disposition pour trouver une raison narrative à ce genre de mode. Dans la partie solo de Brotherhood, Ezio aura la possibilité de lever une petite armée d'assassins, ce qui pousse les dirigeants d'Abstergo à renforcer l'entraînement de leurs employés dans un programme de réalité virtuelle bien connu des fans de la saga. Projetés en groupe dans des environnements de la Renaissance italienne grouillant de vie, les employés/joueurs devront donc apprendre à éliminer discrètement leurs pairs, mais aussi échapper à un ou plusieurs poursuivants.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
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Petit rappel à tous ceux qui auraient manqué le début. Comme on l'a appris lors de l'annonce du jeu, et plus récemment durant l'E3, Assassin's Creed : Brotherhood verra le retour de Ezio Auditore, déterminé cette fois à libérer Rome du joug des Templiers, en pleine période de la Renaissance.La "Confrérie" mentionnée dans le titre est celle que formera Ezio en recrutant des Assassins dans toute la ville, pour en faire le bras armé de sa vengeance. C'est aussi une manière habile d'indiquer que cette version sera également orientée vers le multijoueur, avec un petit jeu du chat et de la souris dans les rues de Rome qui avait déjà su nous séduire il y a quelques semaines à Los Angeles. Cette édition de la gamescom fut l'occasion pour les équipes d'Ubisoft de présenter une nouvelle démo, et d'introduire au passage de nouveaux éléments de gameplay. Impressions mises à jour. Avec un terrain de jeu annoncé comme trois fois plus grand que la Florence d'Assassin's Creed II, mieux vaut avoir les moyens logistiques de couvrir de telles distances. On savait qu'Ezio serait capable d'empoigner sa monture ou d'utiliser un système de poulies pour faciliter ses déplacements ; on a également pu constater que le parachute de Leonard de Vinci serait un bon moyen de gagner du temps pour se rendre à destination.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
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Assassin's Creed II a été très bien accueilli par la critique, comme par les joueurs. Devant un tel enthousiasme, Ubisoft a décidé de vite remettre le couvert en nous proposant pour cette fin d'année un Assassin's Creed : Brotherhood reprenant l'univers et l'ossature du jeu sorti l'an passé. Nous avons pu essayer le jeu à l'occasion de cet E3, et en voici nos impressions. La raison d'être d'Assassin's Creed : Brotherhood n'est pas uniquement de commercialiser rapidement la suite d'un jeu populaire en reprenant une grande partie de son contenu. Elle est aussi de raconter aux joueurs la suite des aventures d'Ezio, l'Italien préféré de ces dames. Avec un tel positionnement, il n'était pas étonnant de retrouver un titre apparemment très, très proche de son modèle, même si quelques nouveautés sont quand même au programme. Nous avons ainsi pu voir Ezio tenter de ralentir l'invasion de son fief par une armée ennemie en grimpant sur les fortifications afin d'utiliser des canons. L'intérêt de cette phase de jeu se trouvait néanmoins plus dans son aspect spectaculaire que dans le challenge proposé puisque les événements semblaient assez scriptés.
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