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Nous avons réuni 14 tests du Aliens vs Predator. Les experts notent Aliens vs Predator 5.6/10. Retrouvez sur TestMateriel.com les tests, le meilleur prix, les avis des utilisateurs du Aliens vs Predator et d'autres Jeux Xbox 360.
Aliens Vs Predator n'en est pas à son premier titre, la série officiant sur PC depuis quelques années déjà. Mais ce volet est le premier à s'installer sur les consoles que sont la PS3 et la Xbox 360. Une arrivée sur ces plateformes aurait pu être synonyme d'une évolution, du changement, et donner lieu à un jeu hors-pair, privilégiant la qualité des graphismes et, de ce fait, garantissant une sympathique immersion auprès de ces créatures. Malheureusement pour les habitués de la série, la déception ne tarde pas à se faire sentir. Rebellion, toujours aux commandes, semble surtout se poser, et ce des années après, sur ses acquis. La série n'évolue pas et son immobilité la dessert, les jeux du moment étant un peu plus aboutis. Les créatures ne sont ici pas mises à l'honneur et sont plutôt mal desservies par un gameplay peu avantageux. Ce nouveau Aliens Vs Predator ne tient pas ses promesses et a bien du mal à nous tenir en haleine pendant la poignée d'heure passée en sa compagnie. Cela ne veut pas pour autant dire que le titre de Rebellion se montre mauvais. Il dispose de bonnes idées, mal exploitées certes, mais tout n'est pas à jeter. Les intentions des développeurs étaient louables, mais par manque de temps ou de budget, le résultat est en deçà de ce que, peut-être, ils avaient imaginé eux-mêmes.
Après deux énormes catastrophes nommées ShellShock 2 : Blood Trails et Rogue Warrior, Rebellion ne se dégonfle pas pour autant et nous offre un nouveau FPS qui n'est autre que Aliens vs. Predator. Un titre à forte licence donc, qui n'est pas sans rappeler le très bon jeu éponyme que le studio avait sorti il y a de cela dix ans. Désormais sur un hardware sans commune mesure avec les PC de l'époque, le titre a-t-il réussi à évoluer dans le bon sens ? La recette qui avait fait mouche en 1999 est toujours la même, à savoir que l'on retrouve une partie solo mêlant trois des races les plus célèbres de la galaxie. L'histoire, qui au passage n'est clairement pas le point fort du titre, propose donc de découvrir ce qui se passe au sein de la colonie Freya Prospect à travers le regard de trois créatures possédant chacune leur mini-campagne. Le joueur est libre de commencer le jeu par celle qu'il préfère, que ce soit le trip survival-horror de l'humain ou le sadisme revendiqué de l'Alien et du Predator. D'ailleurs, si on peut trouver pas mal de similitudes entre les campagnes des deux races extraterrestres, la campagne humaine est quant à elle vraiment à part, que ce soit en terme d'émotions (être la proie ou le prédateur, ça change tout) ou d'environnements (les décors sombres en intérieur sont plus nombreux dans la campagne humaine).
Habitués à tâter de l'extraterrestre star de cinéma, les développeurs de Rebellion rempilent pour nous livrer une nouvelle version de la classique devinette : Alien, Predator et Marine sont sur une planète, le marine tombe de haut, qui reste-t-il ? FPS à part, les premiers AVP ont largement su rallier à leur cause des milliers de fans. Cette cuvée 2010 en sera-t-elle aussi capable ? Tous les doutes sont permis...Les versions étant similaires, les tests le sont aussi (la version PC reste cependant la plus évoluée) Inutile de tourner autour du pot, AVP a clairement du potentiel pour toute personne qui a aimé ne serait-ce qu'un seul des films dédiés à l'une des deux races extraterrestres. Au programme des réjouissances, nous commencerons donc par l'atmosphère générale du titre qui reste fidèle à la griffe et à la vision thermique près à ce que l'on trouve dans les versions cinéma. À tel point qu'AVP parvient même à nous faire sursauter dans certains niveaux, notamment avec le Marine. Car vous l'aurez compris, l'autre grande force de cet opus réside dans la possibilité d'incarner, un Predator, un Marine ou un Alien, au travers de trois campagnes distinctes qui s'entrecroisent.
