12 tests d’experts - 1 avis d'internautes
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Nous avons réuni 12 tests et 1 avis du Assassin's Creed : Brotherhood. Les experts notent Assassin's Creed : Brotherhood 9.4/10 et les internautes 10/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Assassin's Creed : Brotherhood et d'autres Jeux PC.
Le sommet de la saga aux assassins arrive enfin sur PC. Avec quatre mois de retard, mais de sérieux atouts. Si vous avez déjà lu notre test de novembre dernier, vous savez tout le bien que l'on pense d'Assassin's Creed : Brotherhood. En résumé, le troisième épisode de cette saga qui mélange Histoire avec un grand H, assassinats avec de grands couteaux et conspirationnisme bon teint fait honneur à son illustre ascendance : c'est la même chose qu'Assassin's Creed 2, sa suite directe même, mais à Rome, avec encore plus de choses à faire, une guilde à gérer et un mode multijoueur brillant. Quatre mois après sa sortie sur console, ce petit bijou arrive enfin sur nos PC. Qualité du portage, bonus, etc. : vous saurez tout en vous rendant ici.
Il y a quelques mois, je faisais le test de Brotherhood Xbox 360. J'en avais pensé tellement de bien que je lui avais décerné la note maximale, un 10. À peu près à la même période, j'ai eu l'attaché de presse au téléphone qui m'a expliqué qu'il fallait absolument que je teste également le mode multi. Bon, il faut tout de même que je vous explique : les attachés de presse appartiennent au monde du marketing. Une partie de leur boulot consiste à mettre en avant leurs « produits ». Celui des journalistes est censé se baser sur la vérité, sans parti-pris. En général, les attachés de presse sont cependant subtils. Là non. Il avait tellement insisté que ça a franchement piqué ma curiosité. Bien m'en a pris. Le multi de Brotherhood est une telle réussite que j'en ai fait un autre article, avec encore la note maxi.Alors forcément, quand j'attaque le test de Brotherhood sur ma plate-forme de prédilection, je me demande comment ça peut se terminer. Je sais que ce sera forcément techniquement plus abouti. Mais il y a un autre aspect dont je ne vous avais pas parlé lors du test de Brotherhood sur Xbox. En raison de l'urgence dans laquelle nous écrivons nos articles, nous ne terminons pas le jeu avant d'écrire.
Un nouvel épisode d'Assassin's Creed à peine un an après le précédent, dans le même univers et avec un mode multi ? Tout menait à penser que Brotherhood serait un épisode opportuniste de la série. Ubi Montréal nous a prouvé que les apparences sont trompeuses. Profitant d'un repos bien mérité dans sa villa de Montereggioni, Ezio Auditore croyait sa mission terminée après avoir mis la main sur la Pomme d'Eden. Mais il n'est pas de repos pour l'Assassin qui va devoir faire face aux représailles de la famille Borgia carrément venue attaquer son domaine. Une famille de grands malades despotiques confortablement installée à Rome qu'elle contrôle politiquement, économiquement et religieusement. Pour chercher vengeance et surtout récupérer une fois de plus cette satanée pomme, Ezio devra donc aller frapper les Borgia sur leur territoire et leur reprendre la ville. Contrairement aux deux volets précédents, Brotherhood se déroule presque exclusivement dans une seule ville, à l'exception de quelques missions secondaires qui vous feront visiter quelques lieux annexes. Mais Rome à elle seule représente une telle surface avec ses divers quartiers, que vous ne risquez pas de vous y sentir à l'étroit, ni de vous ennuyer.
Après un passage sur consoles aussi remarqué que remarquable, la communauté des joueurs attend la version PC d’Assassin’s Creed : Brotherhood au tournant. Rassurez-vous, le portage est sans faille et on aimerait d’ailleurs voir un tel travail d’optimisation plus souvent. Pour ce test de la version PC d’Assassin’s Creed : Brotherhood nous allons faire court en nous arrêtant sur les spécificités de nos machines chéries. Pour tout savoir sur le gameplay du jeu, je vous invite à (re)lire notre test des versions consoles. Même chose pour le scénario, sachez que l’on retrouve Desmond Miles qui reprend les fouilles de sa mémoire génétique et revit les événements majeurs survenus pendant l’existence d’Ezio Auditore au 16ème siècle à Rome. Le premier constat que l’on peut faire avec cet ACB est la beauté de son moteur graphique. Les équipes d’Ubisoft ont porté avec brio leur moteur maison sur nos PC avec toute la galerie des effets modernes. La gestion des lumières est excellente, les textures sont fines et réalistes tandis que les personnages bénéficient d’une modélisation impeccable. Le niveau de détail qui leur a été accordé est impressionnant au même titre que les animations et les expressions faciales.
