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Nous avons réuni 18 tests du Assassin's Creed 2. Les experts notent Assassin's Creed 2 8.4/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Assassin's Creed 2 et d'autres Jeux Xbox 360.
Deux ans après le premier opus apprécié par la critique et les joueurs, débarque chez nous. Edité et développé par Ubisoft, c'est devenu en très peu de temps une des licences phares du développeur. Bien qu'ayant su imposer ses standards, il n'était néanmoins pas dépourvu de défauts comme une mécanique de jeu assez répétitive et le trop peu d'interactions possibles. Finalement, Ubisoft a-t-il appris de ses petites erreurs, Ezio Auditore parviendra-t-il à surpasser son ancêtre Altaïr ? C'est ce que nous allons voir ! On débute le jeu avec Desmond Miles en 2012, c'est un apprenti-assassin des temps modernes, qui est en réalité le héros du jeu. Après avoir vécu le périple de Altaïr dans l'Animus -machine qui permet de revivre les souvenirs des aïeux du héros- tout en étant retenu prisonnier dans le complexe d'Abstergo Industries (qui sont en réalité des Templiers) pour découvrir un secret enfoui dans la mémoire de Altaïr. Au début de cet opus, Desmond s'enfuit donc du complexe à l'aide de Lucy, un membre des Assassins. Peu de temps après ils arrivent dans un autre complexe, celui des Assassins. A l'intérieur il y a également un Animus, le 2.0 plus précisément qui est beaucoup plus puissant que celui utilisé par les Templiers.
Deux ans après après avoir fait sensation, la franchise Assassin's Creed effectue en cette fin d'année 2009 son grand retour sur consoles. Si cette suite n'entend pas révolutionner les habitudes des millions de joueurs séduits par le premier volet, elle tend néanmoins à bonifier l'expérience de jeu offerte. Pari réussi pour Ubisoft Montréal ? C'est ce que nous allons voir dans les lignes qui suivent !Premièrement, et c'est sans doute l'une des principales qualités du jeu, la richesse scénaristique répond une nouvelle fois bel et bien présente. Il en devient même difficile d'en toucher quelques mots dans ce test, de peur d'en dire trop ou alors pas assez ! Néanmoins, il convient de ressituer dans son contexte cette suite, qui comme vous vous en apercevrez bien vite, a su évoluer comme il se doit pour offrir une expérience de jeu complètement retravaillée et davantage accrocheuse.L'histoire débute ainsi en 2012, dans la peau de Desmond Miles, le personnage central de la franchise Assassin's Creed, retenu prisonnier dans les locaux d'Abstergo. Cette puissante multinationale a en effet utilisé notre héros en le forçant à revivre les souvenirs de l'un de ses ancêtres (un certain Altair, ça ne vous rappelle rien ?) par le biais d'une machine aussi étrange que sophistiquée : l'Animus, capable de déchiffrer la mémoire génétique contenu dans chaque homme.
Assassin's Creed a marqué les esprits lors de sa sortie. Pour autant, si le jeu a séduit, les défauts étaient pourtant aussi de la partie. Répétitif, très linéaire, manquant terriblement de contenu pour diversifier l'aventure principale, le premier volet a connu quelques ratés. Aussi, attendons-nous mieux de ce deuxième volet, qui devrait, si tout va bien, avoir appris de ces erreurs passées. Changement de héros, changement d'époque, changement de lieu, nous voilà en 1476, au cours de la Renaissance italienne, et incarnant un certain Ezio Auditore. Si Altaïr a pu se montrer froid et mystérieux, Ezio lui, a du sang latin qui lui coule dans les veines. Il a la verve de tous les Italiens, se trouve séduisant, est amateur de jolie filles, parle avec les mains et n'hésite pas à se battre pour régler des comptes personnels. Le début de l'aventure est haute en couleur et encore loin des complots qui désarment les grandes familles italiennes. Le début du jeu prend le temps de poser les bases de ce nouveau personnage, que l'on découvre dans son quotidien, un quotidien a priori fait de désinvolture. Quelques pas donc pour prendre en main ce nouveau héros, qui lui aussi, aime grimper aux murs avec souplesse et sauter de toits en toits pour remporter des courses, notamment contre son frère.