Plus de 10 ans après avoir livré l'illustre Alien vs Predator sur PC, Rebellion tente de nouveau sa chance pour un nouvel épisode. Mais en dix ans, il s'en passe des choses. Un studio de développement peut par exemple perdre de sa superbe. N'y allons pas par quatre chemins pour planter le décor de cette nouvelle déclinaison de la rencontre des deux machines à écorcher de l'espace. Toujours au coeur du problème, on trouve une fois de plus l'infâme société Weiland Yutani qui va de nouveau sacrifier tout un tas d'innocents colons à sa quête de la maîtrise des xénomorphes et de la technologie des Yautjas. Pour mettre la panade, il aura suffi à monsieur Weiland de faire deux choses idiotes en même temps. D'un côté, mener des expériences sur, euh, "l'élevage" des xénomorphes, de l'autre côté, aller grattouiller de trop près un temple Yautja situé à proximité. En une heure, c'est la catastrophe, les aliens sont libérés, et une petite bande de Predator se pointe sur la planète colonisée. Ne reste plus qu'à faire venir une escouade de marines coloniaux et hop, on peut commencer la teuf en se demandant si, quand même, il serait pas un peu gâteux le père Weiland.
Prenez une grosse poignée d'Aliens baveux, un Predator en colère, mettez le tout sur une planète paumée au fin fond de la galaxie et colonisée par des humains un peu bébêtes et vous obtiendrez assez rapidement un bain de sang bien dégoûtant. Aliens vs. Predator vous propose justement de participer directement à cette recette a priori jouissive étant donné chacun de ses ingrédients, histoire de profiter pleinement de ce massacre organisé. Mais la guerre des trois pourrait bien se solder par un match nul. Une bonne dizaine d'années après un essai fort concluant sur PC, Rebellion revient à ses premières amours et nous refait le coup de la réunion de famille entre humains, Predator et Aliens. Hélas, comme dans un épisode de Brothers & Sisters, l'événement tourne inévitablement au drame et ce nouvel Aliens vs. Predator vous donnera trois occasions de vous en rendre compte. L'aventure solo est, en effet, soigneusement découpée en trois campagnes distinctes dédiées à chacune des races, avec un gameplay FPS évidemment bien différent à chaque fois. Un même lieu, une même trame, pour des points de vue qui s'entrecroisent et se complètent.
Sept ans. Cela fait pas moins de sept ans qu’on n’avait pas revu la licence Alien vs Predator sur une machine de jeu. Et c’est Sega, heureux propriétaire de la licence, qui exhume un les vilaines bestioles au sang acide pour tenter d’approcher l’armada de fans. Avec Rebellion (Shellshock 2, Rogue Warrior) aux commandes, on avait pourtant de quoi s’inquiéter. Que vaut vraiment ce Aliens vs Predator ? Tout comme ses prestigieux aînés et le premier film sorti il y a 5 ans et demi, Aliens vs Predator nous propose naturellement de choisir dès le menu principal la race que l’on va incarner dans la campagne solo. Le scénario de cette dernière est grosso modo le même pour les trois protagonistes qui se retrouvent sur une colonie appartenant à la société Weyland. Pour faire vite, cette colonie est en fait un sanctuaire Predator contenant un reine Alien et les méchants capitalistes de la Weyland ont bien sûr violé le temple, capturé la reine et procèdent à des expériences mystérieuses qui vont naturellement déraper. A partir de cette intrigue dont on devine la fin dès les premières minutes de jeu, on incarnera donc un marine fraîchement débarqué qui va enquêter malgré lui sur les agissement de la Weyland, un jeune Predator qui chasse les humains pour avoir violé leur sanctuaire (et doit retrouver quelques artefacts anciens au passage) et un Alien qui… ben qui joue son rôle d’Alien et qui bouffe tout ce qui se dresse sur son passage.
Aliens vs Predator nous avait déjà laissé poser les mains sur son multijoueur, Sega nous permet aujourd'hui de jeter un coup d'oeil aux trois campagnes solos du jeu, dans la peau de ses différents protagonistes. Aliens vs Predator, une licence qui revient de loin après avoir fait les beaux jours des joueurs PC. Liées d'abord par un simple clin d'oeil, les deux bestioles les plus mortelles de la galaxie sont depuis devenues inséparables, pour le plus grand malheur des marines qui n'ont désormais de cesse de se faire désosser par l'une ou par l'autre. Fidèle à ses illustres modèles sortis depuis maintenant quelques années, cette résurrection de la franchise se divise en 3 campagnes solos dédiées aux trois protagonistes. Tout cela une fois de plus à cause de Karl Bishop Weyland qui, n'en ratant pas une, tente encore et toujours de dompter les Xénomorphes pour s'en faire des animaux de compagnie. Des essais qu'il ne peut s'empêcher de tenter sur une colonie humaine établie sur une planète ayant le malheur d'abriter l'une des pyramides que les Prédators utilisent pour enfermer des aliens afin de se livrer à leur chasse rituelle.