Dans le deuxième volet d'Assassin's Creed, le chemin d'Ezio Auditore s'était arrêté à Rome un peu brusquement. C'est donc tout naturellement dans la ville éternelle qu'il revient pour une nouvelle aventure qu'Ubisoft nous a invité à découvrir dans ses locaux parisiens. Voici nos impressions, après trois heures d'assassinats en bonne et due forme. Précédemment dans Assassin's Creed... La formule consacrée pour les séries télé américaines aurait pu figurer au début de ce troisième volet : une cinématique nous remémore l'assassinat de Rodrigo Borgia au cœur du Vatican, puis notre héros reprend du service là où on l'avait laissé. Sa première mission ? S'enfuir de la forteresse en état d'alerte pour rejoindre le fief familial, Monteriggioni. Une formalité si l'on est un habitué du jeu : quelques gardes à éliminer, un peu d'acrobatie sur les toits de la ville et l'affaire est pliée. Suivent quelques petites quêtes de mise en bouche, assez quelconques, histoire de se réapproprier le héros. A ce stade, tout semble identique à ce que l'on connait, l'interface n'a pas bougé d'un iota, l'environnement Renaissance (plus somptueux que jamais) non plus, et on retrouve la famille d'Ezio (enfin, ce qu'il en reste...). Bref, on est dans le bain. La trame se met doucement en place et la bataille peut commencer.
Si ce nouvel épisode de la saga Assassin's Creed est attendu, c'est non seulement pour son aventure en solo prometteuse mais aussi - et surtout - pour ses parties multijoueurs, une première dans la série. Un multi qui se veut aussi original qu'ambitieux et que nous avons pu tester deux heures durant dans le studio de développement d'Ubisoft à Annecy... Lorsque à la fin d'Assassin's Creed II le héros contemporain Desmond Miles s'échappe des locaux de la société Abstergo, il remarque au passage la présence de salles contenant de nombreux animus. Cette séquence n'était pas là par hasard car elle légitime aujourd'hui le multi de Brotherhood. Ainsi, les joueurs incarnent les employés d'Abstergo qui doivent s'entraîner à l'art du meurtre pour pouvoir affronter les assassins. Tous les éléments constituant l'intérêt du jeu en solo se retrouvent dans le multi (les 8 maps disponibles, issues de l'aventure principale, ont toutefois été retravaillées et redimensionnées), à la différence qu'ici non seulement vous devez assassiner un joueur mais vous êtes aussi la proie d'un (ou de plusieurs) autre joueur... Au total, il y a 17 personnages disponibles, parmi lesquels 8 ont été révélés : prêtre, médecin, rôdeur, noble, courtisane, bourreau, ingénieur et contrebandier.
Déjà croisé dans la cohue des salons estivaux, Assassin's Creed : Brotherhood a pris le temps de nous faire découvrir son mode multijoueur plus en détails, lors d'une visite chez Ubisoft Annecy. Spécialisé dans les modes multi depuis le début des années 2000, le studio travaille depuis deux ans sur celui des prochaines aventures d'Ezio et a pu nous donner un long aperçu de la bêta qui a normalement été lancée aujourd'hui sur PS3 pour les abonnés PlayStation Plus, même si la version que nous avons prise en main tournait sur Xbox 360. Justifier scénaristiquement du multijoueur n'est pas une chose très courante, mais les concepteurs d'une série comme Assassin's Creed avaient suffisamment d'éléments à disposition pour trouver une raison narrative à ce genre de mode. Dans la partie solo de Brotherhood, Ezio aura la possibilité de lever une petite armée d'assassins, ce qui pousse les dirigeants d'Abstergo à renforcer l'entraînement de leurs employés dans un programme de réalité virtuelle bien connu des fans de la saga. Projetés en groupe dans des environnements de la Renaissance italienne grouillant de vie, les employés/joueurs devront donc apprendre à éliminer discrètement leurs pairs, mais aussi échapper à un ou plusieurs poursuivants.
Si l'on est compétent, on s'affranchit tôt ou tard des besognes routinières du commun et on les regarde de haut tandis que l'on se consacre à des choses moins banales. Comme le découvre Ezio Auditore dans Assassin's Creed : Brotherhood, c'est le lot des meilleurs d'entre nous. Néanmoins, et heureusement pour le joueur, Ezio est un assassin et, même si Assassin's Creed : Brotherhood attache une grande importance au recrutement, à la formation et au déploiement d'une bande de frères assassins, il ne répugne pas non plus à un peu de micro-gestion. Tout cela pour dire qu'Ezio aime toujours pratiquer l'escalade aux quatre coins des villes - Rome en l'occurrence, une ville qui fait trois fois la taille de la Florence du dernier jeu - et poignarder mortellement les gens tout en promenant un regard scrutateur de dessous son emblématique capuchon en forme de tête d'aigle. Le recrutement s'effectue de plusieurs manières. L'une d'elles consiste à aider des citoyens rebelles en lutte contre les Borgia - les Templiers oppresseurs qui contrôlent la ville - en plongeant sur les gardes qui les menacent et en les massacrant.
Gamekult
Ajouté le : 08/2010
Plus accessible...
