11 tests d’experts - Aucun avis d'internautes
S'abonner
0
0
Je le veux
0
Je l'ai
0
Je l'ai eu
0
Nous avons réuni 11 tests du Anarchy Reigns. Les experts notent Anarchy Reigns 5.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Anarchy Reigns et d'autres Jeux Playstation 3.
En quelques années, grâce à plusieurs jeux phares, l'équipe de PlatinumGames s'est faite un véritable nom dans le jeu vidéo sans toutefois connaître une popularité folle. Le genre de réputation qui fait que chaque production du studio est source d'une certaine curiosité. C'est un peu le cas avec Anarchy Reigns, un titre qui aura pris son temps avant de paraître chez nous. Disponible depuis belle lurette au Japon sous le nom de Max Anarchy, il a en effet été repoussé à maintes reprises dans nos contrées à cause des déboires occidentaux de son éditeur, Sega. S'il est finalement arrivé jusqu'en Europe, à petit prix, Anarchy Reigns s'engage dans un combat qui est loin d'être gagné. N'allez pas dire à Yamanaka, Game Director d'Anarchy Reigns, que le soft est un successeur à Madworld, il vous répondrait un « non » catégorique. Le jeu PS3/360 a beau partager quelques mécaniques, l'un de ses principaux personnages et plusieurs autres protagonistes avec le soft Wii de 2009, PlatinumGames se refuse à considérer les deux productions comme liées, préférant qualifier Anarchy Reigns d'univers représenté par les mêmes acteurs de Madworld mais dont le rôle serait différent. Soit.
Sorti l'été dernier au Japon, Anarchy Reigns n'a pas connu le succès escompté sur ses terres d'origines. Ce n'est paradoxalement pas une si mauvaise chose pour nous autres joueurs occidentaux qui bénéficions d'une arrivée certes tardive mais d'un tarif préférentiel grâce à ce flop nippon. Pas le plus attendu des Platinum Games, qui planche sur Metal Gear Rising et Bayonetta 2, Anarchy Reigns reste un beat'em all multijoueur curieux et jouissif qui mérite l'attention des amateurs du studio. Il conviendra de vite oublier le solo d'Anarchy Reigns. Pas inutile dans l'absolu, puisqu'elle permet de se faire au gameplay du jeu tout en débloquant les personnages en vue du multijoueur, la campagne n'a ni l'ampleur ni la rythmique chirurgicale des précédentes productions Platinum Games. On y enchaine sans passion missions et boss dans des environnements semi-ouverts, à peine guidé par une trame narrative simpliste qui a au moins le mérite de se développer via une foultitude de cinématiques aux dialogues drôlement crus.
Vous le vouliez, ce jeu Sega maudit à la Shenmue, une sortie japonaise loupée, une version occidentale qui sort comme un grand malentendu ? Voilà l'agneau sacrifié dans sa cuvée 2012/2013, Anarchy Reigns.Je le confesse dès le début, j'adore les jeux PlatinumGames, chacun à leur manière. Avec à chaque fois une espèce de réjouissance de gamer, comme s'ils touchaient à cette âme de gosse de 14 ans, enfouie en moi. Non mais regardez-moi ce palmarès : Vanquish est un shooter où l'armure du héros glisse sur le sol à toute vitesse à coup de booster dans les tibias et les bras pour mieux aller flinguer la gueule des communistes de l'espace. Fabuleux. Bayonetta, elle, est une sorcière avec des flingues placés dans ses talons hauts pour qu'elle tire sur ses ennemis tout en leur donnant des coups de pieds. Et puis elle finissait généralement nue si l'on était doué. Awesome. Même MadWorld avait pour lui ce mélange étrange de Sin City et de Two Crude Dudes. Une sortie européenne ajournée comme l'annonce d'un flop, une mise en place ridicule au Japon et surtout une odeur sulfureuse de daube qui traine depuis les mails pro aux fenêtres MSN entre collègues et potes, personne n'épargne Anarchy Reigns, le dernier poulain de PlatiniumGames avant de changer de crémerie. Sega, démembré, décomposé, laisse partir sa couteuse bande de margoulins passionnés qui n'a jamais rempli ses caisses.
PlatinumGames, on les connaît pour des jeux tels que MADWORLD, Bayonetta, Infinite Space ou bien encore Vanquish. Des titres qui ont su gagner le respect des gamers mais pas encore du grand public, puisque les ventes au global ont toujours été décevantes, ne dépassant que très rarement le million de copies vendues. Aussi, en attendant que le studio japonais trouve enfin la licence qui les hissera au même rang de popularité que Capcom ou bien encore Square Enix, tentons l'aventure Anarchy Reigns, un beat'em all très orienté pour le multi, sorti l'été dernier au Japon sous le nom de Max Anarchy.Quelques mois à peine après la sortie de MADWORLD sur Wii, les rumeurs concernant l'adaptation du jeu sur Xbox 360 et PlayStation 3 n'ont pas tardé à fleurir sur le Net. Si SEGA a toujours pris le soin de démentir ces bruits de couloir, ou tout simplement à laisser le doute planer en faisant le jeu de l'autruche, on constate aujourd'hui que les fuites n'étaient pas totalement fausses. Car Anarchy Reigns est bel et bel ce MADWORLD en haute définition dont tout le monde parlait à l'époque.