Gamekult
Ajouté le : 01/2010
Plus accessible...
Déjà aperçu à Cologne, Aliens vs. Predator nous a à nouveau été montré par Sega, avec cette fois un focus sur son aspect multijoueurs. L'occasion d'observer si le FPS de Rebellion sera aussi terrifiant à plusieurs qu'en solo. Impressions après quelques parties en petit comité en attendant l'arrivée du jeu, toujours prévue pour début 2010. Montré sur PlayStation 3, chose assez rare pour un jeu multisupport mais qui commence à se normaliser, Aliens vs. Predator a donc fait parler la poudre dans une première session multi. Mais au lieu de poudre, c'est davantage de giclées de sang de Marine étripé dont il faudrait parler, car comme on pouvait s'y attendre avec un tel casting, le jeu s'annonce assez impitoyable avec les représentants de notre race. En mode deathmatch, le constat est simple : les journalistes présents à la présentation passaient généralement de bon dernier à premier de la partie en fonction de la race sélectionnée, et le Marine était régulièrement le dindon de la farce. Cela dit, se retrouver avec des humains, aussi armés soient-ils, plus forts que des monstres intergalactiques tels que le Xénomorphe ou le Predator aurait aussi pu paraître bizarre. Disons que l'on ne s'attendait simplement pas à ce que la différence soit aussi flagrante.
Bref mais intense. Voilà l'impression immédiate qui m'est venue après avoir bouclé cette trop courte preview de Aliens vs Predator. Oui, vous avez bien lu : trop courte, indignement trop courte, proche de la démo même. C'est bon signe, j'aurai pu dire trop longue, voire interminable... Faut dire que l'affiche est alléchante, Aliens Vs Predator estampillé SEGA, de quoi intriguer tout amateur de massacre vidéoludique. Chez moi cette licence a ce pouvoir de réveiller une fibre émotionnelle (nostalgique?) qui me rend le jeu tout de suite sympathique. Ainsi, à peine le détecteur de mouvement du Marine émet-il ses bips réguliers si familiers (depuis Aliens de James Cameron) que mon intérêt grandi tout de suite, un peu comme un tir de blaster dans un titre estampillé Star Wars. Mes madeleines de Proust, sans doute... Bref, place au jeu.Comme chez ses prédécesseurs du même nom (que ce soit sur Jaguar ou plus récemment sur PC), Aliens Vs Predator propose d'incarner trois classes : humain, Alien et Predator. Si la cinématique d'intro semble reprendre le scénario du long-métrage éponyme de 2004, que j'ai soigneusement évité afin de rester en bon terme avec la licence Alien, chaque classe bénéficie d'un scénario dédié, qui se croiseront vraisemblablement par la suite.
Et c’est reparti pour un tour ! Deux des icônes les plus marquantes du cinéma fantastique (C’est un genre, pas une appréciation...) vont débarquer dans nos salons pour y jouer un nouvel acte de leur interminable bataille. Et encore une fois, une poignée d’humains va se retrouver prise entre le marteau et l’enclume... ou plutôt entre les baveux et les invisibles. L’un disait "Dans l’espace, personne ne vous entendra crier", ce à quoi l’autre répondait immanquablement "Si ça saigne, on peut le tuer...". Ces deux citations tirées respectivement de l’univers d’Alien et de Predator définissent assez bien le prochain titre qui sera consacré à ces deux monstres sacrés du grand écran. Alchimie combinant à dose égale l’horreur qui vous cloue de trouille au détour d’un couloir sombre et l’action se résumant à être plus rapide mais aussi plus inventif que votre adversaire pour lui faire la peau, ce titre devrait répondre aux attentes d’un large éventail de joueurs. Et, au passage, il s’offrira le luxe de contenter ceux qui connaissent les univers en question et qui auront été avant tout attirés par son titre.
Gamekult
Ajouté le : 08/2009
Plus accessible...