Bien qu'imparfait, Assassin's Creed fut sans nul doute l’une des expériences les plus appréciées de l’année 2007. Fort d’un scénario riche et d’une jouabilité exceptionnelle malgré quelques défauts de jeunesse évidents, le premier épisode de la nouvelle licence à succès d’Ubisoft Montréal a su faire naitre chez les joueurs l’envie d’une suite, légitimée par les nombreuses questions laissées sans réponse à la fin du premier volet. Pas totalement sourd aux critiques des joueurs, le studio québécois revient aujourd’hui sur le devant de la scène avec la suite tant attendue des aventures de Desmond Miles, en nous promettant plus de révélations tout au long d’une aventure moins répétitive. Promesses tenues ou coup de poignard dans l’eau ? Réponses à la fin de ce nouveau voyage temporel. S’il est bien difficile de parler du scénario d’Assassin's Creed 2 sans pour autant révéler les éléments clés de ce dernier, il faut reconnaitre que le studio québécois a fait les choses en grand. Toujours aussi recherché et énigmatique, le scénario offre une cohérence rassurante qui montre que rien n’est laissé au hasard dans la narration de l’histoire.
En un seul épisode, Assassin's Creed s'est imposé comme l'une des licences phares d'Ubisoft. Un héros charismatique, une aire de jeu immense et impressionnante, un gameplay ouvert autorisant les plus folles cascades, les aventures d'Altaïr ont marqué plus d'un joueur. Néanmoins, l'ambition d'un tel projet avait eu quelques contreparties regrettables, en privant le jeu de missions plus variées et d'un déroulement moins rébarbatif, notamment. L'annonce quasi évidente d'une suite emportait donc avec elle une foule d'espoirs et de rêves qu'Ubisoft Montréal nous a vite promis concrétisé. Ce second épisode d'Assassin's Creed peut-il vraiment être celui de la Renaissance ? C'est en l'an 1476 au coeur de l'Italie que nous entraîne ce second volet d'Assassin's Creed. On y incarne Ezio Auditore, fils d'une famille influente de Florence, qui mène une vie insouciante, courant les filles et cherchant des noises aux Pazzi, un clan rival qui trempe actuellement dans une sombre affaire judiciaire. Tel qu'on nous le présente lors des premières minutes du jeu, il est bien difficile d'être particulièrement fier d'être dans les bottes d'un jeune homme aussi volage et nonchalant.
La saga des Assassins en guerre contre les Templiers se poursuit. Adieux Croisades lointaines, bonjour la Renaissance italienne pour un second opus qui tente de corriger les quelques défauts de son grand frère. Assassin's Creed premier du nom avait passablement divisé les foules. Soit on adorait en étant prêt à lui pardonner ses défauts évidents, soit on restait bloqué par son côté répétitif et des cités un peu vides d'activité. Le leitmotiv du développement de ce second volet aura été la correction de ce genre de problème. Plus grand, plus riche, moins répétitif, Assassin's Creed II pourra-t-il convaincre ceux qui avaient délaissé le premier épisode ? Possible, pour autant, que personne ne s'attendent à une révolution complète même si pas mal de choses ont bel et bien changé. A commencer par le cadre puisque l'Animus nous emmène cette fois en Italie en pleine Renaissance. Autre temps, autres mœurs, autre héros descendant d'Altaïr. Ezio Auditore nous est présenté alors qu'il n'est qu'un flagorneur à grande gueule, impétueux et insolent qui découvrira à ses dépens son destin d'assassin qu'il n'embrasse finalement que dans le but de venger l'exécution de son père et ses frères. Une mort évidemment liée aux Templiers.
Archi ambitieux au moment de sa sortie fin 2007, Assassin's Creed avait déjà suscité la controverse à l'époque avec une réalisation lumineuse mais un gameplay qualifié de perfectible. Après avoir juré un millier de fois sur la tête d'Altaïr que Assassin's Creed II gommerait tous les défauts du premier opus, Ubisoft doit aujourd'hui faire face à ses promesses et fournir un titre supposé parfait sur le papier. Si Ezio Auditore da Firenze - le héros du jeu - épate la mâchoire avec ses voyelles et ses consonnes, ce n'est pas nécessairement le cas de son périple à travers l'Italie qui laisse un goût amer après la quinzaine d'heures de jeu passées en sa compagnie. Deux années, c'est le temps qu'il aura fallu à Ubisoft Montréal pour développer Assassin's Creed II et prolonger le combat opposant la confrérie des Assassins aux Templiers. Habile lorsqu'il s'agit de voyager à travers les époques, la série s'arrête cette fois-ci en pleine Renaissance italienne, presque 300 ans (285 plus précisément) après la Troisième Croisade, le retour d'Altaïr au premier rang et ses neuf crimes qui ont marqué l'Histoire.