On sait que les développeurs japonais ne sont pas forcément portés sur le multijoueur. Les jeux de combat traditionnels se débrouillent très bien lorsqu'il s'agit de faire intervenir deux, voire quatre participants, mais les choses se corsent lorsqu'il est question de rassembler plus d'une dizaine de joueurs. C'est pourtant le pari audacieux des équipes de PlatinumGames qui nous reviennent avec un titre hybride que l'on pourrait qualifier de beat'em all multijoueur. Malheureusement, le résultat n'est pas tout à fait à la hauteur des attentes que pouvait susciter le projet. Le studio PlatinumGames n'a plus vraiment grand-chose à nous prouver en matière de jeu d'action. On lui doit en effet le sanglant MadWorld, le survolté Vanquish et surtout le magistral Bayonetta. Bref, ce développeur a régulièrement accouché de titres proposant un solo diablement nerveux, mais il s'aventure désormais sur une autre voie avec Anarchy Reigns puisque ce dernier vaut surtout pour son multijoueur capable d'accueillir jusqu'à 16 participants en ligne. La véritable question est donc de savoir si le studio a réussi à négocier ce changement de cap et s'il parvient à nous proposer une expérience aussi forte qu'à l'accoutumée.
Projet fourre-tout servant de fin de contrat avec un Sega en pleine restructuration, Anarchy Reigns a une drôle de place dans le CV de PlatinumGames.Beat'em all à scoring en trois dimensions reprenant une partie du système et du casting de MadWorld, il se passe toutefois de son esthétique audacieuse. Le titre est aussi la première expérience multijoueur en ligne du studio nippon, en même temps qu'une terre d'accueil pour Bayonetta, sorcière désormais partie envoûter la Wii U. Mais derrière l'anarchie totale, les développeurs n'ont-ils pas oublié ce qui faisait leur originalité ? A la manière des derniers Battlefield, Call of Duty, Halo ou Starcraft, Anarchy Reigns est un jeu où la campagne solo n'est plus ou moins qu'une mise en bouche avant de se frotter au multi. Le problème, c'est qu'elle est particulièrement mal foutue, tout en se permettant le luxe d'être indispensable pour profiter pleinement des affrontements en ligne. Il y a certes une histoire à suivre depuis le point de vue de la bande à Jack, transfuges de MadWorld, ou de celui de la troupe de Leo, ancien marine désormais membre d'une équipe d'intervention cybernétique du Bureau. Chaque camp - l'un noir et l'autre blanc - poursuit un même homme, le puissant justicier Max devenu hors-la-loi et accusé d'avoir tué sa femme avant de disparaître.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que depuis sa création le studio PlatinumGames a su varier les plaisirs : de MadWorld à Vanquish en passant par Infinite Space et Bayonetta, les développeurs nippons ont su pour chacune de leur production nous offrir un univers propre et un gameplay particulier. Une recherche d'originalité qui se confirme avec Anarchy Reigns, puisque l'on est ici en présence d'un beat-em-all orienté multijoueurs, qui n'oublie toutefois pas les joueurs solitaires avec une campagne plutôt conséquente. Explications.Anarchy Reigns prend place dans un futur lointain qui se veut une fois de plus résolument pessimiste : le monde est en effet plongé dans un chaos total après que les humains aient épuisé les ressources de la planète et jeté leurs déchets toxiques un peu partout, déclenchant au passage d'étranges mutations au sein de leur propre espèce. Pour combattre maladies et autres déformations physiques les scientifiques ont mis au point des nanomachines mais, comme toujours, certains ont été laissés de côté dans la manoeuvre, si bien que les actes terroristes se sont multipliés à vitesse grand V.
