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Nous avons réuni 7 tests du Army Corps of Hell. Les experts notent Army Corps of Hell 5.3/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Army Corps of Hell et d'autres Jeux PS Vita.
Tout comme Overlord, le jeu d'action Army Corps of Hell nous propose d'incarner un seigneur du mal pour diriger d'impitoyables démons sur Vita. Sympathique de prime abord, ce titre Square Enix manque pourtant de souffle sur la durée comme nous allons le voir dans ce test. Reprenant le principe de Pikmin en lui insufflant une bonne dose de fourberie et de second degré, la série Overlord nous proposait de passer du côté des méchants pour terroriser de gentils paysans et flanquer une bonne correction à tous les héros au cœur pur qui se dressaient en travers de notre chemin. Accompagné par sa loyale armée de larbins, le joueur avait tout loisir de brûler, piller et détruire pour asseoir son règne de terreur et étendre sa domination. Army Corps of Hell s'appuie sur un concept similaire dans le sens où il nous permet de diriger un roi déchu bien décidé à conquérir les Enfers à l'aide de sa troupe de larbins. Cependant, l'expérience se limite ici à une longue succession de combats agrémentée d'un peu de gestion. La première impression est pourtant bonne quand on lance une partie d'Army Corps of Hell. Notre petite armée de gobelins est facile à commander, les combats sont dynamiques et les ennemis semblent assez variés.
Une licence inédite et un concept intéressant ne suffisent pas à briser la monotonie des niveaux et l'ultra-répétitivité du gameplay. Egalement entaché d'une réalisation plus proche de la PSP que de la Vita, Army Corps of Hell n'arrive à la moyenne qu'en raison de son ambiance diabolique et de sa musique bien rythmée. Dispensable. Déchainez les enfers sur votre toute jeune PlayStation Vita avec Army Corps of Hell, un croisement étonnant entre Overlord et Pikmin. Une entité démoniaque vient d'atterrir dans un monde fantastique plein de gobelins. Bien décidée à devenir le maitre des lieux, elle réduit à l'esclavage la population locale et s'en sert pour détruire ses opposants. Ce démon, c'est vous. Et votre armée prête à se sacrifier pour vous, ce sont des dizaines de mignons. Dans le principe on retrouve l'ADN du jeu Overlord de Codemasters dans lequel un seigneur du mal ordonnait à ses larbins de faire le sale boulot à sa place. Dans la représentation, nous sommes plus proches d'un Pikmin avec des petits êtres qui gravitent autour de vous par paquets. Le tout donne un titre hybride pas totalement convaincant, basique et superficiel.
La première production Square Enix sur PlayStation Vita, elle se nomme Army Corps of Hell et a été développée par l'équipe nippone de Entersphere, Inc.. Sous ses allures d'un Pikmin revisité avec une dose d'Overlord, ce jeu d'action tente de surprendre son monde en nous permettant d'incarner le Maître des Enfers, rien que ça. Si la formule semble avoir de quoi attirer notre attention de prime abord, l'expérience va rapidement s'avérer plus infernale que prévue. Rien ne va plus pour le Maître des Enfers. Éjecté de son trône par quelques démons un peu trop gourmands, notre héros va se servir de pauvres petits gobelins pour former une armée de fortune et ainsi retrouver la place qu'est la sienne. Un périple qui va durer le temps d'une vingtaine de niveaux, avec une progression malheureusement rapidement rébarbative. Outre une histoire qui ne va pas chercher plus loin que son postulat, le soft peut compter sur de brèves cutscenes qui s'invitent entre chaque niveau. Des cinématiques peu intéressantes à base d'artworks et qui se contentent, la plupart du temps, de reprendre les mêmes dessins en modifiant simplement les dialogues. Autant dire que l'on se lasse rapidement de ces séquences faussement animées et pas variées pour deux sous.
Army Corps of Hell aura au moins une bonne raison de marquer les esprits puisqu'il s'agit de la première production Square Enix exclusive à la nouvelle portable de Sony. Au-delà de ce titre honorifique qui lui fera sans doute une belle jambe, ce titre, développé par le petit studio japonais Entersphere, a également de quoi se placer sur le podium des concepts improbables avec une réinterprétation du mignonnet Pikmin à la sauce death metal. Cela suffira-t-il pour qu'il décroche un 666 ? Que Diable allait-il faire dans cette galère ? L'histoire d'Army Corps of Hell aurait très certainement plu aux scénaristes avinés de Nippon Ichi, puisque le jeu conte les aventures du roi des Enfers dans sa lutte pour écraser les démons qui chercheraient à prendre sa place. Plutôt en colère, notre héros à cornes traversera ainsi différents niveaux souvent protégés au final par des boss d'envergure et simplement entrecoupés de cut-scenes dessinées pas très utiles. La progression est d'ailleurs des plus linéaires, puisque chaque niveau se compose comme un petit archipel d'îlots fermés, auxquels on accède au fur et à mesure après avoir vaincu la vaguelette de monstres qui apparaîtra dessus.