Ce n'est pas un secret : personnellement, je suis rentré à fond dans Assassin's Creed, un jeu-trip qui a su me transporter, en son temps, tandis que beaucoup d'autres, moins aisément conquis, ont eu l'expérience gâchée par un game design, il est vrai, loin d'être sans défauts. Avec une com' forte, et des promesses plein leur besace, les gars d'Ubi livrent un second épisode très attendu... au tournant. La sauce prendra-elle à nouveau ? Plus que jamais, c'est avec un jeu comme Assassin's Creed 2 qu'on se rend compte à quel point le temps peut passer vite dans le monde du jeu vidéo. Deux ans à peine depuis le premier, certes, mais deux ans de jeux dont certains ont creusé un tel fossé en termes de narration, comme de prouesses techniques, que rester dans la course peut parfois s'avérer bien plus difficile qu'on ne l'aurait cru. En commençant ainsi, certains penseront savoir où je veux en venir : un Assassin's Creed 2 qui aurait déjà vieilli. Ce n'est pourtant pas le cas ; tout du moins les choses ne sont-elles pas si simples. Mais s'il propose indubitablement une formule considérablement enrichie, bourrée de nouveautés, par rapport à 2007, le trip prend moins... aux tripes.
Les talentueux marketteux de chez Ubisoft ayant noté que les joueurs aiment globalement pas mal escalader des trucs et tuer des gens, les studios de développement du géant français avaient eu tôt fait de se lancer dans ce qui deviendrait un des plus beaux jeux current-gen à sa sortie, Assassin's Creed. Même si incroyablement beau et jouissif, cette simulation d'ôtage de vie et de grimpette s'était vite fait critiquer pour sa répétitivité dans l'action. Qu'à cela ne tienne, les ventes ayant malgré tout suivi, Ubi revient à la charge avec une version 2.0 qui cartonne des castors. Avec pour but la réparation d'une horrible injustice. En effet, malgré le nombre incalculable d'Arabes tués par Altaïr, le premier Assassin's n'avait pas reçu le centième de la publicité gratuite dont a pu bénéficier Resident Evil 5 et ses zombies noirs. Comptant sur la vigueur et la fierté de nos voisins méditerranéens, Ubisoft a cette fois-ci décidé de massacrer des Italiens virtuels. Ce qui est, convenons-en, du racisme à l'état pur. Boycottons ce jeu et créons un groupe Facebook pour exprimer notre mécontentement. En attendant, voici notre compte-rendu après un après-midi manette en main.
Après nous être essayés à un niveau bien défini se déroulant dans Venise, nous avons pu remettre la main sur Assassin's Creed 2 lors d'un événement qu'Ubisoft a organisé en Toscane. Pourquoi avoir choisi cette région d'Italie ? Tout simplement parce que c'est là que se trouve Florence, la ville où débute ce deuxième opus très prometteur. Mettons d'emblée les choses au point : c'est quelqu'un qui a recommencé à plusieurs reprises le premier Assassin's Creed mais qui n'a jamais ressenti le besoin d'en voir la fin qui rédige ces quelques lignes. Toutefois, en toute objectivité, il est clair qu'il y a deux aspects à ce jeu. D'un côté on ne peut que saluer le pan "démonstration technologique". Entre l'étendue des espaces proposés, la modélisation des villes mais aussi l'enthousiasme pur et simple généré par les séances de "free run" lors desquelles on emmenait Altaïr faire l'acrobate sur les toits des maisons, on était séduit. De l'autre, on pouvait se sentir très dubitatif face à un scénario et à un contexte qui peinaient à emporter le joueur, sentiment renforcé par des actions et des objectifs souvent répétitifs.