Là où PlatinumGames passe, le jeu vidéo se surpasse. Telle pourrait être la devise du studio japonais dont chaque nouvelle création fait grand bruit et s'impose rapidement comme une nouvelle référence. MadWorld, Bayonetta ou encore Vanquish ont ainsi donné un coup de boost à leur genre respectif. Anarchy Reigns est forcément très attendu et, loin de faire comme tout le monde, les esprits fous de PlatinumGames ont annoncé un Beat Them All en ligne. De passage chez Sega, nous avons pu nous adonner à quelques empoignades sauvages. Le genre est rare mais pas dénué d'intérêt, il remonte surtout à une lointaine époque où Double Dragon était l'un des musts du Beat Them All. L'aventure principale n'était finalement qu'un apéritif en prévision du dernier duel opposant les deux joueurs qui avaient combattu cote-à-cote jusqu'au boss final. Au fur et à mesure des années, ces jeux où il faut avancer et massacrer les ennemis se sont de plus en plus dirigés vers des aventures solitaires, oubliant en chemin la convivialité naissant du plaisir de mettre des baffes avec un ami. Anarchy Reigns ressuscite ce principe et va beaucoup plus loin. Commençons par rassurer ceux qui ne souhaitent pas jouer uniquement en ligne, le titre édité par Sega comporte une campagne solo.
JeuxVideo.fr
Ajouté le : 03/2011
Plus accessible...
Madworld, Infinite Space, Bayonetta, Vanquish... PlatinumGames fait partie de ces studios qui ne font que des jeux à forte personnalité, même si le succès commercial n'est pas forcément au rendez-vous. Des développeurs qui ne font pas des titres uniquement pour s'en mettre plein les fouilles, quitte à aller trop loin dans leurs concepts initiaux. A ce titre Madworld est l'exemple type : une vraie identité graphique, un vrai parti pris de gameplay, une vraie tentative de créer un jeu singulier, mais un jeu boudé par les joueurs. Anarchy Reigns est certainement la synthèse de ce travail de la part du studio nippon. La présentation du jeu s'est faite dans un ancien chantier naval couvert sur les bords de la Tamise, à Londres, recyclé en bar/restaurant. Au milieu de l'immense salle de conférence improvisée, un ring : ambiance ! Atsushi Inaba, producteur du jeu, était du déplacement et a profité du speech d'introduction pour nous rappeler que son jeu est né de la volonté de PlatinumGames d'offrir aux joueurs une expérience multijoueur en ligne mémorable. Le studio n'ayant encore jamais réussi à intégrer un mode multi digne de ce nom, capable de faire bonne figure aux côtés des contenus en solo.
Développé sous l'égide d'Atsushi Inaba, Anarchy Reigns s'est vu immédiatement mis en avant comme un jeu d'action multijoueur en ligne, premier essai dans le genre pour le studio PlatinumGames. Un choix à priori surprenant pour le jeune studio, habitué aux titres pensés pour le solo que sont Madworld, Bayonetta ou encore Vanquish. La présence d'un Story Mode lors de la présentation officielle â?? qui s'est déroulée mercredi dernier à Londres â?? a ainsi modifié un tantinet la donne puisque le titre de SEGA laisse l'aspect uniquement arène multi de côté pour devenir un jeu qui possède un véritable pan multijoueur. Et ce même si Inaba est resté très évasif sur le contenu de ce mode histoire. Tout juste sait-on que l'action se déroulera dans les restes de la ville d'Altanbra et que le joueur prendra le contrôle de Jack au sein de diverses missions. C'est donc la partie multijoueur qui a été au centre de ce premier regard et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce titre mêle action pure et éléments de jeux de baston, pour un mélange proche d'un Power Stone musclé dans la forme et d'une sorte de FPS au corps-à-corps dans l'esprit.
PlatinumGames fait partie de ces rares développeurs pouvant se targuer de ne jamais s'être reposé sur ses lauriers. Certains mettront cela sur le compte de la jeunesse du studio japonais, d'autres reconnaîtront le talent et l'inventivité des équipes qui le composent. Après MadWorld, Bayonetta, Infinite Space et Vanquish, quatre jeux dotés d'un univers et d'un gameplay propres, voici venu le tour d'Anarchy Reigns. Un titre qui se différencie des autres productions du développeur par son orientation multijoueur. Dans l'industrie du jeu, comme partout ailleurs, il y a certaines injustices que l'on a du mal à s'expliquer. Alors que certains studios empilent les suites en connaissant un succès insolent, d'autres s'évertuant à innover ne sont que rarement récompensés. C'est le cas de PlatinumGames dont les productions de grande qualité n'ont pas rencontré le succès qu'elles méritaient, tout du moins en Occident. Pour autant, ses membres ne se découragent pas et continuent d'essayer de faire rimer qualité avec rentabilité. A l'image d'Inaba Atsushi, l'un des fondateurs de l'entreprise japonaise, venu à Londres présenter son nouveau projet, Anarchy Reigns.
TestMateriel.com ne regroupe pas de serial, no cd, warez, torrent et crack pour Anarchy Reigns. Inutile de nous contacter pour se faire rembourser d'un jeu, obtenir de l'aide pour le lancer, demander une soluce, une astuce Anarchy Reigns.