On imaginait un Final Fantasy Type 0 adapté sur Vita comme jeu de sortie. Un remake d'un classique était tout aussi envisageable. Square Enix a préféré rentrer sur Vita par la petite porte, en toute humilité. Quand on pense "musique de SquEx", c'est généralement les mélopées de Final Fantasy qui viennent en tête. Il y a aussi les géniales compositions de Dragon Quest. Rarement le death metal. Et pourtant Army Corps of Hell balance de la batterie et de la guitare électrique comme jamais dans un jeu réalisé par des japonais. Exit Uematsu et Sugiyama, la musique d'Army Corps of Hell est composée par des stars locales de l'underground "United", des japonais aux cheveux longs qui se pètent littéralement les cordes vocales pour le petit plaisir du joueur. Ce changement d'ambiance sonore est justifié par le contexte : on incarne le démon en chef de l'enfer qui va devoir rappeler à tout le monde qu'il est le maître de son royaume. Notre Belzébuth aura sous ses ordres une armée de petits gobelins qui lui obéiront au doigt et à l'oeil. Tout comme dans Pikmin, le mentor pleinement assumé, on se retrouve dans un jeu de stratégie en temps réel qui lorgne vers l'action.
Contrairement à de nombreux éditeurs, Square-Enix fait le pari de l'originalité pour le lancement de la PlayStation Vita en nous proposant un jeu inédit et non une flopée de portages. Army Corps of Hell, c'est son nom, est donc toute nouvelle licence mêlant action et stratégie pour une aventure au cœur des enfers. Army Corps of Hell vous place aux commandes d'un puissant démon fraîchement débarqué en enfer et qui n'a pas l'intention de passer le restant de ses jours à cirer les bottes de ses confrères. Toujours assoiffé de pouvoir et de domination, ce dernier ne trouve rien de mieux que de prendre sous son contrôle une troupe de gobelins qui passait par là et part en guerre avec ces derniers contre les barons locaux. Ce qui nous amène au gameplay particulier du jeu, qui n'est pas un beat'em all à la troisième personne comme on en a tant vu ces derniers temps. Si vous contrôlez directement votre héros sur le terrain, celui ne se bat jamais directement. A la manière d'un Pikmin, vos fidèles gobelins ne vous quittent pas d'une semelle, se plient aux moindres ordres que vous leur donnez et se battent vaillamment jusqu'à la mort pour vous. Une mort qu'ils craignent d'autant moins qu'il suffit de vous approcher de leurs cadavres dans les secondes suivant leur décès pour les réanimer instantanément.
Gamekult
Ajouté le : 09/2011
Plus accessible...
Square Enix se devait d'être dans les petits papiers de Sony pour la sortie de la Vita. Jigoku no Gundan, littéralement "l'armée de l'enfer", est ce petit jeu qui va sceller avec le sang une amitié satanique mais sans risque, en s'inspirant grandement de Pikmin. Car de Pikmin à Méphistophélès, il n'y a qu'un Styx que Square Enix a franchi sans honte. On incarne un démon qui, tel Denis Brogniart sur ses îles paradisiaques, commande avec fermeté une armée de gobelins. Tête de mort à cornes, cape déchirée, musique tendance métal bien agressive, il est temps que les mécréants sachent de quel bois les démons se chauffent. Tel est le programme de Jigoku no Gundan, alias Army Corps of Hell sur PS Vita. Conceptuellement, le titre copie les phases de combat de Pikmin en retranchant apparemment tout ce qui concernait l'aventure et la réflexion. On se promène dans des petites aires de jeu, quelque part en enfer, en envoyant à la gueule des ennemis les gobelins, jusqu'à ce qu'ils en viennent à bout. Mais pour ne pas tomber dans la repompe patentée et surtout pour éviter que le jeu ne se répète trop souvent, Square Enix et le studio Entersphere a rajouté la possibilité d'ordonner des coups magiques ou d'attaquer à la lance, suivant les circonstances.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Army Corps of Hell. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Army Corps of Hell.