Petit rappel à tous ceux qui auraient manqué le début. Comme on l'a appris lors de l'annonce du jeu, et plus récemment durant l'E3, Assassin's Creed : Brotherhood verra le retour de Ezio Auditore, déterminé cette fois à libérer Rome du joug des Templiers, en pleine période de la Renaissance.La "Confrérie" mentionnée dans le titre est celle que formera Ezio en recrutant des Assassins dans toute la ville, pour en faire le bras armé de sa vengeance. C'est aussi une manière habile d'indiquer que cette version sera également orientée vers le multijoueur, avec un petit jeu du chat et de la souris dans les rues de Rome qui avait déjà su nous séduire il y a quelques semaines à Los Angeles. Cette édition de la gamescom fut l'occasion pour les équipes d'Ubisoft de présenter une nouvelle démo, et d'introduire au passage de nouveaux éléments de gameplay. Impressions mises à jour. Avec un terrain de jeu annoncé comme trois fois plus grand que la Florence d'Assassin's Creed II, mieux vaut avoir les moyens logistiques de couvrir de telles distances. On savait qu'Ezio serait capable d'empoigner sa monture ou d'utiliser un système de poulies pour faciliter ses déplacements ; on a également pu constater que le parachute de Leonard de Vinci serait un bon moyen de gagner du temps pour se rendre à destination.
C’est par le biais d’une courte démo de la campagne solo et une session en multijoueur qu’Assassin’s Creed : Brotherhood se laissait approcher à la gamescom 2010. Avec un narrateur allemand et des cinématiques dans la langue de Freud, difficile par contre de saisir toutes les subtilités de ce nouveau scénario concocté par Ubistoft Montréal. Sachez tout de même qu’Ezio coule des jours paisibles dans la villa Auditore et que son influence est des plus grandes. Ce qui ne plait bien évidemment pas à Cesare Borgia, qui décide tout simplement d’assaillir le domaine familial. Et le bougre ne lésine pas sur les moyens: balistes, catapultes, bombardements… Enzio se retrouve vite sous le feu ennemi. On court dans tous les sens en évitant les flammes et on prend rapidement les armes. Et pas n’importe lesquelles, puisque notre héros peut utiliser à sa guise un canon vissé sur un tour pour détruire un mirador sur roues. Malgré ses efforts, le père Ezio se retrouve vite submergé et l’ennemi pénètre dans le domaine… Un temps de chargement et une ellipse temporelle plus tard, nous revoilà sur pied, plus avide de vengeance que jamais. À moins d’avoir hiberné dans une yourte ces six derniers mois, vous savez sûrement que l’action de Brotherhood se déroule à Rome.
Gamekult
Ajouté le : 06/2010
Plus accessible...
Assassin's Creed II a été très bien accueilli par la critique, comme par les joueurs. Devant un tel enthousiasme, Ubisoft a décidé de vite remettre le couvert en nous proposant pour cette fin d'année un Assassin's Creed : Brotherhood reprenant l'univers et l'ossature du jeu sorti l'an passé. Nous avons pu essayer le jeu à l'occasion de cet E3, et en voici nos impressions. La raison d'être d'Assassin's Creed : Brotherhood n'est pas uniquement de commercialiser rapidement la suite d'un jeu populaire en reprenant une grande partie de son contenu. Elle est aussi de raconter aux joueurs la suite des aventures d'Ezio, l'Italien préféré de ces dames. Avec un tel positionnement, il n'était pas étonnant de retrouver un titre apparemment très, très proche de son modèle, même si quelques nouveautés sont quand même au programme. Nous avons ainsi pu voir Ezio tenter de ralentir l'invasion de son fief par une armée ennemie en grimpant sur les fortifications afin d'utiliser des canons. L'intérêt de cette phase de jeu se trouvait néanmoins plus dans son aspect spectaculaire que dans le challenge proposé puisque les événements semblaient assez scriptés.
Le travail d'un assassin - un peu comme celui d'un facteur - ne s'arrête jamais. Ezio Auditore vient à peine de rentrer dans sa demeure après s'être occupé d'une sanglante histoire de vengeance à la fin d'Assassin's Creed II, que des balles fusent dans sa chambre alors qu'il essaie de se distraire en bonne compagnie féminine. Dommage.Toute cette histoire s'annonce plutôt pas mal. Dès le début d'Assassin's Creed : Brotherhood, Enzio se retrouve en train de tituber sur le toit de son manoir face à 30 000 ennemis s'approchant à grands pas sur la colline (révélation-choc : ce sont les termes du producteur, nous n'avons pas vraiment eu le temps de les compter). Ce sont les Templiers, plus forts que jamais, prêts à détruire tout ce qui se trouvera sur leur passage. Les premières minutes de Brotherhood consistent en une succession de combats furieux aux commandes d'Enzio, qui vous ont été données juste à temps pour qu'il reçoive des ordres d'Oncle Mario - un nom qui sonne d'ailleurs étrangement dans un jeu vidéo. Vous devrez repousser les attaquants le temps que les employés du manoir puissent se mettre à l'abri.Il faudra alors utiliser un canon pour détruire les tours mobiles qui avancent pour tenter de vous assiéger.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Assassin's Creed : Brotherhood. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Assassin's Creed : Brotherhood.