Il y a quelques années, je suis passé par un état d’esprit qui commença à affecter la manière dont je vivais. Je sais, vous allez me dire que je n'ai qu'à ouvrir un blog pour me raconter, mais faites-moi la gentillesse de continuer à m'écouter. À l'époque j'étais en fac. En tant qu'étudiant en philosophie, j'avais beaucoup de temps libre. J'avais également un excellent ami, et compagnon d'études, qui possédait une PlayStation, la console de référence à l'époque, et un exemplaire de Tony Hawk's Pro Skater 2. Entre vaguement essayer de comprendre la quintessence de la pensée de Kant et propulser Rodney Mullen sur des rampes hémisphériques et des cages d'escalier, nous choisissions souvent (comprenez : toujours) cette dernière alternative. Nous sommes devenus plutôt bons, finissant par réussir jusqu'au moindre saut au-dessus des précipices du jeu à l'exception d'un, qui nous résistait obstinément. De guerre lasse, nous avons fini par renoncer – envoyant un autre rêve inachevé dans le placard des désillusions amères. Pourtant, quelque chose de curieux s'était produit. Je découvrais le monde extérieur sous un jour nouveau – il m'apparaissait constitué de lignes, de pistes, de chemins périlleux, de précipices à sauter et d'échangeurs.
"Voir Venise et mourir", disait l’autre. Eh bien c’est justement ce dont il a été question durant notre premier essai manette en mains d’Assassin’s Creed 2... Plantons sans plus attendre le décor (Et Dieu sait combien cet élément est important quand on parle de ce jeu...), Assassin’s Creed 2 débutera cinq minutes après la fin du premier opus. Pour autant, nous pouvons d’ores et déjà répondre à la grande question que doivent se poser ceux qui ont terminé Assassin’s Creed : non, les symboles du mur ne trouveront pas leur signification dans cette suite. D’autres moyens existent pour découvrir les sens cachés de ces signes, à commencer par le média que vous êtes en train d’utiliser. Le niveau présenté au TGS et auquel nous avons pu jouer se déroule en fait à Venise et se situe grosso modo au milieu du jeu. Comme vous le savez, Altaïr a cédé la place à Ezio Auditore Di Firenze. Si ce monsieur avait pour habitude de laisser des traces derrière lui, on serait tenté de dire qu’un nom pareil doit tenir de la place sur une carte de visite. Mais ce jeune homme issu d’une famille de la bourgeoisie italienne de la Renaissance a d’autres problèmes depuis qu’un événement dramatique, sur lequel il a été impossible d’obtenir des détails, l’a privé de la fortune qui lui revenait de droit.
A l'occasion de ce salon du jeux vidéo,nous avons eu l'occasion de pouvoir approcher de près les aventures d'Enzio, héros de ce nouvel Assassin's creed qui s'annonce remarquable. Commençons par ce qu’on voit au premier abord : côté graphique, il n’y a pas grand-chose à dire. Les textures sont vraiment détaillées, les personnages très bien modélisés et les décors réalistes. L’univers visuel du premier opus avait déjà fait parler de lui, celui-ci sera encore meilleur. La ville est parfaitement modélisée avec une atmosphère originale très différente de celle présente dans son grand frère. Une foule de PNJ donnant vie à la ville, des costumes somptueux qui créent une atmosphère des plus réussies. Niveau gameplay, ubisoft nous offre plusieurs nouveautés permettant ainsi au joueur une plus grande liberté de mouvements. Malgré tout, Enzio se dirigera de la même façon qu’Altaïr et l’animation des mouvements reste pour ainsi-dire inchangée. Ainsi, notre nouveau héros possédera deux lames dissimulées dans chacune de ses manches (une seule pour Assassin’s creed) lui permettant de réaliser deux assassinats simultanément.
La cible se tient à quelques mètres de là. Il ne nous reste plus qu'à traverser la foule, discrètement, sans faire de vagues, sans faire quoi que ce soit qui puisse révéler nos véritables intentions. L'approche furtive est un art qui n'est pas à la portée de tous, mais là maintenant, en ce moment précis, rien ne pourra nous faire dévier de notre objectif. Le crayon, froid comme une lame, se trouve bien planqué dans une manche, prêt à frapper et à mordre le papier tandis que l'on écoutera avec volupté les commentaires enflammés de Patrice Dessilet, le directeur créatif d'Assassin's Creed II... Pardonnez cette introduction un peu cavalière, mais il est assez difficile de ne pas s'emballer lorsque le nouveau blockbuster d'Ubisoft se trouve dans les parages. Dur en effet de ne pas partir en sucette alors qu'on observe Ezio se balader avec classe et désinvolture dans les rues de Florence. Comme Altaïr en son temps, le héros de cette nouvelle aventure se fond dans la foule, silhouette gracieuse et vaguement inquiétante. Il progresse comme une ombre vers un marchand posté au coin de la rue et ne se gêne pas pour faire discrètement les poches des passants.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
Plus accessible...