Aliens vs Predator a beau avoir tourné à la farce au cinéma, l'annonce d'un nouveau FPS utilisant la licence a forcément créé une petite étincelle dans le coeur des vieux fans qui ont connu les joies des versions PC ou même Jaguar il y a bien longtemps de cela. Pour cette gamescom 2009, Sega nous a invité à voir l'évolution du projet de Rebellion prévu pour février 2010 sur PC et consoles HD. Voici nos impressions. Déjà vu brièvement à l'E3, Aliens vs Predator nous a fait meilleure impression à la gamescom, et cela pour plusieurs raisons. Le moteur du jeu, pour commencer, a progressé avec une fluidité améliorée (mais pas encore parfaite), et une atmosphère globalement bien rendue qui retranscrit fidèlement tout le stress que pourrait ressentir un soldat traqué par les aliens dans un gigantesque vaisseau spatial à la dérive. La campagne humaine ne semble pas être la plus intéressante, mais elle devrait donc au moins procurer quelques bons frissons avec une violence assez marquée, et des séquences de mise à mort à vous faire rendre votre petit déjeuner sur la moquette. Comme on pouvait s'y attendre, Aliens vs Predator sera donc un jeu relativement gore, mais il aura d'autres atouts.
Deux races d'extraterrestres ultra-belliqueuses jetées l'une contre l'autre, avec au milieu, une petite tripotée de marines déterminés à sauver leur peau, voilà une formule bien connue qui risque pourtant de ne laisser personne indifférent. Que l'on ait été marqué au fer rouge par le FPS de Rebellion en 1999 ou que l'on soit simplement fan - si cela est possible - des films d'action mettant en scène cette confrontation inter-espèces, nul doute que la perspective de trucider notre voisin a de quoi nous faire frétiller d'impatience. Qu'on se rassure, le titre, emmené une nouvelle fois par Rebellion, prend forme et laisse déjà imaginer de joyeuses tueries nocturnes. Pas de surprise, ce nouvel épisode, le premier de la nouvelle gamme Aliens de SEGA, nous permettra bien évidemment d'incarner au choix un marine colonial, un doux Predator ou un jeune Alien couvert de bave. Les trois races auront une fois encore droit à une campagne distincte. Rien ne vous empêchera d'ailleurs de débuter par celle que vous voudrez. Néanmoins, si vous souhaitez véritablement découvrir tous les tenants et aboutissants de l'histoire, vous devrez alors traverser les trois aventures.
Dites que c'est freudien si vous en avez envie, mais les monstres tueurs chitineux qui enveloppent les gens de leur immonde bave reproductrice me donnent la chair de poule. Et une visite malencontreuse de l'attraction Alien War au centre Trocadéro de Londres à l'âge tendre de 13 ans n'a rien fait pour me réconcilier avec les Xénomorphes grouillants de Geiger. J'ai donc eu de la chance que SEGA présente le dernier titre Aliens vs. Predator de Rebellion dans la salle de démonstration claire et aérée d'Eurogamer, qui est totalement dépourvue de bouches et de conduits d'aération ou autres endroits où se tapissent les aliens maléfiques pour guetter leurs proies. Je suis même doublement chanceux, car nous avons été invités à une séance de karaoké après coup, et j’ai su du coup que cette présentation n’était donc pas le moment le plus effrayant de ma journée. De toute façon, dans les sections Marine et Predator, je verrai surtout les grands méchants Aliens dégingandés finir en bouillie sous des décharges de plasma. Ces dernières années, la patente médiocrité des films a terni la réputation du croisement Aliens vs. Predator, mais Rebellion a un excellent pedigree pour AvP, ayant sorti le jeu Jaguar en 1994 et la version PC en 1999 – tous les deux ayant imprégné le coeur de nombreux joueurs sans avoir recours à des tentacules qui s'insinuent de force dans votre gorge.
La série Aliens vs Predator résonne encore dans la tête des joueurs comme l'une des meilleures licences des années 90. Son retour annoncé a été placé sous la bonne garde de Rebellion, le studio par qui tout a pratiquement commencé. Si l'on met de côté les deux jeux Aliens vs Predator sorti en 1993 sur Super Nes et Gameboy, la série comme nous la connaissons maintenant a vraiment commencé en 1994 sur Jaguar avec un jeu développé par le studio Rebellion. C'est ce même studio que l'on retrouve aujourd'hui aux commandes de ce nouveau titre édité par Sega. Visiblement heureuses de retrouver leurs créatures favorites, les équipes de Rebellion semblent avoir apporté un soin tout particulier au développement de ce nouvel Aliens vs Predator. Cela se ressent surtout au niveau de l'ambiance, très respectueux des films et notamment d'Aliens 2 avec ces couloirs troués par des flaques d'acide. Le point de départ du jeu vidéo nous plongera dans les couloirs d'une pyramide appartenant aux Predators.
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