Assassin's Creed II fait lui aussi partie de ces quelques jeux déjà montrés à l'E3 mais qui nous ont tout de même réservé de petites surprises pour cette gamescom. Au menu, une nouvelle démo d'une trentaine de minutes en petit comité avec de l'inédit, et toujours beaucoup de qualités. Impressions sur le gros jeu Ubisoft de cette fin d'année. Si notre avis sur le titre était déjà positif après la présentation de juin dernier à Los Angeles, la session de la E3 a eu l'avantage de nous montrer un vrai morceau du jeu, et non pas une phase d'action réglée au millimètre pour impressionner la foule comme c'est un peu devenu la norme dans notre beau milieu. Ce contact plus "humain" avec Assassin's Creed II a permis de pressentir la richesse de son gameplay, visiblement plus étoffé que dans le premier épisode, ce qui ne sera par pour nous déplaire quand on se souvient que son aspect répétitif avait souvent été pointé du doigt par ses détracteurs. Rappelons que le cadre de cette aventure est l'Italie de la Renaissance, avec ses magnifiques architectures et son raffinement qui permet au jeu d'être magnifique, des poteries en passant par les tenues des personnages, sans parler du moteur 3D du jeu qui a encore progressé alors qu'il était déjà considéré comme une référence en son temps.
C’est Patrice Désilets, le directeur créatif de la série Assassin’s Creed qui nous accueille pour une présentation en comité réduit d’une nouvelle démo du deuxième volet, évidemment très attendu. Sympathique et jovial comme tous les Québécois que j’ai pu rencontrer dans ma vie, Patrice nous rassure et nous fait plaisir en nous avertissant que cette démo de la GamesCom n’est pas la même qu’à l’E3. Cette dernière se déroulait à Venise, direction aujourd’hui la belle Florence. Nous en profitons pour demander à Patrice quelles seront finalement les différentes zones qui constitueront le jeu. On trouvera donc les deux villes déjà citées, mais aussi la campagne toscane, autour du village de San Gimignano, et plus étonnant une zone en Roumanie ! Il n’y aura pas de « hub » central pour relier tout ça comme le Royaume dans le premier volet, et on pourra donc se déplacer assez rapidement d’une zone à une autre. Cette fameuse grande zone avait été une des déceptions du Assassin originel, non pas en termes de design, puisqu’elle disposait de magnifiques graphismes, mais plutôt parce qu’il n’y avait rien à y faire.
Gamekult
Ajouté le : 06/2009
Plus accessible...
Assassin's Creed est un best seller, mais le jeu d'Ubisoft a aussi été applaudi par une majorité des critiques lors de sa sortie remarquée en 2007. C'est donc fort naturellement que l'éditeur s'apprête à remettre le couvert avec un Assassin's Creed II à première vue assez proche de son prédécesseur, mais peut-être pas tant que ça au final... Premier tour du propriétaire avec la version spécialement conçue pour cet E3. Assassin's Creed II, c'est avant tout un changement d'époque, et donc de décor. L'histoire se déroulera cette fois dans l'Italie de la Renaissance, et plus précisément à Venise pour la version présentée, avec tout ce que cela implique côtés environnements somptueux et mécanismes de gameplay adaptés au contexte. Dans le petit lot de nouveautés dévoilées dans cette version, on a par exemple pu voir Ezio, le nouveau héros, s'élancer dans les airs à l'aide d'une machine volante élaborée par Léonard de Vinci en personne.
Le blockbuster signé Ubisoft Montréal refait parler de lui en cette période chargée en actualité vidéoludique. Petits veinards que nous sommes, nous avons pu voir une démonstration de gameplay du titre et poser quelques questions indiscrètes à un des responsables du projet. Illustrant à la perfection les méthodes de développement de l'éditeur Ubisoft, Assassin's Creed premier du nom avait marqué les esprits il y a deux ans. Techniquement soigné, doté de concepts de gameplay originaux et épaulé par une puissance marketing hors pair, le titre avait su se hisser aux meilleures places dans les tops des ventes internationaux. Un succès qui n'était pas illégitime, mais tous les joueurs s'étant adonnés aux joies de l'assassinat dans la ville sainte de Jerusalem se souviennent que le titre n'était pas exempt de défauts pour autant. Répétitif, doté d'une IA déficiente et souffrant dans l'ensemble d'un manque cruel d'intérêt, le premier jeu Assassin's Creed était loin de refléter à la perfection l'image de la nouvelle licence que l'éditeur voulait imposer.
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